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- VoltaireNiveau 10
Saphyr, fais toi arrêter, passer comme ça du rire aux larmes, ce sentiment d'impuissance et de perte de contrôle ... prends soin de toi, préserve toi. Ca ne sert à rien de te détruire ainsi, ni ton établissement ni tes élèves (même les 3 ou 4 ...) ne le valent !
- SaphyrNiveau 9
Oudemia, je ne sais toujours pas comment j'y suis arrivée.
Doremy, en ce qui concerne mon établissement, c'est quotidien. Les bagarres, les insultes. Le problème c'est que les sanctions sont inexistantes.
Voltaire, je déteste toujours autant me rendre chez le médecin et je tiens en me disant que dans deux semaines ce sont les vacances. En plus, j'ai peur de m'arrêter, car je ne crois pas que j'aurais la force d'y retourner après avoir goûté au calme et à la tranquillité.
Doremy, en ce qui concerne mon établissement, c'est quotidien. Les bagarres, les insultes. Le problème c'est que les sanctions sont inexistantes.
Voltaire, je déteste toujours autant me rendre chez le médecin et je tiens en me disant que dans deux semaines ce sont les vacances. En plus, j'ai peur de m'arrêter, car je ne crois pas que j'aurais la force d'y retourner après avoir goûté au calme et à la tranquillité.
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"Ecoutez, mon vieux, peu importe qu'un homme vive trente ou cent ans, dans la mesure où il fait quelque chose qui en vaut la peine avant de casser sa pipe", Etats d'urgence, André Brink.
“I'm right and you're wrong, I'm big and you're small, and there's nothing you can do about it.”, Matilda, Roald Dahl
- keroGrand sage
Dans Gestion de classes et d'élèves difficiles de Richoz il y a des propositions de solutions pour des classes extrêmement difficiles. Je pense notamment à la lecture. Peut-être peux-tu trouver des idées là-dedans... Je pense notamment à la partie sur la lecture de textes.
Bon courage, en tout cas.
Je n'ai pas suivi tout le fil, mais une situation à ce point ubuesque me semblerait devoir être signalée, par exemple auprès de l'inspection. Ça a été le cas ?
Bon courage, en tout cas.
Je n'ai pas suivi tout le fil, mais une situation à ce point ubuesque me semblerait devoir être signalée, par exemple auprès de l'inspection. Ça a été le cas ?
- SpartacusNiveau 8
Saphyr a écrit:Voltaire, je déteste toujours autant me rendre chez le médecin et je tiens en me disant que dans deux semaines ce sont les vacances. En plus, j'ai peur de m'arrêter, car je ne crois pas que j'aurais la force d'y retourner après avoir goûté au calme et à la tranquillité.
Insomnie, appel au secours, tentation de recourir à une stratégie d'évitement... A mon avis tu es déjà en burnout ou pas loin. C'est ce qui arrive quand on impose à quelqu'un des objectifs sans lui donner les moyens de les réaliser. C'est donc dans la logique des choses. N'attends pas que les choses s'aggravent. Tu risques l'effondrement psychologique, et dans ce cas, difficile de dire combien de temps il te faudra pour te refaire une santé. Mais dis-toi bien que ni l'institution, ni ces élèves, ni leurs parents ne valent la peine que tu immoles ta santé sur l'autel d'une situation aussi désespérée qu'absurde. N'attends pas pour poser un arrêt maladie, sinon ce sera arrêt, plus antidépresseurs, et pour combien de temps... Là est le grand danger pour toi mais aussi pour ta famille (qui eux n'ont pas à payer la facture d'une telle politique d'établissement).
- SaphyrNiveau 9
Kero, il se trouve que c'est un établissement REP+, donc le leitmotiv de l'inspecteur c'est "innover". Il nous faut faire des projets pour résorber une situation vieille d'une décennie si ce n'est plus.
Je te remercie pour le titre j'essayerais de me le procurer pendant les vacances.
Spartacus, tes mots sonnent tellement vrais...
Ne pas citer le spoiler s'il-vous plaît
Je te remercie pour le titre j'essayerais de me le procurer pendant les vacances.
Spartacus, tes mots sonnent tellement vrais...
Ne pas citer le spoiler s'il-vous plaît
- Spoiler:
- La collègue que j'ai vu tenter de séparer une bagarre s'est blessée. J'ai honte de l'avoir vu et de m'être contentée de passer mon chemin, d'avoir tourné la tête alors qu'elle avait besoin d'aide.
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"Ecoutez, mon vieux, peu importe qu'un homme vive trente ou cent ans, dans la mesure où il fait quelque chose qui en vaut la peine avant de casser sa pipe", Etats d'urgence, André Brink.
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