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- ProvenceEnchanteur
lotta a écrit:
Ceux qui sont un peu clairvoyants mettront leurs enfants dans le privé... voilà comment on casse l'école publique...
Le privé sous contrat suit les mêmes programmes que dans le public en principe.
- lottaFidèle du forum
Tu as raison, mais je crois qu'il y a quand même dans le privé une volonté de maintenir des filières d' "excellence", alors que dans le public, on est dans l'idéologie de l'égalitarisme : plus de latin, plus de classes européennes...
D'ailleurs, le gouvernement a annoncé vouloir revoir encore la carte scolaire. Certains élèves seront obligés d'être scolarisés dans leur établissement de secteur, même s'ils veulent suivre une option particulière : ils devront alors s'inscrire au CNED (entendu hier sur France Inter). Tout ça pour mettre fin aux "inégalités" entre les établissements.
D'ailleurs, le gouvernement a annoncé vouloir revoir encore la carte scolaire. Certains élèves seront obligés d'être scolarisés dans leur établissement de secteur, même s'ils veulent suivre une option particulière : ils devront alors s'inscrire au CNED (entendu hier sur France Inter). Tout ça pour mettre fin aux "inégalités" entre les établissements.
- CHOUCROUTENiveau 9
et les écoles privées sont restées à la semaine de 4 jours aussi (en tout cas, celles autour de chez moi).
- Luigi_BGrand Maître
La réforme du collège commence déjà avec la réforme du brevet telle qu'elle est envisagée par le Conseil supérieur des programmes : suppression du contrôle continu, moins de disciplinaire, une seule évaluation écrite, pluridisciplinarité de la correction, évaluation par compétences, travail en équipe obligatoire, pédagogie de projet pluridisciplinaire, valorisation de l'oral etc.
La recette laisse en bouche un goût amer : http://www.laviemoderne.net/malices/108-le-college-en-gibelotte
La recette laisse en bouche un goût amer : http://www.laviemoderne.net/malices/108-le-college-en-gibelotte
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LVM Dernier billet : "Une École si distante"
- RoninMonarque
L'école des fans enfin, le système secondaire américain avec sa célèbre excellence !!!
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- trompettemarineMonarque
stanleymilgram a écrit:doctor who a écrit:Cath a écrit:Mais purée, certains enseignants n'en ont rien à cirer, des projets et veulent enseigner leur discipline, c'est si compliqué à comprendre ?
Le problème, c'est que certains autres adorent les projets et ne veulent pas spécialement enseigner leur discipline. J'en connais un tas.
Exactement et cela m'effraie...
A moins que cette réforme ne mange des heures, personne ne s'y opposera: les projets à outrance
font partie des mœurs. Ceux qui renâclent sont des "non investis".
Les parents (parait-il) choisissent le collège en fonction des animations (comme au camping).
D'ailleurs, les portes ouvertes ne sont qu'une vitrine de ce qui "se vit".
Le contenu des cours n'a aucune importance.
On me fait comprendre chaque jour que je ne suis plus là pour transmettre mais animer.
Soulagé que mes enfants arrivent au lycée...
Ecœuré pour les enfants des autres.
Attention, cette réforme a touvhé le lycée avant les collèges. c'est la même réforme que celle de Châtel.
Je peux t'assurer que les pro-projets au bout de quatre ans n'en peuvent plus. Et quasiment, plus personne chez nous ne veut de ces cours où l'on a vraiment le sentiment de ne servir à rien. Les élèves y apprennent à y attendre que l'heure passe et à ne rien faire. Seul le prof bosse, pour rien (du coup il ne bosse plus non plus à la fin, et plus personne ne fiche rien...)
- IphigénieProphète
Plus ou moins, Trompettemarine: ces cours "vides" du type AP, TPE, explorations, les fonctions de tutorat, demain de coordonnateur-si IMP-, ont "bon public" aussi parmi ceux qui veulent "faire des heures" mais pas des cours et des copies.
Le système fonctionne parce que certains y trouvent quand même leur compte financier approximativement, mais pas intellectuel évidemment.
Le système fonctionne parce que certains y trouvent quand même leur compte financier approximativement, mais pas intellectuel évidemment.
- NLM76Grand Maître
Pardon ? Qu'y avait-il de "pluri" ? On y enseignait plusieurs disciplines ?Marmont a écrit:C'est vrai. Mais l'aspect "pluri" s'y trouvait aussi.nlm76 a écrit:
Si l'idée, c'était les écoles primaires supérieures (EPS), ce serait très intéressant. Mais les EPS, supprimées par Vichy, c'était autre chose que ces fadaises. On y enseignait les disciplines...
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Sites du grip :
- http://instruire.fr
- http://grip-editions.fr
Mon site : www.lettresclassiques.fr
«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- MarmontNiveau 9
Non, mais il me semble - à vérifier - qu'il y avait moins de disciplines enseignées (donc beaucoup moins d'enseignants) que dans le collège d'aujourd'hui et que certains enseignants pouvaient enseigner plusieurs disciplines, avec des démarches pluridisciplinaires. C'était avant que ce dernier terme ne prenne un sens péjoratif et que les différentes réformes, depuis la mise en place du "collège unique", n'atomisent les enseignements.nlm76 a écrit:Pardon ? Qu'y avait-il de "pluri" ? On y enseignait plusieurs disciplines ?Marmont a écrit:C'est vrai. Mais l'aspect "pluri" s'y trouvait aussi.nlm76 a écrit:
Si l'idée, c'était les écoles primaires supérieures (EPS), ce serait très intéressant. Mais les EPS, supprimées par Vichy, c'était autre chose que ces fadaises. On y enseignait les disciplines...
Il me semble aussi que ces EPS disposaient d'un enseignement manuel et pratique.
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"Tous pour un, chacun pour soi"... Non, ça doit pas être ça...
- GrypheMédiateur
En gros, l'idée est alors que, si on part vers un collège qui ne serait plus un petit lycée mais plutôt un prolongement du primaire, pour éviter les dégâts, il conviendrait alors de prendre pour modèle le système qui existait auparavant et qui, semble-t-il, donnait de bons résultats ?
Ceci dit, ce serait dommage du coup de lâcher totalement le collège comme préparation au lycée, même si, pour sûr, on trouvera l'équivalent dans le privé, sous contrat ou hors-contrat.
Ça me fatigue d'avance...
Ceci dit, ce serait dommage du coup de lâcher totalement le collège comme préparation au lycée, même si, pour sûr, on trouvera l'équivalent dans le privé, sous contrat ou hors-contrat.
Ça me fatigue d'avance...
- doctor whoDoyen
Sauf que les élèves des EPS recevaient un enseignement de taré, en maths notamment.
C'était véritablement une élite populaire.
C'était véritablement une élite populaire.
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Mon blog sur Tintin (entre autres) : http://popanalyse.over-blog.com/
Blog pédagogique : http://pedagoj.eklablog.com
- harry jamesNeoprof expérimenté
Iphigénie a écrit:Plus ou moins, Trompettemarine: ces cours "vides" du type AP, TPE, explorations, les fonctions de tutorat, demain de coordonnateur-si IMP-, ont "bon public" aussi parmi ceux qui veulent "faire des heures" mais pas des cours et des copies.
Le système fonctionne parce que certains y trouvent quand même leur compte financier approximativement, mais pas intellectuel évidemment.
Ah mais attention, dans le contexte actuel, ça peut avoir du bon : dans notre établissement, sur les deux heures d'AP attribuées en 6e, nous (les profs de français) sommes parvenus à en récupérer une que nous l'utilisons comme nous l'entendons. Aussi, point de projet à la noix; de l'écriture, de la lecture, de la grammaire en petits groupes...
c'est une heure de quinzaine mais c'est toujours ça de re-pris.
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Merdre lachez tout! Partez sur les routes!
Out of sorrow entire worlds have been built
Out of longing great wonders have been willed
[...]
Outside my window, the world has gone to war
Are you the one that I've been waiting for?
- Oliv396Niveau 8
Concernant cette réforme du collège, l'essentiel est que ce ne soit pas un moyen déguisé d'économiser des sous et de supprimer des postes, parce qu'il y a moins d'heures d'enseignement. Que le SE-Unsa dise qu'il n'en est rien et que l'horaire est conservé est une chose, mais cela reste à prouver.
Pour le reste, qu'on saborde un peu plus l'enseignement des connaissances, je ne pense pas que ce soit le problème des syndicats, dont la fonction est de défendre les intérêts des enseignants. Si les élèves n'apprennent plus rien et en savent encore moins en arrivant au lycée que maintenant (ce qui, reconnaissons-le, est quasi impossible, vu leur ignorance ; mais apparemment, les abîmes sont sans fonds), c'est plus le problème des élèves et des parents.
Car évidemment, quoi qu'en dise le Se-Unsa (encore lui), 'apprendre autrement', ça n'a pas souvent été apprendre quelque chose ces dernières années, et c'est plutôt le slogan qui annonce la foire organisée dans les classes. Mais bon ! Les intérêts des profs d'abord, et ça, c'est conserver les postes, éventuellement obtenir une revalorisation (si, on peut rêver).
Pour le reste, qu'on saborde un peu plus l'enseignement des connaissances, je ne pense pas que ce soit le problème des syndicats, dont la fonction est de défendre les intérêts des enseignants. Si les élèves n'apprennent plus rien et en savent encore moins en arrivant au lycée que maintenant (ce qui, reconnaissons-le, est quasi impossible, vu leur ignorance ; mais apparemment, les abîmes sont sans fonds), c'est plus le problème des élèves et des parents.
Car évidemment, quoi qu'en dise le Se-Unsa (encore lui), 'apprendre autrement', ça n'a pas souvent été apprendre quelque chose ces dernières années, et c'est plutôt le slogan qui annonce la foire organisée dans les classes. Mais bon ! Les intérêts des profs d'abord, et ça, c'est conserver les postes, éventuellement obtenir une revalorisation (si, on peut rêver).
- Thalia de GMédiateur
Veinard. Chez moi une des deux heures d'AP 6e sert à compléter un sous-service. Je l'ai déjà évoqué il y a plusieurs mois, je déplore que cet AP serve de variable d'ajustement.(à raison de 6 h !)harry james a écrit:Ah mais attention, dans le contexte actuel, ça peut avoir du bon : dans notre établissement, sur les deux heures d'AP attribuées en 6e, nous (les profs de français) sommes parvenus à en récupérer une et nous l'utilisons comme nous l'entendons. Aussi, point de projet à la noix, de l'écriture, de la lecture, de la grammaire en petits groupes...Iphigénie a écrit:Plus ou moins, Trompettemarine: ces cours "vides" du type AP, TPE, explorations, les fonctions de tutorat, demain de coordonnateur-si IMP-, ont "bon public" aussi parmi ceux qui veulent "faire des heures" mais pas des cours et des copies.
Le système fonctionne parce que certains y trouvent quand même leur compte financier approximativement, mais pas intellectuel évidemment.
c'est une heure de quinzaine mais c'est toujours ça de re-pris.
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Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- harry jamesNeoprof expérimenté
arf! tu m'as cité avant que je ne corrige ce "parvenuS"
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- JEMSGrand Maître
Pour le reste, qu'on saborde un peu plus l'enseignement des connaissances, je ne pense pas que ce soit le problème des syndicats, dont la fonction est de défendre les intérêts des enseignants.
Pas d'accord. Les programmes, les réformes successives agissent sur nos conditions de travail. Avoir une double approche me paraît au contraire essentiel.
Pas d'accord. Les programmes, les réformes successives agissent sur nos conditions de travail. Avoir une double approche me paraît au contraire essentiel.
- Oliv396Niveau 8
JEMS a écrit:les réformes successives agissent sur nos conditions de travail
Jusque là, entièrement d'accord avec toi. Mais pas au-delà. C'est-à-dire que le rôle d'un syndicat d'enseignant n'est pas de faire des propositions pédagogiques au Ministre (ce que font bien souvent des syndicats comme l'UNSA ou le Sgen).
- Thalia de GMédiateur
Corrigé. mais tu mérites le fouet.harry james a écrit:arf! tu m'as cité avant que je ne corrige ce "parvenuS"
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- GrypheMédiateur
Oliv396 a écrit:JEMS a écrit:les réformes successives agissent sur nos conditions de travail
Jusque là, entièrement d'accord avec toi. Mais pas au-delà. C'est-à-dire que le rôle d'un syndicat d'enseignant n'est pas de faire des propositions pédagogiques au Ministre (ce que font bien souvent des syndicats comme l'UNSA ou le Sgen).
C'est pour ça qu'il y a une diversité de propositions syndicales. Dont on peut discuter sans se taper dessus, comme chacun sait.
- IphigénieProphète
oui pour l'ap c'est ce qu'on a fait chez nous aussi: mais c'est une entorse au dispositif tel qu'il avait été prevu et finalement ça crée un bonus d'une heure par quinzaine qui est mieux que la perte totale de temps d'avant mais bien inférieur aux nécessités réelles: on en vient donc perversement à se réjouir d'un pis- aller...harry james a écrit:Iphigénie a écrit:Plus ou moins, Trompettemarine: ces cours "vides" du type AP, TPE, explorations, les fonctions de tutorat, demain de coordonnateur-si IMP-, ont "bon public" aussi parmi ceux qui veulent "faire des heures" mais pas des cours et des copies.
Le système fonctionne parce que certains y trouvent quand même leur compte financier approximativement, mais pas intellectuel évidemment.
Ah mais attention, dans le contexte actuel, ça peut avoir du bon : dans notre établissement, sur les deux heures d'AP attribuées en 6e, nous (les profs de français) sommes parvenus à en récupérer une que nous l'utilisons comme nous l'entendons. Aussi, point de projet à la noix; de l'écriture, de la lecture, de la grammaire en petits groupes...
c'est une heure de quinzaine mais c'est toujours ça de re-pris.
- roxanneOracle
Et moi donc. Quant aux autres, c'est la masse silencieuse.doctor who a écrit:Cath a écrit:Mais purée, certains enseignants n'en ont rien à cirer, des projets et veulent enseigner leur discipline, c'est si compliqué à comprendre ?
Le problème, c'est que certains autres adorent les projets et ne veulent pas spécialement enseigner leur discipline. J'en connais un tas.
- MarmontNiveau 9
Je ne sais pas si c'est cela qu'il faudrait faire.Gryphe a écrit:En gros, l'idée est alors que, si on part vers un collège qui ne serait plus un petit lycée mais plutôt un prolongement du primaire, pour éviter les dégâts, il conviendrait alors de prendre pour modèle le système qui existait auparavant et qui, semble-t-il, donnait de bons résultats ?
Ceci dit, ce serait dommage du coup de lâcher totalement le collège comme préparation au lycée, même si, pour sûr, on trouvera l'équivalent dans le privé, sous contrat ou hors-contrat.
Ça me fatigue d'avance...
J'ai simplement réagi face aux risques de "fadaises" qu'on nous prédit - et qui risquent d'arriver... :| - si les enseignants ne s'emparent pas de cela avant qu'il ne soit trop tard.
Ces fameux "projets" à mener, rien n'interdit de solidement les armaturer d'un point de vue disciplinaire !
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"Tous pour un, chacun pour soi"... Non, ça doit pas être ça...
- roxanneOracle
Quant au nôtre, il nous a dit que le passé simple était en train de disparaître, ce n'était plus la peine de l'enseigner...Audrey a écrit:ylm a écrit:Mon inspecteur, pas plus tard que cette année, nous a sorti que les élèves n'avaient pas besoin de maîtriser les bases pour réussir les tâches complexes. J'en suis encore, depuis, à me demander comment un inspecteur peut sortir une telle énormité.Roumégueur Ier a écrit:Oui, et les thuriféraires des tâches complexes se fichent pas mal que leur côté chronophage contribue à jeter à la poubelle des pans entiers de programmes, parce que le programme, ben, ça sert pas à grand chose (voir d'ailleurs que les programmes deviendraient 'indicatifs' dans la nouvelle mouture du collège est tout simplement effrayant).
C'est du même tonneau que celui qui m'a sorti cette année qu'on n'avait pas besoin de maîtriser ou de connaître quelque chose pour l'enseigner.
- GrypheMédiateur
C'est comme cela que je m'étais aventurée à un IDD "mathématiques et géographie", il y a une douzaine d'années : pourcentages, échelles, diagrammes circulaires, construction de cartes de A à Z, rien que du très sérieux...Marmont a écrit:Ces fameux "projets" à mener, rien n'interdit de solidement les armaturer d'un point de vue disciplinaire !
- doctor whoDoyen
Gryphe a écrit:C'est comme cela que je m'étais aventurée à un IDD "mathématiques et géographie", il y a une douzaine d'années : pourcentages, échelles, diagrammes circulaires, construction de cartes de A à Z, rien que du très sérieux...Marmont a écrit:Ces fameux "projets" à mener, rien n'interdit de solidement les armaturer d'un point de vue disciplinaire !
Ca devrait figurer dans les programmes dès le CE2, pas dans des projets à la tête du client.
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- GrypheMédiateur
doctor who a écrit:Ca devrait figurer dans les programmes dès le CE2, pas dans des projets à la tête du client.
Ben oui mais à défaut...
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- Najat Vallaud-Belkacem : "Il sera très difficile de revenir sur la réforme du collège"
- Tribune du GRIP à propos de la réforme du collège [Le Cercle Les Echos]
- La réforme du collège expliquée en BD par le gouvernement
- Réforme du collège... questions au gouvernement en direct
- Un très bon résumé de la réforme du collège sur "la rotative"
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