- AthenocrateNiveau 1
Depuis la rentrée de septembre, j'écris chaque semaine un billet mêlant anecdotes de terrain et réflexions sur ma pratique, dans l'idée de donner une image du collège vivante et de l'intérieur, avec une dimension littéraire assumée.
Voici le billet de la rentrée de janvier, qui peut-être vous amusera ou vous inspirera : http://leonbellevalle.blog.lemonde.fr/2015/01/02/les-gentils-et-les-mechants/
Voici le billet de la rentrée de janvier, qui peut-être vous amusera ou vous inspirera : http://leonbellevalle.blog.lemonde.fr/2015/01/02/les-gentils-et-les-mechants/
- AthenocrateNiveau 1
La chronique de la semaine du 12 janvier
Les trois façons
J'aime les gens qui réfléchissent par eux-mêmes. Ils peuvent aller et arriver très loin.
Penser par soi-même ne veut pas dire tout inventer, mais en quelque sorte, tout de même, tout réinventer.
En surimpression de ces quelques mots, je vois un être assis dans la solitude de sa réflexion, qui cherche les problèmes car ils l'empêchent de dormir. Il a retourné mille fois dans sa tête l'objet de sa cérébralite, mais rien ne lui permet de dire qu'il en sait davantage, sur ce qu'il convient de faire, qu'au début de son investigation/divagation.
Alors, il se redresse, dans un nuage de poussière qui est sa réflexion rendue à son état primaire. Il sort dehors, regarder les gens dans les yeux, la ville sur ses trottoirs jonchés, ses murs badigeonnés, le ciel dans son bleu. Il confronte son intérieur, ses dimensions vertigineuses, à cet extérieur, cet espace délimité, aux dimensions visibles à l’œil nu. Il utilise le jour, l'heure, les circonstances comme autant de balises et d'ancrages pour éviter que sa méditation ne se transforme en perdition.
http://leonbellevalle.blog.lemonde.fr/2015/01/14/les-trois-facons/
Les trois façons
J'aime les gens qui réfléchissent par eux-mêmes. Ils peuvent aller et arriver très loin.
Penser par soi-même ne veut pas dire tout inventer, mais en quelque sorte, tout de même, tout réinventer.
En surimpression de ces quelques mots, je vois un être assis dans la solitude de sa réflexion, qui cherche les problèmes car ils l'empêchent de dormir. Il a retourné mille fois dans sa tête l'objet de sa cérébralite, mais rien ne lui permet de dire qu'il en sait davantage, sur ce qu'il convient de faire, qu'au début de son investigation/divagation.
Alors, il se redresse, dans un nuage de poussière qui est sa réflexion rendue à son état primaire. Il sort dehors, regarder les gens dans les yeux, la ville sur ses trottoirs jonchés, ses murs badigeonnés, le ciel dans son bleu. Il confronte son intérieur, ses dimensions vertigineuses, à cet extérieur, cet espace délimité, aux dimensions visibles à l’œil nu. Il utilise le jour, l'heure, les circonstances comme autant de balises et d'ancrages pour éviter que sa méditation ne se transforme en perdition.
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