- SergeMédiateur
Cléroli a écrit:F.Lemoine a écrit:Pourquoi ?Cléroli a écrit:
L'idée d'un 18/20 ne me semble guère réalisable non plus.
Parce qu'elle ne sera pas suivie.
Je ne parierai pas là dessus. :lol: Beaucoup sont intéressés dans mon établissement, bien des Néos pensent pouvoir la faire aussi et relayer le mot d'ordre. C'est percutant, facile à mettre en place et ça ne coute pas une journée de salaire pour rien.
Et quand bien même nous serions peu, cela suffirait pour fausser le système de "tri" des élèves, surtout niveau examen, orientation, etc. Donc l'EN devra réagir, car ça posera souci dans la gestion des dossiers pour aller dans tel ou tel établissement si tout le monde est accepté, etc.
De plus, je ne la comprends pas très bien : si j'ai bien lu les propos échangés (merci de rectifier en cas d'erreur), il s'agit, par ce biais, de permettre aux familles de réfléchir, ce que je traduis de la façon suivante "on met des bonnes notes à vos enfants pour protester contre les reformes prévues en vous invitant à vous joindre à nous dans notre protestation".
Il me semble que personne n'a dit ça. On a évoqué la symbolique du 18 comme l'appel du 18 juin pour résister, 18 comme pour appeler les secours et crier alerte, faire parler de la réforme dans les médias et cela sans pénaliser les élèves.
Pas du tout, ça marcherait aussi en cochant "acquis" à tous et pour tout dans les collège sans note. Puisque c'est justement vers l'école des fans que nous allons. Et l'équivalent plus "parlant" est bien le 18 ou le 20/20.En tant que parent, j'en retire les infos suivantes : les notes ne servent à rien et pire, sont manipulables (vive la classe sans note au moins cette hypocrisie sera levée);
Même si c'est secondaire, ça embêtera en plus les élites qui nous pondent ce genre de réforme égalitaire de façade, tout en veillant à ce que leur enfant soit au-dessus du lot, eux. Ça les embêterait bien finalement que Kevinou du 75 ait autant que cherimoncoeur.
les profs râlent une nouvelle fois contre une réforme mais sans dire pourquoi (ils n'ont pas vraiment d'argument à avancer mais doivent craindre pour leurs avantages, bien fait pour eux); les enfants sont "pris en otage" via les notes mais elles sont bonnes donc on s'en fout au final.
Comment imagines-tu une seule seconde que les collègues qui se lanceraient dans cette opération (très simple à réaliser en plus) ne communiquent pas auprès des parents sur les motivations et les enjeux qu'implique cette réforme sur l'avenir des enfants ? Et les arguments à faire valoir, ils sont nombreux, et de tous ordres. Ca marquera bien plus en initiative de ce genre, avec explication, qu'un mouvement de grève avec des mots d'ordre confus, et qui n'est que rarement expliquée aux parents, là.
Autant ne pas tourner autour du pot et clamer haut et fort notre opposition. Je pense que ce que craint le gvt, c'est avant tout le bruit de la foule.
Justement, le but est de faire du bruit. Pas de mettre 18/20 dans son coin sans rien dire. On informe les parents et la presse. Même si tous ne suivaient pas, il peut suffire d'une poignée pour gripper le système des sélections (ça tombe bien, il parait que l'école ne doit pas servir à ça, allons au bout de leur logique) et ça fait rapidement tache d'huile dès que c'est relayé dans les médias. :journal:
- caroletteNeoprof expérimenté
A quand une grève unifiée primaire-secondaire ?
- JaneMonarque
Ça tombe bien en ces temps de liaison CM2-6ème: une idée à creuser.
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"Il n'est pas une vérité qui ne porte avec elle son amertume." (A. Camus)
- F.LemoineÉrudit
Serge a écrit:Cléroli a écrit:F.Lemoine a écrit:
Pourquoi ?
Parce qu'elle ne sera pas suivie.
Je ne parierai pas là dessus.
Je confirme.
- jluc1910Niveau 5
ça promet des jours heureux cette réforme...
2016 : mise en place des EPI (dont les heures seront prises sur les horaires disciplinaires)
2017 : Sarkozy et sa clique reviennent au pouvoir, le nouveau ministre de l'EN (à moins que Châtel rempile ?) vire les EPI qui n'auront pas fait leurs preuves (comme toutes les "réformes" précédentes) mais évidemment ne redonne pas les heures disciplinaires perdues et hop : 20% d'économies d'heures profs et donc de postes ! A croire que le PS prépare le terrain pour leurs collègues de l'UMP...
2016 : mise en place des EPI (dont les heures seront prises sur les horaires disciplinaires)
2017 : Sarkozy et sa clique reviennent au pouvoir, le nouveau ministre de l'EN (à moins que Châtel rempile ?) vire les EPI qui n'auront pas fait leurs preuves (comme toutes les "réformes" précédentes) mais évidemment ne redonne pas les heures disciplinaires perdues et hop : 20% d'économies d'heures profs et donc de postes ! A croire que le PS prépare le terrain pour leurs collègues de l'UMP...
- CleroliDoyen
Merci pour tes explications, Serge.
Ceci dit, si je prends l'exemple que je connais, mon lycée en l'occurrence, mon scepticisme demeure. En term, je mets ma main à couper que personne ou presque ne suivra ce mot d'ordre vu les enjeux (c'et déjà ce qu'on entend pour justifier la non participation aux jours de grève). En 2de et 1ère les parents seront ravis (les parents de monchéri s'en moqueront de savoir que leur fils n'est pas seul à obtenir la filière souhaitée ou les félicitations et du moment où il n'en est pas privé).
Après, s'il s'agit d'un symbole, cela ne va pas avoir un réel impact (à la rigueur qq secondes dans un JT -et encore).
Je garde en mémoire un mouvement avorté, celui du refus de transmettre les notes du bac (début années 2000). Dans mon lycée, nous étions tous partants pour ce boycott et au final nous les avons données .... le cœur gros (et le porte monnaie léger vu les jours de grève accumulés). Certes, les risques étaient importants, ce qui n'est pas le cas de l'appel du 18, mais la presse n'en avait cure et à part nous (les profs), tout le monde s'en moquait au point que ce mouvement était passé inaperçu en dehors des lycées.
Ceci dit, si je prends l'exemple que je connais, mon lycée en l'occurrence, mon scepticisme demeure. En term, je mets ma main à couper que personne ou presque ne suivra ce mot d'ordre vu les enjeux (c'et déjà ce qu'on entend pour justifier la non participation aux jours de grève). En 2de et 1ère les parents seront ravis (les parents de monchéri s'en moqueront de savoir que leur fils n'est pas seul à obtenir la filière souhaitée ou les félicitations et du moment où il n'en est pas privé).
Après, s'il s'agit d'un symbole, cela ne va pas avoir un réel impact (à la rigueur qq secondes dans un JT -et encore).
Je garde en mémoire un mouvement avorté, celui du refus de transmettre les notes du bac (début années 2000). Dans mon lycée, nous étions tous partants pour ce boycott et au final nous les avons données .... le cœur gros (et le porte monnaie léger vu les jours de grève accumulés). Certes, les risques étaient importants, ce qui n'est pas le cas de l'appel du 18, mais la presse n'en avait cure et à part nous (les profs), tout le monde s'en moquait au point que ce mouvement était passé inaperçu en dehors des lycées.
- cignusNiveau 5
Non seulement il y aura des économies de postes, mais en plus, comme ils nous diront que les élèves ont pas leur quota d'heures...jluc1910 a écrit:ça promet des jours heureux cette réforme...
2016 : mise en place des EPI (dont les heures seront prises sur les horaires disciplinaires)
2017 : Sarkozy et sa clique reviennent au pouvoir, le nouveau ministre de l'EN (à moins que Châtel rempile ?) vire les EPI qui n'auront pas fait leurs preuves (comme toutes les "réformes" précédentes) mais évidemment ne redonne pas les heures disciplinaires perdues et hop : 20% d'économies d'heures profs et donc de postes ! A croire que le PS prépare le terrain pour leurs collègues de l'UMP...
36 semaines de cours actuellement * 3h d'EPI qu'ils vont virer = 108h par an en moins pour les élèves (et surtout pour les profs) !!! inacceptable, les profs doivent donc travailler 108 / 18 = 6 semaines de plus ...
_________________
2014-20xx : Maths Tx Je m'éclate au collège...
2013-2014 : Maths R2 - 2nde - 1STMG - TSTMG - BTS CGO
2012-2013 : Maths R1 - 6èmes + 4èmes
2011-2012 : SII-SIN - 1ère STI2D + T-STI
1995-2011 : G. Electronique - 2nde-1ère-Tales-BTS-Licence-Ecoles_ingé
- User5899Demi-dieu
J'entends bien, mais je ne comprends pas comment une négociation peut être bloquée quand les majoritaires sont unis.Daphné a écrit:C'est le message qu'on a voulu faire passer.ycombe a écrit:Lorsque des négociations sur un projet sont bloquées, autrement dit que la seule marge négociable ne concerne pas ce qui est inacceptable, je ne vois pas d'autre solution que de prendre la porte et d'essayer de créer un rapport de force pour inverser la tendance. Rester, c'est aussi laisser dire que le projet est supportable.
- GrypheMédiateur
Parce que le projet est trop éloigné de quelque chose qui serait SNALCO- ou SNESO-compatible. Enfin il me semble.Cripure a écrit:J'entends bien, mais je ne comprends pas comment une négociation peut être bloquée quand les majoritaires sont unis.
- OudemiaBon génie
J'apprends que le SNES inclut la réforme du collège dans la grève du 9 : si une grève spécifique est lancée ensuite (par le SNALC ?) cette dernière fera double emploi...Daphné a écrit:Cléroli a écrit:La réponse est peut-être (sûrement) une grève massive le 9 ?
La grève du 9 n'a rien à voir avec la réforme du collège.
C'est une grève interprofessionnelle contre l'austérité, je ne vois pas ce que les cheminots ou les infirmières, pour ne prendre qu'eux, ont à voir avec ça.
Pff, et pourtant il faut bouger : on parle d'une action avec les parents d'élèves, ceux de la base.
- JEMSGrand Maître
Contactez la FCPE... ok je suis déjà dehors
- ylmExpert spécialisé
Sur le site des cahiers pédagogiques:
Donc c'est clair: le ministère se contrefout de l'avis des syndicats qui représentent 80% des enseignants.
A propos de la réforme du collège justement, les discussions entre le ministère et les syndicats continuent et les débats sont houleux. Hier soir, certains d’entre eux dont le SNES et le SNALC ont quitté la table des négociations avec fracas et plan com. Dans une de ses dépêches, l’AEF (accès à la totalité de l’article avec abonnement) nous révèle ce que lui a confié l’entourage de la ministre à propos de l’attitude de ces deux syndicats. Et ça décoiffe !
« "Le chemin dans lequel le Snes veut nous emmener va à l’encontre de la philosophie de la réforme du collège", indique à AEF l’entourage de Najat VallaudBelkacem, au sortir de l’ultime négociation avec les syndicats le 31 mars 2015. Alors que le Snes a quitté la séance avant la fin, le ministère souhaite "expliquer pourquoi ce syndicat se trompe" sur plusieurs points : "en donnant au chef d’établissement l’image d’un monstre ; en affirmant que l’autonomie des établissements est contraire à leurs principes et que le calendrier de négociation est trop serré." Les projets de décret et arrêté sur l’organisation du collège sont présentés ce mercredi en CSL. "Ces textes peuvent encore évoluer. Nous avons toujours répondu présents quand on nous a demandé de changer l’organisation des langues ou des enseignements artistiques, car cela est fait pour rassurer les enseignants", ajoute le ministère.
"Ce groupe de travail avec les organisations syndicales a été difficile, ce n’était pas une surprise, mais nous voulons expliquer pourquoi nous pensons que le Snes se trompe", poursuit l’entourage de la ministre. D’abord, en véhiculant "l’image aujourd’hui un peu dépassée chez les enseignants de terrain selon laquelle le chef d’établissement est un monstre", ensuite avec "les 20 % d’autonomie, présentés aujourd’hui comme rédhibitoire alors que le Snes était d’accord sur ce principe…". Enfin, l’argument du "calendrier trop serré" pour négocier correctement une réforme aussi importante "ne tient pas", selon le ministère. "Les négociations ’off’ ont commencé en janvier ! Et les discussions multilatérales qui s’en sont suivies ont tenu compte de ces discussions préalables. Au total, nous en sommes donc à trois mois et demi de discussion, ce n’est pas un petit délai !" [...] L’entourage de la ministre ajoute que "poursuivre la négociation serait renoncer à faire la consultation des enseignants sur les programmes". Car "pour qu’un enseignant puisse donner son avis sur un programme, il faut qu’il ait connaissance de son horaire disciplinaire. Décaler la consultation à la rentrée par exemple mettrait tout le processus de formation en péril alors que la réforme du collège doit entrer en vigueur à la rentrée suivante". "Nous butons aujourd’hui sur la notion d’autonomie. Le Snes a une aversion pour les chefs d’établissement et il n’admet pas que le principe d’autonomie signifie autonomie d’une équipe. Il voudrait que chaque professeur ait tout son contenu défini depuis Paris et rien localement. Or les 2,75 heures en 2016 puis 3 heures professeur en 2017 représentent 55 heures puis 60 heures (si le collège compte 20 classes) qui permettront, selon les besoins de chaque collège, de dédoubler des classes. Qui d’autre que l’établissement peut prétendre être le mieux placé pour savoir quels niveaux seront les plus nécessiteux d’un dédoublement ? Ce n’est pas depuis Paris que nous allons le savoir ! C’est pourtant ce que le Snes demande."
[...] Au sujet du Snalc, il indique : "Nous ne commentons pas les critiques que nous adresse ce syndicat car le Snalc n’a qu’un souhait : que le collège reste tel qu’il est aujourd’hui, pour sauvegarder le tri des élèves à l’ancienne." FO est sur la même ligne "mais pour des raisons statutaires"
[...] En outre, poursuit le ministère, "le collège, ce n’est pas uniquement l’affaire des enseignants. Les programmes oui, mais le collège non. Les familles ont leur mot à dire sur l’organisation du collège, de même pour les collectivités locales, les personnels d’encadrement, l’enseignement privé ou les personnels non enseignants… Autant de représentants qui siègent au CSE et qui globalement sont pour la réforme, quand bien même le Snes voudrait voter contre". »
Source
Donc c'est clair: le ministère se contrefout de l'avis des syndicats qui représentent 80% des enseignants.
- RoninMonarque
Et je rajoute que l'entourage de la ministre ne comprend vraiment rien aux raisons des syndicats, logique vu qu'il ne comprend rien aux enseignants ni à ce métier.
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- BalthamosDoyen
Ce texte est effarant.
Les syndicats sont contre tout changement.
L'école est là pour les parents et nous travaillons avec eux, donc les enseignants devraient se taire.
Les syndicats sont contre tout changement.
L'école est là pour les parents et nous travaillons avec eux, donc les enseignants devraient se taire.
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- Spoiler:
- ErgoDevin
Ce texte est un cas d'école, quelque part...
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"You went to a long-dead octopus for advice, and you're going to blame *me* for your problems?" -- Once Upon a Time
"The gull was your ordinary gull." -- Wittgenstein's Mistress
« Cède, cède, cède, je le veux ! » écrivait Ronin, le samouraï. (Si vous cherchez un stulo-plyme, de l'encre, récap de juillet 2024)
- Presse-puréeGrand sage
Autonomie d'une équipe via les happy few du conseil peda? C'est une blague?
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Homines, dum docent, discunt.Sénèque, Epistulae Morales ad Lucilium VII, 8
"La culture est aussi une question de fierté, de rapport de soi à soi, d’esthétique, si l’on veut, en un mot de constitution du sujet humain." (Paul Veyne, La société romaine)
"Soyez résolus de ne servir plus, et vous voilà libres". La Boétie
"Confondre la culture et son appropriation inégalitaire du fait des conditions sociales : quelle erreur !" H. Pena-Ruiz
"Il vaut mieux qu'un élève sache tenir un balai plutôt qu'il ait été initié à la philosophie: c'est ça le socle commun" un IPR
- trompettemarineMonarque
ylm a écrit:Sur le site des cahiers pédagogiques:
[...] En outre, poursuit le ministère, "le collège, ce n’est pas uniquement l’affaire des enseignants. Les programmes oui, mais le collège non. Les familles ont leur mot à dire sur l’organisation du collège, de même pour les collectivités locales, les personnels d’encadrement, l’enseignement privé ou les personnels non enseignants… Autant de représentants qui siègent au CSE et qui globalement sont pour la réforme, quand bien même le Snes voudrait voter contre". »Source
Donc c'est clair: le ministère se contrefout de l'avis des syndicats qui représentent 80% des enseignants.
Je pense même que s'ils pouvaient enlever le "uniquement", ils le feraient.
- Hermione0908Modérateur
Donc ce texte explique doctement que tout le monde a le droit de dire et de faire ce qui lui chante sur le collège (surtout les parents et les collectivités locales hein, acteurs principaux s'il en est), excepté les enseignants, qui seraient bien aimables de faire ce qu'on leur demande en la mettant en sourdine si c'est pas trop exiger...
_________________
Certaines rubriques de Neoprofs.org sont en accès restreint.
Pour en savoir plus, c'est par ici : https://www.neoprofs.org/t48247-topics-en-acces-restreint-forum-accessible-uniquement-sur-demande-edition-2021
- Roumégueur IerÉrudit
Texte d'une rare violence (et d'une rare bêtise crasse), notre réaction sera à la hauteur...
- Blan6ineÉrudit
Hermione0908 a écrit:Donc ce texte explique doctement que tout le monde a le droit de dire et de faire ce qui lui chante sur le collège (surtout les parents et les collectivités locales hein, acteurs principaux s'il en est), excepté les enseignants, qui seraient bien aimables de faire ce qu'on leur demande en la mettant en sourdine si c'est pas trop exiger...
C'est vraiment comme cela que j'ai compris une des remarques des sénatrices à Luigi, quand on lui a demandé s'il était bien fonctionnaire...
- trompettemarineMonarque
Et bien la gauche, ce sera définitivement sans mon vote (risque de FN ou pas).
Jospin-Allègre-Peillon-VallaudBelkacem : trop de trahisons de l'école : quel aveuglement !
Jospin-Allègre-Peillon-VallaudBelkacem : trop de trahisons de l'école : quel aveuglement !
- lottaFidèle du forum
De toutes manières, tout le monde se permet de donner son avis sur les questions d'éducation. Finalement, chaque fois qu'il y a des réformes, l'avis des premiers intéressés (nous) compte peu.
Les associations de parents d'élèves sont devenues le lobby n°1 de l'Education Nationale.
La gauche nous a trahis en nous faisant croire qu'elle se préoccupait de l'école (ils sont où les 60 000 postes promis ? ) . Sarkozy nous méprisait, mais au moins, il le disait clairement.
Les associations de parents d'élèves sont devenues le lobby n°1 de l'Education Nationale.
La gauche nous a trahis en nous faisant croire qu'elle se préoccupait de l'école (ils sont où les 60 000 postes promis ? ) . Sarkozy nous méprisait, mais au moins, il le disait clairement.
- SergeMédiateur
Et ils représentent si peu les parents qui souvent ne comprennent pas ce que certaines réformes que prône la FCPE impliquent ...
- AudreyOracle
Blan6ine a écrit:Hermione0908 a écrit:Donc ce texte explique doctement que tout le monde a le droit de dire et de faire ce qui lui chante sur le collège (surtout les parents et les collectivités locales hein, acteurs principaux s'il en est), excepté les enseignants, qui seraient bien aimables de faire ce qu'on leur demande en la mettant en sourdine si c'est pas trop exiger...
C'est vraiment comme cela que j'ai compris une des remarques des sénatrices à Luigi, quand on lui a demandé s'il était bien fonctionnaire...
Que voulez-vous? Un fonctionnaire, c'est juste fait pour fonctionner.
- RoninMonarque
Mais non, 80 % des collègues vont continuer à roupiller sans rien voir de ce qui se passe.
_________________
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