- User5899Demi-dieu
caribouc a écrit:Je regarde la rediff : Cayrol enfile les c*nneries comme les perles !
- anneso de la 106Niveau 2
Et Maléki Boutih, il n'est pas mal non plus dans son genre.
"Quelques profs en grève " " la contestation organisée par la droite " ...
Je vais lui envoyer une bafouille pour lui dire tout le bien que je pense de lui. Ca va me soulager un peu. Ou pas.
"Quelques profs en grève " " la contestation organisée par la droite " ...
Je vais lui envoyer une bafouille pour lui dire tout le bien que je pense de lui. Ca va me soulager un peu. Ou pas.
- JPhMMDemi-dieu
Gratiné oui.anneso de la 106 a écrit:Et Maléki Boutih, il n'est pas mal non plus dans son genre.
"Quelques profs en grève " " la contestation organisée par la droite " ...
Je vais lui envoyer une bafouille pour lui dire tout le bien que je pense de lui. Ca va me soulager un peu. Ou pas.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- cariboucGuide spirituel
Purée, je crois que j'ai fait une poussée d'urticaire à ce moment-là...
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"J'adore parler de rien : c'est le seul domaine où j'ai de vagues connaissances" (O. Wilde)
- OlympiasProphète
Ils sont consternants et totalement décalés
- trompettemarineMonarque
J’ai craqué : un coup de masochisme comme ça pour rien, histoire de souffrir encore plus aujourd’hui. J’ai finalement retranscrit mot pour mot le discours de François Hollande retransmis dans l’émission C dans L’air d'aujourd'hui.
Calvi : "Aux P.S., il n’y aura visiblement pas de primaires."
Reportage
Calvi : "c’est troublant ! non !"
Barbier : "Non, c’est clair."
Voilà, pour moi ce n’est pas clair.
Voici mes questions : de quoi parle le Président ? Quel est son sujet ? Quels sont ses arguments ? Comment les articule-il logiquement les uns aux autres ? Y a-t-il une rhétorique du cœur chez Hollande ?
La question subsidiaire est : de quel EPI notre président aurait-il besoin ?
Pour les agrégatifs, vous ferez le commentaire stylistique de ce discours.
PS : Sait-on qui écrit les discours de François Hollande ?
Calvi : "Aux P.S., il n’y aura visiblement pas de primaires."
Reportage
Fin du reportageLe Président de la République, M.Hollande a dit et non a écrit:
« Présider la République, c’est prendre chaque jour des décisions. Certaines répondent (sans la liaison) à l’urgence, d’autres ne produisent et ne produiront leurs effets que dans plusieurs années. Et alors ? C’est ma responsabilité que de les prendre. La République, ce sont d’abord des Institutions, la République, ce qui nous permet d’avoir des règles en commun [sic]. La République, c’est (sans la liaison) aussi un système de valeurs dont on ne peut pas détacher l’une par rapport à l’autre, prendre ce qui nous intéresse dans la République. Dans ma fonction et à ma tâche, je ne peux participer au débat public autant que parfois je le désirerais. Je me retiens, mais je suis (sans la liaison) attentif à son déroulement, à ce qui se dit. J’entends, comme vous d’ailleurs, des discours flatter les passions, attiser des tensions, creuser des divisions. Et c’est pourquoi je m’exprime aussi aujourd’hui. Je sais la désespérance qui peut s’emparer de certains esprits. Si on ne croit plus (sans la liaison) à rien, alors on peut croire au pire. Si finalement rien ne vaut, alors pourquoi ne pas prendre une option qui nous rappelle le passé ? Je sais bien ce que peut (sans la liaison) être un moment l’attitude de tout rejeter, de tout écarter, de tout balancer, parce qu’on n’en peut plus. Alors, mon obligation, parce que je suis un Républicain attaché à l’idée de mon pays, c’est qu’il n’y a pas de temps à perdre et que l’erreur, ce serait simplement d’attendre que l’emploi reparte mécaniquement. Et puis y a [sic] le défi de la mondialisation, parce que le monde, il est pas [sic] facile et parfois il est pas [sic] gentil et on peut pas [sic] penser qu’il va nous laisser une place. La concurrence est rude, la compétition est féroce, sur le plan économique -nous le savons !- parce que des pays veulent prendre également leur place et ils en ont bien le droit, avec leurs moyens propres. Alors, nous avons le devoir aussi de faire en sorte que la finance, j’en avais parlé, puisse être mise au service de l’économie réelle. Je vais me citer, pardonnez-moi de cette prétention, (mais comme souvent on me ramène au discours du Bourget, je ne peux m’empêcher d’aller aux meilleures sources, c’est dire [sic] les miennes !). Après les réformes de structure, après les réformes d’urgence, disais-je à cette époque, nous pourrons redistribuer ce que nous aurons créé, ce que nous aurons fabriqué, ce que nous aurons engagé, ce que le pays aura pu par son redressement, favoriser. Voilà les temps qui doivent être proposés, d’abord le redressement, ensuite, la redistribution. Mon projet, ma feuille de route figurent en toutes lettres et je demande à chacun de se rapporter au discours du Bourget ou, pour ceux qui le préfèreraient au discours de Carcassonne."
Calvi : "c’est troublant ! non !"
Barbier : "Non, c’est clair."
Voilà, pour moi ce n’est pas clair.
Voici mes questions : de quoi parle le Président ? Quel est son sujet ? Quels sont ses arguments ? Comment les articule-il logiquement les uns aux autres ? Y a-t-il une rhétorique du cœur chez Hollande ?
La question subsidiaire est : de quel EPI notre président aurait-il besoin ?
Pour les agrégatifs, vous ferez le commentaire stylistique de ce discours.
PS : Sait-on qui écrit les discours de François Hollande ?
- cariboucGuide spirituel
Un élève de CE2 si on en croit le niveau de grammaire
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"J'adore parler de rien : c'est le seul domaine où j'ai de vagues connaissances" (O. Wilde)
- JPhMMDemi-dieu
Pierre-Yves Bocquet, aka DJ Evil. :lol:
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Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- anneso de la 106Niveau 2
Ahh ca y est, j'ai écrit à ce Monsieur à l'Assemblée Nationale. J'attends avec impatience sa réponse. La St Glinglin approche... Je devrais aussi recevoir bientôt mes réponses aux courriers à NVB et au Président de l'Assemblee. J'y crois.JPhMM a écrit:Gratiné oui.anneso de la 106 a écrit:Et Maléki Boutih, il n'est pas mal non plus dans son genre.
"Quelques profs en grève " " la contestation organisée par la droite " ...
Je vais lui envoyer une bafouille pour lui dire tout le bien que je pense de lui. Ca va me soulager un peu. Ou pas.
- OlympiasProphète
Cayrol devrait voir les splendides réalisations qui sortent de ces mois d'intense réflexion, essentiellement passés à pomper internet.Enaeco a écrit:Tiens, on vient d'entendre à nouveau le super argument "les TPE au début, levée de boucliers, personne n'en voulait, et maintenant pas un seul enseignant ne voudrait qu'on y touche !"
Bah voyons...Ce n'est pas le même ressenti que je partage avec des collègues !
- cariboucGuide spirituel
Surtout, j'aimerais qu'il m'explique d'où il sort cette affirmation... Je ne connais que des profs qui détestent ces TPE et mes élèves m'ont dit : "Sincèrement, madame, c'était nul, on n'a rien appris."
Mais bon, je ne dois pas vraiment vivre en France selon Cayrol.
Mais bon, je ne dois pas vraiment vivre en France selon Cayrol.
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"J'adore parler de rien : c'est le seul domaine où j'ai de vagues connaissances" (O. Wilde)
- JPhMMDemi-dieu
Moi je sais !caribouc a écrit:Surtout, j'aimerais qu'il m'explique d'où il sort cette affirmation...
D'ici :
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- JPhMMDemi-dieu
J'avais oublié cette incroyable affirmation : le CSP a fait exprès d'écrire des programmes incompréhensibles pour que les enseignants comprennent qu'il faut que les programmes soient écrits de façon plus simple pour que tout le monde les comprennent.
16:42
16:42
— Nous avons voulu donner à lire des textes non stabilisés, justement pour que ce débat ait lieu.
— Donc vous avez fait exprès, qu'on comprenne rien pour que l'on comprenne mieux
— Non, parce qu'il faut aussi que les enseignants comprennent quelque chose, je pense que c'est quelque chose de très important, et je voudrais prendre juste trente secondes ou quarante cinq secondes pour le dire, la raison d'être du conseil supérieur des programmes, c'est de dire que les programmes sont des choses tellement importantes, qu'ils doivent être discutés, débattus, non seulement par les professionnels, mais aussi par la société toute entière, et aujourd'hui je constate que pour les enseignants c'est parfois difficile d'admettre que des profanes viennent discuter de ces programmes. Il faut qu'ils prennent conscience que ce qui leur parait un vocabulaire technique, normal, utile, standard, peut poser question. Il faut donc que nous progressions vers des programmes qui soient plus lisibles, c'est un enjeu, et le CSP veut parvenir à ce résultat.
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Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- RoninMonarque
Pu*** ça c'est collector !!!
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- RendashBon génie
Version CSP de "c'était pour voir si vous suiviez", peut-être?
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- RoninMonarque
Ils nous prennent vraiment pour des abrutis finis. J'ai vraiment envie de les faire souffrir.
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- RendashBon génie
Facile : tu les colles devant des classes, avec obligation de suivre à la lettre leurs foutus préceptes. Avec leurs mômes dans les classes en question, oeuf corse. Casseurs, payeurs, toussah.
...mais pourquoi est-il si méchant?! é_è
...mais pourquoi est-il si méchant?! é_è
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- JPhMMDemi-dieu
En tout cas ça fait bien marrer Elkabbach d'entendre le président du CSP dire une telle chose.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- henrietteMédiateur
Tu m'étonnes !
Heureusement que le ridicule ne tue pas !
Heureusement que le ridicule ne tue pas !
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"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
- User5899Demi-dieu
Mais évidemment que personne ne veut qu'on touche aux TPE ! 2h où on ne fait rien, même pas de la garderie, c'est quand même rare ! Et j'en ai encadré, j'en parle en connaissance de cause : on peut ne rien y faire, R-I-E-N.
- MoonchildSage
Bein si c'est clair : ce discours montre que le Président Hollande a enfin compris qu'il devait se méfier de ses liaisons et qu'il devait les éviter au maximum, parce que les liaisons, elles sont dangereuses.trompettemarine a écrit:J’ai craqué : un coup de masochisme comme ça pour rien, histoire de souffrir encore plus aujourd’hui. J’ai finalement retranscrit mot pour mot le discours de François Hollande retransmis dans l’émission C dans L’air d'aujourd'hui.
Calvi : "Aux P.S., il n’y aura visiblement pas de primaires."
ReportageFin du reportageLe Président de la République, M.Hollande a dit et non a écrit:
« Présider la République, c’est prendre chaque jour des décisions. Certaines répondent (sans la liaison) à l’urgence, d’autres ne produisent et ne produiront leurs effets que dans plusieurs années. Et alors ? C’est ma responsabilité que de les prendre. La République, ce sont d’abord des Institutions, la République, ce qui nous permet d’avoir des règles en commun [sic]. La République, c’est (sans la liaison) aussi un système de valeurs dont on ne peut pas détacher l’une par rapport à l’autre, prendre ce qui nous intéresse dans la République. Dans ma fonction et à ma tâche, je ne peux participer au débat public autant que parfois je le désirerais. Je me retiens, mais je suis (sans la liaison) attentif à son déroulement, à ce qui se dit. J’entends, comme vous d’ailleurs, des discours flatter les passions, attiser des tensions, creuser des divisions. Et c’est pourquoi je m’exprime aussi aujourd’hui. Je sais la désespérance qui peut s’emparer de certains esprits. Si on ne croit plus (sans la liaison) à rien, alors on peut croire au pire. Si finalement rien ne vaut, alors pourquoi ne pas prendre une option qui nous rappelle le passé ? Je sais bien ce que peut (sans la liaison) être un moment l’attitude de tout rejeter, de tout écarter, de tout balancer, parce qu’on n’en peut plus. Alors, mon obligation, parce que je suis un Républicain attaché à l’idée de mon pays, c’est qu’il n’y a pas de temps à perdre et que l’erreur, ce serait simplement d’attendre que l’emploi reparte mécaniquement. Et puis y a [sic] le défi de la mondialisation, parce que le monde, il est pas [sic] facile et parfois il est pas [sic] gentil et on peut pas [sic] penser qu’il va nous laisser une place. La concurrence est rude, la compétition est féroce, sur le plan économique -nous le savons !- parce que des pays veulent prendre également leur place et ils en ont bien le droit, avec leurs moyens propres. Alors, nous avons le devoir aussi de faire en sorte que la finance, j’en avais parlé, puisse être mise au service de l’économie réelle. Je vais me citer, pardonnez-moi de cette prétention, (mais comme souvent on me ramène au discours du Bourget, je ne peux m’empêcher d’aller aux meilleures sources, c’est dire [sic] les miennes !). Après les réformes de structure, après les réformes d’urgence, disais-je à cette époque, nous pourrons redistribuer ce que nous aurons créé, ce que nous aurons fabriqué, ce que nous aurons engagé, ce que le pays aura pu par son redressement, favoriser. Voilà les temps qui doivent être proposés, d’abord le redressement, ensuite, la redistribution. Mon projet, ma feuille de route figurent en toutes lettres et je demande à chacun de se rapporter au discours du Bourget ou, pour ceux qui le préfèreraient au discours de Carcassonne."
Calvi : "c’est troublant ! non !"
Barbier : "Non, c’est clair."
Voilà, pour moi ce n’est pas clair.
- IphigénieProphète
Je confirme:Cripure a écrit:Mais évidemment que personne ne veut qu'on touche aux TPE ! 2h où on ne fait rien, même pas de la garderie, c'est quand même rare ! Et j'en ai encadré, j'en parle en connaissance de cause : on peut ne rien y faire, R-I-E-N.
c'est vrai, en tant que prof et en temps qu'élève: le "machin" idéal.
- IphigénieProphète
trompettemarine a écrit:J’ai craqué : un coup de masochisme comme ça pour rien, histoire de souffrir encore plus aujourd’hui. J’ai finalement retranscrit mot pour mot le discours de François Hollande retransmis dans l’émission C dans L’air d'aujourd'hui.
Calvi : "Aux P.S., il n’y aura visiblement pas de primaires."
ReportageLe Président de la République, M.Hollande a dit et non a écrit:
« Présider la République, c’est prendre chaque jour des décisions. Certaines répondent (sans la liaison) à l’urgence, d’autres ne produisent et ne produiront leurs effets que dans plusieurs années. Et alors ? C’est ma responsabilité que de les prendre. La République, ce sont d’abord des Institutions, la République, ce qui nous permet d’avoir des règles en commun [sic]. La République, c’est (sans la liaison) aussi un système de valeurs dont on ne peut pas détacher l’une par rapport à l’autre, prendre ce qui nous intéresse dans la République. Dans ma fonction et à ma tâche, je ne peux participer au débat public autant que parfois je le désirerais. Je me retiens, mais je suis (sans la liaison) attentif à son déroulement, à ce qui se dit. J’entends, comme vous d’ailleurs, des discours flatter les passions, attiser des tensions, creuser des divisions. Et c’est pourquoi je m’exprime aussi aujourd’hui. Je sais la désespérance qui peut s’emparer de certains esprits. Si on ne croit plus (sans la liaison) à rien, alors on peut croire au pire. Si finalement rien ne vaut, alors pourquoi ne pas prendre une option qui nous rappelle le passé ? Je sais bien ce que peut (sans la liaison) être un moment l’attitude de tout rejeter, de tout écarter, de tout balancer, parce qu’on n’en peut plus. Alors, mon obligation, parce que je suis un Républicain attaché à l’idée de mon pays, c’est qu’il n’y a pas de temps à perdre et que l’erreur, ce serait simplement d’attendre que l’emploi reparte mécaniquement. Et puis y a [sic] le défi de la mondialisation, parce que le monde, il est pas [sic] facile et parfois il est pas [sic] gentil et on peut pas [sic] penser qu’il va nous laisser une place. La concurrence est rude, la compétition est féroce, sur le plan économique -nous le savons !- parce que des pays veulent prendre également leur place et ils en ont bien le droit, avec leurs moyens propres. Alors, nous avons le devoir aussi de faire en sorte que la finance, j’en avais parlé, puisse être mise au service de l’économie réelle. Je vais me citer, pardonnez-moi de cette prétention, (mais comme souvent on me ramène au discours du Bourget, je ne peux m’empêcher d’aller aux meilleures sources, c’est dire [sic] les miennes !). Après les réformes de structure, après les réformes d’urgence, disais-je à cette époque, nous pourrons redistribuer ce que nous aurons créé, ce que nous aurons fabriqué, ce que nous aurons engagé, ce que le pays aura pu par son redressement, favoriser. Voilà les temps qui doivent être proposés, d’abord le redressement, ensuite, la redistribution. Mon projet, ma feuille de route figurent en toutes lettres et je demande à chacun de se rapporter au discours du Bourget ou, pour ceux qui le préfèreraient au discours de Carcassonne."
Voilà:
C'est sûr que Démosthène n'est pas son modèle.
et on voudrait qu'il se préoccupe de la culture des collégiens ...
- DaphnéDemi-dieu
Olympias a écrit:Ils sont consternants et totalement décalés
Je ne supporte plus du tout ces émissions où tout le monde, c'est-à-dire n'importe qui pour peu qu'il n'y connaisse rien, s'exprime sur l'Education !
A quand des émissions sur l'Ecole avec des professeurs de terrain ?
- Thalia de GMédiateur
Itou. Et en ce moment je sature un maximum.Daphné a écrit:Olympias a écrit:Ils sont consternants et totalement décalés
Je ne supporte plus du tout ces émissions où tout le monde, c'est-à-dire n'importe qui pour peu qu'il n'y connaisse rien, s'exprime sur l'Education !
A quand des émissions sur l'Ecole avec des professeurs de terrain ?
- WabiSabiHabitué du forum
Iphigénie a écrit:trompettemarine a écrit:J’ai craqué : un coup de masochisme comme ça pour rien, histoire de souffrir encore plus aujourd’hui. J’ai finalement retranscrit mot pour mot le discours de François Hollande retransmis dans l’émission C dans L’air d'aujourd'hui.
Calvi : "Aux P.S., il n’y aura visiblement pas de primaires."
ReportageLe Président de la République, M.Hollande a dit et non a écrit:
« Présider la République, c’est prendre chaque jour des décisions. Certaines répondent (sans la liaison) à l’urgence, d’autres ne produisent et ne produiront leurs effets que dans plusieurs années. Et alors ? C’est ma responsabilité que de les prendre. La République, ce sont d’abord des Institutions, la République, ce qui nous permet d’avoir des règles en commun [sic]. La République, c’est (sans la liaison) aussi un système de valeurs dont on ne peut pas détacher l’une par rapport à l’autre, prendre ce qui nous intéresse dans la République. Dans ma fonction et à ma tâche, je ne peux participer au débat public autant que parfois je le désirerais. Je me retiens, mais je suis (sans la liaison) attentif à son déroulement, à ce qui se dit. J’entends, comme vous d’ailleurs, des discours flatter les passions, attiser des tensions, creuser des divisions. Et c’est pourquoi je m’exprime aussi aujourd’hui. Je sais la désespérance qui peut s’emparer de certains esprits. Si on ne croit plus (sans la liaison) à rien, alors on peut croire au pire. Si finalement rien ne vaut, alors pourquoi ne pas prendre une option qui nous rappelle le passé ? Je sais bien ce que peut (sans la liaison) être un moment l’attitude de tout rejeter, de tout écarter, de tout balancer, parce qu’on n’en peut plus. Alors, mon obligation, parce que je suis un Républicain attaché à l’idée de mon pays, c’est qu’il n’y a pas de temps à perdre et que l’erreur, ce serait simplement d’attendre que l’emploi reparte mécaniquement. Et puis y a [sic] le défi de la mondialisation, parce que le monde, il est pas [sic] facile et parfois il est pas [sic] gentil et on peut pas [sic] penser qu’il va nous laisser une place. La concurrence est rude, la compétition est féroce, sur le plan économique -nous le savons !- parce que des pays veulent prendre également leur place et ils en ont bien le droit, avec leurs moyens propres. Alors, nous avons le devoir aussi de faire en sorte que la finance, j’en avais parlé, puisse être mise au service de l’économie réelle. Je vais me citer, pardonnez-moi de cette prétention, (mais comme souvent on me ramène au discours du Bourget, je ne peux m’empêcher d’aller aux meilleures sources, c’est dire [sic] les miennes !). Après les réformes de structure, après les réformes d’urgence, disais-je à cette époque, nous pourrons redistribuer ce que nous aurons créé, ce que nous aurons fabriqué, ce que nous aurons engagé, ce que le pays aura pu par son redressement, favoriser. Voilà les temps qui doivent être proposés, d’abord le redressement, ensuite, la redistribution. Mon projet, ma feuille de route figurent en toutes lettres et je demande à chacun de se rapporter au discours du Bourget ou, pour ceux qui le préfèreraient au discours de Carcassonne."
Voilà:
C'est sûr que Démosthène n'est pas son modèle.
et on voudrait qu'il se préoccupe de la culture des collégiens ...
Beurk. C'est déjà douloureux à entendre, mais alors à lire ça fait carrément saigner les yeux!
Quand on pense aux discours de Mitterand ou de Gaulle, quelle pitié...
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