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- Docteur OXGrand sage
Notre collègue Jacques Portes, président honoraire de l’APHG, professeur émérite d’histoire nord-américaine à l’Université de Paris 8 Saint-Denis, fait part d’une affaire très inquiétante pour la liberté de recherche et d’expression dans l’Université française.
http://www.aphg.fr/Une-these-insoutenable-a-l
- ShajarVénérable
Moui, avant de récriminer et d'hurler à la censure, j'aimerai bie connaître le fond de l'affaire. Parce que des trucs pas politiquement corrects et insoutenables, on en soutient quand même beaucoup.
- keroGrand sage
Curieuse affaire.
En effet, il conviendrait de savoir en quoi consistent les "expressions jugées inappropriées". Je me demande aussi ce qu'il faut comprendre par "étudiant atypique".
En effet, il conviendrait de savoir en quoi consistent les "expressions jugées inappropriées". Je me demande aussi ce qu'il faut comprendre par "étudiant atypique".
- ÆnésidèmeNiveau 6
Al-qalam a écrit:Moui, avant de récriminer et d'hurler à la censure, j'aimerai bie connaître le fond de l'affaire. Parce que des trucs pas politiquement corrects et insoutenables, on en soutient quand même beaucoup.
On trouve la thèse en question sur le site de référencement (le titre enregistré est moins accrocheur que le titre de soutenance). A priori, ça n'a absolument rien à voir avec un nouveau Faurisson... C'est en effet inquiétant comme retournement de dernière minute.
- ShajarVénérable
Thèse non soutenue mais déjà publiée...
http://livre.fnac.com/a8056982/David-Azoulay-Hollywood-le-pretre-et-le-nabab
Avec une bio qui explique le "atyique", sans doute
http://livre.fnac.com/a8056982/David-Azoulay-Hollywood-le-pretre-et-le-nabab
Avec une bio qui explique le "atyique", sans doute
David Azoulay, après avoir occupé des postes à responsabilités en entreprise, est depuis plus de 20 ans consultant en stratégie d’entreprise. Il a été également professeur de marketing et de stratégie au Celsa, à Sciences Po et au Cnam. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages sur l’entreprise, notamment : « Gérer la relation entreprise/salariés » aux éditions Liaisons et « Construire son propre marketing » aux éditions Studyrama. Passionné de cinéma américain, il a voulu inscrire sa nouvelle recherche historique dans les débats actuels autour de la religion.
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
C'est quand même s'exposer aux foudres des écoles doctorales que de proposer à la soutenance un ouvrage déjà publié!
Même si je ne connais pas bien les règles juridiques en la matière, je comprends au moins la colère de ceux qui en ont interdit la soutenance.
Et, comme le dit bien Al-qalam, il y aurait sans doute beaucoup à faire dans les autorisations de soutenance. L'histoire a cette vilaine habitude de laisser soutenir des thèses très mauvaises à la condition que le candidat soit "atypique" et n'ait donc aucune velléité de carrière. Ce qui aboutit à l'idée que n'importe qui peut soutenir une thèse en histoire (ce qui n'est malheureusement pas loin d'être vrai).
Même si je ne connais pas bien les règles juridiques en la matière, je comprends au moins la colère de ceux qui en ont interdit la soutenance.
Et, comme le dit bien Al-qalam, il y aurait sans doute beaucoup à faire dans les autorisations de soutenance. L'histoire a cette vilaine habitude de laisser soutenir des thèses très mauvaises à la condition que le candidat soit "atypique" et n'ait donc aucune velléité de carrière. Ce qui aboutit à l'idée que n'importe qui peut soutenir une thèse en histoire (ce qui n'est malheureusement pas loin d'être vrai).
- AshtrakFidèle du forum
Je ne suis pas historien mais l'article donné en référence précise : "Le doctorant abordait entre autres la question des Juifs et des Arabes au regard du cinéma américain. Qu’il l’ait fait de manière plus ou moins satisfaisante, c’est au jury qu’il revenait d’en juger, pas à l’administration qui a, faisant jouer sans doute le principe de précaution, interdit en toute bonne conscience le débat intellectuel."
Il me semble que l'autocensure, si cela devait être le cas, est une très mauvaise idée.
Il me semble que l'autocensure, si cela devait être le cas, est une très mauvaise idée.
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Un âne dit toujours ce qu'il pense : hi-han !
- ShajarVénérable
Sauf que l'article de l'APHG suggère, mais reste bien flou.
Par exemple ceci :
Enfin, on note les mentions qui suggèrent que ladite thèse est une grosse daube :
Ca, ajouté au fait que la décision est très exceptionnelle, que, comme le dit Marcel, les thèses d'histoire nullissime d' "étudiants atypiques" sont légion, et que l'étudiant a déjà PUBLIE !!! sa thèse... On peut attendre une autre version avant de se prononcer, peut-être.
Par exemple ceci :
Ca veut dire quoi ? Qui a parlé d'"expression inappropriées" ? La fac pour justifier le refus ? A qui ?
Les motifs de ce refus tiennent essentiellement à l’emploi d’expressions jugées inappropriées, comprendre susceptibles de jeter l’émoi dans certains cercles.
On est visiblement ici dans la pure spéculation, probablement suggérée par le directeur de thèse (par ailleurs ancien président de l'APHG). Il a sans doute le droit d'être énervé, mais n'est peut-être pas la personne la plus neutre du monde, et le site de l'APHG pas le médium le plus objectif non plus.
Plus que la personne de l’auteur, étudiant atypique, c’est le sujet de la thèse,[...] qui est à l’évidence la principale raison de cet ajournement, décidé afin d’éviter des incidents sur un campus sous haute tension.
Enfin, on note les mentions qui suggèrent que ladite thèse est une grosse daube :
Déclaré digne d’être soutenu - ce qui ne veut pas dire sans défauts - par les deux pré-rapporteurs de son jury,
Qu’il l’ait fait de manière plus ou moins satisfaisante, c’est au jury qu’il revenait d’en juger
Ca, ajouté au fait que la décision est très exceptionnelle, que, comme le dit Marcel, les thèses d'histoire nullissime d' "étudiants atypiques" sont légion, et que l'étudiant a déjà PUBLIE !!! sa thèse... On peut attendre une autre version avant de se prononcer, peut-être.
- keroGrand sage
Parmi ces "étudiants atypiques", il me semble que beaucoup font une "thèse" pour se donner une caution scientifique sans être réellement dans une démarche de recherche. Je ne dis pas que c'est le cas de ce personnage, mais ce qu'il ressort de tout cela jusque là donne un peu ce sentiment. Particulièrement le fait qu'elle soit publiée avant soutenance.
On a aussi des directeurs de thèse qui ne considèrent que d'assez loin leur "thésard", sans s'intéresser outre mesure au détail des travaux. Et sont ensuite étonnés lorsqu'au dernier moment, un problème survient.
À noter que la version publiée fait 300 pages. Ça fait très court, pour une thèse d'histoire. À moins que toutes les notes de bas de page et la bibliographie aient été supprimés (et encore...).
On a aussi des directeurs de thèse qui ne considèrent que d'assez loin leur "thésard", sans s'intéresser outre mesure au détail des travaux. Et sont ensuite étonnés lorsqu'au dernier moment, un problème survient.
À noter que la version publiée fait 300 pages. Ça fait très court, pour une thèse d'histoire. À moins que toutes les notes de bas de page et la bibliographie aient été supprimés (et encore...).
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
kero a écrit:Parmi ces "étudiants atypiques", il me semble que beaucoup font une "thèse" pour se donner une caution scientifique sans être réellement dans une démarche de recherche. Je ne dis pas que c'est le cas de ce personnage, mais ce qu'il ressort de tout cela jusque là donne un peu ce sentiment. Particulièrement le fait qu'elle soit publiée avant soutenance.
On a aussi des directeurs de thèse qui ne considèrent que d'assez loin leur "thésard", sans s'intéresser outre mesure au détail des travaux. Et sont ensuite étonnés lorsqu'au dernier moment, un problème survient.
Absolument, et tout cela discrédite à la fois le doctorat en général (qui n'en a pourtant pas besoin) et celui d'histoire en particulier.
- keroGrand sage
Notons qu'un problème supplémentaire là-dedans vient du fait qu'à partir du moment où une thèse passe devant un jury, on sait très bien que le grade de docteur est quasi assuré. Normalement cela ne pose pas (trop) de problème, si le directeur de recherche a fait son boulot correctement - autrement dit, n'autorise pas le passage avant que la thèse soit correcte.
Pour peu que ce ne soit pas le cas, on se trouve face à des situations difficiles. On sait parfaitement qu'un rapporteur ne déclarera jamais une thèse insoutenable, dès lors qu'un directeur de recherche lui a demandé d'être rapporteur et qu'ensuite, le jury accordera les plus belles palmes académiques à toute thèse qui lui passe devant - ce particulièrement si le directeur a quelque influence.
Pour peu que ce ne soit pas le cas, on se trouve face à des situations difficiles. On sait parfaitement qu'un rapporteur ne déclarera jamais une thèse insoutenable, dès lors qu'un directeur de recherche lui a demandé d'être rapporteur et qu'ensuite, le jury accordera les plus belles palmes académiques à toute thèse qui lui passe devant - ce particulièrement si le directeur a quelque influence.
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
Si on connaît un peu les codes, on peut quand même savoir si une thèse "vaut" quelque chose ou pas (avec le système des félicitations par exemple, même si évidemment le choix du jury en amont peut considérablement discréditer de telles félicitations).
- CondorcetOracle
Il y a un moyen quasi infaillible de savoir si une thèse vaut quelque chose ou non : la lire ! C'était la lapalissade du matin !
Il a publié sa thèse avant de soutenir : il a juste précédé la manoeuvre :lol: . Quand on pense que la maison d'édition universitaire demande quelquefois à l'auteur de trouver des financements (aide à la publication et autres)....
Il a publié sa thèse avant de soutenir : il a juste précédé la manoeuvre :lol: . Quand on pense que la maison d'édition universitaire demande quelquefois à l'auteur de trouver des financements (aide à la publication et autres)....
- CarnyxNeoprof expérimenté
Qui les lit ?Condorcet a écrit:Il y a un moyen quasi infaillible de savoir si une thèse vaut quelque chose ou non : la lire ! C'était la lapalissade du matin !
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Of all tyrannies, a tyranny sincerely exercised for the good of its victims may be the most oppressive. It would be better to live under robber barons than under omnipotent moral busybodies. The robber baron’s cruelty may sometimes sleep, his cupidity may at some point be satiated; but those who torment us for our own good will torment us without end for they do so with the approval of their own conscience.
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
Condorcet a écrit:Quand on pense que la maison d'édition universitaire demande quelquefois à l'auteur de trouver des financements (aide à la publication et autres)....
Effectivement, on demande de l'argent à des universitaires, mais on ouvre grand les portes pour lui
Mais bon, il faut croire que certains savent y faire et connaissent les bonnes personnes.
Carnyx a écrit:Qui les lit ?Condorcet a écrit:Il y a un moyen quasi infaillible de savoir si une thèse vaut quelque chose ou non : la lire ! C'était la lapalissade du matin !
Un de mes efforts quotidiens est de ne surtout pas me poser cette question
- ChewbaccaNiveau 3
Marcel Khrouchtchev a écrit:Un de mes efforts quotidiens est de ne surtout pas me poser cette question
(Le pire, c'est que même certains membres du jury de thèse ne lisent pas l'ensemble de la thèse… )
- CarnyxNeoprof expérimenté
Ce qui semble les intéresser, c'est plutôt de vérifier si tous leurs précieux articles sont bien cités par l'impétrant.Chewbacca a écrit:Marcel Khrouchtchev a écrit:Un de mes efforts quotidiens est de ne surtout pas me poser cette question
(Le pire, c'est que même certains membres du jury de thèse ne lisent pas l'ensemble de la thèse… )
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Of all tyrannies, a tyranny sincerely exercised for the good of its victims may be the most oppressive. It would be better to live under robber barons than under omnipotent moral busybodies. The robber baron’s cruelty may sometimes sleep, his cupidity may at some point be satiated; but those who torment us for our own good will torment us without end for they do so with the approval of their own conscience.
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
Carnyx a écrit:Ce qui semble les intéresser, c'est plutôt de vérifier si tous leurs précieux articles sont bien cités par l'impétrant.Chewbacca a écrit:Marcel Khrouchtchev a écrit:Un de mes efforts quotidiens est de ne surtout pas me poser cette question
(Le pire, c'est que même certains membres du jury de thèse ne lisent pas l'ensemble de la thèse… )
Et vu que les membres du jury sont choisis en amont, cela ne pose généralement pas de problème
- ChewbaccaNiveau 3
:lol:
Ce qui fait que, dans les cas où le jury est défini tardivement, on s'inquiète de n'avoir pas cité tel article obscur ou tel livre pourri… Et, dit-on, certains bidouillent un peu la biblio in extremis…
Ce qui fait que, dans les cas où le jury est défini tardivement, on s'inquiète de n'avoir pas cité tel article obscur ou tel livre pourri… Et, dit-on, certains bidouillent un peu la biblio in extremis…
- Marie LaetitiaBon génie
Chewbacca a écrit:Marcel Khrouchtchev a écrit:Un de mes efforts quotidiens est de ne surtout pas me poser cette question
(Le pire, c'est que même certains membres du jury de thèse ne lisent pas l'ensemble de la thèse… )
Parce qu'il y en a qui la lisent en entier? :shock:
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Si tu crois encore qu'il nous faut descendre dans le creux des rues pour monter au pouvoir, si tu crois encore au rêve du grand soir, et que nos ennemis, il faut aller les pendre... Aucun rêve, jamais, ne mérite une guerre. L'avenir dépend des révolutionnaires, mais se moque bien des petits révoltés. L'avenir ne veut ni feu ni sang ni guerre. Ne sois pas de ceux-là qui vont nous les donner (J. Brel, La Bastille)
Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. [...] Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout...
Et on ne dit pas "voir(e) même" mais "voire" ou "même".
- keroGrand sage
Marie Laetitia a écrit:Chewbacca a écrit:Marcel Khrouchtchev a écrit:Un de mes efforts quotidiens est de ne surtout pas me poser cette question
(Le pire, c'est que même certains membres du jury de thèse ne lisent pas l'ensemble de la thèse… )
Parce qu'il y en a qui la lisent en entier? :shock:
Si, quand même.
Les membres de mon jury de thèse ont été exemplaires, à commencer par mes directrices.
- ChewbaccaNiveau 3
Les miens aussi globalement… Quelques remarques ont quand même fait sursauter mon directeur : "Euh oui, enfin, ça, c'est dans la dernière partie de la thèse"
D'après lui, les femmes seraient moins légères que les hommes bien établis dans la profession. Les quelques exemples de "superstar" ne lisant pas toute la thèse concernent en effet des hommes.
D'après lui, les femmes seraient moins légères que les hommes bien établis dans la profession. Les quelques exemples de "superstar" ne lisant pas toute la thèse concernent en effet des hommes.
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
kero a écrit:Marie Laetitia a écrit:Chewbacca a écrit:
(Le pire, c'est que même certains membres du jury de thèse ne lisent pas l'ensemble de la thèse… )
Parce qu'il y en a qui la lisent en entier? :shock:
Si, quand même.
Les membres de mon jury de thèse ont été exemplaires, à commencer par mes directrices.
Pareil. Ma soutenance a été un moment incroyablement stimulant, les discussions étaient critiques, justifiées, appuyées de références paginées, c'était vraiment super.
- OlympiasProphète
Jacques Portes ne se permettrait pas de donner un avis s'il ne connaissait rien au contexte de l'Université dont il est professeur émérite. Tous ses travaux font autorité. En outre, il ne fait pas partie des gens "énervés", ceux dont la température augmente pour un rien.Al-qalam a écrit:Sauf que l'article de l'APHG suggère, mais reste bien flou.
Par exemple ceci :
Ca veut dire quoi ? Qui a parlé d'"expression inappropriées" ? La fac pour justifier le refus ? A qui ?
Les motifs de ce refus tiennent essentiellement à l’emploi d’expressions jugées inappropriées, comprendre susceptibles de jeter l’émoi dans certains cercles.
On est visiblement ici dans la pure spéculation, probablement suggérée par le directeur de thèse (par ailleurs ancien président de l'APHG). Il a sans doute le droit d'être énervé, mais n'est peut-être pas la personne la plus neutre du monde, et le site de l'APHG pas le médium le plus objectif non plus.
Plus que la personne de l’auteur, étudiant atypique, c’est le sujet de la thèse,[...] qui est à l’évidence la principale raison de cet ajournement, décidé afin d’éviter des incidents sur un campus sous haute tension.
Enfin, on note les mentions qui suggèrent que ladite thèse est une grosse daube :
Déclaré digne d’être soutenu - ce qui ne veut pas dire sans défauts - par les deux pré-rapporteurs de son jury,
Qu’il l’ait fait de manière plus ou moins satisfaisante, c’est au jury qu’il revenait d’en juger
Ca, ajouté au fait que la décision est très exceptionnelle, que, comme le dit Marcel, les thèses d'histoire nullissime d' "étudiants atypiques" sont légion, et que l'étudiant a déjà PUBLIE !!! sa thèse... On peut attendre une autre version avant de se prononcer, peut-être.
Si une thèse est nullissime, le prétendant au titre de docteur ne doit pas obtenir ce titre. Jacques Portes ne se prononce pas sur le contenu mais sur une question de forme. C'est très différent.
- CondorcetOracle
Marcel Khrouchtchev a écrit:kero a écrit:Marie Laetitia a écrit:
Parce qu'il y en a qui la lisent en entier? :shock:
Si, quand même.
Les membres de mon jury de thèse ont été exemplaires, à commencer par mes directrices.
Pareil. Ma soutenance a été un moment incroyablement stimulant, les discussions étaient critiques, justifiées, appuyées de références paginées, c'était vraiment super.
Itou.
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