[Vidéos SNALC] Dernière en date : La Formation à travers les âges (page 4)

Gryphe a écrit:Pmuller, on a bien compris que tu n'aimais pas le SNALC et que tu étais fan absolu des décrets de 50, mais sauf erreur, je n'ai lu nulle part quel projet syndical tu portais en dehors du maintien des décrets de 50. C'est facile de critiquer quand on n'a rien à proposer à la place...

Voilà je me disais qu'en ce moment, je lisais beaucoup de critiques d'autres syndicats contre le SNALC....

Mais concrètement, que proposent les autres syndicats ? Quand je cherche, je ne trouve que de grandes généralités "hausse des salaires, de meilleures conditions"...

Franchement je trouve facile de critiquer, de cataloguer, de juger les autres... mais bien plus difficile de proposer des choses précises.

Oh, il y en a deux qui ont des idées assez précises...

Cripure a écrit:Oh, il y en a deux qui ont des idées assez précises...  

Très précises même

Pierre Arnoux, pour ceux qui connaissent, avait dit sur le ton de la plaisanterie : les très bons en maths étudient l'algèbre, les bons l'analyse, les moyens les maths appli et les nuls font de la didactique des math. J'ai pas mal rigolé à ce moment là.

De mon passage en 2008 à l'IUFM je n'ai quasiment rien retiré, mis à part un tas de néologismes pédagogiques de l'école Chevallard. Il fallait ouvrir un dictionnaire (fouiller dans les archives de séminaires, des fichier word de 1000 pages par année scolaire presque) pour comprendre toutes expressions employées. Moment de première rencontre, bloc technologico-théorique, anamnèse, chronogénèse, praxéologie, etc... Rajoutez à ça une sympathique grève sur le thème de la mastérisation, des profs qui portaient le brassard rouge et qui se donnaient rendez-vous pour aller balancer leurs chaussures sur le rectorat comme un certain irakien avait fait à GW Bush... J'ai failli être recalé parce que je suis dans le fond assez opposé au concept de "l'élève au centre" et j'ai eu du mal à me travestir.

Quand je compare ma situation à celle des stagiaires d'après 2010, j'ai envie de dire que j'aurais préféré réussir après tellement ce que l'on a fait me paraissait déconnecté du terrain. Mais en même temps je n'aurais pas su quoi faire pour optimiser mes inspections !

Samuel DM a écrit:Pierre Arnoux, pour ceux qui connaissent, avait dit sur le ton de la plaisanterie : les très bons en maths étudient l'algèbre, les bons l'analyse, les moyens les maths appli et les nuls font de la didactique des math. J'ai pas mal rigolé à ce moment là.

De mon passage en 2008 à l'IUFM je n'ai quasiment rien retiré, mis à part un tas de néologismes pédagogiques de l'école Chevalard. Il fallait ouvrir un dictionnaire (fouiller dans les archives de séminaires, des fichier word de 1000 pages par année scolaire presque) pour comprendre toutes expressions employées. Moment de première rencontre, bloc technologico-théorique, anamnèse, chronogénèse, praxéologie, etc... Rajoutez à ça une sympathique grève sur le thème de la mastérisation, des profs qui portaient le brassard rouge et qui se donnaient rendez-vous pour aller balancer leurs chaussures sur le rectorat comme un certain irakien avait fait à JW Bush... J'ai failli être recalé parce que je suis dans le fond assez opposé au concept de "l'élève au centre" et j'ai eu du mal à me travestir.

Quand je compare ma situation à celle des stagiaires d'après 2010, j'ai envie de dire que j'aurais préféré réussir après tellement ce que l'on a fait me paraissait déconnecté du terrain. Mais en même temps je n'aurais pas su quoi faire pour optimiser mes inspections !

J'ai rien compris - si ce n'est que tu ne connais pas le nom des hommes politiques contemporains.

Note que là, vu le spectacle, on jetterait bien une godasse sur le génial auteur de l'oeuvre sur l'enseignement à l'époque des Flintstone. A moins que ce ne soit plutôt une tomate - que jette-t-on déjà, au théâtre ?

Samuel DM a écrit:Pierre Arnoux, pour ceux qui connaissent, avait dit sur le ton de la plaisanterie : les très bons en maths étudient l'algèbre, les bons l'analyse, les moyens les maths appli et les nuls font de la didactique des math. J'ai pas mal rigolé à ce moment là.

De mon passage en 2008 à l'IUFM je n'ai quasiment rien retiré, mis à part un tas de néologismes pédagogiques de l'école Chevalard. Il fallait ouvrir un dictionnaire (fouiller dans les archives de séminaires, des fichier word de 1000 pages par année scolaire presque) pour comprendre toutes expressions employées. Moment de première rencontre, bloc technologico-théorique, anamnèse, chronogénèse, praxéologie, etc... Rajoutez à ça une sympathique grève sur le thème de la mastérisation, des profs qui portaient le brassard rouge et qui se donnaient rendez-vous pour aller balancer leurs chaussures sur le rectorat comme un certain irakien avait fait à JW Bush... J'ai failli être recalé parce que je suis dans le fond assez opposé au concept de "l'élève au centre" et j'ai eu du mal à me travestir.

Quand je compare ma situation à celle des stagiaires d'après 2010, j'ai envie de dire que j'aurais préféré réussir après tellement ce que l'on a fait me paraissait déconnecté du terrain. Mais en même temps je n'aurais pas su quoi faire pour optimiser mes inspections !

:lol:

J'ai corrigé mes typo, mais si tu en vois une autre, profite de me le dire, c'est super sympa !