- supersosoSage
Mais comme le but est de ne pas le rater, et non de le réussir, le concours, honnêtement il n'en est plus vraiment question (en dehors du rôle de divertissement destiné à ne pas s'intéresser à des sujets probablement plus urgents )
- GrypheMédiateur
supersoso a écrit:(en dehors du rôle de divertissement destiné à ne pas s'intéresser à des sujets probablement plus urgents )
C'est exactement ce que j'ai écrit tout à l'heure. La philosophie (mal comprise) pour fuir d'autres questions encore plus fondamentales.
- LeclochardEmpereur
supersoso a écrit:Mais comme le but est de ne pas le rater, et non de le réussir, le concours, honnêtement il n'en est plus vraiment question (en dehors du rôle de divertissement destiné à ne pas s'intéresser à des sujets probablement plus urgents )
Tous ces sujets sur la philosophie m'ont donné envie de m'y intéresser. Je commence modestement par des lectures courtes (avec des notes). Je vais attendre un peu avant de découvrir Kierkegaard. Comme quoi, il aura eu du bon, Parménide. Est-il possible de l''écrire ? Il a influencé ma vie.
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Quelqu'un s'assoit à l'ombre aujourd'hui parce que quelqu'un d'autre a planté un arbre il y a longtemps. (W.B)
- GrypheMédiateur
Leclochard a écrit: Est-il possible de l'écrire ? Il a influencé ma vie.
Je ne suis pas étonnée. Il a des qualités impressionnantes d'entraîneur/supporter, presque malgré lui, en dépit de ce que le côté loser (désolée) peut laisser entrevoir à première vue.
- ClintNiveau 6
supersoso a écrit:Mais comme le but est de ne pas le rater, et non de le réussir, le concours, honnêtement il n'en est plus vraiment question (en dehors du rôle de divertissement destiné à ne pas s'intéresser à des sujets probablement plus urgents )
Oui. Enfin, même ce but ci, n'est pas vraiment atteint.
Car, être inscrit à un concours et ne pas y aller, n'est-ce pas le rater quand même ?
Z'avez quatre heures !
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Quand on tire, on raconte pas sa vie....
- ParménideNeoprof expérimenté
PY :
-Quand il y a 4 ans je suis tombé sur "le désir de connaissance", mon premier réflexe fut de déplorer le fait de ne pas avoir travaillé le terme de "connaissance" figurant dans les lexiques et encyclopédies. On est bien d'accord que c'est un mauvais réflexe, et que même si je ne travaille pas de la sorte toutes les notions possibles et imaginables, je peux malgré tout réussir une dissertation?
-Crois tu que la lecture d'une histoire de la philosophie (et la "retenir") soit utile pour réussir le concours ainsi que pour enseigner la discipline? Enfin, aussi utile que lire des auteurs ou des commentateurs.
-Quand il y a 4 ans je suis tombé sur "le désir de connaissance", mon premier réflexe fut de déplorer le fait de ne pas avoir travaillé le terme de "connaissance" figurant dans les lexiques et encyclopédies. On est bien d'accord que c'est un mauvais réflexe, et que même si je ne travaille pas de la sorte toutes les notions possibles et imaginables, je peux malgré tout réussir une dissertation?
-Crois tu que la lecture d'une histoire de la philosophie (et la "retenir") soit utile pour réussir le concours ainsi que pour enseigner la discipline? Enfin, aussi utile que lire des auteurs ou des commentateurs.
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"Les paroles essentielles sont des actions qui se produisent en ces instants décisifs où l'éclair d'une illumination splendide traverse la totalité d'un monde", Martin Heidegger, "Schelling", (semestre d'été 1936)
"Et d'une brûlure d'ail naitra peut-être un soir l'étincelle du génie", Saint-John Perse, "Sécheresse" (1974)
"Il avait dit cela d'un air fatigué et royal", Franz-Olivier Giesbert, "Le vieil homme et la mort" (1996)
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- User17706Bon génie
Absolument.Parménide a écrit: Quand il y a 4 ans je suis tombé sur "le désir de connaissance", mon premier réflexe fut de déplorer le fait de ne pas avoir travaillé le terme de "connaissance" figurant dans les lexiques et encyclopédies. On est bien d'accord que c'est un mauvais réflexe, et que même si je ne travaille pas de la sorte toutes les notions possibles et imaginables, je peux malgré tout réussir une dissertation?
Qu'est-ce que tu appelles « retenir » ?Parménide a écrit:Crois tu que la lecture d'une histoire de la philosophie (et la "retenir") soit utile pour réussir le concours ainsi que pour enseigner la discipline?
- ParménideNeoprof expérimenté
PauvreYorick a écrit:Qu'est-ce que tu appelles « retenir » ?Parménide a écrit:Crois tu que la lecture d'une histoire de la philosophie (et la "retenir") soit utile pour réussir le concours ainsi que pour enseigner la discipline?
Justement, c'est une des questions les plus épineuses qui soient, dans mon cas. Parce que, comme on l'a vu, elle se pose pour tout : l'œuvre intégrale, l'extrait, l'article... Et donc évidemment aussi, une histoire de la philosophie.
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"Les paroles essentielles sont des actions qui se produisent en ces instants décisifs où l'éclair d'une illumination splendide traverse la totalité d'un monde", Martin Heidegger, "Schelling", (semestre d'été 1936)
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- User17706Bon génie
Ce n'est pas une réponse, ça
- User17706Bon génie
Bon, alors je dirais que c'est une bonne idée de fréquenter de temps en temps une histoire de la philosophie (genre Bréhier jusqu'à Kant inclus mais pas au-delà, c'est toujours bien)... à la condition expresse de ne pas la « retenir », et de ne même pas se poser la question de savoir si on la « retiendra » ou non.
- ParménideNeoprof expérimenté
Retenir une histoire de la philosophie ça voudrait dire en extraire et faire siennes durablement les connaissances qui sont exigibles d'un professeur de philosophie.
Après, la question c'est : "qu'est ce qui est exigible en terme de connaissances pour un professeur de philosophie?"
L'autre jour, par exemple, en parlant avec mon correcteur du texte de Popper, je l'ai entendu évoquer les différences entre les physiques galiléenne, cartésienne, et newtonienne. Et je sais bien que ces choses-là relèvent de l'histoire de la philosophie. L'épreuve de commentaire dépend plus de l'histoire de la discipline que la dissertation. Lire une histoire de la philosophie permet de combler des lacunes, c'est évident. Après, c'est toujours le même problème : on ne peut pas savoir jusqu'à quel degré de précision les choses doivent être connues.
Pitié, pas Bréhier.... C'est rigoureusement illisible. J'ai essayé autrefois.
Après, la question c'est : "qu'est ce qui est exigible en terme de connaissances pour un professeur de philosophie?"
L'autre jour, par exemple, en parlant avec mon correcteur du texte de Popper, je l'ai entendu évoquer les différences entre les physiques galiléenne, cartésienne, et newtonienne. Et je sais bien que ces choses-là relèvent de l'histoire de la philosophie. L'épreuve de commentaire dépend plus de l'histoire de la discipline que la dissertation. Lire une histoire de la philosophie permet de combler des lacunes, c'est évident. Après, c'est toujours le même problème : on ne peut pas savoir jusqu'à quel degré de précision les choses doivent être connues.
Pitié, pas Bréhier.... C'est rigoureusement illisible. J'ai essayé autrefois.
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- User17706Bon génie
Françoise Balibar : Galilée, Newton lus par Einstein, P.U.F. coll « philosophies », 128 pages et moins de 10€. Je dis à tous mes étudiants dès la L1 (quand j'ai des L1) qu'ils ne peuvent pas envisager une seconde de ne pas l'avoir lu, et de près.Parménide a écrit: L'autre jour, par exemple, en parlant avec mon correcteur du texte de Popper, je l'ai entendu évoquer les différences entre les physiques galiléenne, cartésienne, et newtonienne. Et je sais bien que ces choses-là relèvent de l'histoire de la philosophie.
- ParménideNeoprof expérimenté
PauvreYorick a écrit:Françoise Balibar : Galilée, Newton lus par Einstein, P.U.F. coll « philosophies », 128 pages et moins de 10€. Je dis à tous mes étudiants dès la L1 (quand j'ai des L1) qu'ils ne peuvent pas envisager une seconde de ne pas l'avoir lu, et de près.Parménide a écrit: L'autre jour, par exemple, en parlant avec mon correcteur du texte de Popper, je l'ai entendu évoquer les différences entre les physiques galiléenne, cartésienne, et newtonienne. Et je sais bien que ces choses-là relèvent de l'histoire de la philosophie.
Mais dans mon cas, ne dois je pas de beaucoup privilégier la lecture directe des philosophes? D'ailleurs tout le monde est censé en gros faire ainsi, je crois.
Ensuite, le problème est que chaque conseil bibliographique est d'une certaine façon la marque distinctive de l'enseignant. Pour toi ce livre est essentiel mais un autre professeur en conseillera un autre, et un autre encore un autre. Donc, la subjectivité est grande.
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- GrypheMédiateur
Parménide, tu ne peux pas demander avidement des conseils à PY (qui prend de son temps personnel pour t'aider bénévolement) pour ensuite refuser de les appliquer. Enfin jdçjdr.
- DesolationRowEmpereur
Parménide a écrit:PauvreYorick a écrit:Françoise Balibar : Galilée, Newton lus par Einstein, P.U.F. coll « philosophies », 128 pages et moins de 10€. Je dis à tous mes étudiants dès la L1 (quand j'ai des L1) qu'ils ne peuvent pas envisager une seconde de ne pas l'avoir lu, et de près.Parménide a écrit: L'autre jour, par exemple, en parlant avec mon correcteur du texte de Popper, je l'ai entendu évoquer les différences entre les physiques galiléenne, cartésienne, et newtonienne. Et je sais bien que ces choses-là relèvent de l'histoire de la philosophie.
Mais dans mon cas, ne dois je pas de beaucoup privilégier la lecture directe des philosophes? D'ailleurs tout le monde est censé en gros faire ainsi, je crois.
Ensuite, le problème est que chaque conseil bibliographique est d'une certaine façon la marque distinctive de l'enseignant. Pour toi ce livre est essentiel mais un autre professeur en conseillera un autre, et un autre encore un autre. Donc, la subjectivité est grande.
Il est vareuse.
- ParménideNeoprof expérimenté
Gryphe a écrit:Parménide, tu ne peux pas demander avidement des conseils à PY (qui prend de son temps personnel pour t'aider bénévolement) pour ensuite refuser de les appliquer. Enfin jdçjdr.
Je comprends bien. Ce n'est pas du tout que je refuse, mais je continue d'être soumis au vertige des possibles bibliographiques. Nettement moins qu'avant, mais ça continue encore. Et l'ennui c'est que j'ai tendance à faire confiance en tous les conseils de lecture. Et aucun à la fois. Vu qu'ils sont toujours différents selon les enseignants.
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- AspasieNiveau 10
Alors cesse de demander des conseils de lecture... De cette manière, nulle contradiction.Parménide a écrit: Et l'ennui c'est que j'ai tendance à faire confiance en tous les conseils de lecture. Et aucun à la fois. Vu qu'ils sont toujours différents selon les enseignants.
Bon. Ceci étant, à défaut de résoudre tes autres angoisses, contribue au moins à résoudre celle-ci : poste ta dissertation.
Tu as peur ? Mais tu es lecteur d'Heidegger je crois non ? Alors tu sais que "là où croît le danger, croît aussi ce qui sauve"...
- User17706Bon génie
Je ne sais pas si j'ai déjà entendu mentionner un prof qui ne conseille pas ce bouquin de Françoise Balibar. Remarque, ça existe peut-être. Tout peut exister.
Bréhier illisible ? pourquoi ? et quelles seraient les solutions alternatives ? (Ça n'a pas d'intérêt au-delà du XVIIIe siècle, on est d'accord, mais jusque-là, c'est quand même très acceptable, non ?)
Bréhier illisible ? pourquoi ? et quelles seraient les solutions alternatives ? (Ça n'a pas d'intérêt au-delà du XVIIIe siècle, on est d'accord, mais jusque-là, c'est quand même très acceptable, non ?)
- ParménideNeoprof expérimenté
Tinland dans sa bibliographie ne mentionne pas ce livre
En revanche il conseille par exemple la philosophie des sciences au vingtième siècle de A. Barberousse, ou encore les ouvrages de Michael Esfeld.
Brehier: j'ai trouvé peu clair, vague, très elliptique, n'expliquant pas les choses. L'alternative étant l'histoire de la philosophie de la pléiade ou alors celle de chez Folio
En revanche il conseille par exemple la philosophie des sciences au vingtième siècle de A. Barberousse, ou encore les ouvrages de Michael Esfeld.
Brehier: j'ai trouvé peu clair, vague, très elliptique, n'expliquant pas les choses. L'alternative étant l'histoire de la philosophie de la pléiade ou alors celle de chez Folio
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"Et d'une brûlure d'ail naitra peut-être un soir l'étincelle du génie", Saint-John Perse, "Sécheresse" (1974)
"Il avait dit cela d'un air fatigué et royal", Franz-Olivier Giesbert, "Le vieil homme et la mort" (1996)
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- User17706Bon génie
C'est la même. Oui, why not, il y a de bonnes choses à mon souvenir.Parménide a écrit:L'alternative étant l'histoire de la philosophie de la pléiade ou alors celle de chez Folio
Bon, tout cela est un peu daté (la Pléiade, Bréhier). Mais ce n'est pas dramatique.
- User17706Bon génie
Oui, c'est pas mal. M'enfin un bouquin en remplace rarement un autre tout à fait. Depuis, il y a eu aussi, chez Vuibert, un gros Précis de philosophie des sciences qui est régulièrement excellent.Parménide a écrit:Tinland dans sa bibliographie ne mentionne pas ce livre
En revanche il conseille par exemple la philosophie des sciences au vingtième siècle de A. Barberousse, ou encore les ouvrages de Michael Esfeld.
- ParménideNeoprof expérimenté
Dire qu'un livre ne peut en remplacer un autre, ça revient d'une certaine façon à cautionner l'idée qu'il faudrait avoir tout lu... Tous les livres
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- Sylvain de Saint-SylvainGrand sage
De quelle façon ?... Cela signifie plutôt que personne ne fait avec la même bibliothèque. Et c'est là qu'on se rend compte que pouvoir formuler différents problèmes à partir d'un même sujet de dissertation, par exemple, c'est plutôt bien. On peut y entrer à partir de bibliothèques très différentes.
- User17706Bon génie
Ben non. Par exemple, le dernier Guillaume Musso ne remplace probablement pas le dernier Naruto, et pourtant loin de moi l'idée qu'il faudrait tous deux les avoir lus.Parménide a écrit:Dire qu'un livre ne peut en remplacer un autre, ça revient d'une certaine façon à cautionner l'idée qu'il faudrait avoir tout lu... Tous les livres
- User17706Bon génie
Sinon, dans la collection PUF premier cycle, le bouquin de De Libera sur la philosophie médiévale est bien (Bréhier sur le moyen-âge, c'est bien sûr très schématique), et il y a aussi de très bonnes choses (notamment de Jacques Brunschwig) dans le volume « Philosophie grecque ». (Merci supersoso qui vient de me le rappeler.)
- ParménideNeoprof expérimenté
PY : quand tu as en charge la préparation des concours tu distribues aux étudiants une bibliographie avec différentes rubriques : sciences, esthétique, politique, etc...? Comme la bibliographie de Tinland à la fin de son guide, en somme.
Quand un ouvrage est "daté", qu'est ce que ça implique concrètement? Quelles conséquences cela a-t-il sur la préparation?
***
Ce qui m'a inquiété c'est que tu as parlé de Balibar comme si ne pas faire cette lecture impliquait le fait de ne pas réussir quoi que ce soit relevant de la philosophie des sciences...
PauvreYorick a écrit:C'est la même. Oui, why not, il y a de bonnes choses à mon souvenir.Parménide a écrit:L'alternative étant l'histoire de la philosophie de la pléiade ou alors celle de chez Folio
Bon, tout cela est un peu daté (la Pléiade, Bréhier). Mais ce n'est pas dramatique.
Quand un ouvrage est "daté", qu'est ce que ça implique concrètement? Quelles conséquences cela a-t-il sur la préparation?
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Ce qui m'a inquiété c'est que tu as parlé de Balibar comme si ne pas faire cette lecture impliquait le fait de ne pas réussir quoi que ce soit relevant de la philosophie des sciences...
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