- RoninMonarque
En résumant très succinctement, oui. Mais le livre est beaucoup plus profond et complexe que cela. C'est plus un ouvrage de philosophie politique qui brasse large et fait appel, tant à l'histoire, à la philosophie qu'à la psychanalyse. Un précurseur de Michéa en quelque sorte. Même si je ne suis pas convaincu par out, je recommande cette lecture, vraiment originale.
- coindeparadisGuide spirituel
Merci, je note...
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Ne t'excuse jamais d'être ce que tu es. Gandhi
- ErgoDevin
Je note également la référence !
De mon côté, j'ai fini les cinq tomes (sur six prévus) de la série Lorien Legacies, de l'anglais simple, pas très très bien écrit avec des extra-terrestres, des pouvoirs et des ados - mais ça vide la tête. (Je le vends mal, je sais.)
Et j'ai fini deux de mes cadeaux de Noël:
et
qui d'ailleurs n'est pas tout à fait ce que je cherchais (il me faudrait quelque chose de plus "historique" je pense), mais qu'il fallait de toute façon que j'aie lu et résumé pour sa double caractéristique "américain" et "récent".
De mon côté, j'ai fini les cinq tomes (sur six prévus) de la série Lorien Legacies, de l'anglais simple, pas très très bien écrit avec des extra-terrestres, des pouvoirs et des ados - mais ça vide la tête. (Je le vends mal, je sais.)
Et j'ai fini deux de mes cadeaux de Noël:
et
qui d'ailleurs n'est pas tout à fait ce que je cherchais (il me faudrait quelque chose de plus "historique" je pense), mais qu'il fallait de toute façon que j'aie lu et résumé pour sa double caractéristique "américain" et "récent".
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"You went to a long-dead octopus for advice, and you're going to blame *me* for your problems?" -- Once Upon a Time
"The gull was your ordinary gull." -- Wittgenstein's Mistress
« Cède, cède, cède, je le veux ! » écrivait Ronin, le samouraï. (Si vous cherchez un stulo-plyme, de l'encre, récap de juillet 2024)
- KolymaNiveau 5
Vous connaissez Bryan Stanley Johnson, écrivain-poète-cinéaste-critique britannique d'avant-garde qui a pondu quelques romans expérimentaux dans les années 60 ? Non ? J'ai découvert ça grâce au Canard, et je vous recommande chaudement (mais par ordre décroissant d'intensité) ces trois bouquins, que j'ai dévorés en quelques heures :
Albert Angelo (1964)
Christie Malry règle ses comptes (1973)
R.A.S. Infirmière-Chef (1971)
Influence de Beckett, Joyce, Sterne. Des innovations formelles et des idées bien arrêtées sur ce que doit être le roman. En particulier, beaucoup de monologues intérieurs croisés ou simultanés qui valent leur pesant de cacahuètes. Petit extrait d'Albert Angelo, qui ne lui rend pas justice mais qui m'a troublé :
« Ils sont assis, grands et gauches à leurs tables cerclées d'aluminium, déjà des hommes et des femmes, physiquement, ceux à qui, en ce jour, tu essaies d'apprendre à trouver une place dans une société en laquelle tu ne crois pas, au sein de laquelle leurs valeurs dominent déjà les tiennes. La plupart seront maris et femmes, certains putes et macs : quelle importance ? Aucun n'est capable de concevoir le malheur, capable de concevoir la mort. »
Je m'suis fait offrir à Noël sa biographie par Jonathan Coe, intitulée B.S. Johnson, histoire d'un éléphant fougueux, mais j'avoue qu'elle me tombe un peu des mains. C'est l'histoire d'un mec dépressif, qui finit par se suicider. Bon.
L'était quand même capable d'écrire quelques belles scènes de fesses, émouvantes, notamment dans Christie Malry (scène avec aspirateur, pages 65-66). Et puis les trois bouquins cités sont très drôles (humour potache à grinçant, y'en a pour tous les goûts, c'est comme le morceau de sucre qui aide le désespoir à couler).
Albert Angelo (1964)
Christie Malry règle ses comptes (1973)
R.A.S. Infirmière-Chef (1971)
Influence de Beckett, Joyce, Sterne. Des innovations formelles et des idées bien arrêtées sur ce que doit être le roman. En particulier, beaucoup de monologues intérieurs croisés ou simultanés qui valent leur pesant de cacahuètes. Petit extrait d'Albert Angelo, qui ne lui rend pas justice mais qui m'a troublé :
« Ils sont assis, grands et gauches à leurs tables cerclées d'aluminium, déjà des hommes et des femmes, physiquement, ceux à qui, en ce jour, tu essaies d'apprendre à trouver une place dans une société en laquelle tu ne crois pas, au sein de laquelle leurs valeurs dominent déjà les tiennes. La plupart seront maris et femmes, certains putes et macs : quelle importance ? Aucun n'est capable de concevoir le malheur, capable de concevoir la mort. »
Je m'suis fait offrir à Noël sa biographie par Jonathan Coe, intitulée B.S. Johnson, histoire d'un éléphant fougueux, mais j'avoue qu'elle me tombe un peu des mains. C'est l'histoire d'un mec dépressif, qui finit par se suicider. Bon.
L'était quand même capable d'écrire quelques belles scènes de fesses, émouvantes, notamment dans Christie Malry (scène avec aspirateur, pages 65-66). Et puis les trois bouquins cités sont très drôles (humour potache à grinçant, y'en a pour tous les goûts, c'est comme le morceau de sucre qui aide le désespoir à couler).
- PseudoDemi-dieu
anthinéa a écrit:J'essaie de terminer le "Naissance" de Moix et le Modiano... Mais ils me tombent des mains, mais je n'aime pas ne pas terminer un livre, donc ...
Et avec Naissance, s'il te tombe des mains, attention à la fracture du pied...
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"Il faut encore avoir du chaos en soi pour pouvoir enfanter une étoile qui danse" Nietzsche
- liskayaNeoprof expérimenté
Je viens de lire ceci. C'est un drôle de livre... j'ai bien aimé le début, mais je me suis lassée. Je ne me suis pas assez attachée aux personnages je pense. Pourtant l'idée était bonne...
- coindeparadisGuide spirituel
Personnellement je trouve que c'est une compilation sans fil conducteur de moments tristes à pleurer. Il y a très peu de réflexions sur la pratique (très très peu), du factuel davantage axé sur l'observation (logements insalubres, visages d'alcooliques...) que sur l'étude des relations intra-familiales. En tout cas il est peu probable que cet ouvrage crée des vocations !lien social a écrit:Xavier Bouchereau s’était lancé le défi de rendre compte du travail qu’accomplit un éducateur spécialisé, en protection de l’enfance. Pari lancé, pari gagné. Quand on sait la difficulté de rendre dicible ce qui est éminemment singulier et particulier, l’on mesure la qualité du résultat. En une soixantaine de vignettes cliniques, aussi brèves que percutantes, l’auteur égrène dix années de son expérience en AEMO judiciaire, à la manière d’un journal de bord dont il nous aurait choisi les extraits les plus significatifs. Son récit nous plonge dans la nature humaine dans ce qu’elle a de plus glauque, mais aussi dans ce qu’elle a de plus réjouissante.
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Ne t'excuse jamais d'être ce que tu es. Gandhi
- AnacycliqueÉrudit
Aïe. Plusieurs déceptions, d'autant plus raides que j'avais adoré Ce que je sais de Vera Candida (un vrai grand coup de coeur).
Style indigeste et histoire inintéressante, qui se voudrait sans doute dérangeante (???). Pénible à lire. Je regrette d'être allée jusqu'au bout.
Autre déception. Une histoire de couple, un amour qui se veut passionné, mais insipide, malheureusement. Une enquête molle. Une exploration du deuil assez pâle.
Suis triste de mes mauvaises pioches pour Ovaldé. Mais jene peux m'empêcher de poursuivre sur ma lancée avec La grâce des brigands .
Sinon, j'ai lu les 10 tomes de Gen d'Hiroshima d'une traite. Aussi prenant que bouleversant (le mot est faible).
Je finis ça :
C'est assez prenant car c'est assez bien construit (retours en arrière, récit rythmé par des chapitres très courts parfois), mais l'écriture est inexistante... Aucun style, c'est très très frustrant. J'ai eu l'impression que c'était très filmique, que les chapitres équivalaient vraiment à des plans-séquences. L'impression de voir une série américaine plus que de lire un livre.
Style indigeste et histoire inintéressante, qui se voudrait sans doute dérangeante (???). Pénible à lire. Je regrette d'être allée jusqu'au bout.
Autre déception. Une histoire de couple, un amour qui se veut passionné, mais insipide, malheureusement. Une enquête molle. Une exploration du deuil assez pâle.
Suis triste de mes mauvaises pioches pour Ovaldé. Mais jene peux m'empêcher de poursuivre sur ma lancée avec La grâce des brigands .
Sinon, j'ai lu les 10 tomes de Gen d'Hiroshima d'une traite. Aussi prenant que bouleversant (le mot est faible).
Je finis ça :
C'est assez prenant car c'est assez bien construit (retours en arrière, récit rythmé par des chapitres très courts parfois), mais l'écriture est inexistante... Aucun style, c'est très très frustrant. J'ai eu l'impression que c'était très filmique, que les chapitres équivalaient vraiment à des plans-séquences. L'impression de voir une série américaine plus que de lire un livre.
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"Faire ce que l'on dit et dire ce que l'on fait. Passer aux actes afin de faire sa part."
- IphigénieProphète
C'est malin vous m'avez donné l'envie de le lire : du coup, je viens de l'acheter sur ma kindleCripure a écrit::aau:Ronin a écrit:Je fais des PPI et j'y mets ce que je veux. Mais je suis dans le spécialisé du spécialisé, dans un domaine que même les formateurs ASH reconnaissent ne pas connaître et ne pas savoir comment faire. Donc, bon, les compétences...
et d'ailleurs en lien étroit avec un ancien collègue qui progresse à grands pas dans la carrière :
plusieurs petits textes, rigolo.
- DesolationRowEmpereur
Anacyclique a écrit:Aïe. Plusieurs déceptions, d'autant plus raides que j'avais adoré Ce que je sais de Vera Candida (un vrai grand coup de coeur).
Je finis ça :
C'est assez prenant car c'est assez bien construit (retours en arrière, récit rythmé par des chapitres très courts parfois), mais l'écriture est inexistante... Aucun style, c'est très très frustrant. J'ai eu l'impression que c'était très filmique, que les chapitres équivalaient vraiment à des plans-séquences. L'impression de voir une série américaine plus que de lire un livre.
J'ai trouvé ce roman consternant. C'est écrit avec les pieds (le pire étant les dialogues !), l'intrigue est assez faible (une seule bonne idée, autour de la mère de Nora), et ça enfreint une des règles fondamentales d'un roman policier (pas par créativité, mais par facilité).
Le summum étant les pages extraites d'un livre censé être génial, et qui ressemblent à des passages d'un très mauvais roman à l'eau de rose.
Quand on pense à ce que la littérature étrangère produit comme romans policiers de haute qualité, le fait qu'on ait encensé ce navet en France montre le retard que nous avons dans ce genre.
- zeprofGrand sage
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C. jacq met en scène un nouveau héros, au coeur de l'Egypte antique. Setna est le fils ainé de Ramses II et d'Iset la Belle. Erudit, il aime l'étude et les textes. Il tombe amoureux de la belle Sekhet, prêtresse de la redoutable Sehkmet et doit, avec elle, résoudre des énigmes qui mettent le trône de son père en péril et à travers lui, tout l'équilibre de l'Egypte pharaonique...
ça faisait longtemps que je n'avais pas lude C. Jacq : j'ai apprécié de me replonger dans l'Egypte ancienne mais j'ai été un peu déçue du style... que j'ai trouvé simpliste... c'est un roman agréable à lire et dépaysant.
C. jacq met en scène un nouveau héros, au coeur de l'Egypte antique. Setna est le fils ainé de Ramses II et d'Iset la Belle. Erudit, il aime l'étude et les textes. Il tombe amoureux de la belle Sekhet, prêtresse de la redoutable Sehkmet et doit, avec elle, résoudre des énigmes qui mettent le trône de son père en péril et à travers lui, tout l'équilibre de l'Egypte pharaonique...
ça faisait longtemps que je n'avais pas lude C. Jacq : j'ai apprécié de me replonger dans l'Egypte ancienne mais j'ai été un peu déçue du style... que j'ai trouvé simpliste... c'est un roman agréable à lire et dépaysant.
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"La peur est le chemin vers le côté obscur: la peur mène à la colère, la colère mène à la haine, la haine… mène à la souffrance."
- coindeparadisGuide spirituel
J'avais conduit des élèves de bac pro à lire pour le plaisir (en commençant avec la reine soleil), justement grâce à C. Jacq : ce mélange historico/ésotérique écrit simplement leur convenait bien.
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Ne t'excuse jamais d'être ce que tu es. Gandhi
- zeprofGrand sage
ah oui je ne dis pas le contraire, ça se lit bien... mais j'en gardais un souvenir quasi émerveillé (j'ai lu du C. jacq assez jeune, ça m'a même conduit à faire des études d'histoire et à chercher à me spécialiser en égypto donc je ne vais pas cracher dans la soupe) mais du coup, là j'ai été un peu déçue car je n'ai pas retrouvé l'émerveillement de mes jeunes années (je dois m'aigrir avec l'age )
ceci étant ça reste une lecture sympa et agréable.
ceci étant ça reste une lecture sympa et agréable.
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"La peur est le chemin vers le côté obscur: la peur mène à la colère, la colère mène à la haine, la haine… mène à la souffrance."
- coindeparadisGuide spirituel
Moi c'était les Thibault et les Pasquier. Je ne prendrai pas le risque de les relire ...
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Ne t'excuse jamais d'être ce que tu es. Gandhi
- zeprofGrand sage
ce sont nos madeleines
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"La peur est le chemin vers le côté obscur: la peur mène à la colère, la colère mène à la haine, la haine… mène à la souffrance."
- coindeparadisGuide spirituel
Voilà !
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Ne t'excuse jamais d'être ce que tu es. Gandhi
- zeprofGrand sage
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"La peur est le chemin vers le côté obscur: la peur mène à la colère, la colère mène à la haine, la haine… mène à la souffrance."
- RoninMonarque
Le dernier de Lasch. Plus décousu que le précédent mais très intéressant également.
Iconoclaste et rafraichissant.
Iconoclaste et rafraichissant.
- LouisBarthasExpert
Celui-là, je ne le connais pas. J'ai lu, il y a quand même un moment, "La culture du narcissisme" ; je ne sais plus si c'était avant que je ne découvre Michéa.Ronin a écrit:Le dernier de Lasch. Plus décousu que le précédent mais très intéressant également.
Iconoclaste et rafraichissant.
Par contre, je compte lire bientôt du même auteur "Le Seul et Vrai Paradis : Une histoire de l'idéologie du progrès et de ses critiques".
Bon Ronin, tu es comme moi : on a envie de lire les auteurs que cite Michéa ! Il y en a un que j'ai adoré, c'est, "Eloge du carburateur - Essai sur le sens et la valeur du travail" de Matthew B Crawford :
« La génération actuelle de révolutionnaires du management s'emploie à inculquer de force la flexibilité aux salariés et considère l'éthos artisanal comme un obstacle à éliminer. On lui préfère de loin l'exemple du consultant en gestion, vibrionnant d'une tâche à l'autre et fier de ne posséder aucune expertise spécifique. Tout comme le consommateur idéal, le consultant en gestion projette une image de liberté triomphante au regard de laquelle les métiers manuels passent volontiers pour misérables et étriqués. Imaginez à côté le plombier accroupi sous l'évier, la raie des fesses à l'air. »
C'est jubilatoire!
A l'origine, Matthew B. Crawford était un brillant universitaire, bien payé pour travailler dans un think-tank à Washington. Au bout de quelques mois, déprimé, il démissionne pour ouvrir... un atelier de réparation de motos.
« Retour aux fondamentaux, donc. La caisse du moteur est fêlée, on voit le carburateur. Il est temps de tout démonter et de mettre les mains dans le cambouis... »
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Chaque génération, sans doute, se croit vouée à refaire le monde. La mienne sait pourtant qu’elle ne le refera pas. Mais sa tâche est peut-être plus grande. Elle consiste à empêcher que le monde ne se défasse. - Albert Camus
Aller apprendre l'ignorance à l'école, c'est une histoire qui ne s'invente pas ! - Alexandre Vialatte
À quels enfants allons-nous laisser le monde ? - Jaime Semprun
Comme si, tous ceux qui n'approuvent pas les nouveaux abus étaient évidemment partisans des anciens. - Edmund Burke
Versaillais de droite et Versaillais de gauche doivent être égaux devant la haine du peuple. - Manifeste des proscrits de la Commune
- RoninMonarque
Oui, j'ai lu aussi l'éloge du carburateur, intéressant aussi.
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- zeprofGrand sage
je viens de finir le Soldeur de Michel Field
c'est le récit de l'introspection d'un homme, qui s'interroge sur lui-même et sur sa vie en soldant peu à peu l'immense bibliothèque qu'il s'était constitué au fil des années. L'histoire en elle même est peu intéressante car l'intrigue tourne autour d'une "drague" et du jeu littéraire que le narrateur va engager avec une jeune femme rencontrée chez le soldeur. L'intrigue est un peu téléphonée et le personnage de la jeune fille un poil caricatural mais c'est surtout le prétexte a une réflexion sur les livres, la lecture, la possession et un régal autour de nombreux titres... pour passionnés de littérature.
c'est le récit de l'introspection d'un homme, qui s'interroge sur lui-même et sur sa vie en soldant peu à peu l'immense bibliothèque qu'il s'était constitué au fil des années. L'histoire en elle même est peu intéressante car l'intrigue tourne autour d'une "drague" et du jeu littéraire que le narrateur va engager avec une jeune femme rencontrée chez le soldeur. L'intrigue est un peu téléphonée et le personnage de la jeune fille un poil caricatural mais c'est surtout le prétexte a une réflexion sur les livres, la lecture, la possession et un régal autour de nombreux titres... pour passionnés de littérature.
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"La peur est le chemin vers le côté obscur: la peur mène à la colère, la colère mène à la haine, la haine… mène à la souffrance."
- coindeparadisGuide spirituel
Cet ouvrage n'est vraiment pas réussi ! Anne Ancellin est avec P. Dumas la spécialiste de la psychogénéalogie (de qualité) et cet essai "pratique" est raté. Il n'a ni le caractère pragmatique et prescriptif pour élaborer les outils comme l'atome social ou l'arbre généalogique, ni la profondeur des essais plus aboutis. On reste sur sa - petite - faim.
- JPhMMDemi-dieu
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- zeprofGrand sage
un livre difficile à lire pour moi, particulièrement la scène de na grange qui m'a mise extrêmement mal à l'aise... je ne sais pas trop quoi en penser... j'ai lu tout et son contraire dessus mais il ne m'a semblé ni caricatural, ni improbable hélas...
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"La peur est le chemin vers le côté obscur: la peur mène à la colère, la colère mène à la haine, la haine… mène à la souffrance."
- zeprofGrand sage
je suis désolée pour la taille de l'image !!!! comment faites vous pour les réduire ? je n'y arrive pas....
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"La peur est le chemin vers le côté obscur: la peur mène à la colère, la colère mène à la haine, la haine… mène à la souffrance."
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