Page 1 sur 2 • 1, 2
- AudreyOracle
http://www.liberation.fr/societe/2014/10/22/l-education-nationale-meprise-t-elle-ses-chercheurs_1127256
Bonne lecture...
Bonne lecture...
- Ingeborg B.Esprit éclairé
Autant je suis d'accord pour le problème des détachements, autant certaines revendications me semblent injustifiées. Au hasard :Audrey a écrit:http://www.liberation.fr/societe/2014/10/22/l-education-nationale-meprise-t-elle-ses-chercheurs_1127256
Bonne lecture...
1) La prise en compte des années de détachement dans le supérieur pour les mutations.
2) Un grade spécifique pour les docteurs. Cela va contre la logique des concours.
- OsmieSage
Avant de lire l'article, je me dis que c'est une question rhétorique.
Après l'avoir lu, je ne change pas d'avis mais je trouve cette lettre vraiment maladroite. En vrac :
-Les congés de formation restent longs à obtenir pour tous les agents.
-Les aménagements d'EDT relèvent du CDE, il me semble ; "le refus de toute concession" est-il général ?
-Quelles sont les activités bénévoles que font des enseignants du secondaire à la fac (je connais des vacataires mais pas de bénévoles) ?
-L'EN "ne valorise pas assez le niveau de formation de ses agents" : c'est certain, mais le recrutement s'est longtemps fait à bac +3 (tant pis pour les titulaires d'une maîtrise, d'un DEA ou d'un doctorat), avec l'échelle indiciaire qui va avec. Davantage de diplômes n'a pas d’incidence sur le traitement.
Le diplôme demandé pour passer le CAPES a longtemps été la licence ; il faut désormais un master pour être titularisé. On le sait, c'est la FP : agents de catégorie A, B, C.
-La "recherche enrichit l'enseignement" ; c'est la porte ouverte à tous les sous-entendus : un professeur ne faisant pas de thèse arrête-t-il la recherche pour autant ? Se laisse-t-il vivre ? Les enseignants sont-ils plus impliqués dans la maîtrise de leur discipline parce qu'ils sont en thèse ?
-La prise en compte du titre de docteur pour les mutations...
-Un statut "enseignant-chercheur du secondaire"...on voit à quel point il n'y a plus de postes dans les facs...
La façon dont sont traités de nombreux thésards est dégueulasse : pas de poste, pas de perspective, précarité sans fin, micro-salaire pour faire des vacations, TD dont personne ne veut, etc.
L'EN ne méprise pas ses enseignants-chercheurs du secondaire plus que ses autres enseignants, il me semble ; avec son sens de l'équité, elle les méprise tous,
Après l'avoir lu, je ne change pas d'avis mais je trouve cette lettre vraiment maladroite. En vrac :
-Les congés de formation restent longs à obtenir pour tous les agents.
-Les aménagements d'EDT relèvent du CDE, il me semble ; "le refus de toute concession" est-il général ?
-Quelles sont les activités bénévoles que font des enseignants du secondaire à la fac (je connais des vacataires mais pas de bénévoles) ?
-L'EN "ne valorise pas assez le niveau de formation de ses agents" : c'est certain, mais le recrutement s'est longtemps fait à bac +3 (tant pis pour les titulaires d'une maîtrise, d'un DEA ou d'un doctorat), avec l'échelle indiciaire qui va avec. Davantage de diplômes n'a pas d’incidence sur le traitement.
Le diplôme demandé pour passer le CAPES a longtemps été la licence ; il faut désormais un master pour être titularisé. On le sait, c'est la FP : agents de catégorie A, B, C.
-La "recherche enrichit l'enseignement" ; c'est la porte ouverte à tous les sous-entendus : un professeur ne faisant pas de thèse arrête-t-il la recherche pour autant ? Se laisse-t-il vivre ? Les enseignants sont-ils plus impliqués dans la maîtrise de leur discipline parce qu'ils sont en thèse ?
-La prise en compte du titre de docteur pour les mutations...
-Un statut "enseignant-chercheur du secondaire"...on voit à quel point il n'y a plus de postes dans les facs...
La façon dont sont traités de nombreux thésards est dégueulasse : pas de poste, pas de perspective, précarité sans fin, micro-salaire pour faire des vacations, TD dont personne ne veut, etc.
L'EN ne méprise pas ses enseignants-chercheurs du secondaire plus que ses autres enseignants, il me semble ; avec son sens de l'équité, elle les méprise tous,
- AudreyOracle
Moi, j'ai juste posté, je ne prends absolument pas position... je n'y connais rien. ;-)
- Ingeborg B.Esprit éclairé
Je suis d'accord avec toutes tes remarques. J'ai aussi été gênée par les sous-entendus et le caractère un peu prétentieux de certains arguments.Janne a écrit:Avant de lire l'article, je me dis que c'est une question rhétorique.
Après l'avoir lu, je ne change pas d'avis mais je trouve cette lettre vraiment maladroite. En vrac :
-Les congés de formation restent longs à obtenir pour tous les agents.
-Les aménagements d'EDT relèvent du CDE, il me semble ; "le refus de toute concession" est-il général ?
-Quelles sont les activités bénévoles que font des enseignants du secondaire à la fac (je connais des vacataires mais pas de bénévoles) ?
-L'EN "ne valorise pas assez le niveau de formation de ses agents" : c'est certain, mais le recrutement s'est longtemps fait à bac +3 (tant pis pour les titulaires d'une maîtrise, d'un DEA ou d'un doctorat), avec l'échelle indiciaire qui va avec. Davantage de diplômes n'a pas d’incidence sur le traitement.
Le diplôme demandé pour passer le CAPES a longtemps été la licence ; il faut désormais un master pour être titularisé. On le sait, c'est la FP : agents de catégorie A, B, C.
-La "recherche enrichit l'enseignement" ; c'est la porte ouverte à tous les sous-entendus : un professeur ne faisant pas de thèse arrête-t-il la recherche pour autant ? Se laisse-t-il vivre ? Les enseignants sont-ils plus impliqués dans la maîtrise de leur discipline parce qu'ils sont en thèse ?
-La prise en compte du titre de docteur pour les mutations...
-Un statut "enseignant-chercheur du secondaire"...on voit à quel point il n'y a plus de postes dans les facs...
La façon dont sont traités de nombreux thésards est dégueulasse : pas de poste, pas de perspective, précarité sans fin, micro-salaire pour faire des vacations, TD dont personne ne veut, etc.
L'EN ne méprise pas ses enseignants-chercheurs du secondaire plus que ses autres enseignants, il me semble ; avec son sens de l'équité, elle les méprise tous,
- Ingeborg B.Esprit éclairé
Mais c'est intéressant. Merci d'avoir signalé cette pétitionAudrey a écrit:Moi, j'ai juste posté, je ne prends absolument pas position... je n'y connais rien. ;-)
- barègesÉrudit
Elle avait donné lieu à une discussion fin septembre :
https://www.neoprofs.org/t82008-pour-une-reconnaissance-des-chercheurs-dans-le-secondaire?highlight=enseignants+chercheurs
https://www.neoprofs.org/t82008-pour-une-reconnaissance-des-chercheurs-dans-le-secondaire?highlight=enseignants+chercheurs
- User5899Demi-dieu
Le décret de 1950, pour le coup, dit explicitement qu'un professeur du secondaire qui poursuit des études universitaires est une richesse pour le métier et que son administration doit, dans toute la mesure du possible, lui faciliter les choses en termes d'EdT.
- Mr_ZNiveau 5
Cripure a écrit:Le décret de 1950, pour le coup, dit explicitement qu'un professeur du secondaire qui poursuit des études universitaires est une richesse pour le métier et que son administration doit, dans toute la mesure du possible, lui faciliter les choses en termes d'EdT.
Cripure j'ai regardé le décret, je n'ai pas trouvé ce passage, mais peut-être ai-je mal cherché ?
- RuthvenGuide spirituel
Mr_Z a écrit:Cripure a écrit:Le décret de 1950, pour le coup, dit explicitement qu'un professeur du secondaire qui poursuit des études universitaires est une richesse pour le métier et que son administration doit, dans toute la mesure du possible, lui faciliter les choses en termes d'EdT.
Cripure j'ai regardé le décret, je n'ai pas trouvé ce passage, mais peut-être ai-je mal cherché ?
Ce n'est pas dans le décret de 50, sans doute Cripure pense-t-il à une note de service des années 80 (qui ne sert dans les faits à rien car elle n'est pas contraignante), note qui incite les chefs d'établissement à faciliter la recherche en aménageant l'emploi du temps.
- ChocolatGuide spirituel
Cripure a écrit:Le décret de 1950, pour le coup, dit explicitement qu'un professeur du secondaire qui poursuit des études universitaires est une richesse pour le métier et que son administration doit, dans toute la mesure du possible, lui faciliter les choses en termes d'EdT.
Mouais... ça, c'est du blabla officiel.
Je me souviendrai toujours de mon IPR préférée qui m'avait dit que la recherche était en train de me détourner du droit chemin de l'agreg, et que ce véritable "gâchis" (MDR !!!) n'était pas du tout souhaitable pour l'institution, et encore moins pour ma "carrière" au sein de l'EN !
J'ai adoré lui répondre que mon plaisir intellectuel passait avant ses souhaits.
_________________
- barègesÉrudit
Sur ce sujet, un extrait d'une profession de foi du snes/snesup reçue sur la boîte académique :
Pourquoi ai-je l'impression que ces revendications sont de plus en plus loin de ce qui serait envisageable ?
Pour faciliter l'accès à la recherche de tous les collègues qui le souhaitent
Nous revendiquons :
- un allègement d’un demi-service, financé sur budget de l’Etat, pour tous les collègues doctorants ou engagés dans une recherche reconnue,
- un plan de transformation des emplois de statut second degré en emplois d’enseignants-chercheurs pour tous les docteurs et/ou titulaires d’une HDR (Habilitation à Diriger des Recherches) qualifiés, avec création d’un autre poste pour conserver le potentiel d’enseignement. Dans l’immédiat, nous demandons une réelle utilisation des possibilités offertes au titre du concours réservé (article 26-2 du décret de 1984) aux enseignants de statut du second degré affectés dans le supérieur qui remplissent les conditions pour devenir maîtres de conférences.
Pourquoi ai-je l'impression que ces revendications sont de plus en plus loin de ce qui serait envisageable ?
- Pierre-HenriHabitué du forum
barèges a écrit:
Pourquoi ai-je l'impression que ces revendications sont de plus en plus loin de ce qui serait envisageable ?
Je vais dire une horreur. Si de telles mesures (qui relèvent de toute manière de la fantasmagorie) étaient prises, qu'est-ce qui empêcherait les universités de tamponner des doctorats bidon pour attirer des étudiants ? Le marché serait juteux pour les facs : "inscrivez-vous chez nous pour gonfler nos effectifs, en échange on vous refile un doctorat pipeau qui vous vaudra un demi-service". La valeur des doctorats est tellement diverse suivant les universités et les filières que la mesure serait un cadeau offert aux plus nulles, tandis que celles qui ont gardé des exigences couleraient. Un concours national comme l'agrégation met à l'abri de ce risque.
- barègesÉrudit
Je précise que ce flyer était fléché "agrégés".
- Pierre-HenriHabitué du forum
barèges a écrit:Je précise que ce flyer était fléché "agrégés".
En fait, il s'agit d'un tract destiné aux PRAG-PRCE. Les propositions sont beaucoup plus logiques dans ce contexte... même si elles demeurent irréalistes.
- Collier de BarbeNeoprof expérimenté
Je suis mal à l'aise vis-à-vis cette pétition. Je comprends les demandes mais elles me semblent peu réalistes. De plus, dire que l'EN "méprise" ses doctorants et docteurs me semble excessif. Je dirais plutôt qu'elle les ignore, ce qui n'est pas tout à fait exact. la même chose.
Evidemment, en tant que docteur, je serais heureux d'obtenir des gratifications supplémentaires; mais serait-ce tellement juste? Le décalage agrégé/certifié donne déjà le vertige (ainsi j'ai découvert récemment que la prime ISOE versée aux profs principaux variait du simple ou double ?!) je n'imagine pas que l'on crée un statut encore différent et plus favorisé pour les docteurs. De plus, en histoire (et sans doute aussi en Lettres?) le doctorat est un bon support pour évoluer plus tard dans la carrière, c'est même en ce moment un prérequis pour un poste en prépa en histoire.
Et soyons sérieux également en considérant l'ensemble des thésards, combien vivent d'expédients, "galèrent" et mettent bout à bout des vacations médiocres quand nous pouvons nous reposer sur des salaires tout de même convenables.
Il est vrai qu'au quotidien les choses peuvent être franchement désagréables, si l'administration du lycée ou du collège est hyper-pointilleuse. Je me rappelle au printemps dernier avoir béni mon adjointe qui était très bienveillante et ne m'obligeait pas à rattraper tous les cours manqués pour cause d'auditions MCF aux quatre coins de la France. Je sais que d'autres sont beaucoup moins coulants.
Au-delà, je nous trouve pas si mal traité que cela.
Evidemment, en tant que docteur, je serais heureux d'obtenir des gratifications supplémentaires; mais serait-ce tellement juste? Le décalage agrégé/certifié donne déjà le vertige (ainsi j'ai découvert récemment que la prime ISOE versée aux profs principaux variait du simple ou double ?!) je n'imagine pas que l'on crée un statut encore différent et plus favorisé pour les docteurs. De plus, en histoire (et sans doute aussi en Lettres?) le doctorat est un bon support pour évoluer plus tard dans la carrière, c'est même en ce moment un prérequis pour un poste en prépa en histoire.
Et soyons sérieux également en considérant l'ensemble des thésards, combien vivent d'expédients, "galèrent" et mettent bout à bout des vacations médiocres quand nous pouvons nous reposer sur des salaires tout de même convenables.
Il est vrai qu'au quotidien les choses peuvent être franchement désagréables, si l'administration du lycée ou du collège est hyper-pointilleuse. Je me rappelle au printemps dernier avoir béni mon adjointe qui était très bienveillante et ne m'obligeait pas à rattraper tous les cours manqués pour cause d'auditions MCF aux quatre coins de la France. Je sais que d'autres sont beaucoup moins coulants.
Au-delà, je nous trouve pas si mal traité que cela.
_________________
CdB
@AbbeCordillere
- ChocolatGuide spirituel
barèges a écrit:Sur ce sujet, un extrait d'une profession de foi du snes/snesup reçue sur la boîte académique :
Pour faciliter l'accès à la recherche de tous les collègues qui le souhaitent
Nous revendiquons :
- un allègement d’un demi-service, financé sur budget de l’Etat, pour tous les collègues doctorants ou engagés dans une recherche reconnue,
- un plan de transformation des emplois de statut second degré en emplois d’enseignants-chercheurs pour tous les docteurs et/ou titulaires d’une HDR (Habilitation à Diriger des Recherches) qualifiés, avec création d’un autre poste pour conserver le potentiel d’enseignement. Dans l’immédiat, nous demandons une réelle utilisation des possibilités offertes au titre du concours réservé (article 26-2 du décret de 1984) aux enseignants de statut du second degré affectés dans le supérieur qui remplissent les conditions pour devenir maîtres de conférences.
Pourquoi ai-je l'impression que ces revendications sont de plus en plus loin de ce qui serait envisageable ?
Quelle absence de réalisme !
_________________
- JPhMMDemi-dieu
Pourquoi voudriez-vous dire une chose si elle n'est pas exacte ?Collier de Barbe a écrit:Je dirais plutôt qu'elle les ignore, ce qui n'est pas tout à fait exact.
_________________
Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- Collier de BarbeNeoprof expérimenté
Oh la, fatigue , je voulais écrire "pas tout à fait la même chose"
_________________
CdB
@AbbeCordillere
- ElyasEsprit sacré
Les enseignants romanciers, artistes peintres, sculpteurs ou musiciens pourraient réclamer la même chose, non ? Cela m'arrangerait entre nous. Ah, on me dit que ce n'est pas aussi prestigieux !
- JPhMMDemi-dieu
Pas de problème. Je comprends mieux pourquoi je ne comprenais pas.Collier de Barbe a écrit:Oh la, fatigue , je voulais écrire "pas tout à fait la même chose"
Merci.
_________________
Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- Ingeborg B.Esprit éclairé
Je vais demander des aménagements pour suivre des stages de théâtre. ...Elyas a écrit:Les enseignants romanciers, artistes peintres, sculpteurs ou musiciens pourraient réclamer la même chose, non ? Cela m'arrangerait entre nous. Ah, on me dit que ce n'est pas aussi prestigieux !
- RuthvenGuide spirituel
Collier de Barbe a écrit:Je suis mal à l'aise vis-à-vis cette pétition. Je comprends les demandes mais elles me semblent peu réalistes. De plus, dire que l'EN "méprise" ses doctorants et docteurs me semble excessif. Je dirais plutôt qu'elle les ignore, ce qui n'est pas tout à faitexact.la même chose.
J'ai éprouvé la même gêne (et je ne l'ai d'ailleurs pas signée même si certaines revendications (comme la prise en compte des années de monitorat ou d'ATER dans l'ancienneté) me semblaient légitimes).
Collier de Barbe a écrit:Evidemment, en tant que docteur, je serais heureux d'obtenir des gratifications supplémentaires; mais serait-ce tellement juste? Le décalage agrégé/certifié donne déjà le vertige (ainsi j'ai découvert récemment que la prime ISOE versée aux profs principaux variait du simple ou double ?!) je n'imagine pas que l'on crée un statut encore différent et plus favorisé pour les docteurs.
Sauf en Première et Terminale. Indemnité minimum pour tout le monde.
Collier de Barbe a écrit:De plus, en histoire (et sans doute aussi en Lettres?) le doctorat est un bon support pour évoluer plus tard dans la carrière, c'est même en ce moment un prérequis pour un poste en prépa en histoire.
Mais combien de docteurs restent finalement dans le secondaire en collège ou en lycée ?
Collier de Barbe a écrit:Et soyons sérieux également en considérant l'ensemble des thésards, combien vivent d'expédients, "galèrent" et mettent bout à bout des vacations médiocres quand nous pouvons nous reposer sur des salaires tout de même convenables.
Le coup des vacations m'a fait sourire ; c'est réclamer le droit de pouvoir travailler à mi-temps pour des clopinettes ...
- Nom d'utilisateurNiveau 10
JPhMM a écrit:Pourquoi voudriez-vous dire une chose si elle n'est pas exacte ?Collier de Barbe a écrit:Je dirais plutôt qu'elle les ignore, ce qui n'est pas tout à fait exact.
Joli lapsus.
Page 1 sur 2 • 1, 2
- Pétition pour une reconnaissance des chercheurs dans l'E.N.
- L'école est-elle vraiment obligatoire ? - un article de blog
- Rythmes scolaires : un article de Elle pointe les problèmes.
- Article du HuffingtonPost : La cession du cours de son professeur est-elle une pratique légale?
- Pétition intersyndicale bac Langues Vivantes : des épreuves nationales terminales ! + article Libération + podcast France Inter
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum