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- SaphyrNiveau 9
Nicolin, j'essaye de varier le plus que possible les activités pour les accrocher. J'ai d'ailleurs l'impression d'être plus animatrice que prof... mais bon.
Au début de l'année, je faisais des rapports systématiques sur les manquements flagrants au règlement intérieur, mais derrière rien ne bouge. Les parents ont été convoqués, les élèves menacés de renvoi à la prochaine incartade. Cependant, ils ont bien vite réalisé que ce n'était que des paroles en l'air et ils ont un sentiment d'impunité.
Marie Laëtitia, je discute très souvent avec les collègues qui ont la classe et le ressenti est le même: les élèves refusent de travailler, ils n'essayent même pas. On essaye de s'échanger des tuyaux sur ce qui semble fonctionner, mais c'est encore à l'état embryonnaire. Les problèmes de disciplines sont tels que, bien souvent, réussir à commencer le cours relève du miracle. En plus, il s'agit d'élèves absentéistes donc le travail qui est amorcé dans une séance, ne peut parfois pas être poursuivi à cause des nombreux absents.
En ce qui concerne les autres collègues, ceux qui ont le même type de classe que moi comprennent, les autres s'en moquent un peu. Le problème a déjà été soulevé, lors de réunion avec la direction, mais ils nous demandent d'innover, de proposer des ateliers (sur le principe du bénévolat...) et surtout de comprendre les élèves....
Ergo, j'ai commencé avec des exercices de grammaire et j'ai vite abandonné, car ils étaient incapables de comprendre les phrases qui composaient les exercices (j'ai pourtant commencé avec phrases simples où ils devaient repérer le nom). J'aurais peut-être dû persévérer en profitant pour faire des leçons de vocabulaire.
Provence, c'est le sentiment que j'ai et c'est pour cela que j'ai l'impression de ne pas servir à grand chose, si ce n'est de garderie...
Au début de l'année, je faisais des rapports systématiques sur les manquements flagrants au règlement intérieur, mais derrière rien ne bouge. Les parents ont été convoqués, les élèves menacés de renvoi à la prochaine incartade. Cependant, ils ont bien vite réalisé que ce n'était que des paroles en l'air et ils ont un sentiment d'impunité.
Marie Laëtitia, je discute très souvent avec les collègues qui ont la classe et le ressenti est le même: les élèves refusent de travailler, ils n'essayent même pas. On essaye de s'échanger des tuyaux sur ce qui semble fonctionner, mais c'est encore à l'état embryonnaire. Les problèmes de disciplines sont tels que, bien souvent, réussir à commencer le cours relève du miracle. En plus, il s'agit d'élèves absentéistes donc le travail qui est amorcé dans une séance, ne peut parfois pas être poursuivi à cause des nombreux absents.
En ce qui concerne les autres collègues, ceux qui ont le même type de classe que moi comprennent, les autres s'en moquent un peu. Le problème a déjà été soulevé, lors de réunion avec la direction, mais ils nous demandent d'innover, de proposer des ateliers (sur le principe du bénévolat...) et surtout de comprendre les élèves....
Ergo, j'ai commencé avec des exercices de grammaire et j'ai vite abandonné, car ils étaient incapables de comprendre les phrases qui composaient les exercices (j'ai pourtant commencé avec phrases simples où ils devaient repérer le nom). J'aurais peut-être dû persévérer en profitant pour faire des leçons de vocabulaire.
Provence, c'est le sentiment que j'ai et c'est pour cela que j'ai l'impression de ne pas servir à grand chose, si ce n'est de garderie...
- nicolinNiveau 5
Ce que tu dis est un peu désespérant, hormis en ce qui concerne le dialogue avec les collègues, qui peut constituer un bon début. J'ai l'impression que vous allez devoir faire front pour vous imposer face aux élèves et face à l'administration. Si vous êtes suffisamment solidaires, vous parviendrez peut-être à un résultat.
_________________
http://audioblog.arteradio.com/blog/patchworks/
- SaphyrNiveau 9
Je l'espère aussi!
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"Ecoutez, mon vieux, peu importe qu'un homme vive trente ou cent ans, dans la mesure où il fait quelque chose qui en vaut la peine avant de casser sa pipe", Etats d'urgence, André Brink.
“I'm right and you're wrong, I'm big and you're small, and there's nothing you can do about it.”, Matilda, Roald Dahl
- CHOUCROUTENiveau 9
Contacte ton IPR.
Contacte ta DSDEN.
Contacte un syndicat.
Ce n'est pas vivable! Et nous ne sommes qu'en novembre!
Face à une administration aussi peu présente, il faut monter plus haut!
Bon courage!
Contacte ta DSDEN.
Contacte un syndicat.
Ce n'est pas vivable! Et nous ne sommes qu'en novembre!
Face à une administration aussi peu présente, il faut monter plus haut!
Bon courage!
- SaphyrNiveau 9
Choucroute, pour le syndicat c'est fait. Malheureusement, il semblerait que ce soit une situation qui perdure depuis des années et qui ne fait que se dégrader.
L'IPR doit venir sous peu. Il est cependant déjà au courant de la situation.
Merci pour tes suggestions.
L'IPR doit venir sous peu. Il est cependant déjà au courant de la situation.
Merci pour tes suggestions.
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"Ecoutez, mon vieux, peu importe qu'un homme vive trente ou cent ans, dans la mesure où il fait quelque chose qui en vaut la peine avant de casser sa pipe", Etats d'urgence, André Brink.
“I'm right and you're wrong, I'm big and you're small, and there's nothing you can do about it.”, Matilda, Roald Dahl
- PascalNiveau 9
Pour moi il n'y a que deux solutions:
Pascal le Grand Frère
ou Super Nanny
Pascal le Grand Frère
ou Super Nanny
- profnoursNiveau 8
Plus que le grand frère donc.
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Si tu n'as point fini tes leçons, ça f'ra du bruit à la maison...
- PascalNiveau 9
Clodoald a écrit:Super Nanny est morte!
Pardon, celle-ci alors.
- henrietteMédiateur
Bon, quand même, les gars, la question de départ est sérieuse, on va peut-être essayer d'arrêter les cigarettes de l'espace et autres digressions mystico-pharmacologiques pour revenir au problème de Saphyr, qui ne rigole pas du tout avec cette classe, la pauvre.
Désolée, Saphyr, ne le prends pas mal surtout, c'est aussi pour détendre l'atmosphère :
Désolée, Saphyr, ne le prends pas mal surtout, c'est aussi pour détendre l'atmosphère :
- ClodoaldNeoprof expérimenté
Promis, j'arrête.. En me souvenant de ma pire année où j'avais deux classes de quatrième...
Les mots ne me viennent pas pour décrire l'atrocité de la situation.
Tout mon soutien Saphyr. Courage, les années passent et on oublie plus ou moins.
Les mots ne me viennent pas pour décrire l'atrocité de la situation.
Tout mon soutien Saphyr. Courage, les années passent et on oublie plus ou moins.
- SaphyrNiveau 9
Je viens de constater que vous m'aviez proposé d'autres solutions et j'avoue que je rêverais de les avoir. Je ne sais même pas comment j'ai fait pour rater les réponses vu que je traîne assez souvent sur néo ces jours-ci. Vous lire me remonte vraiment le moral.
D'ailleurs, je venais pleurer ma peine et ma souffrance sur cette classe et vraiment ça m'a fait rire alors que je suis rentrée en larmes.
Aujourd'hui, j'ai eu l'impression d'être dans un mauvais film. Je viens pour récupérer la classe et je me rappelle en entrant dans la salle qu'on était venu m'enlever deux tables. Je me dirige donc vers l'autre salle, en écoutant les 4 élèves qui bossent (enfin qui essayent) m'expliquer que la majorité des cas a été exclue et que je vais pouvoir bosser. Je me réjouis en me disant qu'on va pouvoir terminer cette nouvelle réaliste que j'écris péniblement au milieu des cris, des bagarres, des lancés de choses diverses et variées. Je crois que je vais pouvoir faire cours...
Inutile de dire que je me trompais lourdement. Alors que je fais l'appel, un élève de la classe, passe sa tête dans la salle et appelle ses camarades pour leur dire qu'ils doivent venir voir la croix rouge (les tables c'était pour ça d'ailleurs). Je le regarde un peu hébétée, parce que personne ne me l'a dit. Pourtant je suis là depuis la première heure du matin, je suis passée à la vie scolaire et dans la salle des profs plusieurs fois, mais rien... Je n'ai pas le temps de réagir qu'ils sortent tous en courant, trop contents d'échapper à un cours. Je n'ai pas le temps de finir l'appel d'ailleurs.
Au moment où je percute qu'il faut que je les suive, je réalise que devant moi deux élèves se battent. Je les interpelle, rien à faire. Je tente d'en maîtriser un, alors que l'autre est au sol et qu'il le roue de coups de pieds. Je suis seule dans la salle avec cet élève en furie. Je ne sais pas où j'ai trouvé la force pour le retenir, mais je l'ai fait. L'autre s'est levé et est parti. Je prends mes affaires pour emmener celui qui reste à la vie scolaire, mais il a le temps de partir. Je suis sonnée. Il fait quand même partie de ceux qui participent, qui en veulent, qui ne me posent pas de problèmes.
Je vais à la vie scolaire pour tenter de comprendre pourquoi, je n'ai pas été prévenue: ils se sont trompés de professeur accompagnateur! Je demande une feuille de rapport. On me demande avec ou sans exclusion. Je ne sais pas, je ne sais plus. L'élève est parti, je fais comment moi pour l'exclure? Personne ne peux me répondre. D'ailleurs, je vois les pénibles à la vie scolaire, assis là, debout pour certains, à attendre qu'on les reçoive... Je demande où se trouve la classe, celle que je devrais avoir à cette heure-là, personne ne sais. Je déambule dans l'établissement à la recherche des élèves. Mes jambes tremblent, j'ai mal au cœur, j'ai vraiment envie de pleurer.
Alors que je marche, j'aperçois deux autres élèves qui se battent, je tourne la tête. Je n'en peux plus de voir ça. Je suis à deux doigts d'aller m'effondrer chez la PA, lui dire que je ne peux pas assumer ça... Alors que je me dirige vers son bureau, un des élèves de la classe, qui a été exclu à l'heure précédente et qui pourtant traîne dans la cour, m'indique où je peux trouver la classe. Je le remercie et je m'y rends.
Je rentre, ils sont là. Je trouve une chaise et je m'installe le cœur battant, refoulant mes larmes. A un moment, je réalise qu'ils sont incapables de lire le joli powerpoint qu'on leur montre et j'éclate de rire. Doucement.
Dans ma tête, je me vois aller voir la PA et lui dire à quel point je suis à bout. Pourtant, sans que j'ai le temps de m'en rendre compte, c'est fini. Je prends mes jambes à mon cou et je me dirige, vers la sortie. Dans la voiture je fonds en larmes. Arrivée chez moi, je raconte tout ça à mon homme qui me dit que ce n'est rien de grave et qu'il faut que j'arrête de me prendre la tête pour rien. Que j'aurais dû les laisser se battre sans intervenir, que je n'aurais pas dû chercher la classe. Il me réconforte comme il peut, mais là c'est le brouillard dans ma tête.
Voilà, merci à ceux qui m'ont lu. J'avais vraiment besoin que ça sorte.
D'ailleurs, je venais pleurer ma peine et ma souffrance sur cette classe et vraiment ça m'a fait rire alors que je suis rentrée en larmes.
Aujourd'hui, j'ai eu l'impression d'être dans un mauvais film. Je viens pour récupérer la classe et je me rappelle en entrant dans la salle qu'on était venu m'enlever deux tables. Je me dirige donc vers l'autre salle, en écoutant les 4 élèves qui bossent (enfin qui essayent) m'expliquer que la majorité des cas a été exclue et que je vais pouvoir bosser. Je me réjouis en me disant qu'on va pouvoir terminer cette nouvelle réaliste que j'écris péniblement au milieu des cris, des bagarres, des lancés de choses diverses et variées. Je crois que je vais pouvoir faire cours...
Inutile de dire que je me trompais lourdement. Alors que je fais l'appel, un élève de la classe, passe sa tête dans la salle et appelle ses camarades pour leur dire qu'ils doivent venir voir la croix rouge (les tables c'était pour ça d'ailleurs). Je le regarde un peu hébétée, parce que personne ne me l'a dit. Pourtant je suis là depuis la première heure du matin, je suis passée à la vie scolaire et dans la salle des profs plusieurs fois, mais rien... Je n'ai pas le temps de réagir qu'ils sortent tous en courant, trop contents d'échapper à un cours. Je n'ai pas le temps de finir l'appel d'ailleurs.
Au moment où je percute qu'il faut que je les suive, je réalise que devant moi deux élèves se battent. Je les interpelle, rien à faire. Je tente d'en maîtriser un, alors que l'autre est au sol et qu'il le roue de coups de pieds. Je suis seule dans la salle avec cet élève en furie. Je ne sais pas où j'ai trouvé la force pour le retenir, mais je l'ai fait. L'autre s'est levé et est parti. Je prends mes affaires pour emmener celui qui reste à la vie scolaire, mais il a le temps de partir. Je suis sonnée. Il fait quand même partie de ceux qui participent, qui en veulent, qui ne me posent pas de problèmes.
Je vais à la vie scolaire pour tenter de comprendre pourquoi, je n'ai pas été prévenue: ils se sont trompés de professeur accompagnateur! Je demande une feuille de rapport. On me demande avec ou sans exclusion. Je ne sais pas, je ne sais plus. L'élève est parti, je fais comment moi pour l'exclure? Personne ne peux me répondre. D'ailleurs, je vois les pénibles à la vie scolaire, assis là, debout pour certains, à attendre qu'on les reçoive... Je demande où se trouve la classe, celle que je devrais avoir à cette heure-là, personne ne sais. Je déambule dans l'établissement à la recherche des élèves. Mes jambes tremblent, j'ai mal au cœur, j'ai vraiment envie de pleurer.
Alors que je marche, j'aperçois deux autres élèves qui se battent, je tourne la tête. Je n'en peux plus de voir ça. Je suis à deux doigts d'aller m'effondrer chez la PA, lui dire que je ne peux pas assumer ça... Alors que je me dirige vers son bureau, un des élèves de la classe, qui a été exclu à l'heure précédente et qui pourtant traîne dans la cour, m'indique où je peux trouver la classe. Je le remercie et je m'y rends.
Je rentre, ils sont là. Je trouve une chaise et je m'installe le cœur battant, refoulant mes larmes. A un moment, je réalise qu'ils sont incapables de lire le joli powerpoint qu'on leur montre et j'éclate de rire. Doucement.
Dans ma tête, je me vois aller voir la PA et lui dire à quel point je suis à bout. Pourtant, sans que j'ai le temps de m'en rendre compte, c'est fini. Je prends mes jambes à mon cou et je me dirige, vers la sortie. Dans la voiture je fonds en larmes. Arrivée chez moi, je raconte tout ça à mon homme qui me dit que ce n'est rien de grave et qu'il faut que j'arrête de me prendre la tête pour rien. Que j'aurais dû les laisser se battre sans intervenir, que je n'aurais pas dû chercher la classe. Il me réconforte comme il peut, mais là c'est le brouillard dans ma tête.
Voilà, merci à ceux qui m'ont lu. J'avais vraiment besoin que ça sorte.
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"Ecoutez, mon vieux, peu importe qu'un homme vive trente ou cent ans, dans la mesure où il fait quelque chose qui en vaut la peine avant de casser sa pipe", Etats d'urgence, André Brink.
“I'm right and you're wrong, I'm big and you're small, and there's nothing you can do about it.”, Matilda, Roald Dahl
- SteredDoyen
Et bien, quelle journée ahurissante ! Et quelle gestion dans ton établissement... Je pense qu'il faut tenter de décompresser au maximum ce week end et aller voir la direction lundi pour pointer ce grand n'importe quoi en revenant notamment sur le fait que tu n'aies pas été prévenue de l'intervention et en amenant un rapport sur les deux qui se sont battus.
Tu as fait de ton mieux dans des circonstances ubuesques !
- SaphyrNiveau 9
C'est ce que j'essaye de me dire, mais pour le moment je n'y arrive pas. Rien qu'à l'idée d'y retourner, j'ai envie de fuir très loin. Et pourtant, c'est tellement peu par rapport à ce qui est déjà arrivé avec cette classe, mais là je crois que je suis juste fatiguée de tout ça.
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"Ecoutez, mon vieux, peu importe qu'un homme vive trente ou cent ans, dans la mesure où il fait quelque chose qui en vaut la peine avant de casser sa pipe", Etats d'urgence, André Brink.
“I'm right and you're wrong, I'm big and you're small, and there's nothing you can do about it.”, Matilda, Roald Dahl
- DicloniaExpert
Bon courage Saphyr...
Là, quand on lit les erreurs (horreurs ??) de gestion de classe, d'accompagnant, tu ne peux pas y arriver ! Ton administration devrait réagir, c'est quand même incroyable ! Sans parler du fait que ce genre de classe est donné à la nouvelle, au lieu des profs expérimentés de ce collège :/
Essaie de faire un vrai break ce week-end !
- SaphyrNiveau 9
Merci Diclonia, je vais essayer de ne pas y penser au moins ce week-end...
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"Ecoutez, mon vieux, peu importe qu'un homme vive trente ou cent ans, dans la mesure où il fait quelque chose qui en vaut la peine avant de casser sa pipe", Etats d'urgence, André Brink.
“I'm right and you're wrong, I'm big and you're small, and there's nothing you can do about it.”, Matilda, Roald Dahl
- OudemiaBon génie
Stered a écrit:
Et bien, quelle journée ahurissante ! Et quelle gestion dans ton établissement... Je pense qu'il faut tenter de décompresser au maximum ce week end et aller voir la direction lundi pour pointer ce grand n'importe quoi en revenant notamment sur le fait que tu n'aies pas été prévenue de l'intervention et en amenant un rapport sur les deux qui se sont battus.
Tu as fait de ton mieux dans des circonstances ubuesques !
Diclonia a écrit:
Bon courage Saphyr...
Là, quand on lit les erreurs (horreurs ??) de gestion de classe, d'accompagnant, tu ne peux pas y arriver ! Ton administration devrait réagir, c'est quand même incroyable ! Sans parler du fait que ce genre de classe est donné à la nouvelle, au lieu des profs expérimentés de ce collège :/
Essaie de faire un vrai break ce week-end !
Journée exceptionnelle , je ne sais pas comment je m'en serais tirée...
Repose-toi et attaque lundi !
- dorémyExpert spécialisé
J'ai l'impression de lire de plus en plus de récits ubuesques d'incivilité sur Néo depuis quelques temps...c'est moi qui dramatise ?
Je crois bien que je connais déjà la réponse malheureusement...
Je crois bien que je connais déjà la réponse malheureusement...
- VoltaireNiveau 10
Saphyr, fais toi arrêter, passer comme ça du rire aux larmes, ce sentiment d'impuissance et de perte de contrôle ... prends soin de toi, préserve toi. Ca ne sert à rien de te détruire ainsi, ni ton établissement ni tes élèves (même les 3 ou 4 ...) ne le valent !
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