- kalliste54Niveau 9
Je n'ai pas vu de corrigés et oui je pense qu'on attends une partie par doct....ce qui est svt le cas en histoire si 2 docts sur une période .*Fifi* a écrit:Je pense que je vais prendre ce sujet sur l'Algérie. Il y a eu des corrigés de ces essais ? En gros avec cette consigne, on attend une partie par période/document du coup ?
- *Fifi*Modérateur
Ah ben j'ai pas compris alors pourquoi tu disais "tu as le corrigé avec"
Ah moins que tu aies mal compris ma phrase, je parlais de ce sujet sur l'Algérie plus haut quand je demandais vos avis sur la consigne/le sujet en question.
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- kalliste54Niveau 9
*Fifi* a écrit:Ah ben j'ai pas compris alors pourquoi tu disais "tu as le corrigé avec"
Ah moins que tu aies mal compris ma phrase, je parlais de ce sujet sur l'Algérie plus haut quand je demandais vos avis sur la consigne/le sujet en question.
Oui j'avais mal compris, je croyais que tu parlais du sujet des annales Nathan sur l'Inde
- boris vassilievGrand sage
Soutenez-moi, je me lance dans l'Europe, le chapitre à la c.. où on affirme successivement tout et son contraire (unité/diversité...)
Oiseau, merci pour ton cours p1
Oiseau, merci pour ton cours p1
- kalliste54Niveau 9
boris vassiliev a écrit:Soutenez-moi, je me lance dans l'Europe, le chapitre à la c.. où on affirme successivement tout et son contraire (unité/diversité...)
Oiseau, merci pour ton cours p1
On te soutient, on te soutient ...dit celle qui est plongée dans la décolonisation
- *Fifi*Modérateur
bon courage !!
Moi je corrige les commentaires sur la colonisation ... c'est trèèèèès varié ...
Moi je corrige les commentaires sur la colonisation ... c'est trèèèèès varié ...
- boris vassilievGrand sage
Heureusement que dans la première leçon je peux reprendre d'anciens cours, car la sorte de crève que j'ai chopé avant-hier/hier s'est nettement renforcée aujourd'hui : toux, courbatures, fièvre, tête qui tourne. J'étais déjà guère productif
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On a beau dire, y'a pas seulement que de la pomme, y'a autre chose : ça serait pas des fois de la betterave, hein ? Si, y'en a aussi... (Jean Lefebvre / Lino Ventura, Les Tontons flingueurs, 1963, Michel Audiard évidemment, à propos du... "bizarre").
- *Fifi*Modérateur
Parfois il vaut mieux se reposer pour reprendre plus tard. Ca sert à rien quand on est malade ! Soigne toi bien Boris !
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- boris vassilievGrand sage
En tout cas, j'ai repris ton cheminement et il m'a permis de compléter ce que j'avais sur les limites (à propos du conseil de l'Europe).
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On a beau dire, y'a pas seulement que de la pomme, y'a autre chose : ça serait pas des fois de la betterave, hein ? Si, y'en a aussi... (Jean Lefebvre / Lino Ventura, Les Tontons flingueurs, 1963, Michel Audiard évidemment, à propos du... "bizarre").
- boris vassilievGrand sage
Voila mon cours -fort ennuyeux- sur unité et diversité de l'Europe :
I) Europe, Europes : un continent entre unité et diversité
L’Europe est un des principaux foyers de peuplement et un des principaux pôles économiques de la planète. La construction de l’Union européenne, qui s’étend désormais à une grande partie de l’Europe, lui donne même une certaine unité politique. Pourtant il n’est pas facile du tout de la caractériser, tant sa diversité est grande, ni même de la délimiter, comme le montrent les débats sur l’entrée éventuelle de la Turquie dans l’UE. Quelles sont les « frontières » de l’Europe et, par-delà sa diversité, qu’est-ce qui lui confère une identité commune ?
1) L’Europe, un continent ?
Un continent est une vaste étendue de terre délimitée par un ou plusieurs océans. (Carte relief Europe) Or l'Europe ne correspond pas vraiment à cette définition : elle est délimitée au nord par l’océan glacial Arctique, à l’ouest par l’Atlantique et au sud par la Méditerranée mais à l’est, elle est indissociable de l'Asie, avec laquelle elle forme le continent eurasiatique. On établit pourtant une séparation entre l’Europe et l’Asie au niveau des Monts Oural mais cette limite n’est pas « géographique » (les Monts Oural ne sont pas de hautes montagnes difficiles à franchir) mais « historique » : au XVIIIe siècle, le tsar de Russie Pierre le Grand, soucieux de rattacher son pays à la modernité occidentale, demande à ses géographes de « déplacer » la limite de l'Europe vers l'Est de manière à ce qu'une plus grande partie de la Russie se trouve en Europe. De même, les monts du Caucase sont considérés comme la limite sud-est de l'Europe car ils correspondent à la limite de l'expansion russe dans la région. La mer Caspienne et le détroit du Bosphore complètent cette délimitation. Mais elle ne va pas du tout de soi car trois pays se retrouvent partagés entre l’Europe et l’Asie : la Russie, dont l’essentiel du peuplement se situe à l’ouest de l’Oural mais dont le territoire s’étend surtout à l’est, le Kazakhstan, dont 10 % du territoire est européen, et la Turquie (3 %).
C’est cependant cette limite conventionnelle qui a été adoptée par le Conseil de l’Europe. Cette instance de concertation créée en 1949 avec pour mission de favoriser un espace démocratique et juridique commun regroupe aujourd’hui, avec ses 47 membres, la quasi-totalité du continent européen. En 1994, elle a posé comme règle d’admission d’un nouveau membre le fait que tout ou partie du territoire national soit situé à l’intérieur de ces limites mais (texte « borner l’Europe ») en ajoutant un autre critère : l’existence d’un lien culturel avec l’Europe. L’Arménie, la Géorgie et l’Azerbaïdjan sont ainsi entrés dans le Conseil de l’Europe bien qu’étant au sud du Caucase.
Les limites de l’Europe semblent donc plus culturelles que géographiques. Mais cette culture européenne est elle-même peu évidente à définir étant donné la diversité de ce « continent ».
2) Un espace marqué par la diversité…
L’Europe est la région du monde la plus morcelée en Etats. Leur nombre est passé de 28 en 1914 à 49 aujourd’hui. Cette fragmentation s'explique par la mosaïque des peuples européens : en fonction des langues et des cultures, on peut distinguer plus de 200 groupes humains de l'Atlantique à l'Oural. Beaucoup de ces peuples ne se sont pas constitués en Etats autonomes : leur identité s'est plus ou moins atténuée par métissage avec d'autres groupes et ils se sont fondus dans des nations plus vastes, surtout en Europe occidentale. En revanche, la mosaïque ethnique s'est davantage maintenue en Europe centrale et orientale car cette région a été dominée jusqu'au début du XXe siècle par des empires multinationaux dirigés par une nation dominante (autrichienne, russe), en réaction de quoi les minorités ont exalté leur spécificité, chacune aspirant à former un Etat indépendant, ce qui a contribué à l'instabilité des frontières tout au long du XXe siècle. La carte de l'Europe a ainsi connu trois grands bouleversements : après chaque guerre mondiale et suite à l'effondrement du bloc communiste (éclatement de l'URSS, de la Tchécoslovaquie et de la Yougoslavie).
Si les frontières sont plus anciennes en Europe occidentale, on peut y observer des formes de nationalisme régional :
- certaines régions ont été marquées par des revendications séparatistes parfois violentes : Corse, Pays basque espagnol, Irlande du Nord.
- parfois, les revendications autonomistes ou séparatistes émanent de régions riches qui rejettent le principe de solidarité interrégionale vis-à-vis des régions plus pauvres, comme la Padanie (Italie du Nord) vis-à-vis du Mezzogiorno ou la Flandre qui souhaiterait se détacher de l'autre partie du royaume de Belgique, la Wallonie francophone.
- ailleurs, le régionalisme se limite essentiellement à une revalorisation de la culture régionale, en particulier les langues régionales qui peuvent faire l'objet d'un enseignement.
3) …Mais présentant néanmoins une certaine unité
Par-delà la diversité politique et linguistique de l’Europe, on peut distinguer une certaine identité européenne, qui résulte d’une histoire en partie commune.
(Cartes monde grec et empire romain) Il s’agit tout d’abord de l’héritage de la culture gréco-romaine : la notion de démocratie née à Athènes et l’organisation politique en cités se sont répandues en Europe avec la fondation de colonies grecques sur les côtes méditerranéennes, et plus encore au temps de l’empire romain qui s’étendit sur une grande partie de l’Europe et lui donna une première unité : latin, monuments, échanges commerciaux avec Rome. C’est également à l’échelle de l’empire romain que s’est diffusé le christianisme du Ier au Ve siècle. Les missionnaires du Moyen-Age évangélisèrent ensuite les régions d’Europe du Nord et d’Europe orientale qui n’avaient pas été romanisées. Certes, le christianisme se divisa en plusieurs confessions du Moyen-Age au XVIe siècle, mais il ne fournit pas moins un fond culturel commun à l’échelle de l’Europe.
L’essor des échanges commerciaux à partir du Moyen-Age a accéléré le développement et l’enrichissement des villes européennes. Cet essor urbain est à l’origine de paysages urbains typiques aux villes européennes, avec des auréoles d’urbanisation successives autour d’un centre remontant au Moyen-Age. L’urbanisation et les échanges ont également permis le développement de courants culturels à l’échelle d’une grande partie de l’Europe, comme l'art de la Renaissance ou la philosophie des Lumières. Cette dernière, axée sur la raison et l'idée de progrès, explique en partie l'avance technologique et scientifique prise par l'Europe au XIXe siècle, une avance qui lui a permis de dominer le monde avant d'être concurrencée par les Etats-Unis puis l'Asie orientale.
Depuis 1945, l’Europe se caractérise enfin par la disparition progressive des dictatures. L’Union européenne a largement contribué à cette évolution en faisant de la démocratie et du respect des droits de l’homme le premier critère à satisfaire en vue d’une adhésion. La volonté d’entrer dans l’UE a ainsi accéléré les réformes démocratiques en Espagne et au Portugal, dans les anciens pays communistes et en Turquie.
La devise choisie en 2000 par l’UE, « unité dans la diversité », peut donc s’appliquer à l’ensemble de l’Europe : malgré son morcellement en de multiples nations, on peut distinguer une identité européenne fondée sur le christianisme, l’ancienneté du développement économique et les valeurs de la démocratie. Cependant, ces différents critères font l’objet de débats, en particulier la dimension chrétienne de l’Europe étant donné que tous les Européens ne sont pas chrétiens, et les différents pays européens ne partagent pas au même degré cet héritage commun. On peut parler d’un gradient d’européanité : l’identité européenne est moins nette sur les marges de l’Europe.
I) Europe, Europes : un continent entre unité et diversité
L’Europe est un des principaux foyers de peuplement et un des principaux pôles économiques de la planète. La construction de l’Union européenne, qui s’étend désormais à une grande partie de l’Europe, lui donne même une certaine unité politique. Pourtant il n’est pas facile du tout de la caractériser, tant sa diversité est grande, ni même de la délimiter, comme le montrent les débats sur l’entrée éventuelle de la Turquie dans l’UE. Quelles sont les « frontières » de l’Europe et, par-delà sa diversité, qu’est-ce qui lui confère une identité commune ?
1) L’Europe, un continent ?
Un continent est une vaste étendue de terre délimitée par un ou plusieurs océans. (Carte relief Europe) Or l'Europe ne correspond pas vraiment à cette définition : elle est délimitée au nord par l’océan glacial Arctique, à l’ouest par l’Atlantique et au sud par la Méditerranée mais à l’est, elle est indissociable de l'Asie, avec laquelle elle forme le continent eurasiatique. On établit pourtant une séparation entre l’Europe et l’Asie au niveau des Monts Oural mais cette limite n’est pas « géographique » (les Monts Oural ne sont pas de hautes montagnes difficiles à franchir) mais « historique » : au XVIIIe siècle, le tsar de Russie Pierre le Grand, soucieux de rattacher son pays à la modernité occidentale, demande à ses géographes de « déplacer » la limite de l'Europe vers l'Est de manière à ce qu'une plus grande partie de la Russie se trouve en Europe. De même, les monts du Caucase sont considérés comme la limite sud-est de l'Europe car ils correspondent à la limite de l'expansion russe dans la région. La mer Caspienne et le détroit du Bosphore complètent cette délimitation. Mais elle ne va pas du tout de soi car trois pays se retrouvent partagés entre l’Europe et l’Asie : la Russie, dont l’essentiel du peuplement se situe à l’ouest de l’Oural mais dont le territoire s’étend surtout à l’est, le Kazakhstan, dont 10 % du territoire est européen, et la Turquie (3 %).
C’est cependant cette limite conventionnelle qui a été adoptée par le Conseil de l’Europe. Cette instance de concertation créée en 1949 avec pour mission de favoriser un espace démocratique et juridique commun regroupe aujourd’hui, avec ses 47 membres, la quasi-totalité du continent européen. En 1994, elle a posé comme règle d’admission d’un nouveau membre le fait que tout ou partie du territoire national soit situé à l’intérieur de ces limites mais (texte « borner l’Europe ») en ajoutant un autre critère : l’existence d’un lien culturel avec l’Europe. L’Arménie, la Géorgie et l’Azerbaïdjan sont ainsi entrés dans le Conseil de l’Europe bien qu’étant au sud du Caucase.
Les limites de l’Europe semblent donc plus culturelles que géographiques. Mais cette culture européenne est elle-même peu évidente à définir étant donné la diversité de ce « continent ».
2) Un espace marqué par la diversité…
L’Europe est la région du monde la plus morcelée en Etats. Leur nombre est passé de 28 en 1914 à 49 aujourd’hui. Cette fragmentation s'explique par la mosaïque des peuples européens : en fonction des langues et des cultures, on peut distinguer plus de 200 groupes humains de l'Atlantique à l'Oural. Beaucoup de ces peuples ne se sont pas constitués en Etats autonomes : leur identité s'est plus ou moins atténuée par métissage avec d'autres groupes et ils se sont fondus dans des nations plus vastes, surtout en Europe occidentale. En revanche, la mosaïque ethnique s'est davantage maintenue en Europe centrale et orientale car cette région a été dominée jusqu'au début du XXe siècle par des empires multinationaux dirigés par une nation dominante (autrichienne, russe), en réaction de quoi les minorités ont exalté leur spécificité, chacune aspirant à former un Etat indépendant, ce qui a contribué à l'instabilité des frontières tout au long du XXe siècle. La carte de l'Europe a ainsi connu trois grands bouleversements : après chaque guerre mondiale et suite à l'effondrement du bloc communiste (éclatement de l'URSS, de la Tchécoslovaquie et de la Yougoslavie).
Si les frontières sont plus anciennes en Europe occidentale, on peut y observer des formes de nationalisme régional :
- certaines régions ont été marquées par des revendications séparatistes parfois violentes : Corse, Pays basque espagnol, Irlande du Nord.
- parfois, les revendications autonomistes ou séparatistes émanent de régions riches qui rejettent le principe de solidarité interrégionale vis-à-vis des régions plus pauvres, comme la Padanie (Italie du Nord) vis-à-vis du Mezzogiorno ou la Flandre qui souhaiterait se détacher de l'autre partie du royaume de Belgique, la Wallonie francophone.
- ailleurs, le régionalisme se limite essentiellement à une revalorisation de la culture régionale, en particulier les langues régionales qui peuvent faire l'objet d'un enseignement.
3) …Mais présentant néanmoins une certaine unité
Par-delà la diversité politique et linguistique de l’Europe, on peut distinguer une certaine identité européenne, qui résulte d’une histoire en partie commune.
(Cartes monde grec et empire romain) Il s’agit tout d’abord de l’héritage de la culture gréco-romaine : la notion de démocratie née à Athènes et l’organisation politique en cités se sont répandues en Europe avec la fondation de colonies grecques sur les côtes méditerranéennes, et plus encore au temps de l’empire romain qui s’étendit sur une grande partie de l’Europe et lui donna une première unité : latin, monuments, échanges commerciaux avec Rome. C’est également à l’échelle de l’empire romain que s’est diffusé le christianisme du Ier au Ve siècle. Les missionnaires du Moyen-Age évangélisèrent ensuite les régions d’Europe du Nord et d’Europe orientale qui n’avaient pas été romanisées. Certes, le christianisme se divisa en plusieurs confessions du Moyen-Age au XVIe siècle, mais il ne fournit pas moins un fond culturel commun à l’échelle de l’Europe.
L’essor des échanges commerciaux à partir du Moyen-Age a accéléré le développement et l’enrichissement des villes européennes. Cet essor urbain est à l’origine de paysages urbains typiques aux villes européennes, avec des auréoles d’urbanisation successives autour d’un centre remontant au Moyen-Age. L’urbanisation et les échanges ont également permis le développement de courants culturels à l’échelle d’une grande partie de l’Europe, comme l'art de la Renaissance ou la philosophie des Lumières. Cette dernière, axée sur la raison et l'idée de progrès, explique en partie l'avance technologique et scientifique prise par l'Europe au XIXe siècle, une avance qui lui a permis de dominer le monde avant d'être concurrencée par les Etats-Unis puis l'Asie orientale.
Depuis 1945, l’Europe se caractérise enfin par la disparition progressive des dictatures. L’Union européenne a largement contribué à cette évolution en faisant de la démocratie et du respect des droits de l’homme le premier critère à satisfaire en vue d’une adhésion. La volonté d’entrer dans l’UE a ainsi accéléré les réformes démocratiques en Espagne et au Portugal, dans les anciens pays communistes et en Turquie.
La devise choisie en 2000 par l’UE, « unité dans la diversité », peut donc s’appliquer à l’ensemble de l’Europe : malgré son morcellement en de multiples nations, on peut distinguer une identité européenne fondée sur le christianisme, l’ancienneté du développement économique et les valeurs de la démocratie. Cependant, ces différents critères font l’objet de débats, en particulier la dimension chrétienne de l’Europe étant donné que tous les Européens ne sont pas chrétiens, et les différents pays européens ne partagent pas au même degré cet héritage commun. On peut parler d’un gradient d’européanité : l’identité européenne est moins nette sur les marges de l’Europe.
- kalliste54Niveau 9
Je mesure à quel point cette partie va être fort ennuyeuse..., comme dans le programme précédent, moi qui croyais en être débarassée avec ce nouveau programme c'est raté.
Boris tu as fait ce que tu as pu...je sens que pour moi ça va être une fiche vite fait pour gagner du temps
Boris tu as fait ce que tu as pu...je sens que pour moi ça va être une fiche vite fait pour gagner du temps
- boris vassilievGrand sage
Merci, ce n'était pas grand-chose, je n'ai plus vraiment de fièvre, il ne reste plus que le nez qui coule, la gorge et la voix mais on fera avec demain...
Kalliste, moi aussi, je sens qu'il va y avoir du polycop, je ne me vois pas faire un truc aussi ennuyeux. C'est bien la même chose que le premier cours sur l'Europe de l'ancien programme.
Je vais probablement faire en cours seulement le 1) car ça sert pour la suite du chapitre, et les considérations fumeuses des 2) et 3) sur polycop.
Là j'ai vu à peu près ce que j'allais faire dans le II sur l'UE, mais je vais préparer en priorité le III en vue du croquis pour pouvoir leur faire faire sur une partie de mes 3h mardi après-midi. Et le II, si ça se trouve, il finira en polycop aussi tellement c'est ennuyeux cette Europe.
Kalliste, moi aussi, je sens qu'il va y avoir du polycop, je ne me vois pas faire un truc aussi ennuyeux. C'est bien la même chose que le premier cours sur l'Europe de l'ancien programme.
Je vais probablement faire en cours seulement le 1) car ça sert pour la suite du chapitre, et les considérations fumeuses des 2) et 3) sur polycop.
Là j'ai vu à peu près ce que j'allais faire dans le II sur l'UE, mais je vais préparer en priorité le III en vue du croquis pour pouvoir leur faire faire sur une partie de mes 3h mardi après-midi. Et le II, si ça se trouve, il finira en polycop aussi tellement c'est ennuyeux cette Europe.
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On a beau dire, y'a pas seulement que de la pomme, y'a autre chose : ça serait pas des fois de la betterave, hein ? Si, y'en a aussi... (Jean Lefebvre / Lino Ventura, Les Tontons flingueurs, 1963, Michel Audiard évidemment, à propos du... "bizarre").
- kalliste54Niveau 9
Pour le croquis, Boris tu peux un peu t'appuyer en le remodelant sur le croquis de terminale (histoire de gagner du temps)
- boris vassilievGrand sage
Ah oui, c'est vrai !!!
Je suis en train de partir du croquis pour savoir quoi faire dans le III, je vais de ce pas voir mon dossier Tle
Je suis en train de partir du croquis pour savoir quoi faire dans le III, je vais de ce pas voir mon dossier Tle
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- User5776Habitué du forum
Pour les trois entrées du premier chapitre sur l'Europe, j'hésite à faire un croquis par partie.
- User5776Habitué du forum
Wow... entre le 31 avril et le 1er juin, j'ai que ...13h30 avec mes 1erES !!
- *Fifi*Modérateur
Tu finis le 1er juin ????
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- User5776Habitué du forum
Ouais, j'ai pris mes congés tôt cette année.
Non non, c'est juste la date butoir que' je me suis donné pour mes calculs. Après c'est la période des conseils de classe, et j'imagine qu'ils vont se consacrés à leur bac, donc...
Non non, c'est juste la date butoir que' je me suis donné pour mes calculs. Après c'est la période des conseils de classe, et j'imagine qu'ils vont se consacrés à leur bac, donc...
- Invité19Esprit sacré
j'ai pas fait de croquis pour l'UE... qu'aurait il fallu faire ? des idées de sujet (je vais peut être donner un sujet d'un croquis qu'on n'a pas fait, en DS)
- User5776Habitué du forum
http://www.trannoy-condorcet.com/article-1es3-ch-6-geographie-l-europe-entre-unite-et-diversite-42913553.html
- *Fifi*Modérateur
Ah ok. j'ai compté jusqu'au 8 juin, mais visiblement on n'arrêtera que la semaine d'après.
- *Fifi*Modérateur
Moi je leur ai fait faire un croquis (mais j'ai mixé UE et UE et mondialisation) avec en gros :
A. Des espaces inégalement puissants au sein de l’UE (gradients)
B. L’UE, une aire de puissance ouverte sur le monde (villes mondiales, métropoles imp, northern range, flux, interfaces vers les voisins)
A. Des espaces inégalement puissants au sein de l’UE (gradients)
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- boris vassilievGrand sage
Allez, je m'y remets aussi, à cette Europe, c'est pour demain, cette fois...
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- *Fifi*Modérateur
moi demain Northern Range : ils devaient faire un schéma donc correction et bla bla général + Rotterdam du manuel. pas le courage de faire mieux ! Ensuite je ferai 2h sur la méditérranée et la conclusion et fini la géo !!!!!!
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