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- CleroliDoyen
Germini, as-tu pu trouver une solution ?
- InvitéInvité
Cripure a écrit:Ça c'est drôle et c'est à prôner ! Là je suis 100% d'accord avec vous et à vos côtés pour vous défendre.trompettemarine a écrit:Si mes voeux de surveillance n'avaient pas été respectés, j'emmenais ma fille (7 ans) et je la laissais dans le bureau du proviseur adjoint, histoire qu'il comprenne !
Vous savez, les rectorats convoquent de plus en plus tard, et du coup, ces retards se répercutent sur la chaîne entière, et les PA sont obligés de bricoler les plannings de surveillance au dernier moment.
D'aucuns disent que tout ça est organisé pour que chacun en ayant marre, la suppression du bac soit approuvée sinon applaudie...
Je n'en suis pas sûr du tout, chez moi c'est plutôt réduction de postes, abus des contractuels, beaucoup de mi-temps dans les services. Je doute que l'EN ait le temps et la volonté politique d'organiser ce genre de carences. En plus ce ne serait guère discret. Je crois que c'est simplement le b... , la pagaille. Ce n'est pas non plus très rassurant sur l'état du système. Par contre que ça puisse faire un argument de justification, c'est sûr.
- User20401Vénérable
J'ai posé une question juste au dessusCripure a écrit:Ce n'est quand même pas une surprise que les surveillances se font sans rapport avec l'edt de l'année, ne serait-ce qu'à cause des convocations diverses des uns et des autres ! On dirait que les gens découvrent la teneur de leur job au fur et à mesure !Cicyle a écrit:Oui, mais sur son EDT, qu'elle connaît depuis le début de l'année scolaire. Une réelle difficulté se pose si les surveillances sont hors de ses horaires théoriques de cours... Ceci dit, je suis d'accord que par respect pour les candidats, il faut vraiment trouver une autre solution.
Et ouais, je suis stagiaire, donc je découvre des trucs (un peu le but d'une année de stage...).
Et sérieusement, Cripure, faut se calmer un peu. Va prendre une tisane, ça te détendra.
- DaphnéDemi-dieu
Cicyle a écrit:J'ai posé une question juste au dessusCripure a écrit:Ce n'est quand même pas une surprise que les surveillances se font sans rapport avec l'edt de l'année, ne serait-ce qu'à cause des convocations diverses des uns et des autres ! On dirait que les gens découvrent la teneur de leur job au fur et à mesure !Cicyle a écrit:Oui, mais sur son EDT, qu'elle connaît depuis le début de l'année scolaire. Une réelle difficulté se pose si les surveillances sont hors de ses horaires théoriques de cours... Ceci dit, je suis d'accord que par respect pour les candidats, il faut vraiment trouver une autre solution.
Et ouais, je suis stagiaire, donc je découvre des trucs (un peu le but d'une année de stage...).
Et sérieusement, Cripure, faut se calmer un peu. Va prendre une tisane, ça te détendra.
Cripure faisait juste remarquer - comme je l'ai également fait un peu plus haut - que, comme chaque année, une fois l'arrêt des cours pour passer les épreuves d'examen, l'EDT n'a plus de valeur puisque nous n'avons plus cours et qu'on peut être convoqué pour surveiller - corriger - interroger - être de secrétariat hors de notre créneau habituel !
Aucun énervement dans ces propos, juste un rappel à la règle et l'habitude.
Alors qu'un stagiaire découvre, c'est une chose, mais une collègue déjà dans le métier c'est différent.
- AlexisPNiveau 5
Hors des créneaux, est ce que cela signifie à la hauteur de ces créneaux ? Par exemple faire plus d'heures de surveillance que l'on en fait en temps normal pendant l'année (sur une semaine) ?
On est payé pour une certaine quantité de travail, on peut se plaindre des modalités propres à la fin de l'année et quand même pouvoir les excuser en réfléchissant plus globalement. En revanche, faire plus d'heures pour le même salaire est injuste.
On est payé pour une certaine quantité de travail, on peut se plaindre des modalités propres à la fin de l'année et quand même pouvoir les excuser en réfléchissant plus globalement. En revanche, faire plus d'heures pour le même salaire est injuste.
- ProvençalLeGauloisExpert
Je vais encore me faire huer mais on ne peut pas argumenter à longueur d'année qu'une heure de cours représente plus d'une heure réelle de travail (ce qui est vrai) et prétendre en juin qu'une heure de surveillance représente la même quantité de travail qu'une heure de cours et que c'est intolérable ou injuste de devoir surveiller les épreuves OFFICIELLES des examens sur une plage horaire plus élevée.
La surveillance de ces examens fait partie des obligations de service des professeurs et si vous êtes convoqué pour les surveiller, vous devez y aller, sauf si vous vous déclarez gréviste pour les jours prévus par les préavis (mais il me semble que ça ne concerne que le brevet).
La surveillance de ces examens fait partie des obligations de service des professeurs et si vous êtes convoqué pour les surveiller, vous devez y aller, sauf si vous vous déclarez gréviste pour les jours prévus par les préavis (mais il me semble que ça ne concerne que le brevet).
- AlexisPNiveau 5
Ce que tu dis semble s'adresser à ceux qui "argumentent à longueur d'année qu'une heure de cours représente plus d'une heure réelle de travail". Je ne le considère pas. Que faudrait-il rajouter ? Dire qu'une heure de cours est plus "épuisante" qu'une heure de surveillance et que par conséquent elle "représente" plus ? Nous sommes payés à la quantité de travail et non à la qualité, on peut imaginer un enseignant dont la nonchalance durant ses heures de cours rivaliserait avec la passivité des surveillances les plus calmes.
- ProvençalLeGauloisExpert
Une heure de cours représente plus qu'une heure de travail parce qu'il faut d'abord la préparer et que ce temps de préparation a été pris en compte, sinon le service d'un professeur ne serait pas de 15 à 18h par semaine.
Mais je ne vous apprends rien, si ?
Les surveillances et les corrections d'examens font partie des obligations de service des enseignants, donc oui, vous êtes payés pour.
Mais je ne vous apprends rien, si ?
Les surveillances et les corrections d'examens font partie des obligations de service des enseignants, donc oui, vous êtes payés pour.
- DaphnéDemi-dieu
On répond aux convocations qui nous sont adressées; hors EDT.
- AlexisPNiveau 5
Qu'en amont il doive y avoir du travail de fait pour qu'une heure de cours normale ait lieu, je suis d'accord. Mais là encore, je ne considère pas que cela soit lié systématiquement à l'heure de travail. On prépare des séquences ou des leçons, on ne calcule pas le temps que l'on met à faire cette préparation ni le temps que l'on va passer à les "faire" en cours. Et puis les années passant, l'intensité de la préparation peut se faire moins ressentir, on peut encore imaginer ici un enseignant qui aurait suffisamment d'automatismes pour ne plus avoir à préparer ses heures de cours (même si ce n'est pas souhaitable). Là encore il y a une zone floue qui fait que l'on ne peut pas affirmer avec certitude qu'une heure de cours faite est supérieure à une heure de surveillance. Tout simplement parce que l'on ne sait pas vraiment ce que l'on mesure.
En revanche on sait ceci : on est souvent mieux chez soi qu'en établissement, on aime avoir une main mise sur notre emploi du temps (corriger tant de copies aujourd'hui ? Plus tard ? Préparer du cours maintenant ou ce soir ?) Et par conséquent, formellement, les heures de cours sont équivalentes à des heures de surveillance : ce sont autant de convocations.
@ Daphné : Dans quelles limites ?
En revanche on sait ceci : on est souvent mieux chez soi qu'en établissement, on aime avoir une main mise sur notre emploi du temps (corriger tant de copies aujourd'hui ? Plus tard ? Préparer du cours maintenant ou ce soir ?) Et par conséquent, formellement, les heures de cours sont équivalentes à des heures de surveillance : ce sont autant de convocations.
@ Daphné : Dans quelles limites ?
- Touche pas à ma SEGPANiveau 9
Mhm, toi, tu n'as jamais été TZR en enchaînant les remplacements courts avec des niveaux inconnus jusqu'à lors, exigeant de préparer en 48h des cours complètement nouveaux... Sans parler des changements de programmes...AlexisP a écrit:Qu'en amont il doive y avoir du travail de fait pour qu'une heure de cours normale ait lieu, je suis d'accord. Mais là encore, je ne considère pas que cela soit lié systématiquement à l'heure de travail. On prépare des séquences ou des leçons, on ne calcule pas le temps que l'on met à faire cette préparation ni le temps que l'on va passer à les "faire" en cours. Et puis les années passant, l'intensité de la préparation peut se faire moins ressentir, on peut encore imaginer ici un enseignant qui aurait suffisamment d'automatismes pour ne plus avoir à préparer ses heures de cours (même si ce n'est pas souhaitable). Là encore il y a une zone floue qui fait que l'on ne peut pas affirmer avec certitude qu'une heure de cours faite est supérieure à une heure de surveillance. Tout simplement parce que l'on ne sait pas vraiment ce que l'on mesure.
En revanche on sait ceci : on est souvent mieux chez soi qu'en établissement, on aime avoir une main mise sur notre emploi du temps (corriger tant de copies aujourd'hui ? Plus tard ? Préparer du cours maintenant ou ce soir ?) Et par conséquent, formellement, les heures de cours sont équivalentes à des heures de surveillance : ce sont autant de convocations.
@ Daphné : Dans quelles limites ?
Cette affirmation selon laquelle la préparation de cours disparait (ou presque) au bout de quelques années m'a toujours paru être une légende urbaine.
- AlexisPNiveau 5
En tout cas, j'aurais peut être dû spécifier que je parlais avec ma discipline en tête dont le programme est stable et les niveaux, uniques.
- User20401Vénérable
Certes, mais c'est moi qu'il citait, et non l'autre intervention... Quant à mes interrogations, elles portent davantage sur un éventuel délai à respecter pour nous prévenir ou non. En gros, est ce qu'on prévient toujours 24h/48h/3j/que-sais-je en avance ou est ce qu'on doit être sur le pied de guerre du lundi au vendredi de 7h30 à 18h pendant les 3 semaines que dure le bac... C'est tout...Daphné a écrit:Cicyle a écrit:J'ai posé une question juste au dessusCripure a écrit:
Ce n'est quand même pas une surprise que les surveillances se font sans rapport avec l'edt de l'année, ne serait-ce qu'à cause des convocations diverses des uns et des autres ! On dirait que les gens découvrent la teneur de leur job au fur et à mesure !
Et ouais, je suis stagiaire, donc je découvre des trucs (un peu le but d'une année de stage...).
Et sérieusement, Cripure, faut se calmer un peu. Va prendre une tisane, ça te détendra.
Cripure faisait juste remarquer - comme je l'ai également fait un peu plus haut - que, comme chaque année, une fois l'arrêt des cours pour passer les épreuves d'examen, l'EDT n'a plus de valeur puisque nous n'avons plus cours et qu'on peut être convoqué pour surveiller - corriger - interroger - être de secrétariat hors de notre créneau habituel !
Aucun énervement dans ces propos, juste un rappel à la règle et l'habitude.
Alors qu'un stagiaire découvre, c'est une chose, mais une collègue déjà dans le métier c'est différent.
Je précise que je suis convoquée hors EDT et que je fais bien plus que mes heures de cours, et que je ne trouve pas ça anormal, mais j'ai été prévenue 15 jours avant (ce qui m'a laissé du temps pour m'organiser).
- celitianSage
ProvençalLeGaulois a écrit:Je vais encore me faire huer mais on ne peut pas argumenter à longueur d'année qu'une heure de cours représente plus d'une heure réelle de travail (ce qui est vrai) et prétendre en juin qu'une heure de surveillance représente la même quantité de travail qu'une heure de cours et que c'est intolérable ou injuste de devoir surveiller les épreuves OFFICIELLES des examens sur une plage horaire plus élevée.
La surveillance de ces examens fait partie des obligations de service des professeurs et si vous êtes convoqué pour les surveiller, vous devez y aller, sauf si vous vous déclarez gréviste pour les jours prévus par les préavis (mais il me semble que ça ne concerne que le brevet).
Mais le problème au départ ne concerne pas le nombre de surveillances, ni le hors EDT mais tout simplement le fait d'être prévenu à l'avance, les dates d'examen sont connus depuis longtemps et attendre la dernière minute pour convoquer les enseignants n'est pas acceptable, surtout si ce sont sur des plages horaires de non-présence dans l'établissement.
Cela a déjà été dit mais je trouve hallucinant de trouver ce manque de considération normal. Nous organisons notre temps de non-présence comme nous le souhaitons et, par exemple, lorsque j'étais à temps partiel mon enfant n'allait pas à la garderie pendant mes heures hors EDT (ce qui me permettait de faire des économies tout en travaillant à la maison) et, dans la crêche où il était, il fallait obligatoirement prévenir au minimum 1 semaine à l'avance pour avoir une place.
Dans mon établissement, j'ai également des collègues qui donnent des cours dans d'autres établissements, une qui est en auto-entrepreneur avec des RDV.....
- CleroliDoyen
+ 1celitian a écrit:
Cela a déjà été dit mais je trouve hallucinant de trouver ce manque de considération normal. Nous organisons notre temps de non-présence comme nous le souhaitons et, par exemple, lorsque j'étais à temps partiel mon enfant n'allait pas à la garderie pendant mes heures hors EDT (ce qui me permettait de faire des économies tout en travaillant à la maison) et, dans la crêche où il était, il fallait obligatoirement prévenir au minimum 1 semaine à l'avance pour avoir une place.
- DaphnéDemi-dieu
Touche pas à ma SEGPA a écrit:Mhm, toi, tu n'as jamais été TZR en enchaînant les remplacements courts avec des niveaux inconnus jusqu'à lors, exigeant de préparer en 48h des cours complètement nouveaux... Sans parler des changements de programmes...AlexisP a écrit:Qu'en amont il doive y avoir du travail de fait pour qu'une heure de cours normale ait lieu, je suis d'accord. Mais là encore, je ne considère pas que cela soit lié systématiquement à l'heure de travail. On prépare des séquences ou des leçons, on ne calcule pas le temps que l'on met à faire cette préparation ni le temps que l'on va passer à les "faire" en cours. Et puis les années passant, l'intensité de la préparation peut se faire moins ressentir, on peut encore imaginer ici un enseignant qui aurait suffisamment d'automatismes pour ne plus avoir à préparer ses heures de cours (même si ce n'est pas souhaitable). Là encore il y a une zone floue qui fait que l'on ne peut pas affirmer avec certitude qu'une heure de cours faite est supérieure à une heure de surveillance. Tout simplement parce que l'on ne sait pas vraiment ce que l'on mesure.
En revanche on sait ceci : on est souvent mieux chez soi qu'en établissement, on aime avoir une main mise sur notre emploi du temps (corriger tant de copies aujourd'hui ? Plus tard ? Préparer du cours maintenant ou ce soir ?) Et par conséquent, formellement, les heures de cours sont équivalentes à des heures de surveillance : ce sont autant de convocations.
@ Daphné : Dans quelles limites ?
Cette affirmation selon laquelle la préparation de cours disparait (ou presque) au bout de quelques années m'a toujours paru être une légende urbaine.
Et comment ! Entre les changements de programme, les différents niveaux d'élèves - on peut ne pas faire exactement la même chose dans deux classes parallèles - et les corrections, une heure de cours nous occupe largement.
- DaphnéDemi-dieu
celitian a écrit:ProvençalLeGaulois a écrit:Je vais encore me faire huer mais on ne peut pas argumenter à longueur d'année qu'une heure de cours représente plus d'une heure réelle de travail (ce qui est vrai) et prétendre en juin qu'une heure de surveillance représente la même quantité de travail qu'une heure de cours et que c'est intolérable ou injuste de devoir surveiller les épreuves OFFICIELLES des examens sur une plage horaire plus élevée.
La surveillance de ces examens fait partie des obligations de service des professeurs et si vous êtes convoqué pour les surveiller, vous devez y aller, sauf si vous vous déclarez gréviste pour les jours prévus par les préavis (mais il me semble que ça ne concerne que le brevet).
Mais le problème au départ ne concerne pas le nombre de surveillances, ni le hors EDT mais tout simplement le fait d'être prévenu à l'avance, les dates d'examen sont connus depuis longtemps et attendre la dernière minute pour convoquer les enseignants n'est pas acceptable, surtout si ce sont sur des plages horaires de non-présence dans l'établissement.
Cela a déjà été dit mais je trouve hallucinant de trouver ce manque de considération normal. Nous organisons notre temps de non-présence comme nous le souhaitons et, par exemple, lorsque j'étais à temps partiel mon enfant n'allait pas à la garderie pendant mes heures hors EDT (ce qui me permettait de faire des économies tout en travaillant à la maison) et, dans la crêche où il était, il fallait obligatoirement prévenir au minimum 1 semaine à l'avance pour avoir une place.
Dans mon établissement, j'ai également des collègues qui donnent des cours dans d'autres établissements, une qui est en auto-entrepreneur avec des RDV.....
Ce n'est pas un manque de considération, c'est de la gestion à flux tendu !
Des professeurs de collège corrigent le bac.
Il faut savoir que pendant la période des examens, notre EDT saute : ça on le sait depuis le 1er septembre. Donc faire en sorte de pouvoir être disponible est quand même prévisible.
On peut être convoqué en remplacement pour le bac, pour une surveillance, suite à des convocations autres de certains collègues, à des désistements non prévisibles etc..........
Cette organisation est énorme pour l'administration, il faut prendre en compte pas mal de paramètres.
- celitianSage
Daphné a écrit:Ce n'est pas un manque de considération, c'est de la gestion à flux tendu !
Des professeurs de collège corrigent le bac.
Il faut savoir que pendant la période des examens, notre EDT saute : ça on le sait depuis le 1er septembre. Donc faire en sorte de pouvoir être disponible est quand même prévisible.
On peut être convoqué en remplacement pour le bac, pour une surveillance, suite à des convocations autres de certains collègues, à des désistements non prévisibles etc..........
Cette organisation est énorme pour l'administration, il faut prendre en compte pas mal de paramètres.
On ne parle pas de corrections mais de surveillances organisées à l'interne par le PA qui connait les dates des examens depuis bien longtemps.
Et l'EDT ne saute pas dans tous les établissements, chez nous les 1ères et les 2ndes ont encore cours.
Et dans tous les établissements où je suis passée, les PA organisés n'avaient aucune difficulté à prévenir à l'avance.
De plus, pour les remplacements de dernière minute, j'ai toujours connu des plannings avec des professeur de réserve justement au cas où. Après à la marge OK pour être prévenu au dernier moment, mais lorsque c'est tout le temps comme dans mon établissement c'est non.
- CleroliDoyen
Dans mon lycée, il y a plusieurs types de convocation : surveillance dans une salle, de couloir (qui peut se transformer en surveillance dans une salle car il y a 2 profs de couloir) ou encore de réserve pour telle ou telle épreuve. Cette marge permet à l'administration de faire face aux aléas de dernière minute et à chaque prof de gérer son edt (sachant que les convocs sont distribuées plus de 15 jours avant la 1ère épreuve). J'ai toujours connu cette organisation dans tous les lycées dans lesquels je suis passée (de grosses structures comme de petites).Daphné a écrit:Il faut savoir que pendant la période des examens, notre EDT saute : ça on le sait depuis le 1er septembre. Donc faire en sorte de pouvoir être disponible est quand même prévisible.
On peut être convoqué en remplacement pour le bac, pour une surveillance, suite à des convocations autres de certains collègues, à des désistements non prévisibles etc..........
Cette organisation est énorme pour l'administration, il faut prendre en compte pas mal de paramètres.
- Touche pas à ma SEGPANiveau 9
Une grande chance que n'ont pas la majorité des collègues des autres disciplines.AlexisP a écrit:En tout cas, j'aurais peut être dû spécifier que je parlais avec ma discipline en tête dont le programme est stable et les niveaux, uniques.
Effectivement, la précision est grandement nécessaire...
- User5899Demi-dieu
Ah parce que là, je suis énervé ?Cicyle a écrit:J'ai posé une question juste au dessusCripure a écrit:Ce n'est quand même pas une surprise que les surveillances se font sans rapport avec l'edt de l'année, ne serait-ce qu'à cause des convocations diverses des uns et des autres ! On dirait que les gens découvrent la teneur de leur job au fur et à mesure !Cicyle a écrit:Oui, mais sur son EDT, qu'elle connaît depuis le début de l'année scolaire. Une réelle difficulté se pose si les surveillances sont hors de ses horaires théoriques de cours... Ceci dit, je suis d'accord que par respect pour les candidats, il faut vraiment trouver une autre solution.
Et ouais, je suis stagiaire, donc je découvre des trucs (un peu le but d'une année de stage...).
Et sérieusement, Cripure, faut se calmer un peu. Va prendre une tisane, ça te détendra.
Hé bé...
Je vous souhaite de ne jamais tomber que sur des énervés comme moi...
Et sinon, stagiaire, c'est pas forcément le gus/la fille qui sort de l'oeuf. On en connaît même qui s'intéressent un peu à l'avance à ce qui les concerne.
- User5899Demi-dieu
La durée de travail en France est de 35h/semaine. L'heure de cours est comptabilisée de telle sorte qu'elle englobe préparations et corrections. Quand il n'y a plus cours, je suis sûr qu'aucun tribunal ne vous accorderait aucune augmentation en-deçà de 35h/semaine.AlexisP a écrit:Hors des créneaux, est ce que cela signifie à la hauteur de ces créneaux ? Par exemple faire plus d'heures de surveillance que l'on en fait en temps normal pendant l'année (sur une semaine) ?
On est payé pour une certaine quantité de travail, on peut se plaindre des modalités propres à la fin de l'année et quand même pouvoir les excuser en réfléchissant plus globalement. En revanche, faire plus d'heures pour le même salaire est injuste.
NB Ce n'est pas le moment de faire du foin au prétexte qu'on bosserait seulement 18/15h/sem...
- User5899Demi-dieu
Règlementairement, et c'est écrit sur votre bulletin de salaire, chaque mois, vous effectuez "+ de 120h". Or, 18 ou 15 x4 ne font pas + de 120AlexisP a écrit:Ce que tu dis semble s'adresser à ceux qui "argumentent à longueur d'année qu'une heure de cours représente plus d'une heure réelle de travail". Je ne le considère pas. Que faudrait-il rajouter ? Dire qu'une heure de cours est plus "épuisante" qu'une heure de surveillance et que par conséquent elle "représente" plus ? Nous sommes payés à la quantité de travail et non à la qualité, on peut imaginer un enseignant dont la nonchalance durant ses heures de cours rivaliserait avec la passivité des surveillances les plus calmes.
- User5899Demi-dieu
Plus vous êtes prévenue tôt, plus le planning sera susceptible d'être modifié, comme je l'ai expliqué plus haut : les convocations pour des surveillants désignés un mois à l'avance ne sont parfois connues que quelques jours auparavant. On sait tous que c'est une période où l'on a intérêt à pouvoir être réactifs, c'est tout. Et tout le monde survit.Cicyle a écrit:Certes, mais c'est moi qu'il citait, et non l'autre intervention... Quant à mes interrogations, elles portent davantage sur un éventuel délai à respecter pour nous prévenir ou non. En gros, est ce qu'on prévient toujours 24h/48h/3j/que-sais-je en avance ou est ce qu'on doit être sur le pied de guerre du lundi au vendredi de 7h30 à 18h pendant les 3 semaines que dure le bac... C'est tout...Daphné a écrit:Cicyle a écrit:
J'ai posé une question juste au dessus
Et ouais, je suis stagiaire, donc je découvre des trucs (un peu le but d'une année de stage...).
Et sérieusement, Cripure, faut se calmer un peu. Va prendre une tisane, ça te détendra.
Cripure faisait juste remarquer - comme je l'ai également fait un peu plus haut - que, comme chaque année, une fois l'arrêt des cours pour passer les épreuves d'examen, l'EDT n'a plus de valeur puisque nous n'avons plus cours et qu'on peut être convoqué pour surveiller - corriger - interroger - être de secrétariat hors de notre créneau habituel !
Aucun énervement dans ces propos, juste un rappel à la règle et l'habitude.
Alors qu'un stagiaire découvre, c'est une chose, mais une collègue déjà dans le métier c'est différent.
Je précise que je suis convoquée hors EDT et que je fais bien plus que mes heures de cours, et que je ne trouve pas ça anormal, mais j'ai été prévenue 15 jours avant (ce qui m'a laissé du temps pour m'organiser).
- InvitéInvité
Carrie7 a écrit:
Sinon pour les 80% de profs qui sont des femmes, je suis d'accord: pas d'épreuves le mercredi, pas d'oraux de rattrapage après la sortie des écoles maternelles et primaires !
Ou création de crèches d'entreprise (EN ? ) adaptées aux horaires des enseignants.
- User5899Demi-dieu
Où l'on apprend que les responsabilités parentales ressortissent exclusivement aux femmes
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