- JPhMMDemi-dieu
C'était une boutade.totoro a écrit:JPhMM a écrit:Inscription des pitchounes dans le privé.Grève du 19 mai 2015 : et après ?
What else ?
Où voyez-vous que le privé sera épargné ?????????
Marre à la fin ! on est dans la même m*** !
Et certains ont fait grève aussi !
De plus, ai-je parlé de privé sous contrat ?
- totoroMonarque
Bon, je me calme...
Mais l'opposition privé / public m'énerve déjà d'habitude, alors là, j'ai du mal à me contenir...
Mais l'opposition privé / public m'énerve déjà d'habitude, alors là, j'ai du mal à me contenir...
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- DaphnéDemi-dieu
Sphinx a écrit:Ronin a écrit:Ce serait top de réussir, enfin, à réunir PE et PLC pour peser face aux bureaucrates.
+1 Une manif générale contre les rythmes du primaire, contre la réforme du collège, contre la réforme Chatel, ce serait bien.
+1
Et un dimanche avec les parents qui nous soutiennent en plus !
- JPhMMDemi-dieu
totoro a écrit:Bon, je me calme...
Mais l'opposition privé / public m'énerve déjà d'habitude, alors là, j'ai du mal à me contenir...
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- User21929Expert
lapetitemu a écrit:plein2bulles a écrit:En revanche, le journaliste qui a expliqué la réforme à Pujadas a été objectif. Notons-le.
Oui, très bien, la présentation des avis des deux camps.
Et que faire quand on enseigne dans un collège où la mobilisation n'est pas au top - euphémisme ? Même parmi mes collègues grévistes (dont certaines copines qui faisaient grève aujourd'hui pour la première fois de leur carrière), beaucoup seront contre le principe d'un boycott des examens. L'argument du bien des élèves fera autorité.
Je me demande donc, d'abord, ce que je peux proposer de réaliste pour qu'une action soit quand même faite dans mon collège, et ensuite ce que je pourrai faire en dehors de mon collège si rien ne s'y passe.
Voilà le discours qu'on m'oppose à chaque fois ! Donc longue vie aux réformateurs-destructeurs...
- InvitéL3Niveau 5
On ne peut pas mettre tous les établissements privés dans le même sac, mais effectivement, il y a des écoles privées sous contrat qui n'ont pas appliqué la réforme des rythmes scolaires (dans mon département, il y en a même une qui l'affiche fièrement sous forme de banderole à l'entrée de l'école). C'est pour cette raison que l'on peut penser que les chefs d'établissements privés peuvent se permettre une certaine liberté avec la réforme du collège, même si ce n'est effectivement pas une généralité.totoro a écrit:JPhMM a écrit:Inscription des pitchounes dans le privé.Grève du 19 mai 2015 : et après ?
What else ?
Où voyez-vous que le privé sera épargné ?????????
Marre à la fin ! on est dans la même m*** !
Et certains ont fait grève aussi !
Edit: Les écoles privées catholiques sous contrat avec l'Etat sont-elles obligées d'appliquer les réformes ? Après quelques lectures, il me semble qu'elles peuvent prendre un temps de concertation et de réflexion avant la mise en place... Tout ça me semble un peu flou.
- ErgoDevin
Ca, et aussi: "mais ils n'attendent que ça pour supprimer les examens et les faire passer en contrôle continu" etc. Notons qu'ils n'ont pas besoin de boycott pour vouloir faire passer les examens en contrôle continu uniquement...Whypee a écrit:lapetitemu a écrit:plein2bulles a écrit:En revanche, le journaliste qui a expliqué la réforme à Pujadas a été objectif. Notons-le.
Oui, très bien, la présentation des avis des deux camps.
Et que faire quand on enseigne dans un collège où la mobilisation n'est pas au top - euphémisme ? Même parmi mes collègues grévistes (dont certaines copines qui faisaient grève aujourd'hui pour la première fois de leur carrière), beaucoup seront contre le principe d'un boycott des examens. L'argument du bien des élèves fera autorité.
Je me demande donc, d'abord, ce que je peux proposer de réaliste pour qu'une action soit quand même faite dans mon collège, et ensuite ce que je pourrai faire en dehors de mon collège si rien ne s'y passe.
Voilà le discours qu'on m'oppose à chaque fois ! Donc longue vie aux réformateurs-destructeurs...
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"You went to a long-dead octopus for advice, and you're going to blame *me* for your problems?" -- Once Upon a Time
"The gull was your ordinary gull." -- Wittgenstein's Mistress
« Cède, cède, cède, je le veux ! » écrivait Ronin, le samouraï. (Si vous cherchez un stulo-plyme, de l'encre, récap de juillet 2024)
- JPhMMDemi-dieu
Moi j'attends le moment où ils découvriront que l'élitisme scolaire est reproduit par les mathématiques.
Je pourrai toujours me reconvertir et offrir mes services à Clio Cresswell.
Je pourrai toujours me reconvertir et offrir mes services à Clio Cresswell.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- sandGuide spirituel
Tu entends quoi exactement par "offrir mes services" ?
- JPhMMDemi-dieu
Comme assistant mathématicien :lol:sand a écrit:Tu entends quoi exactement par "offrir mes services" ?
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- IlseÉrudit
Ergo a écrit:Ca, et aussi: "mais ils n'attendent que ça pour supprimer les examens et les faire passer en contrôle continu" etc. Notons qu'ils n'ont pas besoin de boycott pour vouloir faire passer les examens en contrôle continu uniquement...Whypee a écrit:lapetitemu a écrit:
Oui, très bien, la présentation des avis des deux camps.
Et que faire quand on enseigne dans un collège où la mobilisation n'est pas au top - euphémisme ? Même parmi mes collègues grévistes (dont certaines copines qui faisaient grève aujourd'hui pour la première fois de leur carrière), beaucoup seront contre le principe d'un boycott des examens. L'argument du bien des élèves fera autorité.
Je me demande donc, d'abord, ce que je peux proposer de réaliste pour qu'une action soit quand même faite dans mon collège, et ensuite ce que je pourrai faire en dehors de mon collège si rien ne s'y passe.
Voilà le discours qu'on m'oppose à chaque fois ! Donc longue vie aux réformateurs-destructeurs...
Lu et entendu ces jours-ci : maintenant ils vont s'attaquer à l'évaluation des élèves et des profs !
- totoroMonarque
Lexiastein a écrit:On ne peut pas mettre tous les établissements privés dans le même sac, mais effectivement, il y a des écoles privées sous contrat qui n'ont pas appliqué la réforme des rythmes scolaires (dans mon département, il y en a même une qui l'affiche fièrement sous forme de banderole à l'entrée de l'école). C'est pour cette raison que l'on peut penser que les chefs d'établissements privés peuvent se permettre une certaine liberté avec la réforme du collège, même si ce n'est effectivement pas une généralité.totoro a écrit:JPhMM a écrit:
Inscription des pitchounes dans le privé.
What else ?
Où voyez-vous que le privé sera épargné ?????????
Marre à la fin ! on est dans la même m*** !
Et certains ont fait grève aussi !
Edit: Les écoles privées catholiques sous contrat avec l'Etat sont-elles obligées d'appliquer les réformes ? Après quelques lectures, il me semble qu'elles peuvent prendre un temps de concertation et de réflexion avant la mise en place... Tout ça me semble un peu flou.
La réforme des rythmes ne pouvait pas être imposée au privé en raison du surcoût que cela représentait (non pris en charge par les mairies - et c'est normal...)
Pour les réformes touchant les programmes, les structures, le privé est logé à la même enseigne, ne serait-ce que parce qu'on est inspecté par les mêmes IPR... Il est probable qu'une certaine marge de manœuvre soit possible, il serait idiot de le nier, mais sans doute pas plus que dans certains établissements publics. Les dotations horaires sont données par le ministère...
Certains "riches" établissements vont peut-être pouvoir payer de l'accompagnement perso en heure OGEC (mais encore faut-il que les profs acceptent d'être payés en heures OGEC - bon, dans mon bahut, il y en a même qui le feront bénévolement... )
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- totoroMonarque
Ilse a écrit:Ergo a écrit:Ca, et aussi: "mais ils n'attendent que ça pour supprimer les examens et les faire passer en contrôle continu" etc. Notons qu'ils n'ont pas besoin de boycott pour vouloir faire passer les examens en contrôle continu uniquement...Whypee a écrit:
Voilà le discours qu'on m'oppose à chaque fois ! Donc longue vie aux réformateurs-destructeurs...
Lu et entendu ces jours-ci : maintenant ils vont s'attaquer à l'évaluation des élèves et des profs !
Pour l'évaluation, Hamon en a parlé ce matin sur France Inter me semble-t-il...
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- AdriGrand Maître
lapetitemu a écrit:
Et que faire quand on enseigne dans un collège où la mobilisation n'est pas au top - euphémisme ? Même parmi mes collègues grévistes (dont certaines copines qui faisaient grève aujourd'hui pour la première fois de leur carrière), beaucoup seront contre le principe d'un boycott des examens. L'argument du bien des élèves fera autorité.
Mais ce serait sacrifier une petite minorité (ceux qui passent le DNB) pour le bien de tous, alors c'est bien (c'est NVB qui l'a dit )[/quote]
- AdriGrand Maître
Vous n'avez pas vu le nouveau brevet ?
Deux écrits, un "tendance humanités", l'autre "tendance scientifiques", deux oraux, dont un au moins se fera autour de la présentation d'un des objets réalisés au cours d'un EPI...
Deux écrits, un "tendance humanités", l'autre "tendance scientifiques", deux oraux, dont un au moins se fera autour de la présentation d'un des objets réalisés au cours d'un EPI...
- lapetitemuExpert
Adri a écrit:lapetitemu a écrit:
Et que faire quand on enseigne dans un collège où la mobilisation n'est pas au top - euphémisme ? Même parmi mes collègues grévistes (dont certaines copines qui faisaient grève aujourd'hui pour la première fois de leur carrière), beaucoup seront contre le principe d'un boycott des examens. L'argument du bien des élèves fera autorité.
Mais ce serait sacrifier une petite minorité (ceux qui passent le DNB) pour le bien de tous, alors c'est bien (c'est NVB qui l'a dit )
Ah mais moi je sais bien. Mais cet argument ne fera pas effet. C'est pour ça que je demandais ce qui pourrait être réalisable de manière plus fédératrice.
Il faut quand même bien prendre conscience que de plus en plus d'enseignants sont dans la démobilisation totale. On peut les taxer de ce qu'on veut, s'en indigner, mais pour ma part j'essaie plutôt de trouver comment les remotiver (je pense notamment à mes quelques copines qui sont d'accord avec moi sur le fond mais plus frileuses pour la forme. Et vu le peu de monde aux manifs, elles ne doivent pas être les seules).
- User5899Demi-dieu
Mais arrêtez, c'est ridicule. On l'a vu aujourd'hui : les profs sont devenus des êtres veules et pleutres, majoritairement rampants et cherchant à se faire bien voir tout en se jugeant irremplaçables.fabienne7564 a écrit:Pas forcément... Certains syndicats envisagent une grève pendant le brevet d'après ce que j'ai lu dans L'Express.
Ils ont leur calice. Qu'ils le boivent, le dégustent et s'en pourlèchent jusqu'à la lie.
- qui-viveNiveau 1
:shock:Adri a écrit:Vous n'avez pas vu le nouveau brevet ?
Deux écrits, un "tendance humanités", l'autre "tendance scientifiques", deux oraux, dont un au moins se fera autour de la présentation d'un des objets réalisés au cours d'un EPI...
Et pourquoi pas "penchant oral" tant qu'on y est ?
- InvitéL3Niveau 5
totoro a écrit:
La réforme des rythmes ne pouvait pas être imposée au privé en raison du surcoût que cela représentait (non pris en charge par les mairies - et c'est normal...)
Pour les réformes touchant les programmes, les structures, le privé est logé à la même enseigne, ne serait-ce que parce qu'on est inspecté par les mêmes IPR... Il est probable qu'une certaine marge de manœuvre soit possible, il serait idiot de le nier, mais sans doute pas plus que dans certains établissements publics. Les dotations horaires sont données par le ministère...
Certains "riches" établissements vont peut-être pouvoir payer de l'accompagnement perso en heure OGEC (mais encore faut-il que les profs acceptent d'être payés en heures OGEC - bon, dans mon bahut, il y en a même qui le feront bénévolement... )
Merci beaucoup pour ces éclaircissements! Je comprends mieux maintenant.
- Fesseur ProGuide spirituel
+ 1Whypee a écrit:Il est loin l'esprit "hussards noirs"
Les collègues, comme les Français, sont dévots. @De Gaulle ( presque )
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Pourvu que ça dure...
- Li-LiNeoprof expérimenté
Cripure a écrit:Mais arrêtez, c'est ridicule. On l'a vu aujourd'hui : les profs sont devenus des êtres veules et pleutres, majoritairement rampants et cherchant à se faire bien voir tout en se jugeant irremplaçables.fabienne7564 a écrit:Pas forcément... Certains syndicats envisagent une grève pendant le brevet d'après ce que j'ai lu dans L'Express.
Ils ont leur calice. Qu'ils le boivent, le dégustent et s'en pourlèchent jusqu'à la lie.
Bien d'accord, et je crois que l'abandon du navire aux rats me tente!!
- LenagcnNiveau 10
Déjà existant: l'offre périéducative, payée en + par les familles, et assurée par je ne sais qui (connaissances a priori ok, compétences pédagogiques franchement lamentables, pour l'exemple que j'ai en tête, pas de bol). En l'occurrence, une "section internationale" débutée en 6ème (littérature en anglais 2h/semaine, en + des cours d'anglais traditionnels). Il s'agit d'un établissement privé très côté dans ma contrée.
Yapluka décliner la chose pour la LV2 en 6ème, ou le latin.
Pour les matières laminées par les EPI et AP, je n'ai pas encore trouvé la parade. Mais je fais confiance à l'imagination de personnes connaissant plus précisément les rouages du privé sous contrat.
Parce que il y a ceux qui proclament savoir ce qui est dans lintéredézenfants (dont se et fcpe) , et ceux qui le mettent en œuvre (pour certains enfants, à défaut de tous; ils auraient tort de se gêner).
Yapluka décliner la chose pour la LV2 en 6ème, ou le latin.
Pour les matières laminées par les EPI et AP, je n'ai pas encore trouvé la parade. Mais je fais confiance à l'imagination de personnes connaissant plus précisément les rouages du privé sous contrat.
Parce que il y a ceux qui proclament savoir ce qui est dans lintéredézenfants (dont se et fcpe) , et ceux qui le mettent en œuvre (pour certains enfants, à défaut de tous; ils auraient tort de se gêner).
- totoroMonarque
Lenagcn a écrit:Déjà existant: l'offre périéducative, payée en + par les familles, et assurée par je ne sais qui (connaissances a priori ok, compétences pédagogiques franchement lamentables, pour l'exemple que j'ai en tête, pas de bol). En l'occurrence, une "section internationale" débutée en 6ème (littérature en anglais 2h/semaine, en + des cours d'anglais traditionnels). Il s'agit d'un établissement privé très côté dans ma contrée.
Yapluka décliner la chose pour la LV2 en 6ème, ou le latin.
Pour les matières laminées par les EPI et AP, je n'ai pas encore trouvé la parade. Mais je fais confiance à l'imagination de personnes connaissant plus précisément les rouages du privé sous contrat.
Parce que il y a ceux qui proclament savoir ce qui est dans lintéredézenfants (dont se et fcpe) , et ceux qui le mettent en œuvre (pour certains enfants, à défaut de tous; ils auraient tort de se gêner).
Mais avec quel argent ? Le bahut doit coûter une blinde en frais de scolarité ? Qui vient faire de la littérature en section internationale ?
Pour les EPI la parade serait de faire cours sur ces heures, tout simplement, mais je ne vois pas comment on pourrait le justifier lors d'une inspection.
L'AP, c'est mort, pas moyen de le récupérer...
Le privé est contraint par sa DHG comme le public (et là, on est déjà en déficit d'heures pour l'année prochaine...)
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- thierryKNiveau 6
MUTIS a écrit:
Je crois que le pouvoir craint vraiment une manif d'ampleur sur ce thème.
Un dimanche du mois de juin, cela permettrait d'avoir beaucoup de monde: ceux qui ne peuvent ou ne veulent pas faire grève, tous les opposants à cette réforme, et le soutien des politiques et des intellectuels. Aucune raison de les écarter.
Et cela permettrait de mettre la pression et surtout d'informer d'ici là. Une manif réussie en juin lancerait un mouvement pour la rentrée et permettrait de maintenir les débats ouverts et bien chauds.
Je ne crois pas que mettre un peu de pression en plus changera beaucoup de choses (cf les réactions aujourd'hui).
La manif en juin, ça me paraît trop tôt. C'est compliqué à organiser, il faut l'appui des syndicats et -si possible - des fédérations de parents (qui n'ont pas forcément la même position que les parents eux-mêmes. Les parents seront très motivés.).
Pour l'instant, le gouvernement est le maître du temps. Ils auraient beau jeu de dire qu'ils travaillent sur des "aménagements" ou "précisions" pour la rentrée, qu'ils "écoutent", "entendent"... pour ressortir le même projet.
Je tablerais plutôt sur septembre ou octobre. Une grande manif, une seule, avec un million de personnes dans la rue.
Je pense aussi qu'ils sont incapables et qu'il faut les laisser (mal) bosser, rater la rentrée, etc... Je leur fais très confiance pour dégrader eux-mêmes leur propre situation. Le premier projet a touché le fond, le second sera pire.
- SphinxProphète
lapetitemu a écrit:
Ah mais moi je sais bien. Mais cet argument ne fera pas effet. C'est pour ça que je demandais ce qui pourrait être réalisable de manière plus fédératrice.
Il faut quand même bien prendre conscience que de plus en plus d'enseignants sont dans la démobilisation totale. On peut les taxer de ce qu'on veut, s'en indigner, mais pour ma part j'essaie plutôt de trouver comment les remotiver (je pense notamment à mes quelques copines qui sont d'accord avec moi sur le fond mais plus frileuses pour la forme. Et vu le peu de monde aux manifs, elles ne doivent pas être les seules).
Si elles n'osent déjà pas faire un kilomètre à pied pas trop vite, je ne vois pas ce qu'on pourrait leur proposer de plus "gentil"... Cripure propose ici la bonne technique et je crois que je vais m'en inspirer : faire sentir aux "voui mais c'est-à-dire que..." tout mon souverain mépris.
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An education was a bit like a communicable sexual disease. It made you unsuitable for a lot of jobs and then you had the urge to pass it on. - Terry Pratchett, Hogfather
"- Alors, Obélix, l'Helvétie c'est comment ? - Plat."
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