- BabayagaGrand sage
Moi non plus je ne me sentais pas visée. Sans m'autociter, je disais que je n'avais pas remarqué chez les autres syndicats, donc autres que SNES et SNALC, ça me semble pourtant clair.
Bref, la remarque qui servait à rien.
Bref, la remarque qui servait à rien.
- FinrodExpert
Bientôtlesud a écrit:Ce n'est pas ici que l'on va apprendre qu'une part non négligeable des syndiqués n'est même pas au courant des idées défendues par la direction nationale de leur syndicat...
pourquoi ne puis-je pas m'empêcher de voir ça comme un euphémisme... ?
Enfin, pour moi la réponse coule d'elle même, il suffit de regarder les propositions nationales des grand partis et des syndicats pour savoir qui est proche de qui.
EELV qui reprend au mot près des textes de l'UNSA (à la dernière présidentielle) par exemple.
l'UMP qui est favorable à la décentralisation, au recrutement par le chef d'établissement, à la suppression du BAC et la mise en concurrence des établissements, comme... aucun syndicat... le SNALC est d'ailleurs à l'opposé puisqu'on y défend la logique d'un diplôme national exigeant, pour permettre à la plus grande partie d'une classe d'âge d'arriver au niveau le plus élevé qui seul est garant de notre liberté de penser.
On ne peut faire plus à gauche, en termes de définition, que ceux qui proclament le plus haut niveau d'éducation pour tous, par le travail et par l'effort. Nos modernistes Sgenard et Unsaien sont à l'image cette gauche libérale qui s'est totalement coupé des classes populaires.
Enfin, le vote FN rassemble en général des enseignants anti-syndicaux dont une minorité ne se syndique que par opportunisme carriériste sur une courte période. J'en ai croisé une syndiquée au SGEN pour qu'une copine du SGEN lui fasse son dossier pour la retraite.
Comme toujours, si on creuse, on se rend compte que le spectre du vote FN s'efface pour laisser la place à une réalité tout ce qu'il y a de plus terre à terre : les syndiqués votant FN ne sont pas ceux de l'EN (<5% en sondage sortie des urnes) mais ceux des travailleurs des classes populaires, public/privé qui ont totalement perdu confiance dans la politique actuelle - une perte de confiance qui au fond n'a rien de surprenant - nous ne pouvons au final que déplorer ses conséquences.
(cf. un sondage qui avait fait scandale sur le vote des sympathisants des centrales syndicales)
Bref, ils (ces nouveaux électeurs FN) ont raison d'être déçu ou de penser que la démocratie ne leur offre pas de réelle solution pour s'exprimer et le gouvernement les politiques ont tort de ne pas chercher une solution et de s'enfermer dans leur logique - car c'est bien ce qui manque et qui laisse la place aux mirages.
- JacqGuide spirituel
Bientôtlesud a écrit:J'avoue effectivement ne pas m'être senti visé, ou alors il faut ne vraiment pas avoir lu mes messages dans ce fil (mais bon ce n'est pas la première fois que j'ai cette impression que les réactions ne se font qu'à partir d'une lecture transversale des interventions, et je ne parle pas de Jacq en particulier)
Ce qui m'arrive parfois, c'est vrai .
- JacqGuide spirituel
Finrod a écrit:Bientôtlesud a écrit:Ce n'est pas ici que l'on va apprendre qu'une part non négligeable des syndiqués n'est même pas au courant des idées défendues par la direction nationale de leur syndicat...
pourquoi ne puis-je pas m'empêcher de voir ça comme un euphémisme... ?
Enfin, pour moi la réponse coule d'elle même, il suffit de regarder les propositions nationales des grand partis et des syndicats pour savoir qui est proche de qui.
EELV qui reprend au mot près des textes de l'UNSA (à la dernière présidentielle) par exemple.
l'UMP qui est favorable à la décentralisation, au recrutement par le chef d'établissement, à la suppression du BAC et la mise en concurrence des établissements, comme... aucun syndicat... le SNALC est d'ailleurs à l'opposé puisqu'on y défend la logique d'un diplôme national exigeant, pour permettre à la plus grande partie d'une classe d'âge d'arriver au niveau le plus élevé qui seul est garant de notre liberté de penser.
On ne peut faire plus à gauche, en termes de définition, que ceux qui proclament le plus haut niveau d'éducation pour tous, par le travail et par l'effort. Nos modernistes Sgenard et Unsaien sont à l'image cette gauche libérale qui s'est totalement coupé des classes populaires.
Enfin, le vote FN rassemble en général des enseignants anti-syndicaux dont une minorité ne se syndique que par opportunisme carriériste sur une courte période. J'en ai croisé une syndiquée au SGEN pour qu'une copine du SGEN lui fasse son dossier pour la retraite.
Comme toujours, si on creuse, on se rend compte que le spectre du vote FN s'efface pour laisser la place à une réalité tout ce qu'il y a de plus terre à terre : les syndiqués votant FN ne sont pas ceux de l'EN (<5% en sondage sortie des urnes) mais ceux des travailleurs des classes populaires, public/privé qui ont totalement perdu confiance dans la politique actuelle - une perte de confiance qui au fond n'a rien de surprenant - nous ne pouvons au final que déplorer ses conséquences.
(cf. un sondage qui avait fait scandale sur le vote des sympathisants des centrales syndicales)
Bref, ils (ces nouveaux électeurs FN) ont raison d'être déçu ou de penser que la démocratie ne leur offre pas de réelle solution pour s'exprimer et le gouvernement les politiques ont tort de ne pas chercher une solution et de s'enfermer dans leur logique - car c'est bien ce qui manque et qui laisse la place aux mirages.
Ce discours d'exigence et une forme d'indépendance vis à vis des partis politiques ont souvent conforté cette image dite de droite par rapport justement aux discours entre autre de l'UNSA. Ne pas entrer dans le doux rêve du collège unique suffisait à classer le SNALC à droite.
Sans esprit de polémique, lorsque j'ai lu mon premier tract du SNALC j'ai pensé à une position d'extrême droite. C'est vieux, c'étaient les expressions employées qui m'ont à tort fait penser à cela (je ne me rappelle plus de quoi cela parlait, ça commence à être un peu vieux...).
Position de droite, selon moi, le rapport avec l'apprentissage (nous en avons déjà parlé souvent), la preuve : Hollande veut relancer l'apprentissage, c'est donc bien une mesure de droite, libérale :lol: .
- Presse-puréeGrand sage
Oui, un an après avoir supprimé les DIMA, ils reviennent.
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Homines, dum docent, discunt.Sénèque, Epistulae Morales ad Lucilium VII, 8
"La culture est aussi une question de fierté, de rapport de soi à soi, d’esthétique, si l’on veut, en un mot de constitution du sujet humain." (Paul Veyne, La société romaine)
"Soyez résolus de ne servir plus, et vous voilà libres". La Boétie
"Confondre la culture et son appropriation inégalitaire du fait des conditions sociales : quelle erreur !" H. Pena-Ruiz
"Il vaut mieux qu'un élève sache tenir un balai plutôt qu'il ait été initié à la philosophie: c'est ça le socle commun" un IPR
- LeclochardEmpereur
kero a écrit:Pas tout lu. Je rebondis juste sur le titre du topic.
Qu'y a-t-il de mal à être de droite ?
Aucun. Mais de quelle droite ou de quelle gauche parle-t-on ?
Parce qu'au niveau du Ps et de l'UMP, les différences ne sont pas énormes.
J'ai eu droit aussi à l'étonnement quand j'ai dit que j'étais au snalc. Un ancien principal (un oncle de ma femme) m'a dit que c'était un syndicat de droite. J'ai répondu que j'appréciais ses points de vue et sa cohérence, qu'il défendait un modèle traditionnel qui me correspondait. Je ne me reconnaissais pas dans un gros syndicat qui essaye de concilier des opinions différentes, à la façon du PS. La discussion s'est arrêtée là.
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Quelqu'un s'assoit à l'ombre aujourd'hui parce que quelqu'un d'autre a planté un arbre il y a longtemps. (W.B)
- OlympiasProphète
J'avoue ne jamais avoir autant ri il y a quelques années...qu'en voyant la une de la quinzaine du Snalc avec ce titre : Bienvenue au grand IUFM Circus, avec les clowns Pédago et Patagato
J'en pleurais presque en arrivant en classe !
J'en pleurais presque en arrivant en classe !
- User5899Demi-dieu
Je suis quand même attristé que des enseignants se renseignent sur leurs syndicats sans lire leurs proses mais en cherchant seulement un vague étiquetage.
J'ai toujours été politiquement à gauche. J'ai été 17 ans au SNES, un peu par mimétisme avec certains de mes anciens profs devenus des modèles, et puis les propos de la "section" lettres du SNES m'ont amené à partir, car je risquais l’infarctus à chaque lecture de L'U.S.. J'ai côtoyé pas mal de gens très différents au SNALC, des UMP, des mélenchoniens, des communistes, des apolitiques (peu de PS, tiens...), mais tous ont le même discours sur 'école : la transmission des savoirs, l'autorité du professeur dans sa classe, le non-mélange des questions politiques générales avec les questions éducatives. En plus, le SNALC n'appelle pas systématiquement aux grèves rituelles inutiles. Le tout me va bien.
Lisez, faites-vous vos idées. Que la représentation syndicale corresponde vraiment aux souhaits des collègues, c'est ce qui me semble important.
J'ai toujours été politiquement à gauche. J'ai été 17 ans au SNES, un peu par mimétisme avec certains de mes anciens profs devenus des modèles, et puis les propos de la "section" lettres du SNES m'ont amené à partir, car je risquais l’infarctus à chaque lecture de L'U.S.. J'ai côtoyé pas mal de gens très différents au SNALC, des UMP, des mélenchoniens, des communistes, des apolitiques (peu de PS, tiens...), mais tous ont le même discours sur 'école : la transmission des savoirs, l'autorité du professeur dans sa classe, le non-mélange des questions politiques générales avec les questions éducatives. En plus, le SNALC n'appelle pas systématiquement aux grèves rituelles inutiles. Le tout me va bien.
Lisez, faites-vous vos idées. Que la représentation syndicale corresponde vraiment aux souhaits des collègues, c'est ce qui me semble important.
- JacqGuide spirituel
Cripure a écrit:Je suis quand même attristé que des enseignants se renseignent sur leurs syndicats sans lire leurs proses mais en cherchant seulement un vague étiquetage.
J'ai toujours été politiquement à gauche. J'ai été 17 ans au SNES, un peu par mimétisme avec certains de mes anciens profs devenus des modèles, et puis les propos de la "section" lettres du SNES m'ont amené à partir, car je risquais l’infarctus à chaque lecture de L'U.S.. J'ai côtoyé pas mal de gens très différents au SNALC, des UMP, des mélenchoniens, des communistes, des apolitiques (peu de PS, tiens...), mais tous ont le même discours sur 'école : la transmission des savoirs, l'autorité du professeur dans sa classe, le non-mélange des questions politiques générales avec les questions éducatives. En plus, le SNALC n'appelle pas systématiquement aux grèves rituelles inutiles. Le tout me va bien.
Lisez, faites-vous vos idées. Que la représentation syndicale corresponde vraiment aux souhaits des collègues, c'est ce qui me semble important.
Surtout certains adhèrent tout simplement par "mimétisme", comme tu le dis, ou en fonction de la représentativité aux CAPA pour leur petite mutation et leur intérêt personnel.
- MorgaredNiveau 9
Cripure a écrit:et puis les propos de la "section" lettres du SNES m'ont amené à partir, car je risquais l’infarctus à chaque lecture de L'U.S.
Tiens, exactement pareil pour moi. 2008, avec la sortie concomitante d'Entre les murs, fut une année mémorable pour l'US et la feuille de la section Lettres du SNES - sans oublier la revue "POUR". Et quand j'ai lu dans l'un ou l'autre que le savoir n'était absolument pas comme une maison nécessitant des fondations, que les bases n'existaient pas, notamment dans l'apprentissage de la langue, je suis partie.
- JacqGuide spirituel
Je pense que c'est cela qui fait la valeur et justifie le SNALC, même si, vous le savez, je suis en désaccord complet avec certaines lignes idéologiques du SNALC.
Mais j'espère qu'un jour "ils" vont comprendre et aller dans un autre sens.
Mais j'espère qu'un jour "ils" vont comprendre et aller dans un autre sens.
- CasparProphète
Pseudo a écrit:Bon, en même temps, c'est pas une insulte d'être de droite. Je suis de gauche (la vraie, celle qui n'existe plus, vu ce qu'est la gauche en France) mais je ne pense pas qu'être de droite soit une maladie honteuse. Il y a autant de c**s et de co*nneries de proférées des deux cotés. Je suis convaincu que l'appartenance politique est plus une question familiale et culturel que réellement d'opinion.
Un monde où nous serions tous "de gauche" serait-il parfait? Des idées différentes, des débats, ça fait partie de la démocratie non?
- JacqGuide spirituel
Caspar Goodwood a écrit:Pseudo a écrit:Bon, en même temps, c'est pas une insulte d'être de droite. Je suis de gauche (la vraie, celle qui n'existe plus, vu ce qu'est la gauche en France) mais je ne pense pas qu'être de droite soit une maladie honteuse. Il y a autant de c**s et de co*nneries de proférées des deux cotés. Je suis convaincu que l'appartenance politique est plus une question familiale et culturel que réellement d'opinion.
Un monde où nous serions tous "de gauche" serait-il parfait? Des idées différentes, des débats, ça fait partie de la démocratie non?
NON.
Je suis d'une famille de droite et je suis à gauche.
- CasparProphète
Qu'en dit ton psy?
- FinrodExpert
Jacq a écrit:
Ce discours d'exigence et une forme d'indépendance vis à vis des partis politiques ont souvent conforté cette image dite de droite par rapport justement aux discours entre autre de l'UNSA. Ne pas entrer dans le doux rêve du collège unique suffisait à classer le SNALC à droite.
ça appelle une réflexion philosophique au fond. le "être de gauche" ne devient il pas de plus en plus une forme passive de bien être narcissique. Comme s'il n'y avait plus forcément d'actions ou de projets concrets en lien avec cette idée dans l'esprit des gens. C'est ainsi la forme qui prend le dessus chez la plupart des gens, par facilité sans doute.
En ce sens, effectivement le SNALC suit la logique opposée, puisqu'il existe pour appuyer là où ça fait mal, analyser certains échecs sans concessions. Les qualités littéraires de certains en font un discours fort, mais parfois, sous d'autres plumes , il reste plus froid. Peu importe pour ma part, la seule idée de me soucier la forme me déplait car c'est ce souci de la forme chez les pédago qui m'irrite le plus, ceci et le caractère parfois suffisant de leur discours.
avant d'adhérer au SNALC, j'ai lu beaucoup de documents syndicaux, j'ai même vu une vidéo du SGEN (je ne connaissais pas du tout). Je suis tombé des nues devant de nombreux discours mais j'ai été encore plus surpris quand j'ai découvert que personne ou presque ne les lisait.
ça rejoint ce que disait Etienne Chouard le 5/09, la démocratie n'existe pas si elle n'est pas participative. Sans cela elle laisse la place à une forme de ploutocratie.
- DimkaVénérable
Il semblerait qu’en général, les gens de gauche et d’extrême-gauche passent beaucoup de temps à se chicaner pour prouver qu’ils sont plus de gauche que les autres, ou que les autres ne sont pas vraiment complètement purement à gauche.Caspar Goodwood a écrit:Un monde où nous serions tous "de gauche" serait-il parfait? Des idées différentes, des débats, ça fait partie de la démocratie non?
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- Spoiler:
- pmullerHabitué du forum
Olympias a écrit:J'avoue ne jamais avoir autant ri il y a quelques années...qu'en voyant la une de la quinzaine du Snalc avec ce titre : Bienvenue au grand IUFM Circus, avec les clowns Pédago et Patagato
J'en pleurais presque en arrivant en classe !
Je crois que c'était le bon temps du Snalc. C'est passé, semble-t-il. Ils nous inondent de prose qui s'accumule sur les tables de la SDP et c'est d'un navrant ! Plus politico-correct, on ne fait pas. Je préfère presque lire le journal de la MGEN.
- JacqGuide spirituel
Finrod a écrit:Jacq a écrit:
Ce discours d'exigence et une forme d'indépendance vis à vis des partis politiques ont souvent conforté cette image dite de droite par rapport justement aux discours entre autre de l'UNSA. Ne pas entrer dans le doux rêve du collège unique suffisait à classer le SNALC à droite.
ça appelle une réflexion philosophique au fond. le "être de gauche" ne devient il pas de plus en plus une forme passive de bien être narcissique. Comme s'il n'y avait plus forcément d'actions ou de projets concrets en lien avec cette idée dans l'esprit des gens. C'est ainsi la forme qui prend le dessus chez la plupart des gens, par facilité sans doute.
En ce sens, effectivement le SNALC suit la logique opposée, puisqu'il existe pour appuyer là où ça fait mal, analyser certains échecs sans concessions. Les qualités littéraires de certains en font un discours fort, mais parfois, sous d'autres plumes , il reste plus froid. Peu importe pour ma part, la seule idée de me soucier la forme me déplait car c'est ce souci de la forme chez les pédago qui m'irrite le plus, ceci et le caractère parfois suffisant de leur discours.
avant d'adhérer au SNALC, j'ai lu beaucoup de documents syndicaux, j'ai même vu une vidéo du SGEN (je ne connaissais pas du tout). Je suis tombé des nues devant de nombreux discours mais j'ai été encore plus surpris quand j'ai découvert que personne ou presque ne les lisait.
ça rejoint ce que disait Etienne Chouard le 5/09, la démocratie n'existe pas si elle n'est pas participative. Sans cela elle laisse la place à une forme de ploutocratie.
Comme je le disais, tu ajoutes les syndiqués qui choisissent leur syndicat par conformisme et en fonction des CAPA uniquement. Je ne suis pas au SNALC, je suis contre le SNALC sur certains points, mais je préfère quelqu'un qui se syndique au SNALC par conviction que les moutons qui vont dans le syndicat dominant pour l'unique raison qu'il est dominant.
- User5899Demi-dieu
Venez y pour faire évoluer ces lignesJacq a écrit:Je pense que c'est cela qui fait la valeur et justifie le SNALC, même si, vous le savez, je suis en désaccord complet avec certaines lignes idéologiques du SNALC.
Mais j'espère qu'un jour "ils" vont comprendre et aller dans un autre sens.
- pmullerHabitué du forum
Cripure a écrit:Venez y pour faire évoluer ces lignesJacq a écrit:Je pense que c'est cela qui fait la valeur et justifie le SNALC, même si, vous le savez, je suis en désaccord complet avec certaines lignes idéologiques du SNALC.
Mais j'espère qu'un jour "ils" vont comprendre et aller dans un autre sens.
Où as-tu vu une ligne ?
J'ai beau lire - pendant que les élèves planchent sur un devoir, on feuillette... - je n'en trouve aucune, un ramassis de contradictions destinées à noyer le poisson. Je ne sais pas si ça marche, mais c'est vrai qu'il y a bientôt les élections !
Le Snes, lui, est devenu un spécialiste de l'abstention - espérons que ses électeurs s'abstiennent aussi, imitant leurs chefs.
- CelebornEsprit sacré
pmuller a écrit:Cripure a écrit:Venez y pour faire évoluer ces lignesJacq a écrit:Je pense que c'est cela qui fait la valeur et justifie le SNALC, même si, vous le savez, je suis en désaccord complet avec certaines lignes idéologiques du SNALC.
Mais j'espère qu'un jour "ils" vont comprendre et aller dans un autre sens.
Où as-tu vu une ligne ?
J'ai beau lire - pendant que les élèves planchent sur un devoir, on feuillette... - je n'en trouve aucune, un ramassis de contradictions destinées à noyer le poisson. Je ne sais pas si ça marche, mais c'est vrai qu'il y a bientôt les élections !
Je crois que tout le monde aura bien compris que tu ne nous aimais pas .
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"On va bien lentement dans ton pays ! Ici, vois-tu, on est obligé de courir tant qu'on peut pour rester au même endroit. Si on veut aller ailleurs, il faut courir au moins deux fois plus vite que ça !" (Lewis Carroll)
Mon Blog
- Roumégueur IerÉrudit
Pour répondre à la question initiale, le Snalc a déjà brillamment démontré qu'il n'était affilié à aucune obédience politique et qu'il était donc totalement indépendant (ce qui ne souffre d'aucune contestation), contrairement à FO qui n'est qu'une officine cachée de l'extrême droite (ce qui peut souffrir de quelques contestations) :
http://www.snalc.fr/national/article/647/
"Syndicats et partis politiques : enfin la vérité !
Le SNALC-FGAF a pris connaissance du communiqué du collectif Racine, affilié au Front National, dans lequel ce dernier apporte son soutien au syndicat Force Ouvrière. « Nous savons réfléchie et sincère l’opposition au projet ministériel affichée par le syndicat Force Ouvrière, auquel nous n’hésitons pas, conformément à ce que nous avions annoncé, à apporter notre soutien… », écrit Alain Avello, président du collectif, dans un texte repris sur le site officiel de son parti politique.
Le SNALC-FGAF tient à rappeler qu'il a été depuis trop longtemps la cible de rumeurs et de calomnies quant à son positionnement. Régulièrement qualifiée « de droite », voire « d'extrême droite », notre organisation a dû lutter pied à pied aussi bien dans les médias que dans les établissements scolaires pour pouvoir s'exprimer sans que ses propos soient immédiatement suspectés d'être nauséabonds, voire fascistes. Dans les collèges et les lycées, il arrive encore que nos panneaux syndicaux soient saccagés et nos affiches arrachées, au mépris des lois de la République.
Le SNALC-FGAF réaffirme donc avec force qu'il est un syndicat professionnel, indépendant de tout parti politique (et donc ni de droite, ni de gauche) et qui n'a d'autre but que la sauvegarde des intérêts matériels et moraux des personnels. Nous défendons les collègues sans jamais nous préoccuper de la couleur du bulletin qu'ils déposent dans l'urne les jours d'élections. Maintenant que les choses sont claires et que l'on sait quel syndicat le Front National soutient de manière explicite, nous espérons pouvoir faire notre travail en paix, loin des on-dit et de la désinformation.
Contact : Jean-Rémi GIRARD, Secrétaire national à la pédagogie du SNALC"
http://www.snalc.fr/national/article/647/
"Syndicats et partis politiques : enfin la vérité !
Le SNALC-FGAF a pris connaissance du communiqué du collectif Racine, affilié au Front National, dans lequel ce dernier apporte son soutien au syndicat Force Ouvrière. « Nous savons réfléchie et sincère l’opposition au projet ministériel affichée par le syndicat Force Ouvrière, auquel nous n’hésitons pas, conformément à ce que nous avions annoncé, à apporter notre soutien… », écrit Alain Avello, président du collectif, dans un texte repris sur le site officiel de son parti politique.
Le SNALC-FGAF tient à rappeler qu'il a été depuis trop longtemps la cible de rumeurs et de calomnies quant à son positionnement. Régulièrement qualifiée « de droite », voire « d'extrême droite », notre organisation a dû lutter pied à pied aussi bien dans les médias que dans les établissements scolaires pour pouvoir s'exprimer sans que ses propos soient immédiatement suspectés d'être nauséabonds, voire fascistes. Dans les collèges et les lycées, il arrive encore que nos panneaux syndicaux soient saccagés et nos affiches arrachées, au mépris des lois de la République.
Le SNALC-FGAF réaffirme donc avec force qu'il est un syndicat professionnel, indépendant de tout parti politique (et donc ni de droite, ni de gauche) et qui n'a d'autre but que la sauvegarde des intérêts matériels et moraux des personnels. Nous défendons les collègues sans jamais nous préoccuper de la couleur du bulletin qu'ils déposent dans l'urne les jours d'élections. Maintenant que les choses sont claires et que l'on sait quel syndicat le Front National soutient de manière explicite, nous espérons pouvoir faire notre travail en paix, loin des on-dit et de la désinformation.
Contact : Jean-Rémi GIRARD, Secrétaire national à la pédagogie du SNALC"
- MUTISExpert
Pour répondre à la question initiale,
Il suffit de dire que la programme de la droite depuis des années est une attaque en règle contre l'école et les enseignants (les fonctionnaires en général). Défense des profiteurs et dénonciation des pseudo-privilèges des modestes, mépris des humbles et des démunis, anti-humanisme, mépris du service public, recherche de bouc-émissaires, défense des fils à papa, justifications des inégalités (au nom du mérite supposé des héritiers...) voilà quelques constantes de la droite qui rendent son message impossible à soutenir par tout humaniste et tout être de culture... Et comme les gens du SNALC sont des gens de culture...
Il suffit de dire que la programme de la droite depuis des années est une attaque en règle contre l'école et les enseignants (les fonctionnaires en général). Défense des profiteurs et dénonciation des pseudo-privilèges des modestes, mépris des humbles et des démunis, anti-humanisme, mépris du service public, recherche de bouc-émissaires, défense des fils à papa, justifications des inégalités (au nom du mérite supposé des héritiers...) voilà quelques constantes de la droite qui rendent son message impossible à soutenir par tout humaniste et tout être de culture... Et comme les gens du SNALC sont des gens de culture...
_________________
"Heureux soient les fêlés car ils laissent passer la lumière" (Audiard)
"Ce n'est pas l'excès d'autorité qui est dangereux, c'est l'excès d'obéissance" (Primo Levi)
"La littérature, quelque passion que nous mettions à le nier, permet de sauver de l'oubli tout ce sur quoi le regard contemporain, de plus en plus immoral, prétend glisser dans l'indifférence absolue" (Enrique Vila-Matas)
" Que les dissemblables soient réunis et de leurs différences jaillira la plus belle harmonie ; rien ne se fait sans lutte." (Héraclite)
"Les hommes sont si nécessairement fous que ce serait être fou par un autre tour de folie, de n'être pas fou" (Pascal).
- BalthamosDoyen
MUTIS a écrit:Pour répondre à la question initiale,
Il suffit de dire que la programme de la droite depuis des années est une attaque en règle contre l'école et les enseignants (les fonctionnaires en général). Défense des profiteurs et dénonciation des pseudo-privilèges des modestes, mépris des humbles et des démunis, anti-humanisme, mépris du service public, recherche de bouc-émissaires, défense des fils à papa, justifications des inégalités (au nom du mérite supposé des héritiers...) voilà quelques constantes de la droite qui rendent son message impossible à soutenir par tout humaniste et tout être de culture... Et comme les gens du SNALC sont des gens de culture...
En partant de ton constat, on peut donc dire qu'aucun syndicat d'enseignants (et même de fonctionnaires) est à droite
- MUTISExpert
Si : ceux qui sont masochistes ou ceux qui veulent se suicider.
Ca représente une part non négligeable (les masochistes en particulier) de la société...
Ca représente une part non négligeable (les masochistes en particulier) de la société...
_________________
"Heureux soient les fêlés car ils laissent passer la lumière" (Audiard)
"Ce n'est pas l'excès d'autorité qui est dangereux, c'est l'excès d'obéissance" (Primo Levi)
"La littérature, quelque passion que nous mettions à le nier, permet de sauver de l'oubli tout ce sur quoi le regard contemporain, de plus en plus immoral, prétend glisser dans l'indifférence absolue" (Enrique Vila-Matas)
" Que les dissemblables soient réunis et de leurs différences jaillira la plus belle harmonie ; rien ne se fait sans lutte." (Héraclite)
"Les hommes sont si nécessairement fous que ce serait être fou par un autre tour de folie, de n'être pas fou" (Pascal).
- pmullerHabitué du forum
Roumégueur Ier a écrit:Pour répondre à la question initiale, le Snalc a déjà brillamment démontré qu'il n'était affilié à aucune obédience politique et qu'il était donc totalement indépendant (ce qui ne souffre d'aucune contestation), contrairement à FO qui n'est qu'une officine cachée de l'extrême droite (ce qui peut souffrir de quelques contestations) :
http://www.snalc.fr/national/article/647/
"Syndicats et partis politiques : enfin la vérité !
Le SNALC-FGAF a pris connaissance du communiqué du collectif Racine, affilié au Front National, dans lequel ce dernier apporte son soutien au syndicat Force Ouvrière. « Nous savons réfléchie et sincère l’opposition au projet ministériel affichée par le syndicat Force Ouvrière, auquel nous n’hésitons pas, conformément à ce que nous avions annoncé, à apporter notre soutien… », écrit Alain Avello, président du collectif, dans un texte repris sur le site officiel de son parti politique.
Le SNALC-FGAF tient à rappeler qu'il a été depuis trop longtemps la cible de rumeurs et de calomnies quant à son positionnement. Régulièrement qualifiée « de droite », voire « d'extrême droite », notre organisation a dû lutter pied à pied aussi bien dans les médias que dans les établissements scolaires pour pouvoir s'exprimer sans que ses propos soient immédiatement suspectés d'être nauséabonds, voire fascistes. Dans les collèges et les lycées, il arrive encore que nos panneaux syndicaux soient saccagés et nos affiches arrachées, au mépris des lois de la République.
Le SNALC-FGAF réaffirme donc avec force qu'il est un syndicat professionnel, indépendant de tout parti politique (et donc ni de droite, ni de gauche) et qui n'a d'autre but que la sauvegarde des intérêts matériels et moraux des personnels. Nous défendons les collègues sans jamais nous préoccuper de la couleur du bulletin qu'ils déposent dans l'urne les jours d'élections. Maintenant que les choses sont claires et que l'on sait quel syndicat le Front National soutient de manière explicite, nous espérons pouvoir faire notre travail en paix, loin des on-dit et de la désinformation.
Contact : Jean-Rémi GIRARD, Secrétaire national à la pédagogie du SNALC"
Avant de ressortir ce texte, je pense que tu devrais faire un détour par le fil de discussion sur le journal Snalc de Créteil, où E. Protin explique que le pédagogisme a tué Fabienne Terral... c'est sur Néo !
- Le SNALC n'est pas un "syndicat d'extrême-droite".
- Les collègues qui ne disent jamais rien
- Thierry Gross, candidat de l'extrême droite sur les listes du Snalc (CTA et CAPA de Strasbourg).
- Préavis de grève déposé par le SNALC pour le Brevet (surveillance et correction)
- Révolution copernicienne au Snalc : "L'action du Snalc ne se limite pas aux problèmes purement éducatifs".
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