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- InvitéInvité
Lire l'article en entier.VousNousIls a écrit:Pouvez-vous nous en dire plus sur un de vos grands chantiers en cours, la réforme de l'évaluation des élèves, ainsi que la réforme des programmes scolaires ?
En ce qui concerne la Conférence nationale sur l'évaluation des élèves, nous en sommes à la phase finale de composition du jury, les candidatures sont closes depuis le 27 septembre. Nous en avons reçu plus de 1000 et nous allons proposer un jury composé de 30 personnes, professionnels de l'éducation, parents, lycéens, membres d'associations... Un site internet sera également mis en ligne en octobre pour accompagner ce travail et présenter les avancées au grand public. Ce travail se conclura par trois jours de conférence nationale en décembre. Pour nous, ce chantier est absolument crucial, car nous allons mettre en œuvre bientôt un nouveau socle commun, des nouveaux programmes, un nouveau collège, de nouveaux cycles, un lien renforcé école-collège, et si nous n'associons pas ces réformes à une réforme de l'évaluation, nous serons en décalage.En effet, travailler sur la réussite des élèves et la lutte contre les inégalités sans se poser la question de l'évaluation n'est pas cohérent . Je n'ai pas d'idée préconçue sur ce que devront être les résultats de la réflexion menée par la conférence, mais en tout cas, il ne faut pas se dire qu'en matière d'évaluation, tout ce que l'on a fait jusqu'à présent était la meilleure des choses. L'évaluation est un des éléments qui doit être mis au service de la réussite des élèves.
Cela signifie la suppression des notes ?
Les notes en elles-mêmes ne me gênent pas. Mais quel est leur rôle ? Aident-elles l'élève à progresser ? Comment les utilise-t-on pour l'orientation ? On parle de décrochage scolaire et d'envie d'apprendre : comment faire justement pour mettre les évaluations plus en cohérence avec le projet personnel de l'élève et avec ses compétences ?
- BRNiveau 9
Logique de DGESCO : le tri, c'est le mal. L'orientation, c'est le bien.
- neomathÉrudit
Je n'ai pas d'idée préconçue sur ce que devront être les résultats de la réflexion menée par la conférence, mais ...
- BalthazaardVénérable
"Je n'ai pas d'idée préconçue sur ce que devront être les résultats"
J'aurais aimé voir son nez quand elle a dit cela!
J'aurais aimé voir son nez quand elle a dit cela!
- LefterisEsprit sacré
Tous les poncifs , toutes les incantations creuses, sont consciencieusement égrenés , socle, rapprochement primaire collège, formation entre pairs, projets.. les uns après les autres , avec l'inévitable petit détour par la Finlande.
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- MUTISExpert
Allez tous à Polytechnique et à l'ENS ! Tous médecins, avocats, chercheurs et ministres ! Trier c'est mal, classer c'est mal ! Quel lot de poncifs consternants ! Tout le monde avec toutes les compétences ! L'école du narcissisme roi et de l'enfant sans frustration, des enseignants au service de l'ego et du selfie, des valets distributeurs généreux de compétences multiples pour tous !
Et n°2 au Ministère ! On croit rêver...
Heureusement, que je n'ai pas connu cette pédagogie misérable, car fils de pauvres et de démunis, je n'aurais jamais été poussé à me défoncer pour décrocher l'agrég...
Et n°2 au Ministère ! On croit rêver...
Heureusement, que je n'ai pas connu cette pédagogie misérable, car fils de pauvres et de démunis, je n'aurais jamais été poussé à me défoncer pour décrocher l'agrég...
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"Heureux soient les fêlés car ils laissent passer la lumière" (Audiard)
"Ce n'est pas l'excès d'autorité qui est dangereux, c'est l'excès d'obéissance" (Primo Levi)
"La littérature, quelque passion que nous mettions à le nier, permet de sauver de l'oubli tout ce sur quoi le regard contemporain, de plus en plus immoral, prétend glisser dans l'indifférence absolue" (Enrique Vila-Matas)
" Que les dissemblables soient réunis et de leurs différences jaillira la plus belle harmonie ; rien ne se fait sans lutte." (Héraclite)
"Les hommes sont si nécessairement fous que ce serait être fou par un autre tour de folie, de n'être pas fou" (Pascal).
- Roumégueur IerÉrudit
"si nous n'associons pas ces réformes à une réforme de l'évaluation, nous serons en décalage.En effet, travailler sur la réussite des élèves et la lutte contre les inégalités sans se poser la question de l'évaluation n'est pas cohérent . Je n'ai pas d'idée préconçue sur ce que devront être les résultats de la réflexion menée par la conférence, mais en tout cas, il ne faut pas se dire qu'en matière d'évaluation, tout ce que l'on a fait jusqu'à présent était la meilleure des choses"
Et donc, puisque les enseignants ont été consultés, nous pouvons maintenant mettre en œuvre une évaluation positive, bienveillante, dont le socle est le principe organisateur, où l'échec est enfin proscrit et où il existe toujours un niveau minimum atteint. Tout cela, bien sûr, pour mieux partager l'égalité de la misère éducative, euh pardon, l'égalité des chances.
Et donc, puisque les enseignants ont été consultés, nous pouvons maintenant mettre en œuvre une évaluation positive, bienveillante, dont le socle est le principe organisateur, où l'échec est enfin proscrit et où il existe toujours un niveau minimum atteint. Tout cela, bien sûr, pour mieux partager l'égalité de la misère éducative, euh pardon, l'égalité des chances.
- FraserHabitué du forum
"si nous n'associons pas ces réformes à une réforme de l'évaluation, nous serons en décalage.En effet, travailler sur la réussite des élèves et la lutte contre les inégalités sans se poser la question de l'évaluation n'est pas cohérent . Je n'ai pas d'idée préconçue sur ce que devront être les résultats de la réflexion menée par la conférence, mais en tout cas, il ne faut pas se dire qu'en matière d'évaluation, tout ce que l'on a fait jusqu'à présent était la meilleure des choses"
Un systeme d'évaluation est bon si et seulement si il ne se traduit que par des bons résultats
Allez hop, 100% de réussite au Bac 2015
Pour l'anecdote, sur notre circo, en REP+, interdiction de mettre des notes, pour les livrets d’évaluation de 4 pages, on ne doit mettre une croix que si la compétence est validée (si non, on ne met rien....il m'est arrivé qu'un livret reparte vierge dans la famille avec en fin d'année un refus de redoublement, bon...)....et nous sommes fortement incités à utiliser Sacoche
Et pour finir, on vient d'avoir un livret d'eval d'une école d'application de centre ville. Ils ne s’embêtent pas: y sont inscrits les notes reçues et la moyenne par matières, le tout faisant une page
- fracfloNiveau 8
Les professeurs sont là pour faire progresser les élèves mais aussi pour les diriger vers ce qui est le mieux pour eux, ce qui passe nécessairement par un classement.
- IphigénieProphète
Punaise, quelle sélection!En ce qui concerne la Conférence nationale sur l'évaluation des élèves, nous en sommes à la phase finale de composition du jury, les candidatures sont closes depuis le 27 septembre. Nous en avons reçu plus de 1000 et nous allons proposer un jury composé de 30 personnes,
Car tel est notre bon plaisir.
C'est bien, quand même, que notre élite, sortie des parcours les plus sélectifs et occupant les fonctions les plus élevées dans la hiérarchie, se penche sur l'amélioration du sort des malheureux...
- bensonlouiseNiveau 2
Nous n'utilisons plus de thermomètre, il n'y a donc plus de fièvre, donc tout va bien.... notre éducation nationale est en bonne santé...
- GrypheMédiateur
Notre système nous pousse à orienter un maximum d'élèves vers le lycée général et juge la performance des établissements en partie sur cela : le % d'élèves orientés vers le lycée général.Notre système trie les élèves, les classe. Cela n'est plus possible : il y a beaucoup de voies de réussite différentes.
C'est effectivement le système qui demande de classer.
- LangelotNiveau 9
A notre chère ancienne rectrice, fan d'Antibi et de l' EPCC. Nous étions fortement incités à rentrer dans ce moule...
- neomathÉrudit
forrester1 a écrit:
Et pour finir, on vient d'avoir un livret d'eval d'une école d'application de centre ville. Ils ne s’embêtent pas: y sont inscrits les notes reçues et la moyenne par matières, le tout faisant une page
Nous avons tous bien compris que l'"évaluation bienveillante" et autres fadaises n'est que l'habillage de l'abandon de toute exigence scolaire. Et que ceci ne concerne pas, bien sûr, les enfants des beaux quartiers.
- OlympiasProphète
Et ça continue...l'élitisme pour les uns (ceux de F. Robine sont-ils dans un collège REP, ECLAIR...?) et la médiocrité organisée pour les autres.
- neomathÉrudit
Encore une perle dans l'article :
Cette dame croit donc vraiment que les enfants des pauvres et leurs parents sont tellement stupides qu'un 4 sur une échelle de 4 à 10 leur fera moins d'effet qu'un zéro sur une échelle de zéro à 20 ?en Finlande par exemple, les élèves n'ont pas de notes à l'école élémentaire. Ensuite, il y a des notes sur 10, mais elles ne peuvent jamais être inférieures à 4.
- OlympiasProphète
Et dire qu'elle est diplômée en physique...neomath a écrit:Encore une perle dans l'article :
Cette dame croit donc vraiment que les enfants des pauvres et leurs parents sont tellement stupides qu'un 4 sur une échelle de 4 à 10 leur fera moins d'effet qu'un zéro sur une échelle de zéro à 20 ?en Finlande par exemple, les élèves n'ont pas de notes à l'école élémentaire. Ensuite, il y a des notes sur 10, mais elles ne peuvent jamais être inférieures à 4.
- BoubouleDoyen
neomath a écrit:Encore une perle dans l'article :
Cette dame croit donc vraiment que les enfants des pauvres et leurs parents sont tellement stupides qu'un 4 sur une échelle de 4 à 10 leur fera moins d'effet qu'un zéro sur une échelle de zéro à 20 ?en Finlande par exemple, les élèves n'ont pas de notes à l'école élémentaire. Ensuite, il y a des notes sur 10, mais elles ne peuvent jamais être inférieures à 4.
C'est déjà en place pour les collègues ; à une certaine agrégation interne, il est interdit de mettre moins de 5/20 à l'oral, ce qui peut poser problème quand il s'agit d'admettre certains cas problématiques.
- IlseÉrudit
J'appliquerais tout cela quand les grands lycées et collèges parisiens le feront...
- OlympiasProphète
C'est pas demain la veille...
- MUTISExpert
:shock:Will.T a écrit:Lire l'article en entier.VousNousIls a écrit: comment faire justement pour mettre les évaluations plus en cohérence avec le projet personnel de l'élève et avec ses compétences ?
Dis moi quel est ton projet personnel (à 11 ans ou 14 par exemple) et tes compétences, je mettrai en cohérence tes évaluations...
Alors là je dois dire que ça m'en bouche un coin ! :shock:
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"Heureux soient les fêlés car ils laissent passer la lumière" (Audiard)
"Ce n'est pas l'excès d'autorité qui est dangereux, c'est l'excès d'obéissance" (Primo Levi)
"La littérature, quelque passion que nous mettions à le nier, permet de sauver de l'oubli tout ce sur quoi le regard contemporain, de plus en plus immoral, prétend glisser dans l'indifférence absolue" (Enrique Vila-Matas)
" Que les dissemblables soient réunis et de leurs différences jaillira la plus belle harmonie ; rien ne se fait sans lutte." (Héraclite)
"Les hommes sont si nécessairement fous que ce serait être fou par un autre tour de folie, de n'être pas fou" (Pascal).
- IlseÉrudit
Je sais, et cela me révolte. Qu'ils commencent par appliquer leurs réformes géniales à LEURS enfants !
- DaphnéDemi-dieu
- Roumégueur IerÉrudit
Cette interview est tout de même assez parlante :
Sur l'exemple de la Finlande, où le 4 c'est le zéro et qui semble avoir les faveurs de la DGESCO :
"Est-ce que certains pays appliquent déjà une nouvelle forme d'évaluation ?
Oui, en Finlande par exemple, les élèves n'ont pas de notes à l'école élémentaire. Ensuite, il y a des notes sur 10, mais elles ne peuvent jamais être inférieures à 4. L'objectif n'est pas de dire aux élèves que tout est parfait, mais de leur dire, cela a été acquis et cela doit être retravaillé. Notre système trie les élèves, les classe. Cela n'est plus possible : il y a beaucoup de voies de réussite différentes. Il faut travailler aussi sur l'orientation, la formation tout au long de la vie, car en France aujourd'hui, ce que vous faites entre 15 et 18 ans détermine toute votre existence !"
Sur le collège unique qu'il faut garder mais individualiser (Mouarf, quel grand écart : tous dans un même moule, mais ce moule doit être différent : on fait comment? Simple, on multiplie les travaux de groupe, c'était si facile en fait...) :
"On a aujourd'hui besoin de beaucoup plus de souplesse au collège et d'être davantage dans une logique de socle, c'est-à-dire de savoirs à maîtriser mais également de compétences diverses. Les collèges devraient pouvoir disposer de plus de liberté pour développer des projets adaptés à leurs publics. Sans remettre en cause le collège unique, il faut davantage de personnalisation. Il faut regarder en face l'hétérogénéité du collège, et donc accompagner davantage les élèves pour leur proposer de s'engager, leur proposer des projets dans lesquels ils se retrouvent, des travaux de groupe, des parcours en éducation artistique et culturelle... Car dans ce type de projets souvent des compétences insoupçonnées des élèves – capacité de prise de parole, de recherche d'information, de prise d'initiative, de travail en groupe... — vont pouvoir se révéler. Encore une fois se pose la question de l'évaluation : est-on capable de prendre en compte ces compétences ?"
Sur le décrochage, un passage culte sur 'l'élève mythique' : quand on a lu le projet de nouveau socle qui propose finalement un élève parfait, la quintessence de ce qu'une société moderne peut offrir, un élève qui maîtrise tout, qui a de la compassion, s'engage à tire-larigot, a un esprit critique et lutte contre les obscurantismes ; cet élève n'est pas que 'rare', il n'existe pas, du moins pas dans nos classes. L'expression prête vraiment à rire :
"Il s'agit là pour vous de la clé pour lutter contre le décrochage scolaire ?
Oui, j'en suis convaincue, d'ailleurs si l'on regarde le rapport qui a été publié en juin dernier sur le décrochage scolaire, il s'avère que l'on s'intéresse à la remédiation, et pas assez à la prévention. Il faut s'attaquer aux racines du décrochage. Pour cela, une évaluation qui permet de mieux valoriser les compétences des élèves est nécessaire, tout en les aidant à progresser sur ce qu'ils ne maîtrisent pas. Il faut savoir reconnaître différents types d'intelligence et pas seulement l'élève mythique –qui d'ailleurs est rare. Proposer de la mise en action, du travail de groupe, de la médiation entre pairs, apporter très tôt de l'aide, parfois dès l'école primaire : voilà des pistes à explorer. Quand la méthode standard ne fonctionne pas, il faut trouver un moyen de réembarquer l'élève."
Sur l'exemple de la Finlande, où le 4 c'est le zéro et qui semble avoir les faveurs de la DGESCO :
"Est-ce que certains pays appliquent déjà une nouvelle forme d'évaluation ?
Oui, en Finlande par exemple, les élèves n'ont pas de notes à l'école élémentaire. Ensuite, il y a des notes sur 10, mais elles ne peuvent jamais être inférieures à 4. L'objectif n'est pas de dire aux élèves que tout est parfait, mais de leur dire, cela a été acquis et cela doit être retravaillé. Notre système trie les élèves, les classe. Cela n'est plus possible : il y a beaucoup de voies de réussite différentes. Il faut travailler aussi sur l'orientation, la formation tout au long de la vie, car en France aujourd'hui, ce que vous faites entre 15 et 18 ans détermine toute votre existence !"
Sur le collège unique qu'il faut garder mais individualiser (Mouarf, quel grand écart : tous dans un même moule, mais ce moule doit être différent : on fait comment? Simple, on multiplie les travaux de groupe, c'était si facile en fait...) :
"On a aujourd'hui besoin de beaucoup plus de souplesse au collège et d'être davantage dans une logique de socle, c'est-à-dire de savoirs à maîtriser mais également de compétences diverses. Les collèges devraient pouvoir disposer de plus de liberté pour développer des projets adaptés à leurs publics. Sans remettre en cause le collège unique, il faut davantage de personnalisation. Il faut regarder en face l'hétérogénéité du collège, et donc accompagner davantage les élèves pour leur proposer de s'engager, leur proposer des projets dans lesquels ils se retrouvent, des travaux de groupe, des parcours en éducation artistique et culturelle... Car dans ce type de projets souvent des compétences insoupçonnées des élèves – capacité de prise de parole, de recherche d'information, de prise d'initiative, de travail en groupe... — vont pouvoir se révéler. Encore une fois se pose la question de l'évaluation : est-on capable de prendre en compte ces compétences ?"
Sur le décrochage, un passage culte sur 'l'élève mythique' : quand on a lu le projet de nouveau socle qui propose finalement un élève parfait, la quintessence de ce qu'une société moderne peut offrir, un élève qui maîtrise tout, qui a de la compassion, s'engage à tire-larigot, a un esprit critique et lutte contre les obscurantismes ; cet élève n'est pas que 'rare', il n'existe pas, du moins pas dans nos classes. L'expression prête vraiment à rire :
"Il s'agit là pour vous de la clé pour lutter contre le décrochage scolaire ?
Oui, j'en suis convaincue, d'ailleurs si l'on regarde le rapport qui a été publié en juin dernier sur le décrochage scolaire, il s'avère que l'on s'intéresse à la remédiation, et pas assez à la prévention. Il faut s'attaquer aux racines du décrochage. Pour cela, une évaluation qui permet de mieux valoriser les compétences des élèves est nécessaire, tout en les aidant à progresser sur ce qu'ils ne maîtrisent pas. Il faut savoir reconnaître différents types d'intelligence et pas seulement l'élève mythique –qui d'ailleurs est rare. Proposer de la mise en action, du travail de groupe, de la médiation entre pairs, apporter très tôt de l'aide, parfois dès l'école primaire : voilà des pistes à explorer. Quand la méthode standard ne fonctionne pas, il faut trouver un moyen de réembarquer l'élève."
- NormandyxNeoprof expérimenté
il me parait de plus en plus évident que les petits enfants que je n'ai pas encore n'iront pas à l'école publique, je vais demander à mon banquier s'il prévoit un plan d'épargne correspondant à cette dépense à venir.
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