La déscolarisation volontaire

http://www.enfant.com/votre-bebe-0-1an/0-3mois/Le-premier-cri-de-bebe.html

mathildea a écrit:Ma fille n'a pas crié en naissant, à la maison. Le fils d'une de mes amies, né dans une piscine prévue à cet effet, chez elle, est né en dormant. Là aussi il y a beaucoup d'idées reçues, puisque notre connaissance de l'enfant et de son arrivée sur terre se limite depuis quelques décennies à ce qu'il se passe dans les institutions médicales. Il y a plusieurs films sur la naissance naturelle à visionner,  pour changer notre idée de l'arrivée sur terre. Celui là par exemple est magnifique: Naissance sans violence
La science se plante complètement en menant ses expériences dans les laboratoires clos et aseptisés que sont les hôpitaux...

Heureusement que vous, vous savez. La Vérité vous fut révélée.

Je suis personnellement ravi de bénéficier des services des hôpitaux quand je suis malade (ainsi que des médecins généralistes et spécialistes et des dentistes), malgré leurs défauts.

mathildea a écrit:C'est marrant d'un coup je suis devenue la mère de Dylan. Soit...

Je ne me considère pas comme la propriétaire de mes enfants, si quelqu'un d'autre intervient avec sympathie pour lui expliquer, à sa manière, en quoi il pense que ce n'est pas une bonne idée de shooter dans des boîtes de conserves, je n'aurais juste rien à y redire. Par contre s'il l'agresse je prendrais sa défense comme pour les autres enfants qu'on maltraite.

Oui, je me doute que si la personne intervient comme vous, vous êtes d'accords, mais ce n'est pas ce que j'ai dit.
Je reprends la situation :
Vous arrivez au supermarché, votre enfant de 3 ans se met à jouer au foot avec les boîtes de conserve dans l'allée.
Vous vous lancez dans votre discours :
"Oh, mon chéri, ce tas de conserves a été soigneusement monté par quelqu'un, cette  personne est maintenant occupée à faire autre chose, et elle aimerait bien pouvoir continuer sans avoir à remettre les boîtes de conserve en place, que le bruit du métal sur le carrelage fait sursauter certaines personnes. C'est une expérience désagréable pour certains, et il  faut bien reconnaître que c'est un jeu très rigolo, on pourra en faire un à la maison...."
et là, une personne intervient très courtoisement, vous fait remarquer que votre enfant à trois ans ne peut pas comprendre votre discours, que vous lui apprenez à ne pas assumer ses actes, à gâcher la nourriture, et lui demande fermement de ramasser la boîte de conserve abîmée car les coups de pied l'ont cabossée et rendent invendable, et vous demande tout aussi fermement de la payer.
Comment réagissez-vous?

(et j'ai ben dit "fermement" pas en hurlant, pas en menaçant...)

Ces besoins sont simples: de l'amour, de l'attention, de soins, une nourriture saine, des jeux, de la liberté, apprendre sans entrave. L'école ne propose pas ces conditions, pourtant évidentes.

La majorité des familles ne propose pas non plus ces conditions.

Sinon, quel est votre expérience de l'enfance (hors livre de propagande) pour en tirer ces conclusions ?

mathildea a écrit:N'en déplaise aux neurosciences, je ne suis pas du tout d'accord avec cette idée. Un enfant comprend très tôt l'essentiel. Quand on est attentif à ses besoins, il est lui même naturellement porté à prendre en compte ceux de l'Autre.
Maintenant des parents commencent, avant l'acquisition du langage, à communiquer par le langage des signes -il y a un bouquin, Signe moi, là dessus. Une petite fille de moins de un an, est venu prévenir sa maman que ma fille s'était fait mal, qu'elle avait besoin de soin, là dehors, et vite. Par les signes. Les enfants sont extrêmement intelligents et altruistes. C'est cette idée là qui a du mal à émerger. On cherche à dresser leurs mauvais penchants, ignorant toute leur bonne volonté de faire bien.

Mais bien sûr... Et vous vous appuyez sur quoi, pour dire ça, à part des discours généralisateurs ("L'Enfant", "L'Autre") et creux ? Quelle expérience ? Quelles connaissances solides ? Quels fondements scientifiques ?

Je suis le fil depuis le début et je m'en mêle à la 10è page ! Mathilde et Sylvain, je suis comme beaucoup de collègues en accord sur le principe et la théorie de ce que vous prônez, dans l'absolu et au pays des Bisounours.
Néanmoins, vous êtes vous-même (comme nous tous ici) issus de cette scolarisation que vous dénigrez aujourd'hui. Quoique vous vous en défendiez, c'est cette école "liberticide et contraignante" qui vous a fourni les outils pour penser et le recul nécessaire pour "tuer le père" et construire un autre modèle d'éducation/instruction. Si vous aviez porté ce même discours sans jamais être passé par les bancs de l'école républicaine, ces paroles auraient eu une autre résonance. Pourquoi donc refuser aux générations futures ce dont vous avez bénéficié vous-même ?

D'autre part, il est peu constructif, mis à part s'il s'agit de faire du buzz médiatique, de vous en prendre aux agents de l'éducation nationale. Pourquoi ne pas prendre rendez-vous avec le DASEN de la Savoie afin de lui exposer votre vision de l'éducation ? Lui, une fois convaincu, serait plus à même que nous pauvres grouillots de base, de porter votre parole plus haut. Vous pouvez également prendre contact à cet effet avec les nombreux IEN et IPR du département et de l'Académie. Ou vous montez en association de parents d'élèves pour noyauter de l'intérieur. Vous disposeriez d'une tribune bien plus visible alors !

Une autre solution serait de donner l'exemple (construire au lieu de déconstruire sans modèle concret). Pourquoi ne pas (et là je suis sérieuse) créer une association qui élèverait/éduquerait/instruirait des enfants selon ces principes ? Une autre "école" hors contrat et dont vous pourriez ainsi au monde entier prouver les bienfaits ?
Si je puis me permettre de vous conseiller d'élargir le champ d'observation duquel se nourrissent vos propositions, je vous invite ainsi à donner de votre temps à des associations diverses s'occupant autant d'alphabétisation, de (ré)insertion, d'aide aux familles sans logement et/ou allophones. Peut être pourriez-vous réadapter vos propositions à un monde plus concret et hélas bien loin des théories philosophiques.



Et dernièrement, pour fréquenter à titre personnel (nous enseignants avons une vie en dehors du travail qui nourrit notre famille) plusieurs familles non-sco et pratiquant l'éducation bienveillante, j'ai tout de même constaté qu'il s'agissait d'un milieu lui-même éduqué et capable de transmettre à leurs enfants sans passer par la scolarisation habituelle. Peut être que votre vision nouvelle d'une autre éducation est biaisée par le fait que votre observation se cantonne au milieu socio-culturel dans lequel vous naviguez. Dans mon métier, pour voir la plupart du temps des enfants qui n'ont que l'école pour se structurer, sortir de la grande misère sociale et financière, dont pour certains d'entre eux les parents ont traversé les frontières au péril de leur vie pour donner d'autres chances à leurs enfants que celles qu'ils ont eu (ou pas...) eux-mêmes, je me dis avec effroi que ceux-là resteraient au bord du chemin, chez nous comme dans leur village d'origine.

Excellente intervention Labaroline.

labaroline a écrit:Je suis le fil depuis le début et je m'en mêle à la 10è page ! Mathilde et Sylvain, je suis comme beaucoup de collègues en accord sur le principe et la théorie de ce que vous prônez, dans l'absolu et au pays des Bisounours.
Néanmoins, vous êtes vous-même (comme nous tous ici)  issus de cette scolarisation que vous dénigrez aujourd'hui. Quoique vous vous en défendiez, c'est cette école "liberticide et contraignante" qui vous a fourni les outils pour penser et le recul nécessaire pour "tuer le père" et construire un autre modèle d'éducation/instruction. Si vous aviez porté ce même discours sans jamais être passé par les bancs de l'école républicaine, ces paroles auraient eu une autre résonance. Pourquoi donc refuser aux générations futures ce dont vous avez bénéficié vous-même ?

D'autre part, il est peu constructif, mis à part s'il s'agit de faire du buzz médiatique, de vous en prendre aux agents de l'éducation nationale. Pourquoi ne pas prendre rendez-vous avec le DASEN de la Savoie afin de lui exposer votre vision de l'éducation ? Lui, une fois convaincu, serait plus à même que nous pauvres grouillots de base, de porter votre parole plus haut. Vous pouvez également prendre contact à cet effet avec les nombreux IEN  et IPR du département et de l'Académie. Ou vous montez en association de parents d'élèves pour noyauter de l'intérieur. Vous disposeriez d'une tribune bien plus visible alors !

Une autre solution serait de donner l'exemple (construire au lieu de déconstruire sans modèle concret). Pourquoi ne pas (et là je suis sérieuse) créer une association qui élèverait/éduquerait/instruirait des enfants selon ces principes ? Une autre "école" hors contrat et dont vous pourriez ainsi au monde entier prouver les bienfaits ?
Si je puis me permettre de vous conseiller d'élargir le champ d'observation duquel se nourrissent vos propositions, je vous invite ainsi à donner de votre temps à des associations diverses s'occupant autant d'alphabétisation, de (ré)insertion, d'aide aux familles sans logement et/ou allophones. Peut être pourriez-vous réadapter vos propositions à un monde plus concret et hélas bien loin des théories philosophiques.



Et dernièrement, pour fréquenter à titre personnel (nous enseignants avons une vie en dehors du travail qui nourrit notre famille) plusieurs familles non-sco et pratiquant l'éducation bienveillante, j'ai tout de même constaté qu'il s'agissait d'un milieu lui-même éduqué et capable de transmettre à leurs enfants sans passer par la scolarisation habituelle. Peut être que votre vision nouvelle d'une autre éducation est biaisée par le fait que votre observation se cantonne au milieu socio-culturel dans lequel vous naviguez. Dans mon métier, pour voir la plupart du temps des enfants qui n'ont que l'école pour se structurer, sortir de la grande misère sociale et financière, dont pour certains d'entre eux les parents ont traversé les frontières au péril de leur vie pour donner d'autres chances à leurs enfants que celles qu'ils ont eu (ou pas...) eux-mêmes, je me dis avec effroi que ceux-là resteraient au bord du chemin, chez nous comme dans leur village d'origine.

Avant de reprendre fil de cette discussion, j'aimerais partager une remarque de Sylvain-Senzu, qui n'ayant pas le de s'exprimer avec mon compte m'a quand même fait suivre son écrit.
Non. Ce message a déjà été supprimé, la modération a ses limites aussi et notre charte est très claire à ce sujet :

d) Chaque compte ouvert sur neoprofs ne doit correspondre qu'à une seule personne : pour des raisons d'administration et de lisibilité, il n'est pas autorisé de partager un même compte entre deux ou plusieurs personnes.

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Si on m'interdit aussi de citer Sylvain, il faudra pour être équitable interdire aussi les citations d'Alice Miller, Krishnamurti et Jan Hunt, n'étant pas inscrits sur ce forum et n'appartenant pas au cercle fermé des Élus de l’Éducation nationale!!!

Que de subterfuges pour que la parole soit libérée! Pourquoi je ne suis pas bannie, moi? En quoi mes propos diffèrent? Cette exclusion est totalement arbitraire, pourquoi ne pas revenir en arrière? En tant qu'éducateur politique et populaire libre et autonome, Sylvain n'appartient pas à la communauté éducative au sens large???

Des verroux, toujours... De quoi avez vous peur, cette parole est donc si brûlante qu'elle vous met en danger, derrière vos écrans??? Vos fondements ne sont-ils pas assez solides pour admettre des idées qui s'y opposent??? Doit-on toujours parler des mêmes sujets dans un cercle fermé, entre convaincus, sans réelle objection qui vienne ébranler nos certitudes?

labaroline a écrit:Je suis le fil depuis le début et je m'en mêle à la 10è page ! Mathilde et Sylvain, je suis comme beaucoup de collègues en accord sur le principe et la théorie de ce que vous prônez, dans l'absolu et au pays des Bisounours.
Néanmoins, vous êtes vous-même (comme nous tous ici)  issus de cette scolarisation que vous dénigrez aujourd'hui. Quoique vous vous en défendiez, c'est cette école "liberticide et contraignante" qui vous a fourni les outils pour penser et le recul nécessaire pour "tuer le père" et construire un autre modèle d'éducation/instruction. Si vous aviez porté ce même discours sans jamais être passé par les bancs de l'école républicaine, ces paroles auraient eu une autre résonance. Pourquoi donc refuser aux générations futures ce dont vous avez bénéficié vous-même ?

D'autre part, il est peu constructif, mis à part s'il s'agit de faire du buzz médiatique, de vous en prendre aux agents de l'éducation nationale. Pourquoi ne pas prendre rendez-vous avec le DASEN de la Savoie afin de lui exposer votre vision de l'éducation ? Lui, une fois convaincu, serait plus à même que nous pauvres grouillots de base, de porter votre parole plus haut. Vous pouvez également prendre contact à cet effet avec les nombreux IEN  et IPR du département et de l'Académie. Ou vous montez en association de parents d'élèves pour noyauter de l'intérieur. Vous disposeriez d'une tribune bien plus visible alors !

Une autre solution serait de donner l'exemple (construire au lieu de déconstruire sans modèle concret). Pourquoi ne pas (et là je suis sérieuse) créer une association qui élèverait/éduquerait/instruirait des enfants selon ces principes ? Une autre "école" hors contrat et dont vous pourriez ainsi au monde entier prouver les bienfaits ?
Si je puis me permettre de vous conseiller d'élargir le champ d'observation duquel se nourrissent vos propositions, je vous invite ainsi à donner de votre temps à des associations diverses s'occupant autant d'alphabétisation, de (ré)insertion, d'aide aux familles sans logement et/ou allophones. Peut être pourriez-vous réadapter vos propositions à un monde plus concret et hélas bien loin des théories philosophiques.



Et dernièrement, pour fréquenter à titre personnel (nous enseignants avons une vie en dehors du travail qui nourrit notre famille) plusieurs familles non-sco et pratiquant l'éducation bienveillante, j'ai tout de même constaté qu'il s'agissait d'un milieu lui-même éduqué et capable de transmettre à leurs enfants sans passer par la scolarisation habituelle. Peut être que votre vision nouvelle d'une autre éducation est biaisée par le fait que votre observation se cantonne au milieu socio-culturel dans lequel vous naviguez. Dans mon métier, pour voir la plupart du temps des enfants qui n'ont que l'école pour se structurer, sortir de la grande misère sociale et financière, dont pour certains d'entre eux les parents ont traversé les frontières au péril de leur vie pour donner d'autres chances à leurs enfants que celles qu'ils ont eu (ou pas...) eux-mêmes, je me dis avec effroi que ceux-là resteraient au bord du chemin, chez nous comme dans leur village d'origine.

:aau:

J'espère que je ne serai pas bannie d'ici ce soir, car il y a matière à réponse mais là, je fais une pause...

mathildea a écrit:
Des verroux, toujours... De quoi avez vous peur, cette parole est donc si brûlante qu'elle vous met en danger, derrière vos écrans??? Vos fondements ne sont-ils pas assez solides pour admettre des idées qui s'y opposent??? Doit-on toujours parler des mêmes sujets dans un cercle fermé, entre convaincus, sans réelle objection qui vienne ébranler nos certitudes?

Vous arrivez, vous nous dites votre vérité et il faudrait qu'on démissionne immédiatement et qu'on se flagelle sans vous remettre en cause, sans discuter de vos idées et des nôtres ?
Mais la vie, ce n'est pas ça. Je ne suis pas entièrement d'accord, je ne suis pas entièrement contre, vous n'êtes pas plus dieu que moi, aucun de nous n'a la vérité absolue.
Avez-vous imaginé un jour que vous puissiez avoir tort? Que vous vous fourvoyez? Parce que moi oui! Je n'ai aucune certitude, par contre je côtoie la réalité de l'enfance et de l'éducation tous les jours et je lis sans parti-pris des livres sur l'éducation de tous bords.

Non. Simplement, vos paroles veulent s'imposer avec violence et vos idées aussi , tout en prétendant le contraire. Pire, en prétendant que vous détenez la vérité et que si nous nous y opposons, ce n'est pas par réflexion ou expérience, mais par fermeture d'esprit. J'ai toujours entendu dire que celui qui prétendait détenir LA vérité seul était dangereux.

Je constate également que nous sommes deux à vous avoir demandé pourquoi vous n'allez pas voir les IA ou les rectorats et aucune réponse. Je trouve que cela en dit long, bien que j'ai conscience que vous avez beaucoup de réactions à lire et à répondre.

J'en ai également assez de voir démolir mes valeurs, mes intentions, mes rêves, alors que vous ne connaissez ni cela, ni moi-même. Vous ignorez qui je suis, de quel milieu je viens, quelles expériences j'ai faites ou je fais, pourquoi je ne suis devenue enseignante, de LC en prime. J'essaye de faire l'effort de vous comprendre, de me décentrer, mais je vois que cela n'est pas partagé, parce que que mon métier me résume pour vous et que vous ne nous expliquez pas non plus qui vous êtes intérieurement : quelles sont vos motivation,s vos expériences, votre pensée interne, pas celle du mouvement que vous représentez ? Je parlais de formatage tout à l'heure: aucune réponse dessus, alors que nous sommes, tous, formatés, d'une manière ou d'une autre.

Mon métier fait partie de ma vie, intégrante, mais il ne me résume pas. J'apprécierais grandement d'être considérée comme un être humain, égal à vous-même, pas comme un agent décérébré d'une propagande étatique sans réflexion aucune qui mériterait le "pardon" (dont, encore une fois, je n'ai rien à faire. La notion est quelque peu judéo-chrétienne en prime, ce qui m'horripile.) d'un être extérieur. Si pardon il doit y avoir, je suis la seule à pouvoir me l'accorder. Je lis un peu sur la méditation et c'est cela que je retiens, entre autre chose.

Par ailleurs, je ne suis ni ne serai sans doute parfaite (aux yeux de qui, d'ailleurs ?) mais j'estime avoir assez d'humilité et de modestie, comme beaucoup sur ce forum, pour le savoir sans qu'on me le dise avec en prime une telle condescendance et un tel mépris. Et si un parent, un quidam quelconque s'avise de me le faire savoir à coups de petsec, la chose chose qu'il aura sera une plainte. Je ne perdrai pas de temps à examiner ses motifs.

Mathildea est bannie, elle ne nous répondra donc pas.

Je pense qu'ils vont revenir

Ils ne reviendront pas. :diable:

Et ils ne répondront pas plus à nos questions qu'ils ne l'ont fait jusqu'à présent.

Et ça m'agace sérieusement d'ailleurs.

De toute façon il n'y avait aucun dialogue; ils sont des élus qui ont reçu la Vérité, eux. Je pense qu'on peut verrouiller le fil.

Oui. Marre d'être prise pour une espèce de truc à écraser sous la semelle.

Aussitôt bannie, aussitôt publié un billet sur leur site. C'est à se demander si, en mal d'inspiration, ils n'ont pas fait incursion ici pour relancer la muse. Et toujours aucune possibilité de commentaire sur leur site, comme quoi, le dialogue c'est valable uniquement chez les autres !
Je suis frustrée également de n'avoir pas de réponse aux questions posées qui étaient pourtant simples.

"Obtenir enfin sa part de pouvoir sur autrui (en devant, Prof, Élu, Parent, Patron, Propriétaire,...), non, ça n'est pas devenir adulte, c'est juste devenir un *** parmi les connards de ce monde." sur leur site l'article juste en dessous.

Chez moi, ça s'appelle de la diffamation à fonctionnaire. Manifestement, quand on est pas d'accord avec eux, quand on ose faire partie du "système", on est un ***.

Je hurle ou je pleure ?

On attend la création d'un troisième compte ?

On parie ?