Dernières nouvelles de la réforme des rythmes scolaires

The Goon a écrit:yepeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee !

La FCPE au bord du putsch

En cause, la politique trop "suiviste" du président Paul Raoult, dont le mandat doit être renouvelé au congrès annuel, lors du week-end de la Pentecôte. Jugée "antistatutaire", la demande de ces présidents départementaux a été rejetée lors d'un conseil d'administration.  

Remise en question politique pour certains, bataille d'ego pour d'autres, cette tentative de putsch amènera probablement la FCPE à réfléchir à son mode d'organisation.

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En prenant la parole, les enseignants veulent ainsi dénoncer la fatigue et l’énervement croissants des enfants « alors que la réforme a été faite pour alléger leur journée. Nous ne nous sommes pas aperçus des effets bénéfiques sur leur apprentissage ». Les enseignants expliquent « devoir déployer beaucoup plus d’énergie pour capter l’attention des enfants. De même, les relations parents / enseignants ont été impactées car nous ne les voyons plus ».

Pour le collectif, « la réforme est dévoyée car on est bien loin de l’égalité pour l’accès du périscolaire au niveau national. Et comme l’État s’est déchargé sur les communes qui peuvent faire ce qu’elles veulent, on craint que l’an prochain ce soit le temps scolaire qui doive s’adapter au périscolaire ». Une situation qui pourrait s’aggraver au vu « du nombre en baisse d’encadrants qui ont découvert au fil des semaines que les écoliers n’étaient pas forcément disponibles pour leurs activités, et donc qui en pâtissent ».
La loi du silence

En s’exprimant, les enseignants veulent casser « cette loi du silence. Si nous ne disons rien, personne n’en saura rien ».

Afin de boucler un budget prévisionnel de 512 millions d’euros, le conseil municipal du 13 avril a voté une augmentation de 5% du taux des taxes d’habitation et foncière passant respectivement à 24,13% et 29,51%. Alain Juppé estime même qu’il aurait fallu les faire grimper de 21% pour financer la baisse des dotations et les frais supplémentaires comme ceux liés à la réforme des rythmes scolaires. Deux mesures qui ont entraîné selon lui « une perte de 13 millions d’euros en 2015 et une perte cumulée de 68 millions d’euros à l’horizon 2017. »

Jean-Pierre Lacombe, élu d’opposition (DVG).
«Conflans Énergie Populaire est contre le projet de modification des horaires des écoles primaires de Conflans, qui aboutirait à la suppression des NAP (nouvelles activités périscolaires) ou à les rendre payantes, et à rendre payante la garderie dès 16h.
Il est stupéfiant que le maire ait pris cette décision de façon unilatérale sans concertation préalable, au mépris de l’accord qui avait été trouvé l’année dernière et qui donnait satisfaction aux parents d’élèves et aux enseignants.
La suppression des NAP, ou de leur gratuité, est contraire à la loi sur les rythmes scolaires. L’ensemble du projet nuit aux foyers modestes ou moyens, et ne répond pas aux intérêts des élèves. C’est une régression sociale, motivée uniquement par des choix budgétaires au demeurant très contestables, comme nous l’avons exprimé au conseil municipal du 30 mars.»

coindeparadis a écrit:La droite ira-t-elle jusqu'à supprimer la réforme en 2017 ?

coindeparadis a écrit:Je pense qu'elle donnera toute latitude aux maires pour l'organisation temporelle et matérielle.

Sur sept établissements privés à Saint-Nazaire, trois ont fait le choix de rester ou de revenir à quatre jours hebdomadaires. C’est le cas à Notre-Dame-de-Toutes-Aides.

« Très vite on s’est aperçu que les enfants étaient fatigués. » Ce constat effectué par la directrice de l'établissement Florence Bihel-Baldin s’est confirmé cette année.

« La mairie doit revoir sa copie pour la rentrée 2015 ! » Alors qu’un comité de pilotage des rythmes scolaires se tient actuellement à Saint-Brieuc, SNUipp-FSU 22 invitent purement et simplement le maire de Saint-Brieuc à tout remettre à plat. « Aucun enseignant, parent, élu sensible aux conditions d’apprentissage ou de travail des élèves et personnels briochins concernés ne peut ignorer que le choix de l’organisation horaire pour mettre en œuvre la réforme se solde par un véritable échec »

La section CFDT des communaux de Saint-Brieuc, qui représente notamment les employés municipaux chargés des services de restauration, appelle à rejoindre ce mouvement.

L’école le samedi matin à Alphonse-Daudet est mise en place depuis le mois de septembre avec l’instauration des nouvelles activités périscolaires (NAP). Mais le mécontentement se fait encore sentir chez certains parents qui, dans un sondage organisé l’année dernière par l’Association des parents d’élèves (APE), avaient souhaité à 80 % l’école le mercredi matin. « Les parents ont le sentiment de ne pas être écoutés, certains parlent même de créer une deuxième APE si on ne fait rien », explique Vanessa Bouvé, membre de l’APE.

Les raisons du maintien ? « Comme il n'y a pas de temps d'accueil périscolaire organisé, nous ne voyons pas l'intérêt de passer à quatre jours et demi. Plus globalement, la réforme ne nous satisfait pas. Où est le bienfait des nouveaux rythmes pour l'enfant ? ».

Cette année, sur les 110 nouvelles inscriptions dans l'établissement, 12 ont évoqué cette raison. Elles venaient du public. Mais souvent, ce paramètre ne faisait que conforter une réflexion

François Hollande a écrit:Aujourd'hui, qui sérieusement pourrait remettre en cause la réforme des rythmes scolaires ?

Luigi_B a écrit:François Hollande a fait le bilan de son action pour l'école aujourd'hui :

François Hollande a écrit:Aujourd'hui, qui sérieusement pourrait remettre en cause la réforme des rythmes scolaires ?

The Goon a écrit:

Luigi_B a écrit:François Hollande a fait le bilan de son action pour l'école aujourd'hui :

François Hollande a écrit:Aujourd'hui, qui sérieusement pourrait remettre en cause la réforme des rythmes scolaires ?

La cour des comptes ? L'OCDE ? Vincent Peillon ?

« La loi impose au public les quatre jours et demi mais les écoles sous contrat n'y sont pas tenues. Nous ne le faisons donc pas car nous pensons que ce rythme n'est pas idéal pour les élèves, notamment les maternelles, qui sont très fatigués », ajoute Béatrice Hameury, directrice de Notre-Dame de Lourdes. Aucune demande de la part des parents Les deux chefs d'établissement indiquent, par ailleurs, n'avoir eu aucune demande des parents pour passer au nouveau rythme.

On lance une nouvelle réforme, alors que celle des rythmes scolaires n'est même pas encore aboutie ?

« En dehors de l'école maternelle où il reste à faire quelques ajustements, je considère que la mise en place des rythmes scolaires en Indre-et-Loire s'est faite sans heurts majeurs. Maintenant, nous entrons dans le temps du Projet éducatif territorial, c'est-à-dire la prise en charge globale du temps scolaire. »

Les TAP (Temps d'activités périscolaires) ont cependant souffert de graves dysfonctionnements, non ?

« Je ne vais pas vous dire que tout était parfait mais à mon sens, on a trop parlé des TAP ; aujourd'hui, il n'y a plus de polémiques. »

Aujourd’hui, Speaking-agency est leader sur son marché de garde d’enfants en langues étrangères et de cours de langues à domicile avec des intervenants natifs ou bilingues. La PME intervient dans neuf villes en France et propose des ateliers dans les écoles publiques dans le cadre de la réforme des rythmes scolaires.

The Goon a écrit:en voici un qui a fleuré le filon :

Aujourd’hui, Speaking-agency est leader sur son marché de garde d’enfants en langues étrangères et de cours de langues à domicile avec des intervenants natifs ou bilingues. La PME intervient dans neuf villes en France et propose des ateliers dans les écoles publiques dans le cadre de la réforme des rythmes scolaires.

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