Capes externe LM 2015 : le fil des candidats.

La chance moussaillon. Bon courage à tous, y compris les philosophes (demain également je crois).

Plein de bonnes ondes à vous !

Venez nous raconter comment cela s'est passé et quels étaient les sujets !

Le théâtre, un texte d'Oliver Py
impossible de dégager une problématique digne de ce nom, mon plan est tout bancal


je vais me pendre, je reviens

Courage à tous !

Jul', n'oublie pas que les autres candidats ont pu aussi être décontenancés que toi. Et il reste demain. Haut les coeurs !

Par curiosité, quel était le texte ?

jul' a écrit:Le théâtre, un texte d'Oliver Py
impossible de dégager une problématique digne de ce nom, mon plan est tout bancal  


je vais me pendre, je reviens

Il ne faut pas se décourager, c'est comme ça pour tout le monde ! L'année dernière, on était tous déçus par nos prestations, problèmatiques mal structurées, plans vides... Et ça n'a pas empêché à certains d'avoir d'excellents résultats ! L'épreuve de langue française a aussi son importance ! Rien n'est perdu !!

6 heures, c'est sportif! J'ai fini juste à temps, je n'ai pas eu le temps de tout relire, ce qui me désespère!

Et je suis morte de peur pour demain!

mobo a écrit:Et je suis morte de peur pour demain!

C'est normal ! Je n'étais pas très doué en grammaire et stylistique. Assez gauche dans mes formulations, trop verbeuses... Mais tu verras, tu peux tomber sur un texte qui t'inspire et qui te permet de réussir ! J'en garde un bon souvenir, personnellement : Bizarrement, l'épreuve peut se révéler plus simple qu'elle en a l'air ! (Par contre, 6h, c'est super, super, super court !)

Courage ! Demain, vous pourrez souffler !

Oui. Selon ses méthodes de travail, la dissertation peut paraître longue (ça avait été le cas pour moi étant donné que je ne fais pas de brouillon), même si j'ai dû sprinter à la fin. En revanche, pour l'épreuve grammaticale, c'est vraiment une course, et j'ai en partie mis de côté la stylistique, étant donné qu'il ne me restait qu'une heure pour la partie stylistique et la dernière partie didactique... qui a été bâclée aussi.

Seifer a écrit:Oui. Selon ses méthodes de travail, la dissertation peut paraître longue (ça avait été le cas pour moi étant donné que je ne fais pas de brouillon), même si j'ai dû sprinter à la fin. En revanche, pour l'épreuve grammaticale, c'est vraiment une course, et j'ai en partie mis de côté la stylistique, étant donné qu'il ne me restait qu'une heure pour la partie stylistique et la dernière partie didactique... qui a été bâclée aussi.

Oui, pareil ! J'ai fait la didactique en 30 minutes. Il faut vraiment se relire au fur et à mesure, dès qu'une réponse a été rédigée parce qu'il est impossible de le faire à la fin.

Merci pour ces conseils, et pour vos encouragements!

J'étais content de voir que c'était un sujet sur le théâtre mais j'ai un peu perdu mes moyens ensuite. Je ne suis pas du tout satisfait de moi... Je compte beaucoup sur l'épreuve de demain, mais qui me fait extrêmement peur, car les 6 h passent très vite, et j'avais très mal géré en concours blanc précisément au niveau du temps.
Sinon, au niveau des effectifs, dans le centre d'examen où j'étais nous étions répartis en plusieurs salles. Dans la mienne, seule la moitié des inscrits était présente.

Merci à tous pour vos encouragements et vos messages.

Pareil pour moi, beaucoup d'absents!

Tout pareil que Cosmos !

- contente que ce soit le théâtre puis désillusion GIGANTESQUE
- plan bancal, problématique inexistante
- et il y avait des tas d'absents ...

Je n'ai pas dormi de la nuit à cause du stress (rien, nada). J'ai fait un hors-sujet, je n'ai pas compris le texte, je n'ai pas du tout axé ma problématique sur la réception (alors qu'à la relecture, ça semble évident). Je passe de 16 en concours blanc à un hors-sujet. Je vous passe mes états d'âme, je ne veux pas vous déprimer. Game over. J'en viens même à me demander si je suis faite pour enseigner le français, et me pose la question de ce que je ferai l'année prochaine. Bon courage à vous pour la suite.

Et pour les absents à Arcueil, impossible de le savoir, les tables ne sont pas nominatives.

Il est normal que nous soyons désemparés après l'épreuve. Rares sont les candidats qui plastronnent...
Salammb0, avant de tirer des plans sur la comète, attendons l'épreuve de demain, et surtout les résultats d'admissibilité. Il ne faut surtout pas se démotiver maintenant.

Et puis je trouve qu'il est plus facile de cartonner en grammaire qu'en dissert ... C'est toujours le problème de ce genre d'exercices sans réel barème.

On y croit encore, on aura le droit de se démotiver demain!

Salammb0 a écrit:Et pour les absents à Arcueil, impossible de le savoir, les tables ne sont pas nominatives.

Je le passe à Arcueil également; pour le sujet il ne faut pas se décourager!!!
Attendons demain l'épreuve de grammaire.

mobo a écrit:On y croit encore, on aura le droit de se démotiver demain!

Absolument. Et puis se dire aussi 1) qu'on est rarement bon juge de ses propres prestations - après tout, c'est le boulot du jury de juger hein... alors laissez-le lui 2) que c'est pire encore au sortir d'une épreuve ; a posteriori on pense à des tas de trucs auxquels on n'a pas pensé sur le coup ; on comprend qu'on aurait dû faire ci ou ça. Bref, on referait bien la copie. Mais c'est le cas pour tout le monde, et tout le monde compose avec ce stress, ce temps limité, cette impression après coup d'avoir fait n'importe quoi.

Donc, entre deux épreuves, on parle de celle qu'on a passée, pour l'évacuer. Puis, on la lâche et on la laisse faire son chemin, afin d'être prêt à nouveau le lendemain. Les remises en cause radicales ou les questions sur son avenir, on les garde pour après ; lorsque toutes les épreuves sont passées. C'est ça aussi, passer un concours ; et c'est à cette guerre des nerfs-là aussi qu'il faut manifester sa solidité.

Bon courage à tous pour demain.

Bonjour,

Je ne sais pas si quelqu'un l'a posté sur un autre fil, mais voici le sujet :


"Un théâtre sans convention n'a pas d'espoir. La convention c'est cette pure entrée dans l'imaginaire, sans les antichambres de l'intelligence, les salons mondains de l'élégance, etc. Le public populaire se saisit toujours plus vite d'une convention que le public savant (lequel voudrait inlassablement de la vraisemblance, de la logique psychologique, de la profondeur, de la dialectique, du parlé vrai, tout ce qui tente de se soustraire à l'architecture des conventions théâtrales).
Le public enfantin des guignols joue avec les conventions du genre comme peu de critiques savent le faire. Car il s'agit non pas de juger l'œuvre mais de jouer avec, de se jouer, de faire jouer son imaginaire, d'utiliser les conventions théâtrales pour animer son jardin intérieur."
Olivier Py, Les Mille et une définitions du théâtre, Actes Sud, 2013.
Vous analyserez et discuterez ces propos en vous appuyant sur des exemples précis empruntés à votre culture théâtrale.


Réaction unanimes à la fin de l'épreuve : tout le monde disait que c'était la cata.

Bon et sinon, mauvaise nouvelle : en LC à Arcueil, nous étions 30 pour le CAPES (dont une dizaine d'agrégatifs) et une dizaine pour le CAFEP… Si peu de candidats, ça fait peur

Bon courage tout le monde pour demain !

Salammb0 a écrit:Je n'ai pas dormi de la nuit à cause du stress (rien, nada). J'ai fait un hors-sujet, je n'ai pas compris le texte, je n'ai pas du tout axé ma problématique sur la réception (alors qu'à la relecture, ça semble évident). Je passe de 16 en concours blanc à un hors-sujet. Je vous passe mes états d'âme, je ne veux pas vous déprimer. Game over. J'en viens même à me demander si je suis faite pour enseigner le français, et me pose la question de ce que je ferai l'année prochaine. Bon courage à vous pour la suite.

Ne t'inquiète pas c'est normal d'avoir ce sentiment-là. C'est toujours nous-mêmes qui sommes nos plus mauvais juges. ne te décourage pas, il reste l'épreuve de demain et ça peut permettre de compenser une dissertation un peu moins bonne. Une amie a fait l'erreur l'année dernière de ne pas se rendre à la deuxième épreuve, pensant avoir raté la dissertation et finalement elle serait passée.

Allez, je suis certaine que vous avez cartonné (dixit le carton, hein )
Courage et m*** pour demain ! après, vacances

Zut ! J'ai oublié que ça commençait hier ! (je pensais que c'était la semaine prochaine, honte à moi !). Bref, je reviens aujourd'hui pour des:pompom: 
Vous allez tout déchirer, ne pensez plus à l'épreuve d'aujourd'hui et m**** pour demain !