Re: FO : Nouvelle charrette de licenciements d’enseignants fonctionnaires stagiaires dans l'Académie de Créteil ?

Lefteris a écrit:

Annabel Lee a écrit:Malheureusement, je ne vois aucune piste.
Mon syndicat non plus d'ailleurs.
Lui, prédit que je ne serai pas titularisée en 2016... On veut ma peau.
Peut-être démissionnerai-je après mon congé maternité...
Dire que j'étais si heureuse d'avoir eu le concours classée au premier décile ...

J'ai quand même envoyé un mail demandant si les notes relatives à l'UE seraient annulées l'an prochain...

Non mais il faut te battre, quelle que soit l'issue, et d'autant plus qu'elle paraît désespérée. Si des faits sont faux, il faut recourir, aller au TA, faire valoir l'acharnement...

J'aimerais tant... j'ai déjà abandonné les recours pour le blâme...
Là, c'est plus flagrant, j'étais absente à une validation du second semestre et je n'ai pas signé une autre validation...
J'étais en arrêt de travail.

Annabel Lee je suis de tout coeur avec toi, et je comprends que tu aies envie d'obtenir enfin la paix, mais si tu as brillamment réussi ce concours et que tu as tenu malgré cette année de stage marquée par l'acharnement, tu dois te battre fleurs2

Un autre syndicat ne pourrait pas t'aider ? Il y a bien quelque part quelqu'un qui trouve une issue, non ? pale

Annabel Lee a écrit:

Lefteris a écrit:

Annabel Lee a écrit:Malheureusement, je ne vois aucune piste.
Mon syndicat non plus d'ailleurs.
Lui, prédit que je ne serai pas titularisée en 2016... On veut ma peau.
Peut-être démissionnerai-je après mon congé maternité...
Dire que j'étais si heureuse d'avoir eu le concours classée au premier décile ...

J'ai quand même envoyé un mail demandant si les notes relatives à l'UE seraient annulées l'an prochain...

Non mais il faut te battre, quelle que soit l'issue, et d'autant plus qu'elle paraît désespérée. Si des faits sont faux, il faut recourir, aller au TA, faire valoir l'acharnement...

J'aimerais tant... j'ai déjà abandonné les recours pour le blâme...
Là, c'est plus flagrant, j'étais absente à une validation du second semestre et je n'ai pas signé une autre validation...
J'étais en arrêt de travail.

Mais les syndicats locaux, que font-ils , que tu sois adhérente ou non ? Il y a vraiment un problème , c'est dès le début qu'un ou une ancienne dans ton établissement aurait dû empêcher la mise en route de la machine infernale.

Je suis en contact avec les trois principaux syndicats d'enseignants.
Non, jamais je n'aurais dû avoir de classe à examen dans cette banlieue hostile à tout ce qui n'est pas bleu marine.

Non, jamais le CDE n'aurait dû me refuser l'accès au rapport me concernant.

Oui, le recteur aurait dû tenir compte de mes mains courantes et du climat hostile

Mais voilà.
Nous sommes en juin, je suis sans titularisation possible, frappée d'une sanction, en renouvellement de stage pour l'an prochain, et avec des notes qui ne correspondent à aucun travail.

Annabel Lee a écrit:Je suis en contact avec les trois principaux syndicats d'enseignants.
Non, jamais je n'aurais dû avoir de classe à examen dans cette banlieue hostile à tout ce qui n'est pas bleu marine.

Non, jamais le CDE n'aurait dû me refuser l'accès au rapport me concernant.

Oui, le recteur aurait dû tenir compte de mes mains courantes et du climat hostile

Mais voilà.
Nous sommes en juin, je suis sans titularisation possible, frappée d'une sanction, en renouvellement de stage pour l'an prochain, et avec des notes qui ne correspondent à aucun travail.

C'est faute sur faute, en droit administratif : tout document concernant un fonctionnaire, et a fortiori susceptible de faire grief, doit être porté à la connaissance du fonctionnaire, qui doit pouvoir réagir. Pour les incidents , il s'agit d'un dysfonctionnement grave qui engage la responsabilité de la chaîne hiérarchique? c'st à partir de là que ça dérape. Ensuite, si ça passe, le jeu de la mécanique se met en marche... Ceci dit, les erreurs matérielles et erreurs de fait comme occulter des pièces ou au contraire en produire qui n'existent pas (quand ce n'est pas de la forfaiture) sont encore attaquables.

Honchamp a écrit:Vous faites peur ! Je connais au moins 5 jeunes qui passent les oraux de concours et seront, si admis, à Paris-Créteil-Versailles, et à l'ESPE de Paris pour le M2...
Finalement, il faut leur dire de ne pas fêter leur CAPES ou leur CRPE au moment où ils sont admis, mais d'attendre un an, et la titularisation.
En clair, une fois admis, et stagiaire, le chemin de croix commence.

Mais je ne mets pas en cause vos témoignages, hélas !

On peut fêter deux fois Wink

Et puis attention.
1. L'article initial associe la situation de collègues du primaire et du secondaire.
2. Tes connaissances auront aussi de (très) bons formateurs, il y en a à Versailles. Créteil je ne sais pas, mais il suffit de demander à ceux qui y sont passés ces dernières années.
3. Si l'ESPE est fidèle à l'IUFM que j'ai connu, oui, double raison pour attendre de faire la fête. Certains pédagogues manquent cruellement de pédagogie et de sens de la nuance... Et parallèlement, c'est le monde du travail, avec des aspects qui nécessitent parfois de savoir laisser couler et parfois de savoir dire non si on en a les moyens.
4. Ce n'est pas le moment de paniquer tes connaissances qui ont encore besoin de calme en pleins oraux et dans l'attente des résultats... Razz

Marie Laetitia a écrit:

Honchamp a écrit:Vous faites peur ! Je connais au moins 5 jeunes qui passent les oraux de concours et seront, si admis, à Paris-Créteil-Versailles, et à l'ESPE de Paris pour le M2...
Finalement, il faut leur dire de ne pas fêter leur CAPES ou leur CRPE au moment où ils sont admis, mais d'attendre un an, et la titularisation.
En clair, une fois admis, et stagiaire, le chemin de croix commence.

Mais je ne mets pas en cause vos témoignages, hélas !

On peut fêter deux fois

Et puis attention.
1. L'article initial associe la situation de collègues du primaire et du secondaire.
2. Tes connaissances auront aussi de (très) bons formateurs, il y en a à Versailles. Créteil je ne sais pas, mais il suffit de demander à ceux qui y sont passés ces dernières années.
3. Si l'ESPE est fidèle à l'IUFM que j'ai connu, oui, double raison pour attendre de faire la fête. Certains pédagogues manquent cruellement de pédagogie et de sens de la nuance... Et parallèlement, c'est le monde du travail, avec des aspects qui nécessitent parfois de savoir laisser couler et parfois de savoir dire non si on en a les moyens.
4. Ce n'est pas le moment de paniquer tes connaissances qui ont encore besoin de calme en pleins oraux et dans l'attente des résultats...

Les seuls "bons" , ou presque, ce sont les formateurs "associés", occasionnels donc, pas trop dogmatiques... Pour ma part, venant de l'extérieur, j'ai laissé dire, je m'en foutais , et j'avais bien assez de soucis avec le conflit de reclassement. Juste un incident à la "soutenance" du mémoire, parce que j'avais été un peu sarcastique sur le comportement des élèves. J'avais déjà mesuré que l'humour n'était pas à la mode chez des gens qui se croient détenteurs de la vérité pédagogique ultime et imbus de la grandeur de leur mission messianique, mais pas à ce point.

L'année de stage, c'est clairement un enfer! Et en plus ils font bien durer le stress puisqu'au 26 juin, je n'ai toujours aucune idée de mes chances d'être titularisée...

Marie Laetitia a écrit:

Honchamp a écrit:Vous faites peur ! Je connais au moins 5 jeunes qui passent les oraux de concours et seront, si admis, à Paris-Créteil-Versailles, et à l'ESPE de Paris pour le M2...
Finalement, il faut leur dire de ne pas fêter leur CAPES ou leur CRPE au moment où ils sont admis, mais d'attendre un an, et la titularisation.
En clair, une fois admis, et stagiaire, le chemin de croix commence.

Mais je ne mets pas en cause vos témoignages, hélas !

On peut fêter deux fois

4. Ce n'est pas le moment de paniquer tes connaissances qui ont encore besoin de calme en pleins oraux et dans l'attente des résultats...

Non, non, je ne joue pas ou je ne jouerai pas les mauvais oracles ! Smile

@ Annabel Lee : Tu as fait quoi pour qu'on s'acharne comme ça sur toi :shock: ? Tu as tué un élève?

Annabel Lee a écrit:

Celadon a écrit:Parti comme tu étais, s'ils ne t'avaient pas titularisé, ils auraient entendu parler de toi, je suppose...
Mais ils savent très bien qu'il est hors de question de ne pas titulariser celui qui a les moyens de se défendre.

C'est peut-être sur cet aspect des choses que je souhaite me défendre.
Je viens de recevoir un mail de mon directeur de mémoire qui tente de me faire renoncer à la soutenance in extremis ces prochains jours, et qui tente de me faire plier en raison de mon état( je suis enceinte).

Courage! Et oui, il faut aller au T.A! :aah:

Oui c'est le seul truc qui les fasse un brin flipper et il faut vraiment ruer dans les brancards. Ce qui m'épate, c'est qu'il n'y ait pas une cellule juridique d'un syndicat quelconque qui vous épaule pour ce faire après tout ce que vous avez subi.

C'est un scandale. L'ESPE ne devrait pas primer sur les inspecteurs. Surtout quand on voit le ramassis d'incompétents qui compose ces "écoles supérieures"...

L'ESPE en fait c'est une sacré carte de visite. Quand je vois ça, je sais tout de suite que j'ai affaire un commissaire politique.

Honchamp a écrit:Vous faites peur ! Je connais au moins 5 jeunes qui passent les oraux de concours et seront, si admis, à Paris-Créteil-Versailles, et à l'ESPE de Paris pour le M2...
Finalement, il faut leur dire de ne pas fêter leur CAPES ou leur CRPE au moment où ils sont admis, mais d'attendre un an, et la titularisation.
En clair, une fois admis, et stagiaire, le chemin de croix commence.

Mais je ne mets pas en cause vos témoignages, hélas !

ouais , vaut mieux attendre

Ronin a écrit:L'ESPE en fait c'est une sacré carte de visite. Quand je vois ça, je sais tout de suite que j'ai affaire un commissaire politique.

c'est exactement ce que j'ai ressenti (et encore j'ai eu la "chance" d'avoir droit à la version light : 1 jour de formation par semaine l'année de stage avec les gens de l'iufm (à l'époque) ... je crois que je n'aurai pas la force d'affronter la version espe où leur poids est encore plus lourd

dans le genre ici , on a eu au mouvement la nomination d'un PES .... qui ne sera pas validé a-t-on dit à notre directeur et ne viendra donc pas .... sauf que le principal intéressé l'ignore, a pris contact, attend une réponse .... ce qui nous met très mal à l'aise nous ....

Annabel Lee a écrit:Je suis en contact avec les trois principaux syndicats d'enseignants.
Non, jamais je n'aurais dû avoir de classe à examen dans cette banlieue hostile à tout ce qui n'est pas bleu marine.

Non, jamais le CDE n'aurait dû me refuser l'accès au rapport me concernant.

Oui, le recteur aurait dû tenir compte de mes mains courantes et du climat hostile

Mais voilà.
Nous sommes en juin, je suis sans titularisation possible, frappée d'une sanction, en renouvellement de stage pour l'an prochain, et avec des notes qui ne correspondent à aucun travail.

Il faut aller au TA.

Et exiger un changement d'académie pour ton second stage, compte-tenu des a priori négatifs qui courent sur toi.

Salut,

Annabel Lee a écrit:Dossier trop lourd.
Mon CDE a passé l'année à écrire des pages et des pages sur moi.

Pareil que les autres : l’éducation nationale n’est une zone de non droit que parce que les gens ne recourent pas à la justice. En plus, si tu considères que c’est foutu, aucune raison de leur faire la même fleur que ceux qui font profil bas pour ne pas mettre en péril leur titularisation. Au passage, j’ai une amie qui avait eu un dossier tellement pourri que quand elle avait commencé à mordre, ils avaient cédé, elle avait été titularisée.

Tu as visiblement des tas d’éléments, on t’a envoyé des mails, tu as peut-être des témoignages, et si ton CDE a écrit des pages et des pages, si ton dossier est lourd, il y a probablement des éléments qui peuvent être utilisés à charge contre eux. Pour le recours contre la sanction, c’est définitivement trop tard ?

Dinosaura a écrit:Il y a 5 ans, à la fin de ma 1ère année de stage (car j'ai été prolongée, suite à un congé maternité), j'ai été convoquée par les 2 directrices de l'IUFM de Créteil.
Verdict : les rapports négatifs étaient négatifs ; les rapports positifs étaient négatifs. Bah oui, en fait, c'est moi qui savais pas décrypter la langue de bois euphémisée desdits rapports. Je suis sortie de cet entretien (que j'aurais cru au départ mesuré et équitable) complètement dévastée.

C'est finalement l'inspecteur, quelques mois plus tard (à la fin de la prolongation), qui m'a sauvé la mise.

Mais autant dire que je garde depuis une haine tenace contre ces ronds-de-cuir jaloux de leur petit pouvoir et de leurs prébendes, et qui en vérité contribuent puissamment à la fuite du métier (mais de cela, ils n'ont cure). Car l'année de stage s'avère en fait bien pire que l'année du concours, tant les stagiaires sont infantilisés, soumis à l'obéissance et réduits au silence, avec à la clé le chantage de la non-titularisation pour des gens qui ont trimé au préalable 5 ans pour décrocher le concours. Ainsi, le premier vrai contact que les néo-profs ont avec leur employeur c'est cet univers kafkaïen, peuplé de névrosés pervers et de tartuffes arrivistes, où l'on prône la soumission et la contrition permanentes... de quoi donner envie de faire ce métier pendant 40 ans ensuite

Je souscris à cette analyse.

Et je réagis à l'article initial :
Quel scandale !!

Daphné a écrit:

Venus_noire88 a écrit:Je propose qu'on fasse une expérience type "patron incognito" où on colle des inspecteurs et des formateurs devant des classes difficiles du 93 : encore mieux, on y met notre Ministre chérie!

Ça fait un moment que j'en rêve !

Où sont d'ailleurs "placés" ses enfants ?

Lefteris a écrit:

Honchamp a écrit:Vous faites peur ! Je connais au moins 5 jeunes qui passent les oraux de concours et seront, si admis, à Paris-Créteil-Versailles, et à l'ESPE de Paris pour le M2...
Finalement, il faut leur dire de ne pas fêter leur CAPES ou leur CRPE au moment où ils sont admis, mais d'attendre un an, et la titularisation.
En clair, une fois admis, et stagiaire, le chemin de croix commence.

Mais je ne mets pas en cause vos témoignages, hélas !

J'essaie d'analyser comment on est arrivé là, et je me dis que c'st le cauchemar pédagogiste qui se met en place. C'est à mon avis un changement total de perspective, qui va dans le sens des gens qui veulent détruire les concours et embaucher à l'essai , arguant de cette idée (éminemment fausse et hypocrite ) que le concours "valide" une deuxième fois ce que la fac a validé.
Plus le concours était difficile, moins on emm... dait les stagiaires, estimant qu'un bon enseignant est avant tout un spécialiste compétent de sa discipline, et que l'expérience l'aidera à la faire passer. Il paraît que fut un temps, les agrégés étaient même titularisés d'office, c e qui est symbolique d'un état d'esprit.

[...]

Ce qui n'était pas une bonne idée car agrégé ne veut pas dire plus efficace qu'un certifié. Par contre je te suis sur tout le reste.

Dernières nouvelles de l'ESPE :
" 1- si vous êtes en renouvellement avec le MEEF acquis, vous serez encore à mi-temps avec obligation de suivre un parcours adapté, incluant notamment l'accompagnement du stage.
2- Un redoublement pour 2015-2016 avec demande d’information sur les points suivants:
- dispense de suivi de l'intégralité des cours dispensés à l'ESPE exceptés ceux relatifs au mémoire (si, bien sûr, je n'ai que le mémoire à valider). Nous n’avons pas à ce sujet d’informations officielles mais vous risquez d’avoir quelques compléments demandés.
"

Donc, d'après l'ESPE, ça ne sert à rien d vouloir valider le master MEEF 2ème année, puisqu'on va encore me demander de suivre des enseignements en parcours adapté...

Dimka a écrit:Salut,

Annabel Lee a écrit:Dossier trop lourd.
Mon CDE a passé l'année à écrire des pages et des pages sur moi.

Pareil que les autres : l’éducation nationale n’est une zone de non droit que parce que les gens ne recourent pas à la justice. En plus, si tu considères que c’est foutu, aucune raison de leur faire la même fleur que ceux qui font profil bas pour ne pas mettre en péril leur titularisation. Au passage, j’ai une amie qui avait eu un dossier tellement pourri que quand elle avait commencé à mordre, ils avaient cédé, elle avait été titularisée.

Tu as visiblement des tas d’éléments, on t’a envoyé des mails, tu as peut-être des témoignages, et si ton CDE a écrit des pages et des pages, si ton dossier est lourd, il y a probablement des éléments qui peuvent être utilisés à charge contre eux. Pour le recours contre la sanction, c’est définitivement trop tard ?

Oui, c'est trop tard.

ycombe a écrit:

Annabel Lee a écrit:Je suis en contact avec les trois principaux syndicats d'enseignants.
Non, jamais je n'aurais dû avoir de classe à examen dans cette banlieue hostile à tout ce qui n'est pas bleu marine.

Non, jamais le CDE n'aurait dû me refuser l'accès au rapport me concernant.

Oui, le recteur aurait dû tenir compte de mes mains courantes et du climat hostile

Mais voilà.
Nous sommes en juin, je suis sans titularisation possible, frappée d'une sanction, en renouvellement de stage pour l'an prochain, et avec des notes qui ne correspondent à aucun travail.

Il faut aller au TA.

Et exiger un changement d'académie pour ton second stage, compte-tenu des a priori négatifs qui courent sur toi.

Est-ce qu'aller au TA à ce moment de mon parcours est envisageable ?
Je crois même que changer d'académie n'est pas possible en cours de master.

Dommage, car ce serait là la meilleure solution.
Une maison en province m'attend, sans loyer ni crédit. Et je pourrais y mettre au monde mon enfant...

Y'a un syndicaliste de haut vol dans le coin ? A l'aide !

Valide ton master alors. Comme ça tu peux demander le changement.

Ton histoire renforce l'opinion de Pedro Cordoba, selon lequel le meilleur plan pour les candidat est de faire un master-recherche avant de passer le concours.

Le master-recherche suffit à remplir les conditions de titularisation, on ne peut pas exiger un master MEEF. On oblige les candidats à suivre une formation àl'ESPE mais on ne peut pas faire de leur validation une condition de leur titularisation.