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- cannelle21Grand Maître
On s'éloigne des sujets type brevet, mais j'ai déjà donné : Selon vous, Médée est-elle coupable ?
- AmaliahEmpereur
Dans le même ordre d'idées, j'avais pensé à "Phèdre est-elle coupable?" après l'étude de l'aveu à Oenone, mais c'était avec une classe très très moyenne et je ne me suis pas lancée. Je vais peut-être essayer avec ma bonne 3e.
Merci pour vos sujets testés et approuvés!
Merci pour vos sujets testés et approuvés!
- liskayaNeoprof expérimenté
La poésie et les autres formes d'art peuvent-ils permettre à l'homme de résister et d'appeler à la révolte ?
Vous répondrez à cette question dans un devoir argumenté et construit.
Vous n'oublierez pas de citer des exemples.
Selon vous, quel est le moyen le plus efficace pour interpeller les gens et les faire réagir : l'art (littérature, cinéma, musique, etc.) ou les médias ( télévision, presse écrite, radio, internet) ?
Vous répondrez de manière construite et organisée, en justifiant votre point de vue à l'aide de trois arguments illustrés par des exemples.
Vous répondrez à cette question dans un devoir argumenté et construit.
Vous n'oublierez pas de citer des exemples.
Selon vous, quel est le moyen le plus efficace pour interpeller les gens et les faire réagir : l'art (littérature, cinéma, musique, etc.) ou les médias ( télévision, presse écrite, radio, internet) ?
Vous répondrez de manière construite et organisée, en justifiant votre point de vue à l'aide de trois arguments illustrés par des exemples.
- cannelle21Grand Maître
liskaya a écrit:La poésie et les autres formes d'art peuvent-ils permettre à l'homme de résister et d'appeler à la révolte ?
Vous répondrez à cette question dans un devoir argumenté et construit.
Vous n'oublierez pas de citer des exemples.
Selon vous, quel est le moyen le plus efficace pour interpeller les gens et les faire réagir : l'art (littérature, cinéma, musique, etc.) ou les médias ( télévision, presse écrite, radio, internet) ?
Vous répondrez de manière construite et organisée, en justifiant votre point de vue à l'aide de trois arguments illustrés par des exemples.
J'aime bien le premier sujet. Tu travailles le plan avec eux ? Les exemples ?
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Il y a des gens si bêtes que si une idée apparaissait à la surface de leur cerveau, elle se suiciderait, terrifiée de solitude.
- liskayaNeoprof expérimenté
J'ai le sujet dans mes tablettes mais je ne l'ai jamais donné...
- roxanneOracle
Mais sérieusement, vous avez des gamins capables, même en le travaillant en classe, de vous pondre un sujet complet sur ces sujets-là? :shock: pourtant j'ai une bonne classe que je connais bien mais seule une moitié en serait capable. En plus, il me semble que ce n'est pas tout à fait ça qu'on leur demande au brevet. Sinon, moi je vais travailler à partir de la Planète des singes, mais le travail va être très préparé. L'année dernière au brevet, j'ai dû corriger une dizaine de sujets de réflexion et un seul présentait une réelle réflexion organisée, les autres formulaient des idées souvent intéressantes d'ailleurs autour du sujet.
- liskayaNeoprof expérimenté
Non. Ils ont péniblement rédigé deux paragraphes sur le 2e sujet que j'ai cité, après un travail commun de recherche d'arguments et d'exemples. Pas jojo...roxanne a écrit:Mais sérieusement, vous avez des gamins capables, même en le travaillant en classe, de vous pondre un sujet complet sur ces sujets-là?
Deux sujets de réflexion pour moi seulement au brevet...deux ratés...
- AmaliahEmpereur
Dans une plutôt bonne classe, et en préparant bien le sujet avec eux, j'aurai une majorité de devoirs convenables. Mais à condition de préparer le sujet avec eux... La plupart des devoirs de réflexion que je donne (enfin les trois par an!) sont à faire à la maison, je pense que c'est plus profitable aux élèves d'y passer du temps, de me le rendre avant la note pour que je les aide et de toute façon, autant en 6e j'ai des devoirs faits par les parents, autant en 3e, aucun parent ne voudrait se coltiner un tel devoir, surtout s'il s'appuie sur un travail mené en classe dont les parents n'ont pas été témoins!
Roxanne, tu pourrais nous dire ce que tu vas faire et comment tu vas guider le travail?
En premier spoiler, le sujet donné aux élèves.
En deuxième spoiler, le devoir d'une bonne élève de ma 3e (livré avec les quelques fautes qui restaient) sur les grands magasins (visionnage du documentaire et recherche de voc au préalable). Intro et transition recopiées.
Roxanne, tu pourrais nous dire ce que tu vas faire et comment tu vas guider le travail?
En premier spoiler, le sujet donné aux élèves.
- Spoiler:
- Sujet de réflexion.
Les grands magasins à la fin du XIXe siècle :
source de progrès ou d’aliénation pour les femmes ?
Vous allez composer et rédiger votre premier devoir argumentatif construit.
1. Une introduction que je vous donne et que vous n’avez plus qu’à recopier sans fautes. C’est en 1852 qu’« Au Bon marché » ouvre ses portes. Jusque-là seuls quelques passages couverts à Paris réunissaient plusieurs boutiques dans le même espace. « Au Bon marché » représente donc une nouveauté radicale en proposant à ses clients une profusion de marchandises. Pendant plusieurs décennies, ce grand magasin, sous l’impulsion de son fondateur, Aristide Boucicaut, ne cessera de prendre de l’ampleur et de prospérer. Ces grands magasins s’adressent aux femmes parisiennes jusqu’alors considérées comme frivoles, faibles et immatures. Et on peut se demander si ces grands magasins représentent une source de progrès ou d’aliénation pour ces femmes de la fin du XIXe siècle. Dans un premier temps, nous verrons dans quelle mesure les grands magasins participent à la libération des femmes, employées et clientes, en leur permettant de s’affranchir de la tutelle des hommes, puis nous essaierons de montrer que les grands magasins n’ont d’autre but que d’exploiter les femmes.
Saut de ligne
2. Un développement composé lui –même de deux parties :
I. Thèse défendue : Les grands magasins représentent un progrès pour les femmes.
Cette partie sera composée de deux paragraphes argumentatifs (thèse, argument, exemple, conclusion) qui seront reliés par un connecteur logique (Mais … également, de plus, en outre par ailleurs…). N’oubliez pas les alinéas (deux carreaux pour le premier paragraphe de la partie, puis un carreau pour le deuxième paragraphe de la partie).
Paragraphe 1 : un progrès pour les employées (ouvrières et vendeuses).
Paragraphe 2 : un progrès pour les clientes.
Saut de ligne
Une transition que je vous donne et que vous n’avez plus qu’à recopier sans fautes.
S’il est vrai que les grands magasins semblent faire voler en éclats les carcans de la société de la fin du XIXe siècle et donner un nouveau pouvoir aux femmes, tant du côté des employées que des clientes, il n’en reste pas moins que les grands magasins ne sont pas une œuvre de philanthropie et que leur but est de gagner de l’argent. Ainsi on peut penser qu’ils se servent des femmes pour prospérer. Dans quelle mesure les femmes sont-elles donc aliénées par ces grands magasins à la fin du XIXe siècle ?
Saut de ligne
II. Thèse défendue : Les grands magasins sont une aliénation pour les femmes.
Cette partie sera composée de deux (ou trois) paragraphes argumentatifs (thèse, argument, exemple, conclusion) qui seront reliés par un connecteur logique (Mais … également, de plus, en outre par ailleurs…). N’oubliez pas les alinéas (deux carreaux pour le premier paragraphe de la partie, puis un carreau pour le deuxième paragraphe de la partie).
Paragraphe 1 : une aliénation pour les employées (ouvrières et vendeuses).
Paragraphe 2 : une aliénation pour les clientes.
Saut de ligne
3. Une conclusion qui résume votre devoir et élargit le débat. Cette conclusion doit être aussi longue que l’introduction.
En deuxième spoiler, le devoir d'une bonne élève de ma 3e (livré avec les quelques fautes qui restaient) sur les grands magasins (visionnage du documentaire et recherche de voc au préalable). Intro et transition recopiées.
- Spoiler:
- Les grands magasins à la fin du XIXe siècle:
source de progrés ou d'aliénation pour les femmes?
Marine 3eF-K
C'est en 1852 qu'“Au Bon marché” ouvre ses portes, proposant à ses clients pour la première fois une profusion de marchandises dans le même espace. Pendant plusieurs décennies, ce grand magasin, sous l'impulsion de son fondateur, Aristide Boucicaut, ne cessera de prendre de l'ampleur et de propérer. Ces grands magasins s'adressent aux femmes parisiennes jusqu'alors considérées comme frivoles, faibles et immatures. Et on peut se demander si ces grands magasins représentent une source de progrés ou d'aliénation pour ces femmes de la fin du XIXe siècle. Dans un premier temps, nous verrons dans quelle mesure les grands magasins participent à la libération des femmes, employées et clientes, en leur permettant de s'affranchir de la tutelle des hommes, puis nous essaierons de montrer que les grands magasins exploitent en fait les femmes.
Les femmes de la fin du XIXe siècle, notamment les employées,femmes modernes, ont-elles vu de réels avantages par l'apparition des grands magasins? Ces femmes, souvent dépendantes des hommes, ont pu s'affranchir, gagner en autonomie avec l'arrivée de ces commerces qui leur ont permis de trouver un travail autre que celui de prostituée ou de domestique. En acceptant de travailler dans des boutiques comme qu'“Au Bon marché”, les ouvrières et les vendeuuses acquièrent de meilleurs conditions de vie, un endroit où loger, le repos le dimanche, un réfectoire gratuit et une protection sociale, mais aussi de meilleures ressources financières, leur salaire propre et des congés payés. C'est ainsi que les femmes de la classe moyenne ont acquis leur indépendance, se sont affirmées et ont commencé à avoir assez d'argent pour vivre correctement. Les grands magasins ont donc apporté de réels progrès à ces femme.
Mais ces boutiques modernisent et améliorent-elles également la vie des femmes de la bourgeoisie? Les dames parisiennes ont vu des nouveautés se mettre en place et leur mode de vie se moderniser. Avant les grands magasins, le bourgeoises n'avaient pas la possibilité de sortir sans être accompagnées par leur mari ou leur chaperon mis à part pour e rendre à l'église ou au cimetière. Vers la fin du XIXe siècle, les femmes ont donc de nouvelles conditions de vie, elles peuvent se promener sans la tutelle d'une tierce personne, elles ne sont plus cloîtrées chez elles et ne sont plus considérées comme des femmes au foyer. Les femmes commencent à s'imposer, à se faire une place dans la société. Des conditions d'achat inédites apparaissent aussi. Les dames peuvent toucher, essayer, et si le produit ne convient pas, elles peuvent le ramener. Les propriétaires des magasins, mettent à disposition des salles pour se reposer, se cultiver, prendre le thé ainsi que des toilettes à la disposition des clientes. Lorsque les bourgeoises ne veulent pas marcher en ville avec les mains remplies de sac, elles ont la possibilité de commander chez elles, le paquet leur sera livré. Ainsi, la naissance des grands magasins annonce l'émancipation et la libération des femmes.
S'il est vrai que les grands magasins semblent faire voler en éclats les carcans de la société de la fin du XIXe siecle et donner un nouveau pouvoir aux femmes, tant du côté des employées que des clientes, il n'en reste pas moins que les grands magasins ne sont pas une oeuvre de philantrophie et que leur but est de gagner de l'argent. Ainsi on peut penser qu'ils se servent des femmes pour prospérer. Dans quelle mesure les femmes sont-elles aliénées par les grands magasins à la fin du XIXe siècle ?
Les grands magasins ont-ils permis aux employées de s'affranchir, le ont-ils rendues indépendantes seulement pour, par la suite, leur dérober cette indépendance? Les grands commerces n'ont été que partiellement bénéfiques aux employées, l'indépendance qu'elles ont acquise, elles la perdent facilement avec la cadence de travail infernale qu'elles subissent. L'arrivée des machines à coudre leur retire leur autonomie, elles ne peuvent plus coudre de leur propres mains. Les employées sont debout environ douze à treize heures par jour. Pendant leur pause, elles sont enfermées à clef dans le réfectoire alors que les hommes peuvent aller manger dehors. Les vendeuses ne doivent pas être trop jolie pour ne pas attiser la jalousie des clientes. Les employées peuvent se faire licencier très facilement. Les grands magasins les privent donc en partie de leur indépendance et aliènent les femmes.
Si les grands magasins sont source d'aliénation pour les employées, alors qu'en est-il des clientes qui sont exploitées par les commerces? Le femmes de la bourgeoisie qui étaient prisonnière de leur foyer sont à présent prisonnière des magasins. Les dames sont des victimes de la course à l'argent, elles sont privées de tout raisonnement et perdent leur individualité. Les bourgeoises éprouvent le besoin d'acheter, même quelque cose leur étant inutile, certaines vont même jusqu'à voler par plaisir sans éprouver le moindre remords. Les femmes s'endettent et sont prêtes à tout pour rembourser leurs dettes et acheter à nouveau. Prises au piège des grands magasins, les femmes sont privées de leur bon sens et de leur singularité.
En conclusion, les grands magasins ont permis l'affranchissement des femmes, leur émancipation, que ce soit pour les clientes ou pour les employées, ils leur ont offert un bien meilleur mode de vie, et de bien meilleures conditions que ce soit financièrement ou à l'achat. Elles ne sont alors plus considérées comme enfantines, futile et superficielles. Mais ces commerces ont privé les femmes de leur indépendance, ils n'utilisent les femmes que pour se développer et s'enrichir. Alors peut-on vraiment dire que les grands magasins sont source de progrès si ils aliènent les femmes, et peut-on vraiment dire que ces mêmes magasins les aliènent si ils sont source de progrés pour les femmes de la fin du XIXe siècle? Si ces grands magasins n'avaient pas fait leur apparition, la société serait-elle ce qu'elle est aujourd'hui?
- AmaliahEmpereur
D'ailleurs si vous avez des copies de bons élèves, je serais ravie de voir ce que les vôtres peuvent produire.
- cannelle21Grand Maître
J'ai retravaillé un document trouvé sur internet, qui part des anciens sujets de brevet. Voici donc quelques pistes
1998, série professionnelle, Caen, après un texte d’A. Daudet (Le petit chose) : Il vous est probablement arrivé de voir dans votre entourage un camarade humilié ou rejeté parce qu’il était différent (par son physique, son habillement, son comportement, ses origines…). Quels sentiments avez-vous éprouvés ? Qu’avez-vous fait pour l’aider ? Votre travail doit comporter une introduction, un développement et une conclusion.
1998, série collège, Amérique du Nord, après un texte de J. Duquesne (Au début d’un bel été) : Jérôme, qui se sent délaissé par son père, lui écrit pour le convaincre de s’occuper davantage de lui. (Vous développerez votre argumentation de manière ordonnée, en tenant compte à la fois du texte-support et de vos réponses aux questions.)
1998, série collège, Orléans-Tours, après un texte de Pieyrie de Mandiargues (La motocyclette) : Rébecca écrit aux parents d’un de vos camarades, qui hésitent avant l’achat de cet engin, pour leur exposer de façon argumentée les avantages de la motocyclette.
1999, série collège, Orléans-Tours, après un texte d’A. Chédid (L’autre) : A la suite de cette catastrophe, un membre d’une association humanitaire s’adresse aux téléspectateurs pour les convaincre de venir en aide aux survivants. Rédigez le texte de cette intervention qui, tout en faisant appel à la solidarité, démontrera, de façon argumentée, la nécessité d’une solidarité.
2010, séries technologique et professionnelle, après un texte de C. Lafitte (A trop tendre l’oreille, on n’entend plus nos rêves) : Au collège, vous faites la connaissance d’un adolescent qui vous explique qu’il n’a aucune envie de sortir de son immeuble, sauf pour se rendre en cours. Vous décidez de lui écrire une lettre afin de le convaincre de sortir de son immeuble et de s’ouvrir aux autres. Votre lettre d’une vingtaine de lignes minimum exposera vos arguments.
2009, séries technologiques et professionnelles, texte d’E. Laborit (Le cri de la mouette) : Vous écrivez à un(e) ami(e) pour lui expliquer les avantages et inconvénients des moyens de communication récents comme le téléphone portable, MSN… Votre lettre argumentée comportera une vingtaine de lignes.
Des sujets en vrac, par thème
Partir, voyager
2008, série technologique et professionnelle, après un texte de F. Librini (A plein tube !) : Selon vous, faut-il absolument partir loin de chez soi pour passer des vacances inoubliables ?
1999, série collège, Aix-Marseille / Corse / Montpellier / Nice / Toulouse, après un texte de Maupassant (« Mon oncle Jules ») : Beaucoup d’hommes et de femmes n’hésitent pas à s’expatrier pour gagner leur vie. Seriez-vous prêts à accomplir pareille démarche ?
1999, série collège, Rouen, après un texte de P. Labro (L’étudiant étranger) : Aujourd’hui de nombreux étudiants ont la possibilité de faire une partie de leurs études à l’étranger. Après avoir montré l’intérêt et les inconvénients de ces types de séjours, vous direz pour conclure si vous aimeriez vivre un jour cette expérience.
1999, série collège, Pondichéry, après un texte de J. Galmot (Un mort qui vivait parmi nous) : Concevez-vous que l’on puisse renoncer à tout pour vivre une vie d’aventure avec ses difficultés et ses risques ?
1998, séries technologique et professionnelle, groupe Sud, après un texte de G. Leroux (Le dîner des bustes) : Et vous, aimeriez-vous comme le personnage du texte vivre une vie d’aventure, ou préfèreriez-vous une vie plus calme et rangée ?
1998, série professionnelle, Poitiers, après un texte de P. Labro (Un été dans l’ouest) : Qu’est-ce qui pousse certains jeunes à aller vivre plusieurs mois à l’étranger ?
Communiquer
2002, série technologique et professionnelle, après un texte de M. Pagnol (Marius) : De nos jours beaucoup de jeunes ont des difficultés pour communiquer avec des adultes. Quelles en sont les raisons ? Comment peut-on améliorer le dialogue ?
Métier, avenir professionnel
1999, série collège, Poitiers, après un texte d’A. de Saint-Exupéry (Vol de nuit) : Le pilote Fabien exerce un métier qui le rend heureux. Quelles sont les conditions que vous jugez nécessaires pour que l’exercice d’un métier procure de la satisfaction ? Qu’est-ce qui peut au contraire rendre ce métier moins intéressant ?
Lecture ; imaginaire
2007, série technologique et professionnelle, après un texte d’A. Ténor (Le livre dont vous êtes la victime) : Lire, c’est frémir un peu de plaisir, d’impatience, éprouver des émotions (joie, peine, peur…). Partagez-vous cette opinion ? Pourquoi ?
2005, série technologique et professionnelle, après un texte d’A. Gavalda (35 kilos d’espoir) : « J’ai appris à lire parce que je voulais fabriquer l’hippopotame » écrit le narrateur Grégoire (ligne 31). Dans un texte d’une vingtaine de lignes, dites pourquoi d’après vous, certains jeunes de votre âge aiment la lecture d’une part et pourquoi certains jeunes ne l’aiment pas, d’autre part.
1999, série collège, Limoges, après un texte de C. Grenier (Virtuel : attention, danger !) : La lecture des livres peut sembler démodée à un adolescent d’aujourd’hui qui dispose de la télévision, des jeux électroniques, des cédéroms, etc. Vous montrerez d’abord en quoi ces « outils » sont attirants. Vous vous demanderez ensuite si la lecture d’un livre ne conserve pas des charmes irremplaçables.
1999, série collège, Amérique du Nord, après un texte de J. Vallès (L’enfant) : Vous êtes rédacteur dans un magazine pour jeunes ; un débat est ouvert sur les bienfaits ou les dangers de la fiction (lecture, cinéma, cédérom). Vous écrivez un article dans lequel vous exprimez votre opinion.
1999, série collège, Asie, après un texte de C. Aveline (Le point du jour) : Les enfants aiment se faire peur. Ainsi, livres et films d’épouvante sont souvent appréciés par les adolescents. En vous appuyant sur votre expérience personnelle, vous essaierez de définir ce qui fait leur succès et vous vous interrogerez sur leurs effets négatifs chez le jeune lecteur ou le jeune spectateur.
Education ; rapport parents-enfants
1998, série collège, Poitiers, après un texte de H. Bazin (Vipère au poing) : En vous appuyant sur le texte et en vous référant à votre expérience personnelle, dites quels sont, selon vous, les avantages et les inconvénients de cette « éducation forte ».
1998, série collège, Centres étrangers II, après un texte de R. Gary (La promesse de l’aube) : Dans le texte de Romain Gary, la mère décide à la place de son fils. Dans quelle mesure les parents doivent-ils intervenir dans les projets ou les choix importants de la vie de leurs enfants ?
1998, série technologique, Poitiers, après un texte de M. Pagnol (Le temps des amours) : Comme dans le texte, certains parents sont absents ainsi que le père d’Yves, d’autres sont plus présents comme celui de Marcel. Quels sont les avantages et les inconvénients de ces deux attitudes ?
1998, série collège, Pondichéry, après un texte de S. Japrisot (Compartiment tueur) : « On ne peut croire les adultes. Ils n’entendent jamais. » Partagez-vous l’avis de ce jeune garçon ?
1998, série technologique, Rennes, après un texte de R. Gary (La promesse de l’aube) : Pensez-vous que les parents doivent discuter avec leurs enfants des difficultés qu’ils rencontrent dans leur vie ?
1997, série collège, Nouvelle-Calédonie, après un texte de D. Gorode (Utê Mûrûmû) : Le narrateur ne voit pas « ce qu’il irait chercher en classe ». Que va-t-on chercher en classe ? A quoi sert, ou doit servir, selon vous, l’école ?
Médias ; images
2001, série technologique et professionnelle, après un texte d’A. Chédid (Arrêt sur image) : La télévision est aujourd’hui présente dans presque tous les foyers. D’après vous, qu’apporte-t-elle aux téléspectateurs ? Ne présente-t-elle pas aussi certains dangers ?
Musique
1998, série collège, Centres étrangers III, après un texte de J.M.G. Le Clézio (Printemps et autres saisons) : La musique est habituellement considérée comme source de plaisir, occasion de communication ou même de communion. Qu’en pensez-vous ?
1998, série professionnelle, Nantes, après un texte de J-D. Bredin (Un enfant sage) : « Je ne pourrais vivre sans la musique ». Certaines personnes éprouvent une véritable passion pour un genre de musique, pour un artiste, pour un groupe musical… Et vous, pourriez-vous « vivre sans la musique » ?
Animaux
1999, séries technologique et professionnelle, Polynésie, après un texte de C. Kerdilès (Chien d’atoll et autres nouvelles polynésiennes) : De plus en plus nombreuses sont les personnes à avoir chez elles un animal domestique, que ce soit un chien ou un chat. Comment expliquez-vous un tel comportement ? Pensez-vous que ce soit une bonne chose d’avoir un animal à la maison ?
1998, série professionnelle, Paris-Créteil-Versailles, après un texte de Colette (Autres bêtes) : Comment expliquez-vous l’attachement qu’éprouvent certaines personnes envers les animaux domestiques ?
Nature, environnement
1999, série collège, Afrique du Nord, après un texte de Rita Krauss (Récits du monde) : La pollution est un problème qui touche tout le monde et tous les pays. Il est nécessaire de lutter contre elle. Donnez deux arguments pour justifier cette nécessité, illustrés d’exemples. L’un des arguments concernera un aspect de votre vie quotidienne, l’autre se réfèrera à une question de l’actualité mondiale. Vous introduirez et vous conclurez votre rédaction.
1998, séries technologique et professionnelle, Amiens, après un texte d’E. Zola (La mort d’Olivier Bécaille) : Le texte d’Emile Zola évoque une catastrophe naturelle. La nature peut être l’amie ou l’ennemie de l’homme.
Mode, apparence
1999, série collège, , Paris-Créteil-Versailles, après un texte d’A. Gide (Si le grain ne meurt) : « C’était l’usage, c’était la mode, et l’on n’y pouvait rien » (l.14-15). Vous sentez-vous obligé(e) de vous soumettre à une mode (vestimentaire ou autre) ?
1999, série collège, Nantes, après un texte de M. Tournier (Des clés et des serrures) : Un (ou une) de vos ami(e)s vous a confié son regret de ne pas pouvoir devenir mannequin parce qu’il (elle) ne se sent pas suffisamment beau (belle). Vous lui écrivez pour lui expliquer qu’il y a dans la vie des valeurs plus importantes que la beauté physique.
Autres sujets
2005, série professionnelle, après un texte de M. Tournier (Vendredi ou la vie sauvage) : Robinson « en avait assez depuis longtemps de cette organisation ennuyeuse et tracassière ». Parmi les règles que l’on vous demande d’observer dans la vie quotidienne (par exemple à l’école, à la maison, dans la rue…), lesquelles vous semblent nécessaires ? Lesquelles aimeriez-vous modifier ?
1999, série collège, Caen, après un texte d’E. Zola (L’œuvre) : La nuit ne suscite pas chez tous les mêmes émotions. Vous direz, dans une composition argumentée, quels sont pour vous les charmes et les désagréments de la nuit.
1999, série collège, Bordeaux, après un texte de R. Sabatier (Les allumettes suédoises) : Le texte de Sabatier présente le monde de l’enfance comme un univers de jeu et d’insouciance. Dans un développement ordonné, vous présenterez les arguments que vous pourriez opposer à ce point de vue, en les illustrant d’exemples précis.
1999, série collège, Clermont-Ferrand, après un texte de V. Hyspa (L’éponge en porcelaine) : Pensez-vous que l’humour noir soit un moyen efficace pour défendre ses idées ?
1999, série collège, Europe de l’Est et du Nord, après un texte de P. Guimard (Rue du Havre) : Certains disent que la ville est un lieu qui favorise l’anonymat et rend les gens indifférents. D’autres pensent au contraire qu’elle est un lieu de rencontre, de tolérance, de liberté… Vous donnerez votre opinion sur cette question...
1999, série collège, Polynésie, après un texte de M. Tournier (La goutte d’or) : Le tourisme fait se côtoyer des gens de cultures, de coutumes et de comportements différents. Cela pose parfois des problèmes. Lesquels ? Comment les éviter ? Quelles précautions faut-il prendre pour que les habitants d’une région touristique n’aient pas une réaction de rejet à l’égard des visiteurs ? Vous donnerez votre point de vue argumenté sur cette question, dans un développement organisé, illustrés d’exemples précis, d’une trentaine de lignes.
1998, série collège, Bordeaux, après un texte de M. Pagnol (Manon des sources) : Quel rôle l’argent joue-t-il dans la vie ?
1998, série collège, groupe Est, après un texte de J. Joubert (Les enfants de Noé) : Aimeriez-vous connaître votre avenir ?
1998, série technologique, Caen, après un texte de D. Picouly (Le champ de personne) : Quels sont les héros (ou les héroïnes) de votre enfance, de votre adolescence ? Présentez-les et donnez les raisons de votre intérêt. Quelles sont les conséquences de la fréquentation de ces êtres dans votre vie quotidienne ?
Attention : gens côtoyés, pas héros de cinéma ou de BD…
1998, série technologique, Rouen, après un texte d’E. Zola (Nouveaux contes à Ninon) : Au sein d’une classe, la solidarité est nécessaire. A partir d’un ou de plusieurs exemples, montrez en quoi cette attitude est bénéfique.
1997, série collège, Polynésie française, session de remplacement, après un texte de M. Tournier (Vendredi ou la vie sauvage) : La solitude représente parfois une souffrance, comme dans le cas de Robinson. Mais ne peut-elle pas aussi être recherchée ? Pourquoi ?
1997, série technologique, groupe Est, après un texte d’E. Zola (Germinal) :
« Il y a des fois où cette injustice me révolte » (l.28-29). Quelle est pour vous une des plus grandes injustices du monde actuel ? Justifiez votre choix par des arguments que vous illustrerez par des exemples précis.
1998, série professionnelle, Caen, après un texte d’A. Daudet (Le petit chose) : Il vous est probablement arrivé de voir dans votre entourage un camarade humilié ou rejeté parce qu’il était différent (par son physique, son habillement, son comportement, ses origines…). Quels sentiments avez-vous éprouvés ? Qu’avez-vous fait pour l’aider ? Votre travail doit comporter une introduction, un développement et une conclusion.
1998, série collège, Amérique du Nord, après un texte de J. Duquesne (Au début d’un bel été) : Jérôme, qui se sent délaissé par son père, lui écrit pour le convaincre de s’occuper davantage de lui. (Vous développerez votre argumentation de manière ordonnée, en tenant compte à la fois du texte-support et de vos réponses aux questions.)
1998, série collège, Orléans-Tours, après un texte de Pieyrie de Mandiargues (La motocyclette) : Rébecca écrit aux parents d’un de vos camarades, qui hésitent avant l’achat de cet engin, pour leur exposer de façon argumentée les avantages de la motocyclette.
1999, série collège, Orléans-Tours, après un texte d’A. Chédid (L’autre) : A la suite de cette catastrophe, un membre d’une association humanitaire s’adresse aux téléspectateurs pour les convaincre de venir en aide aux survivants. Rédigez le texte de cette intervention qui, tout en faisant appel à la solidarité, démontrera, de façon argumentée, la nécessité d’une solidarité.
2010, séries technologique et professionnelle, après un texte de C. Lafitte (A trop tendre l’oreille, on n’entend plus nos rêves) : Au collège, vous faites la connaissance d’un adolescent qui vous explique qu’il n’a aucune envie de sortir de son immeuble, sauf pour se rendre en cours. Vous décidez de lui écrire une lettre afin de le convaincre de sortir de son immeuble et de s’ouvrir aux autres. Votre lettre d’une vingtaine de lignes minimum exposera vos arguments.
2009, séries technologiques et professionnelles, texte d’E. Laborit (Le cri de la mouette) : Vous écrivez à un(e) ami(e) pour lui expliquer les avantages et inconvénients des moyens de communication récents comme le téléphone portable, MSN… Votre lettre argumentée comportera une vingtaine de lignes.
Des sujets en vrac, par thème
Partir, voyager
2008, série technologique et professionnelle, après un texte de F. Librini (A plein tube !) : Selon vous, faut-il absolument partir loin de chez soi pour passer des vacances inoubliables ?
1999, série collège, Aix-Marseille / Corse / Montpellier / Nice / Toulouse, après un texte de Maupassant (« Mon oncle Jules ») : Beaucoup d’hommes et de femmes n’hésitent pas à s’expatrier pour gagner leur vie. Seriez-vous prêts à accomplir pareille démarche ?
1999, série collège, Rouen, après un texte de P. Labro (L’étudiant étranger) : Aujourd’hui de nombreux étudiants ont la possibilité de faire une partie de leurs études à l’étranger. Après avoir montré l’intérêt et les inconvénients de ces types de séjours, vous direz pour conclure si vous aimeriez vivre un jour cette expérience.
1999, série collège, Pondichéry, après un texte de J. Galmot (Un mort qui vivait parmi nous) : Concevez-vous que l’on puisse renoncer à tout pour vivre une vie d’aventure avec ses difficultés et ses risques ?
1998, séries technologique et professionnelle, groupe Sud, après un texte de G. Leroux (Le dîner des bustes) : Et vous, aimeriez-vous comme le personnage du texte vivre une vie d’aventure, ou préfèreriez-vous une vie plus calme et rangée ?
1998, série professionnelle, Poitiers, après un texte de P. Labro (Un été dans l’ouest) : Qu’est-ce qui pousse certains jeunes à aller vivre plusieurs mois à l’étranger ?
Communiquer
2002, série technologique et professionnelle, après un texte de M. Pagnol (Marius) : De nos jours beaucoup de jeunes ont des difficultés pour communiquer avec des adultes. Quelles en sont les raisons ? Comment peut-on améliorer le dialogue ?
Métier, avenir professionnel
1999, série collège, Poitiers, après un texte d’A. de Saint-Exupéry (Vol de nuit) : Le pilote Fabien exerce un métier qui le rend heureux. Quelles sont les conditions que vous jugez nécessaires pour que l’exercice d’un métier procure de la satisfaction ? Qu’est-ce qui peut au contraire rendre ce métier moins intéressant ?
Lecture ; imaginaire
2007, série technologique et professionnelle, après un texte d’A. Ténor (Le livre dont vous êtes la victime) : Lire, c’est frémir un peu de plaisir, d’impatience, éprouver des émotions (joie, peine, peur…). Partagez-vous cette opinion ? Pourquoi ?
2005, série technologique et professionnelle, après un texte d’A. Gavalda (35 kilos d’espoir) : « J’ai appris à lire parce que je voulais fabriquer l’hippopotame » écrit le narrateur Grégoire (ligne 31). Dans un texte d’une vingtaine de lignes, dites pourquoi d’après vous, certains jeunes de votre âge aiment la lecture d’une part et pourquoi certains jeunes ne l’aiment pas, d’autre part.
1999, série collège, Limoges, après un texte de C. Grenier (Virtuel : attention, danger !) : La lecture des livres peut sembler démodée à un adolescent d’aujourd’hui qui dispose de la télévision, des jeux électroniques, des cédéroms, etc. Vous montrerez d’abord en quoi ces « outils » sont attirants. Vous vous demanderez ensuite si la lecture d’un livre ne conserve pas des charmes irremplaçables.
1999, série collège, Amérique du Nord, après un texte de J. Vallès (L’enfant) : Vous êtes rédacteur dans un magazine pour jeunes ; un débat est ouvert sur les bienfaits ou les dangers de la fiction (lecture, cinéma, cédérom). Vous écrivez un article dans lequel vous exprimez votre opinion.
1999, série collège, Asie, après un texte de C. Aveline (Le point du jour) : Les enfants aiment se faire peur. Ainsi, livres et films d’épouvante sont souvent appréciés par les adolescents. En vous appuyant sur votre expérience personnelle, vous essaierez de définir ce qui fait leur succès et vous vous interrogerez sur leurs effets négatifs chez le jeune lecteur ou le jeune spectateur.
Education ; rapport parents-enfants
1998, série collège, Poitiers, après un texte de H. Bazin (Vipère au poing) : En vous appuyant sur le texte et en vous référant à votre expérience personnelle, dites quels sont, selon vous, les avantages et les inconvénients de cette « éducation forte ».
1998, série collège, Centres étrangers II, après un texte de R. Gary (La promesse de l’aube) : Dans le texte de Romain Gary, la mère décide à la place de son fils. Dans quelle mesure les parents doivent-ils intervenir dans les projets ou les choix importants de la vie de leurs enfants ?
1998, série technologique, Poitiers, après un texte de M. Pagnol (Le temps des amours) : Comme dans le texte, certains parents sont absents ainsi que le père d’Yves, d’autres sont plus présents comme celui de Marcel. Quels sont les avantages et les inconvénients de ces deux attitudes ?
1998, série collège, Pondichéry, après un texte de S. Japrisot (Compartiment tueur) : « On ne peut croire les adultes. Ils n’entendent jamais. » Partagez-vous l’avis de ce jeune garçon ?
1998, série technologique, Rennes, après un texte de R. Gary (La promesse de l’aube) : Pensez-vous que les parents doivent discuter avec leurs enfants des difficultés qu’ils rencontrent dans leur vie ?
1997, série collège, Nouvelle-Calédonie, après un texte de D. Gorode (Utê Mûrûmû) : Le narrateur ne voit pas « ce qu’il irait chercher en classe ». Que va-t-on chercher en classe ? A quoi sert, ou doit servir, selon vous, l’école ?
Médias ; images
2001, série technologique et professionnelle, après un texte d’A. Chédid (Arrêt sur image) : La télévision est aujourd’hui présente dans presque tous les foyers. D’après vous, qu’apporte-t-elle aux téléspectateurs ? Ne présente-t-elle pas aussi certains dangers ?
Musique
1998, série collège, Centres étrangers III, après un texte de J.M.G. Le Clézio (Printemps et autres saisons) : La musique est habituellement considérée comme source de plaisir, occasion de communication ou même de communion. Qu’en pensez-vous ?
1998, série professionnelle, Nantes, après un texte de J-D. Bredin (Un enfant sage) : « Je ne pourrais vivre sans la musique ». Certaines personnes éprouvent une véritable passion pour un genre de musique, pour un artiste, pour un groupe musical… Et vous, pourriez-vous « vivre sans la musique » ?
Animaux
1999, séries technologique et professionnelle, Polynésie, après un texte de C. Kerdilès (Chien d’atoll et autres nouvelles polynésiennes) : De plus en plus nombreuses sont les personnes à avoir chez elles un animal domestique, que ce soit un chien ou un chat. Comment expliquez-vous un tel comportement ? Pensez-vous que ce soit une bonne chose d’avoir un animal à la maison ?
1998, série professionnelle, Paris-Créteil-Versailles, après un texte de Colette (Autres bêtes) : Comment expliquez-vous l’attachement qu’éprouvent certaines personnes envers les animaux domestiques ?
Nature, environnement
1999, série collège, Afrique du Nord, après un texte de Rita Krauss (Récits du monde) : La pollution est un problème qui touche tout le monde et tous les pays. Il est nécessaire de lutter contre elle. Donnez deux arguments pour justifier cette nécessité, illustrés d’exemples. L’un des arguments concernera un aspect de votre vie quotidienne, l’autre se réfèrera à une question de l’actualité mondiale. Vous introduirez et vous conclurez votre rédaction.
1998, séries technologique et professionnelle, Amiens, après un texte d’E. Zola (La mort d’Olivier Bécaille) : Le texte d’Emile Zola évoque une catastrophe naturelle. La nature peut être l’amie ou l’ennemie de l’homme.
Mode, apparence
1999, série collège, , Paris-Créteil-Versailles, après un texte d’A. Gide (Si le grain ne meurt) : « C’était l’usage, c’était la mode, et l’on n’y pouvait rien » (l.14-15). Vous sentez-vous obligé(e) de vous soumettre à une mode (vestimentaire ou autre) ?
1999, série collège, Nantes, après un texte de M. Tournier (Des clés et des serrures) : Un (ou une) de vos ami(e)s vous a confié son regret de ne pas pouvoir devenir mannequin parce qu’il (elle) ne se sent pas suffisamment beau (belle). Vous lui écrivez pour lui expliquer qu’il y a dans la vie des valeurs plus importantes que la beauté physique.
Autres sujets
2005, série professionnelle, après un texte de M. Tournier (Vendredi ou la vie sauvage) : Robinson « en avait assez depuis longtemps de cette organisation ennuyeuse et tracassière ». Parmi les règles que l’on vous demande d’observer dans la vie quotidienne (par exemple à l’école, à la maison, dans la rue…), lesquelles vous semblent nécessaires ? Lesquelles aimeriez-vous modifier ?
1999, série collège, Caen, après un texte d’E. Zola (L’œuvre) : La nuit ne suscite pas chez tous les mêmes émotions. Vous direz, dans une composition argumentée, quels sont pour vous les charmes et les désagréments de la nuit.
1999, série collège, Bordeaux, après un texte de R. Sabatier (Les allumettes suédoises) : Le texte de Sabatier présente le monde de l’enfance comme un univers de jeu et d’insouciance. Dans un développement ordonné, vous présenterez les arguments que vous pourriez opposer à ce point de vue, en les illustrant d’exemples précis.
1999, série collège, Clermont-Ferrand, après un texte de V. Hyspa (L’éponge en porcelaine) : Pensez-vous que l’humour noir soit un moyen efficace pour défendre ses idées ?
1999, série collège, Europe de l’Est et du Nord, après un texte de P. Guimard (Rue du Havre) : Certains disent que la ville est un lieu qui favorise l’anonymat et rend les gens indifférents. D’autres pensent au contraire qu’elle est un lieu de rencontre, de tolérance, de liberté… Vous donnerez votre opinion sur cette question...
1999, série collège, Polynésie, après un texte de M. Tournier (La goutte d’or) : Le tourisme fait se côtoyer des gens de cultures, de coutumes et de comportements différents. Cela pose parfois des problèmes. Lesquels ? Comment les éviter ? Quelles précautions faut-il prendre pour que les habitants d’une région touristique n’aient pas une réaction de rejet à l’égard des visiteurs ? Vous donnerez votre point de vue argumenté sur cette question, dans un développement organisé, illustrés d’exemples précis, d’une trentaine de lignes.
1998, série collège, Bordeaux, après un texte de M. Pagnol (Manon des sources) : Quel rôle l’argent joue-t-il dans la vie ?
1998, série collège, groupe Est, après un texte de J. Joubert (Les enfants de Noé) : Aimeriez-vous connaître votre avenir ?
1998, série technologique, Caen, après un texte de D. Picouly (Le champ de personne) : Quels sont les héros (ou les héroïnes) de votre enfance, de votre adolescence ? Présentez-les et donnez les raisons de votre intérêt. Quelles sont les conséquences de la fréquentation de ces êtres dans votre vie quotidienne ?
Attention : gens côtoyés, pas héros de cinéma ou de BD…
1998, série technologique, Rouen, après un texte d’E. Zola (Nouveaux contes à Ninon) : Au sein d’une classe, la solidarité est nécessaire. A partir d’un ou de plusieurs exemples, montrez en quoi cette attitude est bénéfique.
1997, série collège, Polynésie française, session de remplacement, après un texte de M. Tournier (Vendredi ou la vie sauvage) : La solitude représente parfois une souffrance, comme dans le cas de Robinson. Mais ne peut-elle pas aussi être recherchée ? Pourquoi ?
1997, série technologique, groupe Est, après un texte d’E. Zola (Germinal) :
« Il y a des fois où cette injustice me révolte » (l.28-29). Quelle est pour vous une des plus grandes injustices du monde actuel ? Justifiez votre choix par des arguments que vous illustrerez par des exemples précis.
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Il y a des gens si bêtes que si une idée apparaissait à la surface de leur cerveau, elle se suiciderait, terrifiée de solitude.
- AlabamaHabitué du forum
Amaliah a écrit:Je suis bien d'accord que ça dépasse a priori ce qu'on attend d'eux mais paradoxalement c'est le minimum qu'on attendra d'eux d'ici deux ans, quand ils seront en Première. Alors pourquoi ne pas être exigeant dès la 3e surtout si le travail est très guidé? Si tu voyais les devoirs que certains élèves m'ont rendu (et je suis en ZEP certes avec des classes très hétérogènes), je trouve que ça vaut la peine d'être ambitieux avec eux en écriture comme en lecture. Si ça intéresse quelqu'un, une des élèves me l'a rendu tapé.
Cela dit, pour le sujet proposé, il s'inscrivait à la suite du doc d'Arte sur la naissance des grands magasins et toutes les idées, tous les exemples étaient donnés dans le documentaire, ils devaient prendre des notes après avoir partagé leur feuille en quatre, mais l'essentiel du travail consistait à rédiger leur devoir.
D'ailleurs, vous pourriez donner vos sujets sur ce fil pour qu'on puisse mutualiser?
Je suis entièrement d'accord avec toi sur le principe ! Il faut être ambitieux ! J'ai d'ailleurs fait écrire un souvenir à la manière de Proust...
Mais avec tout ce qu'il y a à faire et vu le temps que j'ai déjà passé sur la version "simple" (et vu les attentes au brevet), je ne vais pas plus loin en ce qui concerne le sujet de réflexion. Mon objectif est que tous les élèves soient capables de donner un avis argumenté et organisé, en intégrant, lorsque le sujet s'y prête, au moins un exemple littéraire dans leur devoir.
- RellNiveau 6
Super, ce sujet.
J'avais vu ça avec mes 3ème, ils avaient rédigé, tout semblait fonctionner. Mais l'autre jour, après plusieurs semaines sans en parler, je leur ai donné un sujet d'argumentation à faire à la maison et j'ai réalisé que beaucoup ne savaient plus ! Alors, on va revoir ça (pour la dernière fois, hein, 'faut pas pousser ...)
Bonne idée, Cannelle, que de faire une sorte de carte mentale qui va du thème aux exemples.
J'en ai faite une sur le sujet suivant, donné au DNB il y a quelques années à partir d'un extrait d'Antigone :
Je peux donner le schéma sur le développement de ce sujet (thème, sujet, arguments, exemples) par mp.
J'avais vu ça avec mes 3ème, ils avaient rédigé, tout semblait fonctionner. Mais l'autre jour, après plusieurs semaines sans en parler, je leur ai donné un sujet d'argumentation à faire à la maison et j'ai réalisé que beaucoup ne savaient plus ! Alors, on va revoir ça (pour la dernière fois, hein, 'faut pas pousser ...)
Bonne idée, Cannelle, que de faire une sorte de carte mentale qui va du thème aux exemples.
J'en ai faite une sur le sujet suivant, donné au DNB il y a quelques années à partir d'un extrait d'Antigone :
Les relations entre frères et sœurs ne sont pas toujours faciles. Il vous est peut-être déjà arrivé d’avoir des conflits avec les vôtres ou d’assister à des situations de conflit autour de vous entre frères et sœurs, mais elles peuvent aussi être un précieux soutien dans l’enfance et par la suite.
Pensez-vous qu’il soit agréable d’avoir des frères et sœurs, ou préféreriez-vous être un enfant unique ? Vous donnerez votre opinion et essayerez de voir les avantages et les inconvénients de votre choix, que vous confirmerez en conclusion.
Je peux donner le schéma sur le développement de ce sujet (thème, sujet, arguments, exemples) par mp.
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Classes 2020-2021 : deux classes de 1ère générale + HLP 1ère
"Le temps était encore ténébreux et sentant l'infélicité et calamité des Goths, qui avaient mis à destruction toute bonne littérature ; mais, par la bonté divine, la lumière et dignité a esté de mon âge rendue ès lettres [...] Maintenant toutes disciplines sont restituées, les langues instaurées, grecque, sans laquelle c'est honte que une personne se die savant, Hébraïque, Chaldaïque, Latine "[...]
François Rabelais, Les Horribles et Épouvantables Faits et Prouesses du très renommé Pantagruel, chap. 8, 1532.
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