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- AbraxasDoyen
lulamae a écrit:La prépa donne sans doute une avance, j'en ai effectivement bénéficié ensuite en Fac : mais, pour conserver cet avantage, à mon avis, il faut passer l'agreg dans la foulée. Cela fait vingt ans que j'ai fait hypokhâgne, puis khâgne (j'ai même "cubé" pour rester avec mes deux grandes copines ), quelle avance me reste-t-il ??? Je suis prof en collège depuis bientôt quinze ans, je n'ai pas entretenu mes connaissances, ou juste ce qu'il fallait. Je ne me sens pas maintenant plus en avance qu'une autre.
lulamae a écrit:La prépa donne sans doute une avance, j'en ai effectivement bénéficié ensuite en Fac : mais, pour conserver cet avantage, à mon avis, il faut passer l'agreg dans la foulée. Cela fait vingt ans que j'ai fait hypokhâgne, puis khâgne (j'ai même "cubé" pour rester avec mes deux grandes copines ), quelle avance me reste-t-il ??? Je suis prof en collège depuis bientôt quinze ans, je n'ai pas entretenu mes connaissances, ou juste ce qu'il fallait. Je ne me sens pas maintenant plus en avance qu'une autre.
C'est un problème très sérieux.
En fait, la question serait : Qu'avez-vous fait durant 15 ans ? Avez-vous lu (de la critique littéraire) ? Avez-vous écrit (de la critique, de la dissertation, des essais, des articles, etc.) ? Ça se perd vite — je crois que c'est quasiment musculaire : quand je n'ai pas couru depuis trois mois (c'est le cas, en ce moment), j'ai l'impression, quand je m'y remets, de ne jamais avoir su. Ça doit faire un peu le même effet quand on a perdu l'habitude d'écrire.
Et vus avez raison : on fait en prépas sept ou huit disserts dans l'année, parfois plus. À la fin de la khâgne, il reste deux ans avant l'agrèg — et il faut continuer au même rythme (rédiger une maîtrise est un bon entraînement). Nulla dies sine linea, comme in dit familièrement…
- Reine MargotDemi-dieu
Mais ça revient vite! J'avais bcp perdu avant de me mettre à l'agreg et aux dissertes l'an dernier. le concours pour moi date de 2002, et une tentative d'agreg en 2003. En faire une chaque dimanche m'a rendonné mon meilleur niveau, je me suis même améliorée.
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- exileealestNiveau 1
perso, je suis bien contente de ne pas avoir fait de prépa et d'avoir largement profité de mes années de fac à Poitiers : ce sont des années de liberté et de découverte qui aurait eu bien moins de saveur avec 35 h de cours / semaine et trois disserts à rendre. Et si je me vautre à l'agreg ext. cette année ça ne m'aura pas empêché d'avoir un boulot que j'adore, une ZR que j'aime un peu moins et la certitude que je ne suis pas qu'un crane bourré de théories littéraires mais une jeune femme heureuse qui (je l'estime vu le "niveau social" de ma famille) a réussi et qui réussira peut-être encore !
Bienheureux les ignorants ... et les savants aussi !
Bienheureux les ignorants ... et les savants aussi !
- MéluEmpereur
Eh, la prépa n'est pas le bagne quand même ! Moi, j'y suis allée pour rester dans mon lycée d'origine avec mes deux meilleures copines. J'en ai de bons souvenirs, on a beaucoup bossé, mais on ignorait superbement les bécheuses anxiogènes qui polluaient la classe et on s'en est sorties indemmes, avec de bonnes méthodes de travail et de la culture G. L'année suivante, dans ma fac de province, finalement le changement n'a pas été immense : nous n'étions qu'une quinzaine en licence de lettres classiques, dans de petites salles, hyper encadrés par des profs qui prenaient très mal qu'on n'assiste pas à touts leurs cours et nous donnaient beaucoup de travail. Or, parmi mes amis, la seule qui aît eu l'agreg du premier coup dans la foulée était un pur produit de cette fac. Elle a bossé et on avait vraiment des profs excellents, plus encore qu'en prépa en fait.
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"Pourquoi sommes-nous au monde, sinon pour amuser nos voisins et rire d'eux à notre tour ?"
[ Jane Austen ] - Extrait de Orgueil et préjugés
- InvitéInvité
Abraxas a écrit:lulamae a écrit:La prépa donne sans doute une avance, j'en ai effectivement bénéficié ensuite en Fac : mais, pour conserver cet avantage, à mon avis, il faut passer l'agreg dans la foulée. Cela fait vingt ans que j'ai fait hypokhâgne, puis khâgne (j'ai même "cubé" pour rester avec mes deux grandes copines ), quelle avance me reste-t-il ??? Je suis prof en collège depuis bientôt quinze ans, je n'ai pas entretenu mes connaissances, ou juste ce qu'il fallait. Je ne me sens pas maintenant plus en avance qu'une autre.
C'est un problème très sérieux.
En fait, la question serait : Qu'avez-vous fait durant 15 ans ? Avez-vous lu (de la critique littéraire) ? Avez-vous écrit (de la critique, de la dissertation, des essais, des articles, etc.) ? Ça se perd vite — je crois que c'est quasiment musculaire : quand je n'ai pas couru depuis trois mois (c'est le cas, en ce moment), j'ai l'impression, quand je m'y remets, de ne jamais avoir su. Ça doit faire un peu le même effet quand on a perdu l'habitude d'écrire.
Et vus avez raison : on fait en prépas sept ou huit disserts dans l'année, parfois plus. À la fin de la khâgne, il reste deux ans avant l'agrèg — et il faut continuer au même rythme (rédiger une maîtrise est un bon entraînement). Nulla dies sine linea, comme in dit familièrement…
Vous parlez bien sûr de lignes en termes d'essais littéraires : et bien non, je n'ai plus rien écrit depuis le CAPES, bien que j'aie eu alors un bon niveau à l'écrit en dissert (mais au CAPES). Je ne sais si cela reviendra vite, mais je ressens un besoin absolu d'oxygéner mon cerveau et de me lancer un défi intellectuel. Je n'irai pas jusqu'à dire que je passe l'agreg pour le plaisir, mais en tout cas de manière égoïste, pour me prouver que je le peux. Merci de votre réponse.
- AbraxasDoyen
Marquise, une dissert par semaine, ce n'est plus de l'entraînement, c'est du stakhanovisme ! Chapô !
- InvitéInvité
vraiment ne désespérez pas! je m'y suis remise après 20 ans et les réflexes reviennent vite!
- InvitéInvité
nebisa a écrit:vraiment ne désespérez pas! je m'y suis remise après 20 ans et les réflexes reviennent vite!
Merci !
- V.MarchaisEmpereur
Bonsoir,
Je voudrais remonter le moral de certaines : il n'est pas nécessaire de sortir de Normale ou de s'inscire au très cher Cours Sévigné pour réussir l'Agreg. Il y a d'excellents profs ici ou là, qui vous remettent en selle vite fait bien fait - rapides, efficaces, denses, exigeants. Je garde un souvenir inoubliable de M. Fauconnier, dans l'académie de Créteil. Y est-il toujours ? Si oui, foncez à ses cours, les filles. Pour se remettre à la dissert, il est épatant. Tenez, si vous le voyez, embrassez-le de ma part : je lui dois mon concours !
Des Fauconnier, je suis sûre qu'il y en a plus d'un. Tendez l'oreille !
Bon courage,
Véronique.
Je voudrais remonter le moral de certaines : il n'est pas nécessaire de sortir de Normale ou de s'inscire au très cher Cours Sévigné pour réussir l'Agreg. Il y a d'excellents profs ici ou là, qui vous remettent en selle vite fait bien fait - rapides, efficaces, denses, exigeants. Je garde un souvenir inoubliable de M. Fauconnier, dans l'académie de Créteil. Y est-il toujours ? Si oui, foncez à ses cours, les filles. Pour se remettre à la dissert, il est épatant. Tenez, si vous le voyez, embrassez-le de ma part : je lui dois mon concours !
Des Fauconnier, je suis sûre qu'il y en a plus d'un. Tendez l'oreille !
Bon courage,
Véronique.
- Reine MargotDemi-dieu
Abraxas a écrit:Marquise, une dissert par semaine, ce n'est plus de l'entraînement, c'est du stakhanovisme ! Chapô !
Ben quand on compte qu'on reçoit les cours et les devoirs du cned en octobre et que le concours est en janvier, pour rendre toutes les dissertes il faut bien ça.
Et en plus Abraxas, quand j'ai fini ma disserte de 7h je vais nager 1km à la piscine de Tours (pour me défaire l'esprit du devoir)
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- InvitéInvité
V.Marchais a écrit:Bonsoir,
Je voudrais remonter le moral de certaines : il n'est pas nécessaire de sortir de Normale ou de s'inscire au très cher Cours Sévigné pour réussir l'Agreg. Il y a d'excellents profs ici ou là, qui vous remettent en selle vite fait bien fait - rapides, efficaces, denses, exigeants. Je garde un souvenir inoubliable de M. Fauconnier, dans l'académie de Créteil. Y est-il toujours ? Si oui, foncez à ses cours, les filles. Pour se remettre à la dissert, il est épatant. Tenez, si vous le voyez, embrassez-le de ma part : je lui dois mon concours !
Des Fauconnier, je suis sûre qu'il y en a plus d'un. Tendez l'oreille !
Bon courage,
Véronique.
et puis honnêtement j'ai pu être admissible sans aucun prof, sans mettre les pieds à la fac qui ne dispense aucun cours agreg...le tout à 8000 km d'une vraie librairie. ce qui m'a vraiment aidé à m'y remettre c'est agregenpoche et la mutualisation, ainsi que les contributions agreglettres que je devais rendre tous les mois et celles des autres que je pouvais donc lire. Pour le reste je fais vraiment par moi même.
- AbraxasDoyen
exileealest a écrit:perso, je suis bien contente de ne pas avoir fait de prépa et d'avoir largement profité de mes années de fac à Poitiers : ce sont des années de liberté et de découverte qui aurait eu bien moins de saveur avec 35 h de cours / semaine et trois disserts à rendre. Et si je me vautre à l'agreg ext. cette année ça ne m'aura pas empêché d'avoir un boulot que j'adore, une ZR que j'aime un peu moins et la certitude que je ne suis pas qu'un crane bourré de théories littéraires mais une jeune femme heureuse qui (je l'estime vu le "niveau social" de ma famille) a réussi et qui réussira peut-être encore !
Bienheureux les ignorants ... et les savants aussi !
Je me demande où vous avez pêché cette idée des prépas.
J'ai passé deux ans à draguer tous azimuts, en cumulant abominablement, en faisant de la politique intensément, et du sport à haut niveau (finale championnat de France de hand ball junior — perdue…). L'ensemble est tout à fait compatible — et je ne crois pas avoir omis de rendre un devoir, et le rythme était soutenu…
Et encore, en première année, je n'avais pas un sou et je bossais la nuit, de trois à sept heures du matin, comme docker au port de Marseille.
- minnieExpert
Et parmi vos élèves, il y en a beaucoup qui tiennent le rythme en s'amusant à côté, en travaillant la nuit?
Vous êtes de très mauvaise foi quand vous déclarez que "l'ensemble est tout à fait compatible"
Vous êtes de très mauvaise foi quand vous déclarez que "l'ensemble est tout à fait compatible"
- Mona Lisa KlaxonEsprit éclairé
...pour répondre à ta question, Abraxas, j'ai fait licence puis capes à Dijon (pas de maîtrise), et j'ai préparé l'agreg sur Besançon (fac de lettres très désertée, mais quelques enseignants très motivés, actifs comme de véritables coachs!), avec le cned et agreglettres. Il m'a fallu trois tentatives, certes... :lol:Abraxas a écrit:Quelle fac ?
L'important, dans ce débat, c'est de se dire que tous les moyens et tous les parcours sont bons pour décrocher ce concours! Bossez bien et faites-vous confiance!
- AdriGrand Maître
Pour moi, la prépa, ça a été un coup de chance :
la copsy m'envoyait vers la fac la plus proche, l'examinateur de l'EAF en première m'a conseillé une prépa - aucun de mes profs ne l'avait fait !
Mes parents n'y connaissaient vraiment rien, ils m'ont fait confiance.
Financièrement on peut trouver une prépa avec internat, bien moins cher qu'une chambre en ville pour aller à la fac...
Résultat : je suis allée dans une super prépa en banlieue parisienne, des années inoubliables, et pas seulement pour la formation dispensée.
3 ans après le bac, indépendance financière, de quoi se consacrer aux études, 5 ans après, l'agreg.
Le mythe de l'enfer de la prépa, ça ne tient pas la route quand on y est !
Heureuse d'être passée par là en tout cas !
Aujourd'hui je tire mon chapeau à ceux qui s'inscrivent à l'interne tout en bossant...
la copsy m'envoyait vers la fac la plus proche, l'examinateur de l'EAF en première m'a conseillé une prépa - aucun de mes profs ne l'avait fait !
Mes parents n'y connaissaient vraiment rien, ils m'ont fait confiance.
Financièrement on peut trouver une prépa avec internat, bien moins cher qu'une chambre en ville pour aller à la fac...
Résultat : je suis allée dans une super prépa en banlieue parisienne, des années inoubliables, et pas seulement pour la formation dispensée.
3 ans après le bac, indépendance financière, de quoi se consacrer aux études, 5 ans après, l'agreg.
Le mythe de l'enfer de la prépa, ça ne tient pas la route quand on y est !
Heureuse d'être passée par là en tout cas !
Aujourd'hui je tire mon chapeau à ceux qui s'inscrivent à l'interne tout en bossant...
- NestyaEsprit sacré
Encore faut-il avoir les moyens. Mes parents n'auraient jamais pu envisager de payer une chambre à l'un de leurs enfants. Quand on vient d'une famille ouvrière, les possibilités sont très limitées même quand on est boursier.Adri a écrit:
Financièrement on peut trouver une prépa avec internat, bien moins cher qu'une chambre en ville pour aller à la fac...
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"Attendre et espérer."
Alexandre Dumas
- Pierre_au_carréGuide spirituel
Adri a écrit:
Le mythe de l'enfer de la prépa, ça ne tient pas la route quand on y est !
Moi aussi, j'ai largement préféré à la fac...
Mais ma prépa (bordelaise) était suffisamment petite pour que l'ambiance y soit bonne et qu'on ne s'y sente pas débordés quand on bosse.
- TcdNiveau 5
Alors, alors, on vous laisse quelques jours et le topic "l'agreg pour les nuls" se transforme en polémique fac contre prépa! MDR! Il suffit que je rajoute la guéguerre privé/public et on repart pour un tour! (pas taper!!!)
Trêve de plaisanterie, j'apporte ma petite pierre à l'édifice!
Tout ça n'est qu'une question de tempérament. J'étais inscrite en prépa et à la fac... Je ne me suis jamais présentée en prépa car je sortais d'un lycée qui poussait à bosser et nous mettait une pression folle, j'aspirais à plus de liberté et d'autonomie... Mais ma meilleure amie a fait deux années de prépas (avec des super gros fêtards alors c'était pas la prison loin de là), elle avait besoin d'un cadre pour avancer et de méthodes très rigoureuses. On s'est tous retrouvé ensemble en licence les "sortis de prépa super fêtards" et les "anciens de la fac super fêtards" (ils avaient une double inscription fac/prépa alors passerelle). Certains avaient du mal car ils avaient des habitudes "trop scolaires" pour la fac, d'autres s'en sortaient super bien grâce à leurs acquis! J'ai pas trouvé une immense différence entre eux et nous concernant les résultats en licence, puis au capes! Simplement chacun avait choisi ce qui lui convenait le mieux! Le gros risque de la fac (c'est le propre de l'être humain) c'est que sans cadre et sans contraintes régulières on a tendance à se laisser vivre et à se dire qu'on a le temps... En prépa on ne peut pas!
Trêve de plaisanterie, j'apporte ma petite pierre à l'édifice!
Tout ça n'est qu'une question de tempérament. J'étais inscrite en prépa et à la fac... Je ne me suis jamais présentée en prépa car je sortais d'un lycée qui poussait à bosser et nous mettait une pression folle, j'aspirais à plus de liberté et d'autonomie... Mais ma meilleure amie a fait deux années de prépas (avec des super gros fêtards alors c'était pas la prison loin de là), elle avait besoin d'un cadre pour avancer et de méthodes très rigoureuses. On s'est tous retrouvé ensemble en licence les "sortis de prépa super fêtards" et les "anciens de la fac super fêtards" (ils avaient une double inscription fac/prépa alors passerelle). Certains avaient du mal car ils avaient des habitudes "trop scolaires" pour la fac, d'autres s'en sortaient super bien grâce à leurs acquis! J'ai pas trouvé une immense différence entre eux et nous concernant les résultats en licence, puis au capes! Simplement chacun avait choisi ce qui lui convenait le mieux! Le gros risque de la fac (c'est le propre de l'être humain) c'est que sans cadre et sans contraintes régulières on a tendance à se laisser vivre et à se dire qu'on a le temps... En prépa on ne peut pas!
- DHMonarque
Bref, les enfants, on reprend: pas de prépa pour moi. Bref, après le capes en 2002, je me sens nulle et je pense l'être devenue. Je vous avoue (en rougissant) et vous allez vous que je pense ne plus savoir faire de dissert. Trois sous parties? alors là, c'est mort de chez mort. Je
n'y arrive plus...
bref, après les écrits ou même avant ça sent
n'y arrive plus...
bref, après les écrits ou même avant ça sent
- TcdNiveau 5
Tu sais, je me lance dans l'aventure de l'agreg interne cette année, et je suis comme toi! Le mécanisme de la dissert c'est loin, je ne suis même pas sûre d'avoir encore mes cours car je ne comptais pas passer l'agreg un jour! Mais je me console en me disant que c'est comme le vélo, au début c'est dur mais ça ne s'oublie pas! Le cerveau est une mécanique complexe, faut le dépoussiérer pour qu'il fonctionne comme avant! Et puis, j'ai appris énormément de choses en enseignant : j'ai enrichi ma culture en recherchant des supports variés, en lisant, en découvrant... Ces années d'enseignement ne sont pas des années perdues pendant lesquelles on s'abrutit (ce serait grave!!!!), les tâches ne sont plus les mêmes qu'à la fac (ou en prépa) c'est tout!
- InvitéInvité
je vous assure que cela revient tout seul ( ou presque). Session 2008 je n'ai rédigé qu'une seule disserte 20 ans après la fac: celle du concours et j'ai eu 14. Je ne parvenais pas à me contraindre à faire des dissertes sur les oeuvres chez moi. Par contre j'avais rédigé plusieurs dissertes de didactique, vu que l'exercice m'était totalement nouveau. J'avais aussi rédigé beaucoup de travaux (ET, commentaires etc) pour agreglettres, donc repris certains réflexes d'écriture.
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