- vivi1982Niveau 10
Je ne sais pas si la grève sera suivi chez nous, j'en doute. J'ai appelé ce matin pour dire que je ne venais pas à la correction du brevet (blessure à la main il y a un mois et du mal encore à écrire), je me suis fait envoyée bouler par la personne que j'ai eu (je ne sais même pas qui c'est!) qui m'a incendié que j'aurais dû prévenir plus tôt (j'ai appelé à 7h30 ce matin je n'ai eu mon arrêt qu'hier soir) et que ça les mettait dans la merde etc.
Donc j'imagine ce que cette personne peut faire remonter au rectorat pour quelqu'un qui appelle pour un motif de grève! Bravo pour ce courage.
Question subsidiaire: mon arrêt c'est à mon établissement habituel que je le donne?
Donc j'imagine ce que cette personne peut faire remonter au rectorat pour quelqu'un qui appelle pour un motif de grève! Bravo pour ce courage.
Question subsidiaire: mon arrêt c'est à mon établissement habituel que je le donne?
- MamaVénérable
Si on est gréviste, pas besoin de prévenir, c'est bien cela ?
- Thalia de GMédiateur
Oui, Mama.
_________________
Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- MamaVénérable
Ouf merci, j'ai eu un doute de dernière minute ! De toute manière mes collègues le diront au moment de l'appel. Je me sens bizarre de les savoir là-bas avec mes copies... Si je suis la seule gréviste (et c'est bien possible), le surplus de copies ne sera pas refusé car minime, je pense. Bref, ce sera comme si je n'avais rien fait, mais tant pis. Pas réussi à les convaincre. Les collègues se mobiliseront en septembre, quand le texte sera passé pendant les vacances...
- vivi1982Niveau 10
Ça règle la question alors!
- MamaVénérable
Euh... après appel du CDE du centre de correction auquel j'ai dit que j'étais en grève et qui ne m'a rien demandé de plus, j'ai eu un appel de mon inspectrice elle-même, qui m'a dit que je devais me signaler auprès de la DEC. C'est fait, mais qui a raison ?
- Thalia de GMédiateur
Mama, et les autres, je préfère que vous postiez un nouveau sujet. Si on vous rentre dedans, vous dites que c'est la faute à Thalia. J'assume.
Edit : je pense que c'est pour intimider et connaître à l'avance le nombre de grévistes pour pallier leur absence. Ce qui limiterait la portée de la grève.
Edit : je pense que c'est pour intimider et connaître à l'avance le nombre de grévistes pour pallier leur absence. Ce qui limiterait la portée de la grève.
- Reine MargotDemi-dieu
Il me semble que contrairement au premier degré, rien n'oblige à prévenir.
_________________
Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- AlbiusNiveau 10
Reine Margot a écrit:Il me semble que contrairement au premier degré, rien n'oblige à prévenir.
C'est ce qui avait été dit à plusieurs reprises sur ce fil déjà bien nourri.
Je n'ai pas prévenu. J'espère simplement, justement, que tout absent sans motif validé sera bien comptabilisé comme gréviste.
- AlbiusNiveau 10
Communiqué de presse du SNALC-FGAF du 25 juin 2015 :
GRÈVE LES JOURS DU DNB :
D’intolérables atteintes à l’exercice d’un droit constitutionnel
Alors qu’a commencé aujourd'hui à l’initiative du SNALC-FGAF le mouvement de grève contre la réforme du collège qui s’étendra jusqu’au 1er juillet à l’occasion des jours d’épreuves écrites et de corrections du DNB, notre organisation s’insurge contre les nombreuses pressions exercées sur les collègues afin de les dissuader de participer au mouvement.
Démontrant ainsi que ce mouvement est seul à même de faire reculer le ministère, l’administration n’hésite pas à pratiquer la désinformation pour faire peur et dissuader les potentiels grévistes, en usant de pressions voire de menaces infondées de sanctions, selon les témoignages et preuves apportés par de nombreux collègues.
Face à cette intolérable atteinte au droit constitutionnel qu’est le droit de grève, le SNALC poursuivra au pénal personnellement les auteurs de ces pressions pour entrave à l’exercice du droit syndical selon les articles 431-1 et 432-1 du Code pénal :
431-1 - Le fait d'entraver, d'une manière concertée et à l'aide de menaces, l'exercice de la liberté d'expression, du travail, d'association, de réunion ou de manifestation est puni d'un an d'emprisonnement et de 15000 euros d'amende.
432-1 - Le fait, par une personne dépositaire de l'autorité publique, agissant dans l'exercice de ses fonctions, de prendre des mesures destinées à faire échec à l'exécution de la loi est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende.
Le SNALC encourage les collègues, outrés par de telles pratiques antidémocratiques, à se joindre encore plus nombreux au mouvement.
https://www.snalc.fr/national/article/1546/
- Tessa103Niveau 6
Pour ma part, je n'ai prévenu personne. Cela sera à eux de faire le comptage pour les grèves.
Et j'ai relu mon texte, corrigé les coquilles sur mon blog; j'aurais dû l'écrire plus au calme et me relire avant.
J'ai vu que certains étaient passés le lire. Tant mieux.
Je ne sais pas si toute cette énergie dépensée sert à quelque chose...
https://lepavillondediane.wordpress.com/2015/06/25/je-suis-fonctionnaire-et-en-plus-je-suis-professeur/
Et j'ai relu mon texte, corrigé les coquilles sur mon blog; j'aurais dû l'écrire plus au calme et me relire avant.
J'ai vu que certains étaient passés le lire. Tant mieux.
Je ne sais pas si toute cette énergie dépensée sert à quelque chose...
https://lepavillondediane.wordpress.com/2015/06/25/je-suis-fonctionnaire-et-en-plus-je-suis-professeur/
- lamielNiveau 1
Non, non, non ! Quand on est en grève, on ne prévient pas. Dans le "coût" causé par la grève, il y a aussi celui de laisser à la charge du patron le fait de contrôler par lui-même les absences.
Et puis, franchement, quelle idée cynique de convoquer à la correction des lettres classiques, l'année où on annonce la suppression de ce métier en collège ! Il ne faut pas exagérer quand même, ils doivent bien s'y attendre.
Une pensée à tous les grévistes d'aujourd'hui, à ceux dont c'est l'énième grève, comme moi, et aussi à ceux dont c'est l'une des premières. Et même si la comptabilisation est mensongère, au moins nous aurons fait quelque chose. Il faut aussi voir ça comme un entraînement pour la rentrée prochaine, pour l'année qui vient. Je vois de plus en plus de collègues de mieux en mieux renseignés sur leurs droits "grâce" à ce mouvement, je me dis que c'est une bonne chose.
Et puis, franchement, quelle idée cynique de convoquer à la correction des lettres classiques, l'année où on annonce la suppression de ce métier en collège ! Il ne faut pas exagérer quand même, ils doivent bien s'y attendre.
Une pensée à tous les grévistes d'aujourd'hui, à ceux dont c'est l'énième grève, comme moi, et aussi à ceux dont c'est l'une des premières. Et même si la comptabilisation est mensongère, au moins nous aurons fait quelque chose. Il faut aussi voir ça comme un entraînement pour la rentrée prochaine, pour l'année qui vient. Je vois de plus en plus de collègues de mieux en mieux renseignés sur leurs droits "grâce" à ce mouvement, je me dis que c'est une bonne chose.
- F.LemoineÉrudit
Hier, le CDE a laissé un message sur mon répondeur parce qu'il voulait que je lui dise "de vive voix" la raison de mon absence à la surveillance.
J'ai cherché un texte pour savoir si je devais rappeler ou pas.
J'ai trouvé ça (document CGT) :
"Pas d’obligation d’avertir préalablement l’employeur
Une fois les revendications présentées à l’employeur, le salarié individuellement n’a pas à prévenir son employeur de son absence avant de se mettre en grève. Dans la pratique, l’employeur demande au salarié les jours suivant la grève qu’elles étaient les raisons de son absence, et le salarié indique alors qu’il était en grève."
Je pense que son coup de téléphone relève de l'intrusion. Il aurait pu attendre. Bon, comme je ne retourne pas au collège avant lundi, dans le doute, je lui ai envoyé ce message après la fin des épreuves d'hier :
"Monsieur,
Vous n’êtes pas sans savoir que des préavis de grève ont été déposés pour les journées de passation et de correction du DNB.
Mon absence d’aujourd’hui s’inscrit dans ce cadre.
Sachez bien que ce genre d’action ne me plaît guère, mais je considère que la responsabilité en revient au comportement autiste, voire méprisant, du ministère actuel.
Respectueusement,
F. Lemoine"
J'ai cherché un texte pour savoir si je devais rappeler ou pas.
J'ai trouvé ça (document CGT) :
"Pas d’obligation d’avertir préalablement l’employeur
Une fois les revendications présentées à l’employeur, le salarié individuellement n’a pas à prévenir son employeur de son absence avant de se mettre en grève. Dans la pratique, l’employeur demande au salarié les jours suivant la grève qu’elles étaient les raisons de son absence, et le salarié indique alors qu’il était en grève."
Je pense que son coup de téléphone relève de l'intrusion. Il aurait pu attendre. Bon, comme je ne retourne pas au collège avant lundi, dans le doute, je lui ai envoyé ce message après la fin des épreuves d'hier :
"Monsieur,
Vous n’êtes pas sans savoir que des préavis de grève ont été déposés pour les journées de passation et de correction du DNB.
Mon absence d’aujourd’hui s’inscrit dans ce cadre.
Sachez bien que ce genre d’action ne me plaît guère, mais je considère que la responsabilité en revient au comportement autiste, voire méprisant, du ministère actuel.
Respectueusement,
F. Lemoine"
_________________
"La vie est mêlée de traverses. Il est bon de s'y tenir sans cesse préparé." (Molière, Les Fourberies de Scapin).
- DaphnéDemi-dieu
Mama a écrit:Si on est gréviste, pas besoin de prévenir, c'est bien cela ?
Surtout pas ! Ceux qui le font subissent parfois des pressions...........
- DinosauraHabitué du forum
Ne risque-t-on pas aussi de subir des pressions après la grève ? Genre une inspection-sanction dans l'année à venir, nos inspecteurs ayant été mis au courant après coup de notre absence (mais sans arguer du motif de la grève pour nous démonter bien sûr). Je dis ça car j'ai un IPR particulièrement désagréable et dogmatique (à fond pour la réforme j'imagine), et il serait difficile de prouver qu'une telle inspection serait une mesure de rétorsion.
Serons-nous bien protégés par le Snalc si une telle chose se produisait ?
Serons-nous bien protégés par le Snalc si une telle chose se produisait ?
_________________
"Le plus esclave est celui qui ignore ses chaînes."
- CelebornEsprit sacré
Dinosaura a écrit:Ne risque-t-on pas aussi de subir des pressions après la grève ? Genre une inspection-sanction dans l'année à venir, nos inspecteurs ayant été mis au courant (mais sans arguer du motif de la grève pour nous démonter bien sûr). Je dis ça car j'ai un IPR particulièrement désagréable et dogmatique (à fond pour la réforme j'imagine), et il serait difficile de prouver qu'une telle inspection serait une mesure de rétorsion.
Serons-nous bien protégés par le Snalc si une telle chose se produisait ?
A priori, le pire que tu risques est une hausse de ta note pédagogique… Ensuite, si cela se produisait, eh bien un inspecteur a effectivement le droit de venir t'inspecter, et toi de faire valoir la qualité de ton enseignement et de faire relire ton rapport d'inspection par tes responsables syndicaux académiques.
_________________
"On va bien lentement dans ton pays ! Ici, vois-tu, on est obligé de courir tant qu'on peut pour rester au même endroit. Si on veut aller ailleurs, il faut courir au moins deux fois plus vite que ça !" (Lewis Carroll)
Mon Blog
- DaphnéDemi-dieu
Très bonne réponse.F.Lemoine a écrit:Hier, le CDE a laissé un message sur mon répondeur parce qu'il voulait que je lui dise "de vive voix" la raison de mon absence à la surveillance.
J'ai cherché un texte pour savoir si je devais rappeler ou pas.
J'ai trouvé ça (document CGT) :
"Pas d’obligation d’avertir préalablement l’employeur
Une fois les revendications présentées à l’employeur, le salarié individuellement n’a pas à prévenir son employeur de son absence avant de se mettre en grève. Dans la pratique, l’employeur demande au salarié les jours suivant la grève qu’elles étaient les raisons de son absence, et le salarié indique alors qu’il était en grève."
Je pense que son coup de téléphone relève de l'intrusion. Il aurait pu attendre. Bon, comme je ne retourne pas au collège avant lundi, dans le doute, je lui ai envoyé ce message après la fin des épreuves d'hier :
"Monsieur,
Vous n’êtes pas sans savoir que des préavis de grève ont été déposés pour les journées de passation et de correction du DNB.
Mon absence d’aujourd’hui s’inscrit dans ce cadre.
Sachez bien que ce genre d’action ne me plaît guère, mais je considère que la responsabilité en revient au comportement autiste, voire méprisant, du ministère actuel.
Respectueusement,
F. Lemoine"
Ils sont dans l'intimidation parce qu'ils ont peur !
Même si la grève n'est pas très relayée, celle des taxis est passée au premier plan, ils savent que le mouvement va continuer à la rentrée.
- DaphnéDemi-dieu
Dinosaura a écrit:Ne risque-t-on pas aussi de subir des pressions après la grève ? Genre une inspection-sanction dans l'année à venir, nos inspecteurs ayant été mis au courant après coup de notre absence (mais sans arguer du motif de la grève pour nous démonter bien sûr). Je dis ça car j'ai un IPR particulièrement désagréable et dogmatique (à fond pour la réforme j'imagine), et il serait difficile de prouver qu'une telle inspection serait une mesure de rétorsion.
Serons-nous bien protégés par le Snalc si une telle chose se produisait ?
Un inspecteur peut toujours venir. C'est son droit.
Si ton inspection se passe correctement, "dans les clous", que risques-tu ? Il y aura un entretien après cette inspection : tu pourras t'exprimer.
Et avec tout le travail qu'il y aura avec la formation, mise en place programmée de la réforme et l'intox, tu crois qu'ils auront le temps de venir inspecter tous ceux qui ont déjà fait grève, celle du 19 mai, celle du 11 juin, celle du DNB ?
- MamaVénérable
Je parlais seulement de prévenir le matin même. Quelqu'un n'aurait pas un texte officiel qui dit que nous n'avons pas à nous signaler le jour-même ?
F. Lemoine, jolie réponse.
F. Lemoine, jolie réponse.
- Spoiler:
- (sauf l'emploi du mot "autiste", qui me semble de plus en plus répandu dans des contextes inadaptés).
- DaphnéDemi-dieu
Mama a écrit:Je parlais seulement de prévenir le matin même. Quelqu'un n'aurait pas un texte officiel qui dit que nous n'avons pas à nous signaler le jour-même ?
F. Lemoine, jolie réponse.
- Spoiler:
(sauf l'emploi du mot "autiste", qui me semble de plus en plus répandu dans des contextes inadaptés).
Il n'y a aucun texte officiel pour dire ce qu'on n'a pas à faire !
Tu peux lui demander de te montrer le texte qui t'impose de te signaler le jour même........
- PeinardNiveau 10
La loi ne fonctionne pas ainsi. Cette obligation n'existe pas dans la loi pour les professeurs du 2nd degré. Donc tu n'as pas à prévenir mais après coup par exemple le lendemain tu précises juste que tu étais gréviste.Mama a écrit:Je parlais seulement de prévenir le matin même. Quelqu'un n'aurait pas un texte officiel qui dit que nous n'avons pas à nous signaler le jour-même ?
Dans le cas où quelqu'un te reprocherait de ne pas avoir prévenu, alors il suffirait de demander le texte de loi t'y obligeant et la discussion s'arrêterait là...
- AlbiusNiveau 10
Daphné a écrit:Mama a écrit:Je parlais seulement de prévenir le matin même. Quelqu'un n'aurait pas un texte officiel qui dit que nous n'avons pas à nous signaler le jour-même ?
F. Lemoine, jolie réponse.
- Spoiler:
(sauf l'emploi du mot "autiste", qui me semble de plus en plus répandu dans des contextes inadaptés).
Il n'y a aucun texte officiel pour dire ce qu'on n'a pas à faire !
Tu peux lui demander de te montrer le texte qui t'impose de te signaler le jour même........
Je reviens sur ce fil "à chaud". Je viens d'être appelé par la responsable du service enseignants de mon établissement (privé sous contrat) en raison de mon absence aux corrections du DNB, suite à à un coup de fil du centre où je devais corriger.
Tout se passe comme si personne n'était au courant du préavis déposé.
J'ai rappelé, même si je savais ne pas être tenu de le faire, car je suis -ou j'étais?- plutôt en bon terme avec cette personne.
Elle m'a indiqué qu'elle allait me porter gréviste sur Mozart, et m'affirme que les chefs de centre n'ont pas accès à cette application pour les correcteurs extérieurs.
Je suis dans une grande perplexité, et donc dans une grande inquiétude quant à la façon dont vont être décomptés les grévistes dans ces conditions.
Merci à "ceux qui sauraient" de leurs réponses.
- F.LemoineÉrudit
Mama a écrit:jolie réponse. (sauf l'emploi du mot "autiste", qui me semble de plus en plus répandu dans des contextes inadaptés).
C'est vrai, la formulation est maladroite. Je sais que l'autisme est une pathologie (nous avons un enfant autiste au collège). Je pensais que la formulation "comportement autiste" n'équivalait pas à "autisme".
Si vous avez d'autres qualificatifs pour "je me bouche les oreilles et les yeux, je me concentre sur mon nombril", je prends
_________________
"La vie est mêlée de traverses. Il est bon de s'y tenir sans cesse préparé." (Molière, Les Fourberies de Scapin).
- PeinardNiveau 10
Le chef de centre a constaté ton absence et ton établissement t'a porté gréviste donc tu seras bien décompté... je ne vois où est le problème!Albius a écrit:Elle m'a indiqué qu'elle allait me porter gréviste sur Mozart, et m'affirme que les chefs de centre n'ont pas accès à cette application pour les correcteurs extérieurs.
Je suis dans une grande perplexité, et donc dans une grande inquiétude quant à la façon dont vont être décomptés les grévistes dans ces conditions.
- AlbiusNiveau 10
Peinard a écrit:Le chef de centre a constaté ton absence et ton établissement t'a porté gréviste donc tu seras bien décompté... je ne vois où est le problème!Albius a écrit:Elle m'a indiqué qu'elle allait me porter gréviste sur Mozart, et m'affirme que les chefs de centre n'ont pas accès à cette application pour les correcteurs extérieurs.
Je suis dans une grande perplexité, et donc dans une grande inquiétude quant à la façon dont vont être décomptés les grévistes dans ces conditions.
Le problème est que visiblement il faut passer par des échanges de coups de fil et que les chefs de centre se sentent obligés d'appeler l'établissement d'exercice, comme s'ils n'étaient pas au courant du préavis ou feignaient de ne pas l'être.
Accessoirement, il m'a été demandé si j'étais bien gréviste, alors que normalement toute absence pendant ces journées devait être considérée par défaut comme un acte de grève. Je me serais passé de cet échange téléphonique, tendu, forcément, qui devait être inutile.
Si cela se passe ainsi partout, j'ai bien peur qu'il n'y ait aucune transparence sur le mouvement, voire que des chefs de centre reportent les absences au SIEC et que les établissements d'exercice ne signalent pas systématiquement les absents comme gréviste sur Mozart. Encore une fois, il a fallu que je confirme par oral…!!!
Si donc tu ne vois pas le(s) problème(s), moi il(s) me saute(nt) aux yeux...
- PeinardNiveau 10
L'administration tente de déterminer les raisons de ton absence, par exemple accident, arrêt maladie, empêchement, grève, etc... Comptabiliser un agent comme gréviste alors que celui-ci est malade ou a eu un accident ne serait pas très apprécié...
Puisque tu asrappelé répondu, il me semble normal que l'on te demande la raison.
Perso lorsque je suis gréviste, je ne fais rien de pro et par conséquent je ne réponds pas et ne rappelle pas.
Puisque tu as
Perso lorsque je suis gréviste, je ne fais rien de pro et par conséquent je ne réponds pas et ne rappelle pas.
- Préavis de grève déposé par le SNALC pour le Brevet (surveillance et correction)
- Le SNALC confirme son préavis de grève pour le bac et le DNB.
- Pas de prérentrée en août pour le SNALC: préavis de grève pour la journée du 31 août 2015.
- Rythmes : la CFDT dépose un préavis de grève à Quimper, dont le maire est un proche conseiller de F. Hollande.
- Préavis de grève pour les corrections du DNB à Lyon
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum