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- ZazkFidèle du forum
J'ai à peu près tout écouté : chapeau à Luigi qui a su faire passer son message, sans avoir eu le temps, si j'ai bien compris, de préparer à l'avance tout ce qu'il avait à dire.
En revanche, j'ai du mal à supporter l'attitude souvent condescendante de ses interlocuteurs qui n'ont pas dû voir d'élèves depuis cinquante ans !
En revanche, j'ai du mal à supporter l'attitude souvent condescendante de ses interlocuteurs qui n'ont pas dû voir d'élèves depuis cinquante ans !
- ErgoDevin
Merci, Luigi.
J'ai bouilli devant mon écran à certains propos...
J'ai bouilli devant mon écran à certains propos...
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"You went to a long-dead octopus for advice, and you're going to blame *me* for your problems?" -- Once Upon a Time
"The gull was your ordinary gull." -- Wittgenstein's Mistress
« Cède, cède, cède, je le veux ! » écrivait Ronin, le samouraï. (Si vous cherchez un stulo-plyme, de l'encre, récap de juillet 2024)
- PhoebeNiveau 6
J'ai réussi au moins à écouter toutes les questions et je dis : bravo, Luigi ! D'autant que ça ressemblait à un tribunal plus qu'à une commission... :shock:Luigi_B a écrit:Bon en fait j'ai oublié plein de choses, mais disons que j'ai l'impression d'avoir mis les pieds dans le plat.
- Luigi_BGrand Maître
Je pollue le fil sur les langues anciennes... d'autant que j'avais prévu d'en parler et que je n'ai pas saisi les occasions de le faire. Il faut dire que j'ai pas eu besoin de ça pour être considéré comme un passéiste nostalgique.
Ergo, fil à sectionner !
Ergo, fil à sectionner !
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LVM Dernier billet : "Une École si distante"
- LefterisEsprit sacré
J'ai écouté Luigi . J'ai d'abord remarqué le français de Grosperrin, qui a du jouer jadis dans le sketch du schmilblik ("est-ce que le schmilblik est-il vert" ? .
Ensuite, la mauvaise foi partisane et hautaine des interlocuteurs , qui nient les faits d'une part, qui d'autre part font semblant de pas comprendre. Par exemple, quand il demande que l'institution fasse son travail pour permettre d'enseigner. C'est aussitôt l'argument bateau "la société a changé", bottant en touche les problèmes , et n'imaginant pas un seul instant que l'école puisse faire de la résistance face aux dérives au lieu de faire du suivisme ou de subir avec fatalisme. Ou faisant semblant de croire que d'être protégé dans sa fonction n'est pas incompatible avec le fait de ne pas vouloir être ouvrier, comme semble le sous- entendre Longuet, qu'il ne s'agit pas d'être cornaqué, mais mis en situation de faire son métier. Ou encore que critiquer le fait de mettre des élèves en difficulté devant des écrans, en leur disant de se débrouiller, ce n'est pas refuser de vivre avec son temps .
Il a eu bien du courage et de la patience de discuter avec ces nantis, qui n'ont aucune compétence supérieure aux enseignants pour parler de l'école, et qui ne sont là que parce que leur ambition les a fait monter dans les appareils de parti. Ce qui ne les empêche pas de pérorer avec le mépris hautain qu'on leur voit ici.
C'est d'ailleurs bien le drame de notre monde politique : la médiocrité alliée à une appétence immodérée pour son intérêt et ses ambitions personnelles, celles pour la République étant de toute manière mises sous l'éteignoir, puisque qu'on ne "peut rien faire" comme l'avait ingénument rappelé l'un d'eux , en parlant de l'Europe.
Ensuite, la mauvaise foi partisane et hautaine des interlocuteurs , qui nient les faits d'une part, qui d'autre part font semblant de pas comprendre. Par exemple, quand il demande que l'institution fasse son travail pour permettre d'enseigner. C'est aussitôt l'argument bateau "la société a changé", bottant en touche les problèmes , et n'imaginant pas un seul instant que l'école puisse faire de la résistance face aux dérives au lieu de faire du suivisme ou de subir avec fatalisme. Ou faisant semblant de croire que d'être protégé dans sa fonction n'est pas incompatible avec le fait de ne pas vouloir être ouvrier, comme semble le sous- entendre Longuet, qu'il ne s'agit pas d'être cornaqué, mais mis en situation de faire son métier. Ou encore que critiquer le fait de mettre des élèves en difficulté devant des écrans, en leur disant de se débrouiller, ce n'est pas refuser de vivre avec son temps .
Il a eu bien du courage et de la patience de discuter avec ces nantis, qui n'ont aucune compétence supérieure aux enseignants pour parler de l'école, et qui ne sont là que parce que leur ambition les a fait monter dans les appareils de parti. Ce qui ne les empêche pas de pérorer avec le mépris hautain qu'on leur voit ici.
C'est d'ailleurs bien le drame de notre monde politique : la médiocrité alliée à une appétence immodérée pour son intérêt et ses ambitions personnelles, celles pour la République étant de toute manière mises sous l'éteignoir, puisque qu'on ne "peut rien faire" comme l'avait ingénument rappelé l'un d'eux , en parlant de l'Europe.
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- doctor whoDoyen
DEux fils sur Loys au Sénat.
Faut fusionner, sinon, ça va charcler sur Twitter.... :wanted:
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Mon blog sur Tintin (entre autres) : http://popanalyse.over-blog.com/
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- ProvenceEnchanteur
J'aime beaucoup ce que tu dis, Luigi, au sujet de la dignité du professeur républicain. C'est très juste et très sensé.
- trompettemarineMonarque
Phoebe a écrit:J'ai réussi au moins à écouter toutes les questions et je dis : bravo, Luigi ! D'autant que ça ressemblait à un tribunal plus qu'à une commission... :shock:Luigi_B a écrit:Bon en fait j'ai oublié plein de choses, mais disons que j'ai l'impression d'avoir mis les pieds dans le plat.
Oui, j'ai eu aussi un peu cette sensation : ils (surtout certaines) posent des questions ou posent un jugement ?*
(*zeugme)
- Luigi_BGrand Maître
Le déni, à la toute fin, de la sénatrice PS à propos de D'Col m'a proprement sidéré. Elle n'avait visiblement pas connaissance de ce dispositif qui malheureusement existe et illustre à merveille les dérives du numérisme et du pédagogisme.
Le fait d'émettre une critique sur l'école numérique, même fondée, n'était visiblement pas possible.
Le fait d'émettre une critique sur l'école numérique, même fondée, n'était visiblement pas possible.
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LVM Dernier billet : "Une École si distante"
- PhoebeNiveau 6
Exactement !trompettemarine a écrit:Phoebe a écrit:J'ai réussi au moins à écouter toutes les questions et je dis : bravo, Luigi ! D'autant que ça ressemblait à un tribunal plus qu'à une commission... :shock:Luigi_B a écrit:Bon en fait j'ai oublié plein de choses, mais disons que j'ai l'impression d'avoir mis les pieds dans le plat.
Oui, j'ai eu aussi un peu cette sensation : ils (surtout certaines) posent des questions ou posent un jugement ?*
(*zeugme)
Rrrrrr, j'étais folle de rage que tu n'aies pas eu la possibilité de lui répondre d'ailleurs !Luigi_B a écrit:Le déni, à la toute fin, de la sénatrice PS à propos de D'Col m'a proprement sidéré.
- RoninMonarque
Peut-on lutter contre le dogmatisme ?
- Spoiler:
- Parménide, tu as quatre heures
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- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
Ronin a écrit:Peut-on lutter contre le dogmatisme ?
- Spoiler:
Parménide, tu as quatre heures
Sans pour autant dogmatiser la lutte?
- User17706Bon génie
Approbation sans réserveLuigi_B a écrit: - en refusant, dans l'esprit de Condorcet de considérer que l'école a pour mission de transmettre des "valeurs" (terme très ambigu), même républicaines, parce que la République ne doit elle-même pas être un objet de culte ou de vénération, mais de construction et de perpétuel renouvellement. Bref, qu'on ne doit pas exiger de l'école qu'elle impose une soumission, mais qu'elle conduise, par l'instruction, vers un consentement éclairé.
- User5899Demi-dieu
Groupie, va !! :lol!:Mélu a écrit:Luigi est très bien. Je n'ai pas écouté les questions.
C'est pas bien de dénigrer les profs d'EPS agrégés hors-classe bisontinsLefteris a écrit:J'ai écouté Luigi . J'ai d'abord remarqué le français de Grosperrin, qui a du jouer jadis dans le sketch du schmilblik ("est-ce que le schmilblik est-il vert" ? .
- User5899Demi-dieu
La dure lutte sera finale, dogmatique et quinquennale, ou ne sera pasMarcel Khrouchtchev a écrit:Ronin a écrit:Peut-on lutter contre le dogmatisme ?
- Spoiler:
Parménide, tu as quatre heures
Sans pour autant dogmatiser la lutte?
- ycombeMonarque
Si quelqu'un veut archiver la video, elle vient de là:
http://flvog.tdf-cdn.com/7325/VOD/commission/2015/AC20150326-05-ceeducation-bonod.flv
(Download Helper la récupère aussi, si on préfère)
http://flvog.tdf-cdn.com/7325/VOD/commission/2015/AC20150326-05-ceeducation-bonod.flv
(Download Helper la récupère aussi, si on préfère)
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Assurbanipal: "Passant, mange, bois, divertis-toi ; tout le reste n’est rien".
Franck Ramus : "Les sciences de l'éducation à la française se font fort de produire un discours savant sur l'éducation, mais ce serait visiblement trop leur demander que de mettre leur discours à l'épreuve des faits".
- VioletEmpereur
J'aurais dû me contenter d'écouter Luigi...
Les questions... mon dieu... les questions... que de mauvaise foi...
Les questions... mon dieu... les questions... que de mauvaise foi...
- RoninMonarque
Marcel Khrouchtchev a écrit:Ronin a écrit:Peut-on lutter contre le dogmatisme ?
- Spoiler:
Parménide, tu as quatre heures
Sans pour autant dogmatiser la lutte?
Toi je t'aime camarade maoïste
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- Asha KrakenNeoprof expérimenté
PauvreYorick a écrit:Approbation sans réserveLuigi_B a écrit: - en refusant, dans l'esprit de Condorcet de considérer que l'école a pour mission de transmettre des "valeurs" (terme très ambigu), même républicaines, parce que la République ne doit elle-même pas être un objet de culte ou de vénération, mais de construction et de perpétuel renouvellement. Bref, qu'on ne doit pas exiger de l'école qu'elle impose une soumission, mais qu'elle conduise, par l'instruction, vers un consentement éclairé.
+ 1, merci pour la bouffée d'air frais anti-catéchisme (fût-il républicain).
Edit ortho
- MarillionEsprit éclairé
Est-on réellement représenté(s) par ces gens-là ? Parce que, si oui, je ne vais plus voter : quelle condescendance, quel mépris pour toi, d'abord, pour nous, ensuite !
Des regards échangés entre elles, des regards hauts, non mais !! Oh ! vous êtes ici parce que vous nous représentez, peu importe le bord politique. Mais quand on regarde l'âge, on comprend tout de suite : dépassés, largués, ça parle d'école d'il y a bien longtemps... et ça ose nous faire des leçons !! Une pure honte !!
Sont-ce les mêmes qui conseillent @najat pour la réforme ? Rassurez-moi !
Des regards échangés entre elles, des regards hauts, non mais !! Oh ! vous êtes ici parce que vous nous représentez, peu importe le bord politique. Mais quand on regarde l'âge, on comprend tout de suite : dépassés, largués, ça parle d'école d'il y a bien longtemps... et ça ose nous faire des leçons !! Une pure honte !!
Sont-ce les mêmes qui conseillent @najat pour la réforme ? Rassurez-moi !
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
Cripure a écrit:La dure lutte sera finale, dogmatique et quinquennale, ou ne sera pasMarcel Khrouchtchev a écrit:Ronin a écrit:Peut-on lutter contre le dogmatisme ?
- Spoiler:
Parménide, tu as quatre heures
Sans pour autant dogmatiser la lutte?
Ronin a écrit:Marcel Khrouchtchev a écrit:Sans pour autant dogmatiser la lutte?Ronin a écrit:Peut-on lutter contre le dogmatisme ?
- Spoiler:
Parménide, tu as quatre heures
Toi je t'aime camarade maoïste
- Spoiler:
- Moi aussi
- Luigi_BGrand Maître
Merci !PauvreYorick a écrit:Approbation sans réserveLuigi_B a écrit: - en refusant, dans l'esprit de Condorcet de considérer que l'école a pour mission de transmettre des "valeurs" (terme très ambigu), même républicaines, parce que la République ne doit elle-même pas être un objet de culte ou de vénération, mais de construction et de perpétuel renouvellement. Bref, qu'on ne doit pas exiger de l'école qu'elle impose une soumission, mais qu'elle conduise, par l'instruction, vers un consentement éclairé.
Ma réponse étant improvisée, j'ai quand même relu le premier Mémoire sur l'instruction publique de retour chez moi. J'ai bien senti que ça jetait un froid dans la commission, comme si j'avais dit un gros mot.
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LVM Dernier billet : "Une École si distante"
- ErgoDevin
Question d'âge ? Non, question d'idéologie. On parle d'une haine des disciplines et d'une haine de la pédagogie.Marillion a écrit: Mais quand on regarde l'âge, on comprend tout de suite : dépassés, largués, ça parle d'école d'il y a bien longtemps... et ça ose nous faire des leçons !!
Et en effet, merci Luigi, pour le rappel à Condorcet.
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« Cède, cède, cède, je le veux ! » écrivait Ronin, le samouraï. (Si vous cherchez un stulo-plyme, de l'encre, récap de juillet 2024)
- User5899Demi-dieu
Mais c'est un gros mot ! Quand en CA j'invoque un principe républicain, je sens bien que je choquerais moins en faisant un strip-tease !Luigi_B a écrit:j'ai quand même relu le premier Mémoire sur l'instruction publique de retour chez moi. J'ai bien senti que ça jetait un froid dans la commission, comme si j'avais dit un gros mot.
- LefterisEsprit sacré
Schéhérazade a écrit:Lefteris a écrit:J'ai écouté Luigi . J'ai d'abord remarqué le français de Grosperrin, qui a du jouer jadis dans le sketch du schmilblik ("est-ce que le schmilblik est-il vert" ? .
Ensuite, la mauvaise foi partisane et hautaine des interlocuteurs , qui nient les faits d'une part, qui d'autre part font semblant de pas comprendre. Par exemple, quand il demande que l'institution fasse son travail pour permettre d'enseigner. C'est aussitôt l'argument bateau "la société a changé", bottant en touche les problèmes , et n'imaginant pas un seul instant que l'école puisse faire de la résistance face aux dérives au lieu de faire du suivisme ou de subir avec fatalisme. Ou faisant semblant de croire que d'être protégé dans sa fonction n'est pas incompatible avec le fait de ne pas vouloir être ouvrier, comme semble le sous- entendre Longuet, qu'il ne s'agit pas d'être cornaqué, mais mis en situation de faire son métier. Ou encore que critiquer le fait de mettre des élèves en difficulté devant des écrans, en leur disant de se débrouiller, ce n'est pas refuser de vivre avec son temps .
Il a eu bien du courage et de la patience de discuter avec ces nantis, qui n'ont aucune compétence supérieure aux enseignants pour parler de l'école, et qui ne sont là que parce que leur ambition les a fait monter dans les appareils de parti. Ce qui ne les empêche pas de pérorer avec le mépris hautain qu'on leur voit ici.
C'est d'ailleurs bien le drame de notre monde politique : la médiocrité alliée à une appétence immodérée pour son intérêt et ses ambitions personnelles, celles pour la République étant de toute manière mises sous l'éteignoir, puisque qu'on ne "peut rien faire" comme l'avait ingénument rappelé l'un d'eux , en parlant de l'Europe.
Entièrement d'accord.
Merci, Liugi, d'avoir fait ce qu'il fallait, d'avoir dit ce qui se passe, et qu'ils ne veulent pas savoir. Et il faut en effet avoir les nerfs à rude épreuve, face à tant de cécité volontaire, de morgue et de mauvaise foi.
Je ne sais pas commet est arrivé le "puisque que..."
Mais dans une autre vie, de syndicaliste, j'en ai rencontré, j'ai été auditionné par une commission de l'Assemblée, j'ai rencontré des politiques. On sent qu'ils sont pris dans un système idéologique, ou qu'ils s'en foutent, ou qu'ils sont déconnectés, que tout ça est une formalité, quand la machine est en marche. On joue là des carrières, des places, il faut faire semblant d'agir. Dans les hautes sphères du syndicalisme, c'est un peu pareil d'ailleurs...
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Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
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- Philippe Meirieu et Loys Bonod dans Rue des Ecoles le 09 avril 2014 à 15h.
- Jean-Paul Brighelli (19h) et Loys Bonod (20h) sur Europe 1 ce lundi 26 mars 2012
- Les mises à jour du site "Vive la vie moderne !" de Luigi B.
- Une interview d'un neo sur le blog En Aparté
- Mercredi 13 juin sur France Culture : Rue des Écoles sur "Les écrans dans les écoles" avec Jean-Rémi Girard et Loys Bonod.
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