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- labarolineNiveau 10
Certes, mais on ne peut pas exiger que TOUS les cours soient fournis sur clé qu'ils pourraient passer au logiciel de lecture par synthèse vocale, ça ne se serait de toutes façon pas appliqué par tous les enseignants. De la même façon que ne sont pas toujours appliquées les recommandations des PPS qui en théorie s'imposent à la communauté éducative au nom de la loi de 2005 dès lors qu'un élève avec un handicap reconnu est scolarisé en milieu ordinaire.
Alors dans les rédactions de PPS on fait un compromis qui sera tenable pour tous sur la durée... Une sorte de pis-aller.
Alors dans les rédactions de PPS on fait un compromis qui sera tenable pour tous sur la durée... Une sorte de pis-aller.
- User5899Demi-dieu
Oui mais je suis désolé : le ministère a décidé que les handicaps avaient droit de cité en classe. Moi, je veux bien, mais la magie du claquement de doigts, ça ne suffit pas. Les vrais dys sont noyés sous la masse des faux et leurs besoins ne sont pris en compte qu'avec difficulté, parce qu'ils imposent un travail supplémentaire lourd que beaucoup ne sont pas (plus) du tout disposés à fournir.Elyas a écrit:labaroline a écrit:Pour répondre directement à la question posée initialement et pour être de celles qui écrivent sur le PPS que "le cours ou la trace écrite peuvent être fournis au format numérique si possible", je précise également toujours "le cas échéant, photocopie du cahier d'un camarade".
Et ça suffit, généralement, avec ça l'élève s'en sort : il a assisté au cours et l'a écouté, il a la trace écrite qu'il peut retravailler soit avec un adulte au collège/lycée soit à la maison.
Je vais être honnête, c'est une solution de facilité qui ne fonctionne pas avec des dyslexiques sévères et des malvoyants.
- User5899Demi-dieu
On ne peut pas imposer à coups de lois tout et n'importe quoi sans aucune contrepartie salariale.labaroline a écrit:Certes, mais on ne peut pas exiger que TOUS les cours soient fournis sur clé qu'ils pourraient passer au logiciel de lecture par synthèse vocale, ça ne se serait de toutes façon pas appliqué par tous les enseignants. De la même façon que ne sont pas toujours appliquées les recommandations des PPS qui en théorie s'imposent à la communauté éducative au nom de la loi de 2005 dès lors qu'un élève avec un handicap reconnu est scolarisé en milieu ordinaire.
Alors dans les rédactions de PPS on fait un compromis qui sera tenable pour tous sur la durée... Une sorte de pis-aller.
- Écusette de NoireuilEsprit éclairé
Je trouve aussi compliqué de transmettre quelque chose qui se crée en classe et avec la classe. Par ailleurs ne soyons pas naïfs: bien sûr que des éléments de nos cours circulent sur la toile, gratuitement ou non! c'est une pratique plus répandue qu'on ne le pense. Cela dit ce n'est pas forcément du fait des élèves concernés par les problèmes de handicap...
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" Celui qui ne lit pas ne vit qu'une seule vie " (Umberto Eco )
- ElyasEsprit sacré
Cripure a écrit:Oui mais je suis désolé : le ministère a décidé que les handicaps avaient droit de cité en classe. Moi, je veux bien, mais la magie du claquement de doigts, ça ne suffit pas. Les vrais dys sont noyés sous la masse des faux et leurs besoins ne sont pris en compte qu'avec difficulté, parce qu'ils imposent un travail supplémentaire lourd que beaucoup ne sont pas (plus) du tout disposés à fournir.Elyas a écrit:labaroline a écrit:Pour répondre directement à la question posée initialement et pour être de celles qui écrivent sur le PPS que "le cours ou la trace écrite peuvent être fournis au format numérique si possible", je précise également toujours "le cas échéant, photocopie du cahier d'un camarade".
Et ça suffit, généralement, avec ça l'élève s'en sort : il a assisté au cours et l'a écouté, il a la trace écrite qu'il peut retravailler soit avec un adulte au collège/lycée soit à la maison.
Je vais être honnête, c'est une solution de facilité qui ne fonctionne pas avec des dyslexiques sévères et des malvoyants.
Pour les dyslexiques sévères, de toute façon, ils ont souvent un ordinateur et un suivi en ergotherapie. Par contre, dans le cas de malvoyants, l'argument ne tient pas. Il n'y a pas de faux malvoyants. Ensuite, le protocole passe par un médecin scolaire. Si les enseignants remettent en cause leur autorité, ils se sabordent de facto pour dire qu'il faut respecter leur propre autorité et leurs avis professionnels. Maintenant, je vous rejoins sur la magie du claquement de doigts, sur la formation professionnelle au braille et sur la revalorisation salariale. Néanmoins, il s'agit d'offrir une chance de réussite aux élèves handicapés. A eux de la saisir, nous ne sommes pas là pour prophétiser de leur sérieux ou non. Ce sérieux se vérifiera dans les évaluations.
- labarolineNiveau 10
Cripure a écrit: On ne peut pas imposer à coups de lois tout et n'importe quoi sans aucune contrepartie salariale.
Alors là mon cher collègue (si je puis me permettre) je suis entièrement d'accord. "sans aucune contrepartie" tout court, on pourrait dire...
- User5899Demi-dieu
labaroline a écrit:Cripure a écrit: On ne peut pas imposer à coups de lois tout et n'importe quoi sans aucune contrepartie salariale.
Alors là mon cher collègue (si je puis me permettre)
Ben heu... Oui, non ?
- User5899Demi-dieu
Je rigole parce que le nôtre vient de perdre son accréditation rectorale tellement il était nul et contesté. Mais bon, sans aller jusqu'à ce que vous évoquez, je ne suis pas d'accord pour qu'on me délègue des pratiques de soin. J'ai déjà une classe de 37 à conduire, désolé, mais chacun se démerde au milieu.Elyas a écrit:le protocole passe par un médecin scolaire. Si les enseignants remettent en cause leur autorité, ils se sabordent de facto pour dire qu'il faut respecter leur propre autorité et leurs avis professionnels.
Quant aux évaluations, je l'ai déjà dit, mais nous nous battons maintenant pour surveiller les salles des tiers temps, en juin : ce sont, de fait, celles où les candidats ne restent qu'un tiers du temps
- TazonNiveau 9
Cripure a écrit:
Quant aux évaluations, je l'ai déjà dit, mais nous nous battons maintenant pour surveiller les salles des tiers temps, en juin : ce sont, de fait, celles où les candidats ne restent qu'un tiers du temps
Lors d'une formation menée par un formateur compétent (qui lui même s'est formé tout seul d'ailleurs, une chance qu'il l'ai fait avec sérieux), je me suis rendue compte que si on nous demandait de nous adapter, d'adapter nos cours et nos évaluations aux élèves handicapés, les examens eux ne l'étaient pas : le tiers-temps par exemple n'est pas adapté aux dyslexiques qui se fatiguent vite si il y beaucoup à lire et à écrire, surtout lorsque ce n'est pas mis en forme pour eux.
Si je prends la peine de faire des documents qui soient plus faciles à lire à leur intention (police, taille des caractères, mise en page, doc audio pour mes collègues de langue,...), les décideurs des examens se contentent d'une photocopie A3 du sujet et d'un tiers-temps, auquel presque rien n' aura préparé ces élèves dans l'année puisqu'il est difficile de mettre en place ce tiers-temps dans les évaluations habituelles. Il est donc assez logique qu'ils ne s'en servent pas tous.
Pour les cours, je leur en donne seulement une partie au bon moment, photocopiée d'avance, qu'ils doivent coller au bon endroit et compléter parfois, ils ont ainsi une trace plus lisible qu'une photocopie de cahier et font tout dans le même ordre et en même temps que leurs camarades ; et non sur une clef, parce que sinon ils n'ont vraiment plus rien à faire et impossible de vérifier qu'ils ont au moins jeté un œil dessus, et puis bien sûr une partie de ce qui est fait s'élabore avec la classe, tout n'est pas écrit à l'avance et je serais bien en peine de leur donner. Il faut aussi qu'ils s'habituent à écrire, lorsqu'ils ne le peuvent vraiment pas, une AVS ou un ordi peuvent aider, la MDPH doit s'en occuper, mais je n'ai jamais eu jusqu'ici de cas aussi lourds de dyslexiques..
Après cette formation, j'ai eu l'impression d'être plus calée que le médecin scolaire et que l'infirmière sur la dyslexie, ça craint!
D'ailleurs :question aux profs de maths et de physique : avez-vous un éditeur d'équation qui ait une police sans empattement?
- skindiverÉrudit
Je ne comprend pas que l'on puisse refuser de donner un fichier word ou pdf des cours à un élève mal voyant...
Il ne s'amusera pas à le diffuser sur internet et au pire.. est ce si grave?
Après si les préparation de cours ne sont pas au format numérique ça me soulerait vraiment de devoir tout taper à l'ordinateur.
Il ne s'amusera pas à le diffuser sur internet et au pire.. est ce si grave?
Après si les préparation de cours ne sont pas au format numérique ça me soulerait vraiment de devoir tout taper à l'ordinateur.
- ArtysiaVénérable
Tazon a écrit:Cripure a écrit:
Quant aux évaluations, je l'ai déjà dit, mais nous nous battons maintenant pour surveiller les salles des tiers temps, en juin : ce sont, de fait, celles où les candidats ne restent qu'un tiers du temps
Lors d'une formation menée par un formateur compétent (qui lui même s'est formé tout seul d'ailleurs, une chance qu'il l'ai fait avec sérieux), je me suis rendue compte que si on nous demandait de nous adapter, d'adapter nos cours et nos évaluations aux élèves handicapés, les examens eux ne l'étaient pas : le tiers-temps par exemple n'est pas adapté aux dyslexiques qui se fatiguent vite si il y beaucoup à lire et à écrire, surtout lorsque ce n'est pas mis en forme pour eux.
Si je prends la peine de faire des documents qui soient plus faciles à lire à leur intention (police, taille des caractères, mise en page, doc audio pour mes collègues de langue,...), les décideurs des examens se contentent d'une photocopie A3 du sujet et d'un tiers-temps, auquel presque rien n' aura préparé ces élèves dans l'année puisqu'il est difficile de mettre en place ce tiers-temps dans les évaluations habituelles. Il est donc assez logique qu'ils ne s'en servent pas tous.
Pour les cours, je leur en donne seulement une partie au bon moment, photocopiée d'avance, qu'ils doivent coller au bon endroit et compléter parfois, ils ont ainsi une trace plus lisible qu'une photocopie de cahier et font tout dans le même ordre et en même temps que leurs camarades ; et non sur une clef, parce que sinon ils n'ont vraiment plus rien à faire et impossible de vérifier qu'ils ont au moins jeté un œil dessus, et puis bien sûr une partie de ce qui est fait s'élabore avec la classe, tout n'est pas écrit à l'avance et je serais bien en peine de leur donner. Il faut aussi qu'ils s'habituent à écrire, lorsqu'ils ne le peuvent vraiment pas, une AVS ou un ordi peuvent aider, la MDPH doit s'en occuper, mais je n'ai jamais eu jusqu'ici de cas aussi lourds de dyslexiques..
Après cette formation, j'ai eu l'impression d'être plus calée que le médecin scolaire et que l'infirmière sur la dyslexie, ça craint!
D'ailleurs :question aux profs de maths et de physique : avez-vous un éditeur d'équation qui ait une police sans empattement?
Je suis bien d'accord, le tiers temps pour les dyslexiques est une aberration. Je pense que c'est la solution de facilité pour l'administration
- InvitéInvité
Je donne mes cours aux élèves depuis longtemps, y compris aux élèves qui n'ont pas de handicap particulier.
Peu me chaut qu'ils le diffusent car je n'ai aucunement l'intention d'en tirer profit, même si mes lectures analytiques, mes commentaires sont totalement personnels et créés à partir de mes petits neurones à moi.
Par contre, curieusement, j'ai plus de mal avec l'idée de passer mes cours à un collègue. Allez savoir pourquoi.
Bon, il y a les collègues aimés à qui je rends quand même service.
Peu me chaut qu'ils le diffusent car je n'ai aucunement l'intention d'en tirer profit, même si mes lectures analytiques, mes commentaires sont totalement personnels et créés à partir de mes petits neurones à moi.
Par contre, curieusement, j'ai plus de mal avec l'idée de passer mes cours à un collègue. Allez savoir pourquoi.
Bon, il y a les collègues aimés à qui je rends quand même service.
- User5899Demi-dieu
Sur la question du profit, je suis assez d'accord avec vous (même si l'idée qu'ils vont vendre ce travail m'ennuie quand même un peu. Car ils le vendent). Je me pose seulement la question du pourquoi d'une telle démarche. Pour moi, a priori, je dirais que ça restreint l'apprentissage de l'autonomie, que ça conduit à apprendre des cours tout faits, que ça incite à attendre le produit fini et que ça n'aide pas du tout à apprendre à questionner un texte. Et donc, je ne comprends pas, et me montre curieux. Pourquoi donner ses cours ?Brindacier a écrit:Je donne mes cours aux élèves depuis longtemps, y compris aux élèves qui n'ont pas de handicap particulier.
Peu me chaut qu'ils le diffusent car je n'ai aucunement l'intention d'en tirer profit, même si mes lectures analytiques, mes commentaires sont totalement personnels et créés à partir de mes petits neurones à moi.
- InvitéInvité
Parce qu'il y a parfois des absents de longue durée; parce que certains élèves sont des angoissés de naissance et que ça les rassure; parce que finalement, si ça leur sert et si ça leur fait plaisir, pourquoi pas.
Mais je rassure: je fais cours. Mais vite, comme tout le monde, et mon public n'est pas forcément très littéraire ou très rassuré par l'EAF.
Et oui, un cours, c'est dans la salle....pour le moment.
Mais je rassure: je fais cours. Mais vite, comme tout le monde, et mon public n'est pas forcément très littéraire ou très rassuré par l'EAF.
Et oui, un cours, c'est dans la salle....pour le moment.
- F.LemoineÉrudit
Cela fait deux ou trois ans que j'ai des filles profondément dyslexiques : écrire est une tâche quasiment impossible, et lire est très difficile. Elles sont, au passage, très intelligentes et ont développé une mémoire impressionnante. J'ai aussi cette année un mignonnet dyspraxique en 6e (donc écriture difficilement lisible, même par lui). J'envoie donc les cours par mél aux filles et au père du petit. Cela ne me pose aucun problème. Je préfère que ces élèves utilisent leur concentration pour écouter et participer à l'oral.
Pour les autres, évidemment je ne diffuse ni ne publie rien. Je veux bien partager, mais ici par exemple, et surtout pas avec l'inspection (qu'ils se mettent sérieusement au travail d'abord, et de façon sensée, et on verra ensuite...).
Quant aux absents, on trouve toujours des moyens (copains / copines ; classeurs témoins...).
Pour les autres, évidemment je ne diffuse ni ne publie rien. Je veux bien partager, mais ici par exemple, et surtout pas avec l'inspection (qu'ils se mettent sérieusement au travail d'abord, et de façon sensée, et on verra ensuite...).
Quant aux absents, on trouve toujours des moyens (copains / copines ; classeurs témoins...).
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"La vie est mêlée de traverses. Il est bon de s'y tenir sans cesse préparé." (Molière, Les Fourberies de Scapin).
- User5899Demi-dieu
Voilà. "Si ça leur sert." J'avoue n'être pas du tout convaincu. Ce qui, au fond, ne me concernerait pas si je ne subissais pas, en plus, la pression insidieuse de faire comme X ou Y, ce qui devient fréquent.Brindacier a écrit:parce que finalement, si ça leur sert et si ça leur fait plaisir, pourquoi pas.
J'avoue ne pas comprendre la coexistence de "pour le moment" et du smiley.Brindacier a écrit:Et oui, un cours, c'est dans la salle....pour le moment.
- inviteeMNiveau 8
J'ai cette année un élève qui sort d'une classe Ulis pour dyslexie lourde. Il est d'excellente volonté, c'est l'un des élèves les plus attentifs en classe. L'ordinateur lui a été proposé par la MDPH, mais il n'y arrive pas: il ne l'utilise pas assez au quotidien (c'est sérieux, oui). Je lui envoie donc les cours par mail. Forcément, cela me donne un peu plus de travail parce que je dois le rendre lisible par autrui, mais cela me semble l'aider réellement et le mettre en confiance (alors qu'il en manque cruellement).
J'ai aussi deux dyspraxiques, mais ils ont pour le coup un ordinateur de la MDPH donc pas de soucis.
J'ai aussi deux dyspraxiques, mais ils ont pour le coup un ordinateur de la MDPH donc pas de soucis.
- InvitéInvité
Cripure a écrit:Voilà. "Si ça leur sert." J'avoue n'être pas du tout convaincu. Ce qui, au fond, ne me concernerait pas si je ne subissais pas, en plus, la pression insidieuse de faire comme X ou Y, ce qui devient fréquent.Brindacier a écrit:parce que finalement, si ça leur sert et si ça leur fait plaisir, pourquoi pas.J'avoue ne pas comprendre la coexistence de "pour le moment" et du smiley.Brindacier a écrit:Et oui, un cours, c'est dans la salle....pour le moment.
C'est de la provoc.
Et je n'ai jamais dit que je détenais la vérité et qu'il fallait m'imiter. Encore heureux.
Reste que les nouvelles technologies, je m'en sers tout le temps, que les élèves sont très sensibles à ces nouvelles technologies et que c'est ce qui m'importe. Les cours sont plus plaisants pour tous, profs et élèves, et c'est un vrai confort, pour eux, pour moi. Que demander de plus? (pas-de-smileys)
- Presse-puréeGrand sage
La trace écrite doit être fournie, mais un cours ne se limite pas à un doc ou un pdf...
Dans le cas évoqué, la solution proposée par chaipuki d'enregistrer le cours par dictaphone me paraît la plus sensée.
Dans le cas évoqué, la solution proposée par chaipuki d'enregistrer le cours par dictaphone me paraît la plus sensée.
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Homines, dum docent, discunt.Sénèque, Epistulae Morales ad Lucilium VII, 8
"La culture est aussi une question de fierté, de rapport de soi à soi, d’esthétique, si l’on veut, en un mot de constitution du sujet humain." (Paul Veyne, La société romaine)
"Soyez résolus de ne servir plus, et vous voilà libres". La Boétie
"Confondre la culture et son appropriation inégalitaire du fait des conditions sociales : quelle erreur !" H. Pena-Ruiz
"Il vaut mieux qu'un élève sache tenir un balai plutôt qu'il ait été initié à la philosophie: c'est ça le socle commun" un IPR
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- PAI ou PPS et obligation de donner son cours à l'élève ?
- Intervenir pour donner des cours à une élève malade: dur.....
- Je vais donner un cours particulier à une élève de première générale pour les EAF
- Donner des cours particuliers à une étudiante que j'ai en cours
- Quels conseils donner à une élève de première ?
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