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- NLM76Grand Maître
Ce n'est certes pas une erreur. On lit des textes, et on voit ce qu'ils nous disent d'intéressant. Le contraire : vouloir dire quelque chose et chercher ensuite des textes qui prouvent ce qu'on veut dire oblige à ne pas lire les textes.Aenor a écrit:C'est vrai que ma problématique n'est pas très claire...J'ai fait l'erreur d'avoir l'idée des textes avant de formuler une problématique.
- AenorNiveau 1
chloe2504 a écrit:Ta problématique est beaucoup trop vague. Tu cherches à montrer beaucoup de choses et qui ne sont pas clairement définies. Pour commencer, je te conseillerais de ne faire que 3 LA et de choisir un GT peut-être un peu bateau. Par exemple, les incipits ou les excipits ou les scènes de rencontre ou le portrait (au sens littéraire du terme). Pour commencer, cela me semble plus abordable. De plus, cela permet de traiter des notions littéraires et romanesques très intéressantes pour les élèves. Cela permettra peut-être aussi de créer plus facilement un lien avec ton OI (L'Etranger), ce n'est pas obligatoire mais j'aime bien faire ça. Je trouve cela plus cohérent pour les élèves.
Je crois que tu as raison, en gros rien n'est très bon dans ce corpus, mais bon c'est le premier...Je vais donc partir sur autre chose car je crois que j'ai mis la barre un peu trop haute. Mais que veut tu dire par "bateau" ?
Pour Cripure, j'aimerais quand même faire par étapes et montrer l'évolution du héros avant d'aborder tout de suite l'Etranger. Mais je suis d'accord qu'il faut bien aborder les difficultés au plus tôt. Le tout est de savoir comment !
- IphigénieProphète
Il me semble que le problème vient de ce que tu ne limites pas assez tes objectifs: si tu veux te centrer sur le portrait, montre comment évoluent les écritures de portraits. Laisse tomber la condition féminine et les approches historico-sociologique, tout simplement.J'ai construit le corpus suivant, autour du portrait féminin.
1) La princesse de Clèves, le passage où Monsieur de Nemours espionne la princesse
2) Manon Lescaut, le topos de la première rencontre amoureuse
3) Incipit d'Indiana qui peint les portraits du Colonel Delmare et de sa femme : le thème du mariage malheureux
4) Madame Bovary, le passage où Emma se sent une héroïne car elle à un amant
5) Chéri de Colette où Léa se regarde dans la glace :le thème de la vieillesse chez le personnage féminin
- AenorNiveau 1
[quote="Iphigénie"]
Oui je vois ce que tu veut dire, c'est beaucoup trop large...mais pour l'évolution des écritures, est-ce que ça concerne encore le personnage en lui-même ? (même si je crois que je comprend ce que tu veut pointer)
Il me semble que le problème vient de ce que tu ne limites pas assez tes objectifs: si tu veux te centrer sur le portrait, montre comment évoluent les écritures de portraits. Laisse tomber la condition féminine et les approches historico-sociologique, tout simplement.
Oui je vois ce que tu veut dire, c'est beaucoup trop large...mais pour l'évolution des écritures, est-ce que ça concerne encore le personnage en lui-même ? (même si je crois que je comprend ce que tu veut pointer)
- OrlandaFidèle du forum
Comment le personnage "en lui-même" (?) peut-il être détaché de l'écriture?
Véritable question, je ne comprends pas.
Véritable question, je ne comprends pas.
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"Nous vivons à une époque où l'ignorance n'a plus honte d'elle-même". Robert Musil
- AenorNiveau 1
Orlanda a écrit:Comment le personnage "en lui-même" (?) peut-il être détaché de l'écriture?
Véritable question, je ne comprends pas.
Oui en fait il y a des manières d'écrire le personnage...mais je en me sens pas capable de montrer ça à des élèves...(enfin ce n'est qu'une facette de l'évolution du personnage non ?)
- IphigénieProphète
Je parle simplement de la façon dont le personnage est "composé" par l'écriture:la place du corps, le réalisme ou l'idéalisme du portrait etc: ça en dit déjà long sur l'histoire du roman, finalement.Aenor a écrit:Iphigénie a écrit:
Il me semble que le problème vient de ce que tu ne limites pas assez tes objectifs: si tu veux te centrer sur le portrait, montre comment évoluent les écritures de portraits. Laisse tomber la condition féminine et les approches historico-sociologique, tout simplement.
Oui je vois ce que tu veut dire, c'est beaucoup trop large...mais pour l'évolution des écritures, est-ce que ça concerne encore le personnage en lui-même ? (même si je crois que je comprend ce que tu veut pointer)
- WabiSabiHabitué du forum
Cripure a écrit:Le chronologique, j'en suis revenu. Je commence par l'argumentation, j'enchaîne avec le romantisme et la poésie comme prolongement, je reviens en arrière (je spirale :lol:) avec le théâtre et je finis par un bon Zola, long mais pas très difficile (avec une classe à la peine, je le lis avec eux). La chronologie ? Ben oui, je sais. Mais on n'a pas une chaire d'histoire littéraire, hein...
Merci, j'en prends bonne note. Je vais cependant attendre, matois, de voir quelle est l'orthodoxie de mon tuteur et de nos IPR lyonnais sur la question, au moins cette année. Comme de toute façon je compte commencer par le théâtre, ça ne changera pas grand-chose à mes premières semaines...
Sinon Aenor, je comprends vos problèmes d'"approche" des OE, j'ai les mêmes! il n'y pas de problématique évidente, et il n'est facile pour personne de savoir par où commencer, car tout choix est foncièrement arbitraire. Mais si je peux me permettre un conseil en tant que collègue stagiaire moi aussi : quand je doute, je me dis que le mieux est toujours de revenir aux textes eux-mêmes. Choisissez les textes qui vont semblent importants, trouvez pourquoi ils le sont et essayez de faire découvrir cette singularité aux élèves, je crois que l'essentiel sera accompli.
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"De duobus malis, minus est semper eligendum."
"Plus je travaille moins, moins je glande plus. C'est shadokien." Lefteris
T2 ('17-'18) : TZR 2 collèges REP/REP+, 5e/4e/3e
T1 ('16-'17) : TZR AFA Collège, 2 5e + 2 4e
Stage ('15-'16) : Lycée GT, 1 2de + 1 1re S
- OrlandaFidèle du forum
Tout à fait. On ne se trompe JAMAIS en montrant aux élèves comment le texte est écrit.
Tout le reste n'est pas littérature!
Tout le reste n'est pas littérature!
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"Nous vivons à une époque où l'ignorance n'a plus honte d'elle-même". Robert Musil
- AenorNiveau 1
WabiSabi a écrit:Cripure a écrit:Le chronologique, j'en suis revenu. Je commence par l'argumentation, j'enchaîne avec le romantisme et la poésie comme prolongement, je reviens en arrière (je spirale :lol:) avec le théâtre et je finis par un bon Zola, long mais pas très difficile (avec une classe à la peine, je le lis avec eux). La chronologie ? Ben oui, je sais. Mais on n'a pas une chaire d'histoire littéraire, hein...
Merci, j'en prends bonne note. Je vais cependant attendre, matois, de voir quelle est l'orthodoxie de mon tuteur et de nos IPR lyonnais sur la question, au moins cette année. Comme de toute façon je compte commencer par le théâtre, ça ne changera pas grand-chose à mes premières semaines...
Sinon Aenor, je comprends vos problèmes d'"approche" des OE, j'ai les mêmes! il n'y pas de problématique évidente, et il n'est facile pour personne de savoir par où commencer, car tout choix est foncièrement arbitraire. Mais si je peux me permettre un conseil en tant que collègue stagiaire moi aussi : quand je doute, je me dis que le mieux est toujours de revenir aux textes eux-mêmes. Choisissez les textes qui vont semblent importants, trouvez pourquoi ils le sont et essayez de faire découvrir cette singularité aux élèves, je crois que l'essentiel sera accompli.
Orlanda a écrit:Tout à fait. On ne se trompe JAMAIS en montrant aux élèves comment le texte est écrit.
Tout le reste n'est pas littérature!
Oui c'est vraiment dur de partir de rien...en tout cas vos conseils sont précieux. Je vais recommencer à zéro.
- SeiGrand Maître
Iphigénie a écrit:Je parle simplement de la façon dont le personnage est "composé" par l'écriture:la place du corps, le réalisme ou l'idéalisme du portrait etc: ça en dit déjà long sur l'histoire du roman, finalement.Aenor a écrit:Iphigénie a écrit:
Il me semble que le problème vient de ce que tu ne limites pas assez tes objectifs: si tu veux te centrer sur le portrait, montre comment évoluent les écritures de portraits. Laisse tomber la condition féminine et les approches historico-sociologique, tout simplement.
Oui je vois ce que tu veut dire, c'est beaucoup trop large...mais pour l'évolution des écritures, est-ce que ça concerne encore le personnage en lui-même ? (même si je crois que je comprend ce que tu veut pointer)
J'ajoute à la liste le point de vue par lequel est décrit le personnage qui peut mille fois plus renseigner sur celui qui regarde que celui qui est regardé et qui peut jusqu'à faire douter de la réalité de la beauté du personnage décrit.
Et une maxime de ma chère Sei Shônagon pour terminer :
"Choses qui perdent à être peintes : Les œillets
Les fleurs de cerisier, de kerrie
Le visage des hommes ou des femmes dont on vante la beauté dans les romans."
- AenorNiveau 1
Bon j'ai une esquisse de quelque chose, avec la problématique : le personnage est-il le reflet du réel ? Quels modèles humains propose-t-il ? Quelles valeurs porte-t-il ?
texte 1 La Princesse de Clèves , le portrait de Mlle de Chartres : une héroïne classique
texte 2: La lettre 81 des Liaisons Dangeureuses où Mme de Mertueil raconte son adolescence ou l'incipit de Jacques Le Fataliste
texte 3 : La description de l'usurier Gobseck dans l'ouvrage de Balzac : le personnage-type
texte 4 : Zola, Germinal, lorsque Etienne devient le "chef incontesté" de la révolte : l'espérance de l’élévation sociale + critique de la société
Lectures complémentaires :
- Le refus du personnage : la position du nouveau roman
- la limite du réalisme : la personnification de la mine chez Zola
texte 1 La Princesse de Clèves , le portrait de Mlle de Chartres : une héroïne classique
texte 2: La lettre 81 des Liaisons Dangeureuses où Mme de Mertueil raconte son adolescence ou l'incipit de Jacques Le Fataliste
texte 3 : La description de l'usurier Gobseck dans l'ouvrage de Balzac : le personnage-type
texte 4 : Zola, Germinal, lorsque Etienne devient le "chef incontesté" de la révolte : l'espérance de l’élévation sociale + critique de la société
Lectures complémentaires :
- Le refus du personnage : la position du nouveau roman
- la limite du réalisme : la personnification de la mine chez Zola
- Bobby-CowenFidèle du forum
Aenor a écrit:Bon j'ai une esquisse de quelque chose, avec la problématique : le personnage est-il le reflet du réel ? Quels modèles humains propose-t-il ? Quelles valeurs porte-t-il ?
texte 1 La Princesse de Clèves , le portrait de Mlle de Chartres : une héroïne classique
texte 2: La lettre 81 des Liaisons Dangeureuses où Mme de Mertueil raconte son adolescence ou l'incipit de Jacques Le Fataliste
texte 3 : La description de l'usurier Gobseck dans le livre éponyme de Balzac : le personnage-type
texte 4 : Zola, Germinal, lorsqu'Etienne devient le "chef incontesté" de la révolte : l'espérance de l’élévation sociale + critique de la société
Lectures complémentaires :
- Le refus du personnage : la position du nouveau roman
- la limite du réalisme : la personnification de la mine chez Zola
Pardon, Aenor, mais c'est le personnage qui donne son nom (en principe), le livre n'est pas éponyme... Et la seule élision du -e final de "presque", c'est dans "presqu'île" (mais les plus connaisseurs préciseront).
Pour le reste, c'est pas mal, comme progression. Je doute cependant que tu aies le temps de faire quatre LA.
- AudreyOracle
Bobby-Cowen a écrit:Aenor a écrit:Bon j'ai une esquisse de quelque chose, avec la problématique : le personnage est-il le reflet du réel ? Quels modèles humains propose-t-il ? Quelles valeurs porte-t-il ?
texte 1 La Princesse de Clèves , le portrait de Mlle de Chartres : une héroïne classique
texte 2: La lettre 81 des Liaisons Dangeureuses où Mme de Mertueil raconte son adolescence ou l'incipit de Jacques Le Fataliste
texte 3 : La description de l'usurier Gobseck dans le livre éponyme de Balzac : le personnage-type
texte 4 : Zola, Germinal, lorsqu'Etienne devient le "chef incontesté" de la révolte : l'espérance de l’élévation sociale + critique de la société
Lectures complémentaires :
- Le refus du personnage : la position du nouveau roman
- la limite du réalisme : la personnification de la mine chez Zola
Pardon, Aenor, mais c'est le personnage qui donne son nom (en principe), le livre n'est pas éponyme... Et la seule élision du -e final de "presque", c'est dans "presqu'île" (mais les plus connaisseurs préciseront).
Pour le reste, c'est pas mal, comme progression. Je doute cependant que tu aies le temps de faire quatre LA.
Aenor a élide "lorsque" non "presque"... ;-)
Pour "presque", c'est clair net précis, on n'élide que devant île. Pour "lorsque", c'est plus souple, mais en théorie pour l'instant à l'écrit (bien que ceci soit en évolution rapide car l'élision se fait couramment à l'oral), on n'élide que devant certains mots. En tout cas, pour le coup, on n'élide pas devant Etienne. ;-)
- hugo64Niveau 6
On m'a également conseillé de commencer par l'OE qui est sorti au bac, dans mon cas, le théâtre.WabiSabi a écrit:Cripure a écrit:Le chronologique, j'en suis revenu. Je commence par l'argumentation, j'enchaîne avec le romantisme et la poésie comme prolongement, je reviens en arrière (je spirale :lol:) avec le théâtre et je finis par un bon Zola, long mais pas très difficile (avec une classe à la peine, je le lis avec eux). La chronologie ? Ben oui, je sais. Mais on n'a pas une chaire d'histoire littéraire, hein...
Merci, j'en prends bonne note. Je vais cependant attendre, matois, de voir quelle est l'orthodoxie de mon tuteur et de nos IPR lyonnais sur la question, au moins cette année. Comme de toute façon je compte commencer par le théâtre, ça ne changera pas grand-chose à mes premières semaines...
- User5899Demi-dieu
On peut espérer que le prof qui présente des textes à ses classes les a déjà lus...nlm76 a écrit:Ce n'est certes pas une erreur. On lit des textes, et on voit ce qu'ils nous disent d'intéressant. Le contraire : vouloir dire quelque chose et chercher ensuite des textes qui prouvent ce qu'on veut dire oblige à ne pas lire les textes.Aenor a écrit:C'est vrai que ma problématique n'est pas très claire...J'ai fait l'erreur d'avoir l'idée des textes avant de formuler une problématique.
- User5899Demi-dieu
C'est la base, en effet. Le littéraire travaille sur l'écriture, c'est son domaine, celui sur lequel il est légitime. Et un personnage n'existe que par l'écriture qui lui donne "vie". Je ne sais d'un personnage que ce qu'on m'en dit et Zola a beau avoir de prétentions scientifiques, il lui est facile de conclure par exemple à un alcoolisme héréditaire quand les preuves sont à inventer par lui et non à établir par l'extérieur.Orlanda a écrit:Tout à fait. On ne se trompe JAMAIS en montrant aux élèves comment le texte est écrit.
Tout le reste n'est pas littérature!
- User5899Demi-dieu
Ne présupposez pas le modèle et laissez les valeurs, qui se définissent très difficilement, sauf chez Valeurs actuellesAenor a écrit:Bon j'ai une esquisse de quelque chose, avec la problématique : le personnage est-il le reflet du réel ? Quels modèles humains propose-t-il ? Quelles valeurs porte-t-il ?
Votre "reflet du réel" vous occupera bien assez.
- User5899Demi-dieu
J'aimerais bien savoir en quoi c'est un avantage, surtout pour étudier une écriture. Nous ne sommes pas professeurs d'images. Travailler sur un film de façon très ponctuelle peut se concevoir, en tout cas se rencontrer, mais c'est chronophage, inexploitable pour un candidat à l'oral ("bah, le film iracontepapareil") et les adaptations ne sont pas au programme, sauf à la imite en L pour les réécritures (jusqu'où un autre langage est une réécriture, on glosera à l'aise ).N-athalie a écrit:Une oeuvre abordable qui a bien marché pour moi et mes élèves il y a trois ans et qui a l'avantage d'avoir été l'objet de deux adaptations cinématographiques
- nitescenceÉrudit
Cripure a écrit:J'aimerais bien savoir en quoi c'est un avantage, surtout pour étudier une écriture. Nous ne sommes pas professeurs d'images. Travailler sur un film de façon très ponctuelle peut se concevoir, en tout cas se rencontrer, mais c'est chronophage, inexploitable pour un candidat à l'oral ("bah, le film iracontepapareil") et les adaptations ne sont pas au programme, sauf à la imite en L pour les réécritures (jusqu'où un autre langage est une réécriture, on glosera à l'aise ).N-athalie a écrit:Une oeuvre abordable qui a bien marché pour moi et mes élèves il y a trois ans et qui a l'avantage d'avoir été l'objet de deux adaptations cinématographiques
Pas plus qu'une mise en scène pour le théâtre... ;-)
_________________
Mordre. Mordre d'abord. Mordre ensuite. Mordre en souriant et sourire en mordant. (avec l'aimable autorisation de Cripure, notre dieu à tous)
- User5899Demi-dieu
N'importe quoinitescence a écrit:Cripure a écrit:J'aimerais bien savoir en quoi c'est un avantage, surtout pour étudier une écriture. Nous ne sommes pas professeurs d'images. Travailler sur un film de façon très ponctuelle peut se concevoir, en tout cas se rencontrer, mais c'est chronophage, inexploitable pour un candidat à l'oral ("bah, le film iracontepapareil") et les adaptations ne sont pas au programme, sauf à la imite en L pour les réécritures (jusqu'où un autre langage est une réécriture, on glosera à l'aise ).N-athalie a écrit:Une oeuvre abordable qui a bien marché pour moi et mes élèves il y a trois ans et qui a l'avantage d'avoir été l'objet de deux adaptations cinématographiques
Pas plus qu'une mise en scène pour le théâtre... ;-)
- CamiyeNiveau 3
Pour ma part avec mes premières L j'avais fait une séquence sur le perso féminin autour de la problématique: Comment a évolué le personnage féminin ? De quelle vision du monde est-il porteur ? Cette séquence comportait 3 LA (extrait de la Princesse de Clèves, des Liaisons dangereuses et de Désert de Le Clézio). En cursive ils avaient lu Carmen de Mérimée et avaient dans l'ensemble vraiment aimé. La séquence était un peu bateau (le portrait, le statut du perso féminin, les focalisations...) mais avait fonctionné.
J'avais ensuite enchaîné sur l'Etranger
J'avais ensuite enchaîné sur l'Etranger
- nitescenceÉrudit
Cripure a écrit:N'importe quoinitescence a écrit:Cripure a écrit:J'aimerais bien savoir en quoi c'est un avantage, surtout pour étudier une écriture. Nous ne sommes pas professeurs d'images. Travailler sur un film de façon très ponctuelle peut se concevoir, en tout cas se rencontrer, mais c'est chronophage, inexploitable pour un candidat à l'oral ("bah, le film iracontepapareil") et les adaptations ne sont pas au programme, sauf à la imite en L pour les réécritures (jusqu'où un autre langage est une réécriture, on glosera à l'aise ).N-athalie a écrit:Une oeuvre abordable qui a bien marché pour moi et mes élèves il y a trois ans et qui a l'avantage d'avoir été l'objet de deux adaptations cinématographiques
Pas plus qu'une mise en scène pour le théâtre... ;-)
c'est pas plus ridicule d'étudier un film qu'une adaptation théâtrale. D'ailleurs on les découvre bien souvent en classe par l'intermédiaire d'un film (c'est même ce que l'on appelle une captation).
De plus, quand chabrol adapte Mme Bovary, il livre une interprétation, ne serait-ce que par le choix des scènes qu'il décide de représenter...
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Mordre. Mordre d'abord. Mordre ensuite. Mordre en souriant et sourire en mordant. (avec l'aimable autorisation de Cripure, notre dieu à tous)
- User5899Demi-dieu
Je te laisse à ton parallèle, que je trouve totalement infondé, pour ne pas dire inquiétant.
- roxanneOracle
Le théâtre est fait pour être représenté et d'ailleurs l'objet d'étude parle bien de représentation et donc c'est intéressant de partir de plusieurs versions des pièces , de voir comment sans changer un seul mot , on peut quasiment changer le sens d'une pièce selon sa mise en scène. Le roman est fait d'abord pour être lu.
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