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- SiggyHabitué du forum
Bonjour,
Tu peux demander à ce que ton arrêt maladie soit acté jusqu'au 22 décembre. Et que ton congé pathologique d'une semaine soit posé à la rentrée des vacances, le 8 janvier jusqu'au début de ton congé mat.
Je jouerais avec les dates à ta place.
Tu peux demander à ce que ton arrêt maladie soit acté jusqu'au 22 décembre. Et que ton congé pathologique d'une semaine soit posé à la rentrée des vacances, le 8 janvier jusqu'au début de ton congé mat.
Je jouerais avec les dates à ta place.
- pseudo-intelloSage
Les congés pathologiques ne sont pas forcément collés au congé de maternité et peuvent être pris n'importe quand pendant la grossesse.
S'ils sont sécables, je te dirais de t'en faire prescrire une semaines dès le début de ton arrêt, et l'autre en janvier (vu qu'il y aura la carence).
S'ils ne sont pas sécables, tant pis : arrêt ordinaire en 2017, patho (carence !) en 2018.
Quoi qu'il en soit, les petites vacances ne fonctionnent pas comme les grandes, tu n'as pas besoin de reprendre avant les vacances pour que ce ne soit pas compté.
S'ils sont sécables, je te dirais de t'en faire prescrire une semaines dès le début de ton arrêt, et l'autre en janvier (vu qu'il y aura la carence).
S'ils ne sont pas sécables, tant pis : arrêt ordinaire en 2017, patho (carence !) en 2018.
Quoi qu'il en soit, les petites vacances ne fonctionnent pas comme les grandes, tu n'as pas besoin de reprendre avant les vacances pour que ce ne soit pas compté.
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- DaphnéDemi-dieu
Mais même les grandes vacances ne sont pas comptées au cas où on est absent le jour de la sortie mais qu'on reprend le jour de la pré-rentrée.pseudo-intello a écrit:Les congés pathologiques ne sont pas forcément collés au congé de maternité et peuvent être pris n'importe quand pendant la grossesse.
S'ils sont sécables, je te dirais de t'en faire prescrire une semaines dès le début de ton arrêt, et l'autre en janvier (vu qu'il y aura la carence).
S'ils ne sont pas sécables, tant pis : arrêt ordinaire en 2017, patho (carence !) en 2018.
Quoi qu'il en soit, les petites vacances ne fonctionnent pas comme les grandes, tu n'as pas besoin de reprendre avant les vacances pour que ce ne soit pas compté.
- kiwiGuide spirituel
J'ai été dans ce cas là : non, tes vacances ne seront pas décomptées, le patho étant assimilé à un congé maternté, indemnisé comme tel et de droit. Le rectorat considérera en quelque sorte que tu auras repris le travail à la rentrée. Si tu as peur et si tu ne travailles pas le samedi, fais toi faire un CMO jusqu'au vendredi d'avant les vacances. Là, vraiment, aucun risque.
Et je doute qu'il y ait un jour de carence sur du patho, puisque le patho est considéré comme de droit s'il est prescrit, accolé au congé mat.
Et je doute qu'il y ait un jour de carence sur du patho, puisque le patho est considéré comme de droit s'il est prescrit, accolé au congé mat.
- pseudo-intelloSage
D'après ce que j'ai lu, il n'a même pas besoin d'être collé au congé mat.
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- kiwiGuide spirituel
Pour éviter le jour de carence, si. C'est comme ça dans le privé en tout cas.
- pseudo-intelloSage
Je suis assez nulle en carence. Tu as probablement raison (mais parfois, le public et le privé fonctionnent différemment).
Ceci dit, la carence ne s'applique qu'à partir de 2018.
Ceci dit, la carence ne s'applique qu'à partir de 2018.
- eilidh16Niveau 2
Bonjour,
je relance ce fil car je me pose des questions par rapport à mon arrêt maladie.
Je suis actuellement enceinte de 6 mois et demi. Je n'ai pas repris à la rentrée parce que je commençais à avoir des contractions et que j'avais beaucoup de route. J'ai donc eu un premier arrêt du 31/08 au 19/09, puis un second arrêt du 20/09 au 20/10.
Le 20/10 étant pendant les vacances scolaires, est-il plus judicieux (jour de carence, primes, nb de jours de maladie dans l'année ...) de faire débuter mon prochain arrêt le 21/10 ou à la date de retour des vacances le 5/11 ? (Je précise que je serai en congé maternité à partir du 14/11.)
Merci d'avance pour vos réponses !
je relance ce fil car je me pose des questions par rapport à mon arrêt maladie.
Je suis actuellement enceinte de 6 mois et demi. Je n'ai pas repris à la rentrée parce que je commençais à avoir des contractions et que j'avais beaucoup de route. J'ai donc eu un premier arrêt du 31/08 au 19/09, puis un second arrêt du 20/09 au 20/10.
Le 20/10 étant pendant les vacances scolaires, est-il plus judicieux (jour de carence, primes, nb de jours de maladie dans l'année ...) de faire débuter mon prochain arrêt le 21/10 ou à la date de retour des vacances le 5/11 ? (Je précise que je serai en congé maternité à partir du 14/11.)
Merci d'avance pour vos réponses !
- OudemiaBon génie
Il est clair qu'il faut que cet arrêt commence à partir de la rentrée, cela te fait gagner 15 jours et on ne sait jamais ce qui peut arriver.
Préviens cependant l'établissement que tu seras de nouveau arrêtée, pour que le remplaçant ne soit pas envoyé ailleurs et puisse s'organiser (avec un peu de chance il restera pendant ton congé, ce sera parfait pour les élèves et lui).
Préviens cependant l'établissement que tu seras de nouveau arrêtée, pour que le remplaçant ne soit pas envoyé ailleurs et puisse s'organiser (avec un peu de chance il restera pendant ton congé, ce sera parfait pour les élèves et lui).
- MelanieSLBDoyen
Il me semble que puisque tu es arrêtée avant et après les vacances pour le même motif, les vacances seront décomptées en arrêt maladie de toutes façons (mais je peux me tromper).
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La réforme du collège en clair : www.reformeducollege.fr .
Et pour ceux qui voudraient en comprendre quelques fondements idéologiques:
De l’école, Jean-Claude Milner, visionnaire en 1984 (ça ne s'invente pas!) de ce qui nous arrive: "On ne dira pas que les enseignants sont l'appendice inutile d'une institution dangereuse et presque criminelle; on dira seulement qu'ils doivent devenir Autres: animateurs, éducateurs, grands frères, nourrices, etc. La liste est variable. Que, par là, les enseignants cessent d’être ce qu'ils doivent être, c'est encore une fois sortir de la question. On ne dira pas que les enseignants n'ont pas à exister, mais qu'ils ont à exister Autrement. Que cette Autre existence consiste à renoncer à soi-même pour disparaître dans la nuit éducative et s'y frotter, tous corps et tous esprits confondus, avec les partenaires de l'acte éducatif - manutentionnaires, parents, élèves, etc. -, seul un méchant pourrait en prendre ombrage." (page 24)
- eilidh16Niveau 2
Est-ce que cela me coûterait une 2e journée de carence ?
Sachant que je suis à temps partiel (15h) donc sans heures sup, est-ce que je perds beaucoup pendant mon congé maladie ?
je n'y connais pas grand chose ...
Sachant que je suis à temps partiel (15h) donc sans heures sup, est-ce que je perds beaucoup pendant mon congé maladie ?
je n'y connais pas grand chose ...
- MelanieSLBDoyen
Si tu fais en sorte d'avoir deux arrêts décalés, oui, tu perdras une 2e journée de carence.
Quand tu es en AM, tu perds l'ISOE, une journée de carence, et rien d'autre dans ton cas, mais uniquement pendant 3 mois sur une année glissante. Au bout de 3 mois d'AM, tu passes à mi-traitement.
Quand tu es en AM, tu perds l'ISOE, une journée de carence, et rien d'autre dans ton cas, mais uniquement pendant 3 mois sur une année glissante. Au bout de 3 mois d'AM, tu passes à mi-traitement.
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Et pour ceux qui voudraient en comprendre quelques fondements idéologiques:
De l’école, Jean-Claude Milner, visionnaire en 1984 (ça ne s'invente pas!) de ce qui nous arrive: "On ne dira pas que les enseignants sont l'appendice inutile d'une institution dangereuse et presque criminelle; on dira seulement qu'ils doivent devenir Autres: animateurs, éducateurs, grands frères, nourrices, etc. La liste est variable. Que, par là, les enseignants cessent d’être ce qu'ils doivent être, c'est encore une fois sortir de la question. On ne dira pas que les enseignants n'ont pas à exister, mais qu'ils ont à exister Autrement. Que cette Autre existence consiste à renoncer à soi-même pour disparaître dans la nuit éducative et s'y frotter, tous corps et tous esprits confondus, avec les partenaires de l'acte éducatif - manutentionnaires, parents, élèves, etc. -, seul un méchant pourrait en prendre ombrage." (page 24)
- eilidh16Niveau 2
Merci pour vos réponses.
En effet, j'ai l'impression comme Mélanie, que si j'ai deux arrêts qui encadrent les vacances, celles-ci seront comptés dans mes arrêts ... Donc ça ne vaut pas la peine que je m'embête avec les dates et les différents RDV de sages-femmes !
En effet, j'ai l'impression comme Mélanie, que si j'ai deux arrêts qui encadrent les vacances, celles-ci seront comptés dans mes arrêts ... Donc ça ne vaut pas la peine que je m'embête avec les dates et les différents RDV de sages-femmes !
- OudemiaBon génie
Oui, Melanie a raison, je me suis emmêlée dans les jours : je pensais à un arrêt jusqu'au vendredi, alors que les vacances commencent après les cours du samedi ; c'est à la limite de l'abus, évidemment, mais si tu n'avais pas cours le samedi, ça marcherait (avec un 2e jour de carence bien sûr).
- VicomteDeValmontGrand sage
eilidh16 a écrit:Merci pour vos réponses.
En effet, j'ai l'impression comme Mélanie, que si j'ai deux arrêts qui encadrent les vacances, celles-ci seront comptés dans mes arrêts ... Donc ça ne vaut pas la peine que je m'embête avec les dates et les différents RDV de sages-femmes !
L'idéal serait que tu obtiennes de ton médecin un congé pour grosesse pathologique (2 semaines avant le congé prénatal, sans carence).
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Cette insigne faveur que votre coeur réclame
Nuit à ma renommée et répugne à mon âme.
- pseudo-intelloSage
Je plussoie le vicomte.
En outre, je crois bien que le congé pathologique est sécable. Si c'est le cas, tu peux donc "économiser" de jours pour être moins vite à mi-traitement en cas de problème futur, en passant en congé pathologique les 5 derniers jours avant les vacances de la Toussaint, puis les 10 autres jours du 5 au 14 novembre.
En outre, je crois bien que le congé pathologique est sécable. Si c'est le cas, tu peux donc "économiser" de jours pour être moins vite à mi-traitement en cas de problème futur, en passant en congé pathologique les 5 derniers jours avant les vacances de la Toussaint, puis les 10 autres jours du 5 au 14 novembre.
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