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- CelebornEsprit sacré
Un petit communiqué du SNALC : LIEN
Ça suffit avec l' « absentéisme » !
Le SNALC-FGAF en a plus qu'assez d'entendre parler de l' « absentéisme » des enseignants. Le mot « absentéisme » désigne un manque habituel ou systématique d'assiduité à son lieu de travail. C'est d'ailleurs un phénomène qui touche un certain nombre de nos élèves et qui ne laisse pas de nous inquiéter. En revanche, ce terme est parfaitement impropre à désigner des absences pour raisons médicales, pour cause de formation professionnelle, de grossesse ou encore de congé parental. Il laisse à penser que les enseignants seraient des fumistes, ce qui est non seulement inacceptable, mais de surcroît totalement injustifié.
En effet, le SNALC rappelle que les enseignants ont un nombre de jour de congés pour maladie inférieur à la moyenne des fonctionnaires. Nous constatons au contraire que nos collègues, qui enseignent dans des conditions de plus en plus difficiles, font généralement preuve d'une conscience professionnelle qui les honore.
Le SNALC demande à ce que l'on s'occupe des causes réelles de la colère de certains parents, qui voient leurs enfants privés de cours. Ces causes ne sont pas à chercher dans un prétendu absentéisme des professeurs, mais bien dans l'incapacité du système de recruter suffisamment au vu de la faible attractivité du métier. Presque aucun professeur remplaçant n'est ainsi disponible après le début de l'année scolaire. Merci d'arrêter de taper sur les enseignants. Le ministère de l'Éducation nationale est le seul responsable et le seul coupable de cette situation.
- mafalda16Modérateur
Celeborn a écrit:Un petit communiqué du SNALC : LIEN
Ça suffit avec l' « absentéisme » !
Le SNALC-FGAF en a plus qu'assez d'entendre parler de l' « absentéisme » des enseignants. Le mot « absentéisme » désigne un manque habituel ou systématique d'assiduité à son lieu de travail. C'est d'ailleurs un phénomène qui touche un certain nombre de nos élèves et qui ne laisse pas de nous inquiéter. En revanche, ce terme est parfaitement impropre à désigner des absences pour raisons médicales, pour cause de formation professionnelle, de grossesse ou encore de congé parental. Il laisse à penser que les enseignants seraient des fumistes, ce qui est non seulement inacceptable, mais de surcroît totalement injustifié.
En effet, le SNALC rappelle que les enseignants ont un nombre de jour de congés pour maladie inférieur à la moyenne des fonctionnaires. Nous constatons au contraire que nos collègues, qui enseignent dans des conditions de plus en plus difficiles, font généralement preuve d'une conscience professionnelle qui les honore.
Le SNALC demande à ce que l'on s'occupe des causes réelles de la colère de certains parents, qui voient leurs enfants privés de cours. Ces causes ne sont pas à chercher dans un prétendu absentéisme des professeurs, mais bien dans l'incapacité du système de recruter suffisamment au vu de la faible attractivité du métier. Presque aucun professeur remplaçant n'est ainsi disponible après le début de l'année scolaire. Merci d'arrêter de taper sur les enseignants. Le ministère de l'Éducation nationale est le seul responsable et le seul coupable de cette situation.
Merci! Rapide, efficace et précis! Comme toujours!
- Roumégueur IerÉrudit
GaliNéo a écrit:Les parents doivent d'abord exiger la suppression de ce délai stupide et la création d'un véritable vivier de remplaçants formés et motivés.
Ça veut dire quoi ça estimé collègue ? Pourrais-tu développer ta pensée ?
On ne doit pas avoir à attendre 15 jours avant de proposer un remplaçant : au primaire, en cas d'absence, le directeur appelle l'inspection académique qui dépêche s'il le peut un PE remplaçant. Pas besoin d'attendre que les élèves aient perdu 15 journées de cours pour lancer cette procédure.
Mais cela ne peut fonctionner qu'avec un nombre suffisant de remplaçants potentiels, or les maigres viviers sont épuisés très tôt dans l'année (on place sur des remplacements longs des collègues prévus pour les courtes durées, et très vite, on n'a plus personne).
Bref, on pourrait être bien plus efficace...
J'ai dit quelque chose de mal? (j'ai du mal à interpréter ton 'estimé collègue' en fait : ironique?)...
Je suis aussi parent d'un élève de collège, qui a déjà 'perdu' des dizaines d'heures de cours depuis la rentrée. Voir son enfant des demi-journées entières sans avoir cours, sans réelle activité, qui multiplie les heures d'étude où on n'étudie rien, cela permet de mieux comprendre l'exaspération que vivent certains parents.
Cela fait partie des 'rites' de passage dans le secondaire, c'est en fait totalement inacceptable car l'Etat n'assume pas son rôle.
- GaliNéoFidèle du forum
Non non non, bien au contraire, je voulais vraiment avoir ton point de vue sur la question, puisque je suis moi même contractuel. Or ce matin j'ai entendu une idée d'un parent d'élève qui souhaiterait que chaque établissement ait son propre vivier de contractuels, prêts à remplacer dès le premier jour ! Évidemment on ne sait pas ce que ça voudrait dire en terme de chômage.
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¡ Hermano ! Dale gracias a Dios, que lo que tienes en la mano, no lo tienes por todo el año...
- Roumégueur IerÉrudit
GaliNéo a écrit:Non non non, bien au contraire, je voulais vraiment avoir ton point de vue sur la question, puisque je suis moi même contractuel. Or ce matin j'ai entendu une idée d'un parent d'élève qui souhaiterait que chaque établissement ait son propre vivier de contractuels, prêts à remplacer dès le premier jour ! Évidemment on ne sait pas ce que ça voudrait dire en terme de chômage.
Ok, merci. J'ai été contractuel : très ingrat comme tâche, bon courage.
Les solutions sont difficiles à trouver, et en plus, elles nécessitent un investissement important. Autant dire que ce problème va encore durer longtemps. Voir fleurir des annonces dans Le Bon Coin pour trouver des remplaçants, comment dire, cela montre clairement où on en est arrivés...
- GaliNéoFidèle du forum
Et dire que l’Éducation Nationale est le premier budget de la nation... Je me demande où part tout cet argent, mais sûrement pas pour assurer des remplacements ! Et le pire parfois, c'est qu'un établissement à côté de chez toi cher cher un prof en remplacement, mais toi on ne te prévient pas, alors que tu serais libre de suite pour commencer ! Leur gestion est folle, mais on voit que l'économie est le maître mot !
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- maikreeeesseGrand sage
Roumégueur Ier a écrit:On ne doit pas avoir à attendre 15 jours avant de proposer un remplaçant : au primaire, en cas d'absence, le directeurappelle l'inspection académiquel'IEN qui dépêche s'il le peut un PE remplaçant. Pas besoin d'attendre que les élèves aient perdu 15 journées de cours pour lancer cette procédure.
Mais cela ne peut fonctionner qu'avec un nombre suffisant de remplaçants potentiels, or les maigres viviers sont épuisés très tôt dans l'année (on place sur des remplacements longs des collègues prévus pour les courtes durées, et très vite, on n'a plus personne).
Bref, on pourrait être bien plus efficace...
Maintenant, oui j'appelle dès la première heure et ai un remplaçant au bout de.......15 jours (pardon, moins si on compte celui qui est venu au bout d'une semaine une seule matinée.) Pas de chance, je suis dans une grosse école de maternelle, donc la dernière servie.
- Ramanujan974Érudit
C'est aussi dommage que le système "Robien" de remplacements courte durée ne soit pas plus utilisé.
J'estime que la faute en revient principalement à l'inertie de la direction, qui ne fait aucun effort pour que les absences ponctuelles soient comblées.
Personnellement, ça ne me gênerait pas de remplacer une heure par ci par là un collègue absent dans une de mes classes, y compris du jour au lendemain. Encore faudrait-il que je le sache.
J'estime que la faute en revient principalement à l'inertie de la direction, qui ne fait aucun effort pour que les absences ponctuelles soient comblées.
Personnellement, ça ne me gênerait pas de remplacer une heure par ci par là un collègue absent dans une de mes classes, y compris du jour au lendemain. Encore faudrait-il que je le sache.
- AurevillyHabitué du forum
Mon médecin s'est étonné, la semaine dernière, que je ne sois pas plus souvent dans son cabinet étant donné a-t-il dit "le bouillon de culture particulièrement malsain que constitue une classe."
- Luigi_BGrand Maître
La plupart des absences ponctuelles sont connues... le jour même.Personnellement, ça ne me gênerait pas de remplacer une heure par ci par là un collègue absent dans une de mes classes, y compris du jour au lendemain. Encore faudrait-il que je le sache.
Pour mémoire, la Cour des comptes (2013) regrette que les professeurs acceptant d’effectuer des remplacements soient payés en heures supplémentaires. Ce temps de remplacement devrait être inclus dans notre service.
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LVM Dernier billet : "Une École si distante"
- OlympiasProphète
Mais bien sûr ...et le boulot gratuit c'est pour quand ??? Et un petit tour dans les privilèges de la Cour des Comptes si on veut vraiment devenir désagréable ??Luigi_B a écrit:La plupart des absences ponctuelles sont connues... le jour même.Personnellement, ça ne me gênerait pas de remplacer une heure par ci par là un collègue absent dans une de mes classes, y compris du jour au lendemain. Encore faudrait-il que je le sache.
Pour mémoire, la Cour des comptes (2013) regrette que les professeurs acceptant d’effectuer des remplacements soient payés en heures supplémentaires. Ce temps de remplacement devrait être inclus dans notre service.
- JPhMMDemi-dieu
Je ne réussis pas à trouver le taux d'absentéisme des fonctionnaires de la Cour des Comptes. Bizarre... Omerta ?Luigi_B a écrit:La plupart des absences ponctuelles sont connues... le jour même.Personnellement, ça ne me gênerait pas de remplacer une heure par ci par là un collègue absent dans une de mes classes, y compris du jour au lendemain. Encore faudrait-il que je le sache.
Pour mémoire, la Cour des comptes (2013) regrette que les professeurs acceptant d’effectuer des remplacements soient payés en heures supplémentaires. Ce temps de remplacement devrait être inclus dans notre service.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- Ramanujan974Érudit
Luigi_B a écrit:
La plupart des absences ponctuelles sont connues... le jour même.
Certes !
Mais entre 1 jour où on n'y peut rien et 15 jours, il y a de la marge...
L'exemple typique est la personne en arrêt maladie pour 3-4 jours.
- DaphnéDemi-dieu
Bien d'accordOlympias a écrit:Mais bien sûr ...et le boulot gratuit c'est pour quand ??? Et un petit tour dans les privilèges de la Cour des Comptes si on veut vraiment devenir désagréable ??Luigi_B a écrit:La plupart des absences ponctuelles sont connues... le jour même.Personnellement, ça ne me gênerait pas de remplacer une heure par ci par là un collègue absent dans une de mes classes, y compris du jour au lendemain. Encore faudrait-il que je le sache.
Pour mémoire, la Cour des comptes (2013) regrette que les professeurs acceptant d’effectuer des remplacements soient payés en heures supplémentaires. Ce temps de remplacement devrait être inclus dans notre service.
- Handsome DevilNiveau 9
Je trouve que c'est une erreur tactique de vouloir éteindre le débat sur le sujet, cela donne justement de l'eau au moulin des critiques. Et il est inutile de nier que certains congés validés par des certificats médicaux sont pris sans véritable raison médicale (on peut trouver plusieurs exemples décrits sur ce forum, par exemple dans des situations de conflits avec la hiérarchie), c'est une pratique qui n'est ni spécifique aux enseignants ni à la fonction publique.Celeborn a écrit:Un petit communiqué du SNALC : LIEN
Ça suffit avec l' « absentéisme » !
Le SNALC-FGAF en a plus qu'assez d'entendre parler de l' « absentéisme » des enseignants. Le mot « absentéisme » désigne un manque habituel ou systématique d'assiduité à son lieu de travail. C'est d'ailleurs un phénomène qui touche un certain nombre de nos élèves et qui ne laisse pas de nous inquiéter. En revanche, ce terme est parfaitement impropre à désigner des absences pour raisons médicales, pour cause de formation professionnelle, de grossesse ou encore de congé parental. Il laisse à penser que les enseignants seraient des fumistes, ce qui est non seulement inacceptable, mais de surcroît totalement injustifié.
En effet, le SNALC rappelle que les enseignants ont un nombre de jour de congés pour maladie inférieur à la moyenne des fonctionnaires. Nous constatons au contraire que nos collègues, qui enseignent dans des conditions de plus en plus difficiles, font généralement preuve d'une conscience professionnelle qui les honore.
Le SNALC demande à ce que l'on s'occupe des causes réelles de la colère de certains parents, qui voient leurs enfants privés de cours. Ces causes ne sont pas à chercher dans un prétendu absentéisme des professeurs, mais bien dans l'incapacité du système de recruter suffisamment au vu de la faible attractivité du métier. Presque aucun professeur remplaçant n'est ainsi disponible après le début de l'année scolaire. Merci d'arrêter de taper sur les enseignants. Le ministère de l'Éducation nationale est le seul responsable et le seul coupable de cette situation.
A mon avis, il vaudrait mieux au contraire s'emparer du sujet et le retourner contre ceux qui sont directement responsables de la situation, c'est-à-dire les désastreux gestionnaires des ressources humaines du MEN, qui non seulement s'accommodent des absences d'enseignants devant les élèves sans avoir à répondre du manque d'adaptation de leur organisation, mais aussi créent des conditions d'exercice particulièrement difficiles pour les personnels de terrain, tout en laissant proliférer les dérives bureaucratiques, c'est-à-dire l'emploi de ressources considérables dans le fonctionnement de ce système pour lui-même.
- Reine MargotDemi-dieu
Les médecins sont sacrément surveillés maintenant et doivent rendre des comptes s'ils donnent trop d'arrêts.
Quant aux gestionnaires du MEN ils ne s'accomodent pas des absences des enseignants, ils font ce qu'ils peuvent pour assurer les remplacements avec le peu de TZR ou de contractuels dont ils disposent. Les TZR qui restent sont employés dès le début de l'année, et les contractuels ne veulent pas toujours aller au fin fond des campagnes.
Quant aux gestionnaires du MEN ils ne s'accomodent pas des absences des enseignants, ils font ce qu'ils peuvent pour assurer les remplacements avec le peu de TZR ou de contractuels dont ils disposent. Les TZR qui restent sont employés dès le début de l'année, et les contractuels ne veulent pas toujours aller au fin fond des campagnes.
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- CisilHabitué du forum
Je ne sais pas si le lien a été donné (j'ai cherché mais je ne l'ai pas trouvé) :
http://www.lepoint.fr/invites-du-point/jean-paul-brighelli/brighelli-les-enseignants-absents-ou-absenteistes-05-03-2016-2023156_1886.php#xtor=CS3-190
http://www.lepoint.fr/invites-du-point/jean-paul-brighelli/brighelli-les-enseignants-absents-ou-absenteistes-05-03-2016-2023156_1886.php#xtor=CS3-190
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"Si haut que l’on soit placé, on n’est jamais assis que sur son cul." Montaigne.
"When I went to school, they asked me what I wanted to be when I grew up. I wrote down ‘happy’. They told me I didn’t understand the assignment, and I told them they didn’t understand life.” John Lennon
- amourExpert
Handsome Devil a écrit:Luigi_B a écrit:Oui ça me rappelle la prose de l'iFRAP (repris par "Challenges") :
D'un département à l'autre, le taux d'absentéisme pour maladie ou maternité...
Pour moi ce n'est pas choquant dans la mesure où dans les deux cas ce sont des absences qui se répercutent sur l'organisation du travail et le service offert au public, en particulier si le risque d'absence n'est pas géré correctement par les dirigeants (remplacements prévus, répartition des tâches avec le personnel restant, etc).
Il ne faut pas voir un dénigrement systématique partout.
Comme cela a été noté, la formulation du titre est un dénigrement, même si je vous rejoins sur la gestion. Il me semble que les journalistes devraient d'ailleurs, pour faire bonne mesure, se pencher sur le "management" sauvage à l'EN. De plus en plus de professeurs titulaires absents pour raison médicale subissent de la part de leur hiérarchie et plus particulièrement de la part de leur CDE, des pressions qui dans une entreprise privée, aboutiraient très vite à de lourdes (enfin, lourdes, pour encore quelques temps je l'espère ) sanctions aux prud'hommes. Les chefs d'établissements sont appelés à jouer aux managers, mais sont de mauvais managers sans expérience qui n'hésitent pas à outrepasser leurs droits, voire les connaissent mal.
- Luigi_BGrand Maître
Robert Die (PEEP) a écrit:Le prof de maths pourrait très bien assurer un cours de remplacement en SVT ou en chimie : il y a une certaine polyvalence à organiser.
PS : Ce parent a organisé, en recrutant une étudiante, trois jours de cours de maths pour une dizaine d'élèves chez lui.
http://rmc.bfmtv.com/mediaplayer/video/absenteisme-des-profs-jusqu-a-10-000-jours-de-classes-perdus-selon-la-fcpe-768937.html
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LVM Dernier billet : "Une École si distante"
- ditaNeoprof expérimenté
amour a écrit:Handsome Devil a écrit:Luigi_B a écrit:Oui ça me rappelle la prose de l'iFRAP (repris par "Challenges") :
D'un département à l'autre, le taux d'absentéisme pour maladie ou maternité...
Pour moi ce n'est pas choquant dans la mesure où dans les deux cas ce sont des absences qui se répercutent sur l'organisation du travail et le service offert au public, en particulier si le risque d'absence n'est pas géré correctement par les dirigeants (remplacements prévus, répartition des tâches avec le personnel restant, etc).
Il ne faut pas voir un dénigrement systématique partout.
Comme cela a été noté, la formulation du titre est un dénigrement, même si je vous rejoins sur la gestion. Il me semble que les journalistes devraient d'ailleurs, pour faire bonne mesure, se pencher sur le "management" sauvage à l'EN. De plus en plus de professeurs titulaires absents pour raison médicale subissent de la part de leur hiérarchie et plus particulièrement de la part de leur CDE, des pressions qui dans une entreprise privée, aboutiraient très vite à de lourdes (enfin, lourdes, pour encore quelques temps je l'espère ) sanctions aux prud'hommes. Les chefs d'établissements sont appelés à jouer aux managers, mais sont de mauvais managers sans expérience qui n'hésitent pas à outrepasser leurs droits, voire les connaissent mal.
Qu'ont fait les CDE ? Téléphoné aux collègues malades ?
- ditaNeoprof expérimenté
C'est un vrai souci, le bouillon de culture des classes. Surtout pour ceux qui ont de l'asthme.Aurevilly a écrit:Mon médecin s'est étonné, la semaine dernière, que je ne sois pas plus souvent dans son cabinet étant donné a-t-il dit "le bouillon de culture particulièrement malsain que constitue une classe."
- ArmideNeoprof expérimenté
Bouillon de culture dont nous sommes les pivots ?
- ditaNeoprof expérimenté
Oui, ce serait bien !Armide a écrit:Bouillon de culture dont nous sommes les pivots ?
Je viens de lire l'article de Brighelli, homme admirable s'il en est. Enfin, j'espère que l'anecdote de la collègue qui attend les vacances pour se faire opérer de son cancer est le fruit de son imagination. Sinon, quelle imprudence !
- William FosterExpert
Pourquoi j'ai l'impression qu'il manque une apostrophe dans cette question ?Armide a écrit:Bouillon de culture dont nous sommes les pivots ?
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Tout le monde me dit que je ne peux pas faire l'unanimité.
"Opinions are like orgasms : mine matters most and I really don't care if you have one." Sylvia Plath
Vérificateur de miroir est un métier que je me verrais bien faire, un jour.
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