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- LaotziSage
Ancien recteur de Créteil (sous Darcos, au moment des pires restrictions budgétaires), puis directeur de la DGESCO (sous Chatel), aujourd'hui directeur de l'ESSEC après avoir tenté de prendre la tête de Sciences-Po, Blanquer vient de sortir un ouvrage sur l'école, comme tant d'autres, et nous livre quelques propos dans l'Express. Au delà de quelques paroles de bon sens pour brosser le corps enseignant dans le sens du poil (renforcer les apprentissages fondamentaux à l'école primaire), on sent venir les mesures pour renforcer l'autonomie des établissements, le pouvoir des chefs d'établissements et la mise en place de hiérarchies intermédiaires. Il s'attaque aussi de façon virulente aux syndicats enseignants et au paritarisme. Par contre, la DGESCO c'est génial et tout ce qu'il a fait lui aussi (c'est à dire le pilotage de la réforme du lycée notamment). En cas de retour de la droite au pouvoir, il sera probablement l'une des sources d'inspiration, sinon d'exécution...
Extraits :
Le reste ici.
Extraits :
Le rôle prépondérant octroyé aux syndicats sur la carrière des professeurs est nocif. Au cours des commissions paritaires où l'on passe des heures et des heures, leurs représentants sont obnubilés par la promotion de leurs propres adhérents. Ils rechignent, de surcroît, à prendre en considération d'autres critères que l'ancienneté. Une attitude archaïque. Leur présence dans ces commissions est d'ailleurs devenue leur premier argument pour recruter de nouveaux membres. Il n'est pas normal et il est même antirépublicain qu'un professeur puisse se sentir en situation défavorisée dans sa carrière parce qu'il n'a pas adhéré à tel ou tel syndicat.
Je donnerais d'abord le pouvoir aux acteurs. Le chef d'établissement est un personnage clef. Il ne doit pas être isolé, comme c'est le cas aujourd'hui. Il faut lui donner les moyens de se constituer une équipe. Certains professeurs pourraient choisir d'assumer des responsabilités pour diriger l'école, le collège ou le lycée, à ses côtés. Cela permettrait de favoriser l'esprit d'équipe et d'encourager le mérite, des critères presque inexistants aujourd'hui.
Le reste ici.
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"Trouvez donc bon qu'au lieu de vous dire aussi, adieu comme autrefois, je vous dise, adieu comme à présent."
- JohnMédiateur
Dans la carrière des chefs d'établissement, en tout cas, c'est effectivement la rumeur qui court. J'espère qu'elle est fausse.Il n'est pas normal et il est même antirépublicain qu'un professeur puisse se sentir en situation défavorisée dans sa carrière parce qu'il n'a pas adhéré à tel ou tel syndicat.
Est-ce que ce n'est ps déjà ce qu'il se passe en ce moment ? Le chef gère tout officiellement, mais on sait très bien qu'il s'appuie plus particulièrement sur tel ou tel pour prendre des décisions dans tel ou tel domaine. La proposition de créer des responsabilités clairement définies, et donc rémunérées comme telles, n'est pas absurde, car elle officialiserait ce qui se fait officieusement.Je donnerais d'abord le pouvoir aux acteurs. Le chef d'établissement est un personnage clef. Il ne doit pas être isolé, comme c'est le cas aujourd'hui. Il faut lui donner les moyens de se constituer une équipe. Certains professeurs pourraient choisir d'assumer des responsabilités pour diriger l'école, le collège ou le lycée, à ses côtés.
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"Qui a construit Thèbes aux sept portes ? Dans les livres, on donne les noms des Rois. Les Rois ont-ils traîné les blocs de pierre ? [...] Quand la Muraille de Chine fut terminée, Où allèrent ce soir-là les maçons ?" (Brecht)
"La nostalgie, c'est plus ce que c'était" (Simone Signoret)
- OlympiasProphète
La réforme du lycée est une parfaite réussite, effectivement...
- JohnMédiateur
C'était Descoings le concepteur de la réforme du lycée, pas Blanquer qui est arrivé à la Dgesco après Darcos.
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- OlympiasProphète
Je sais. Ca reste inepte.John a écrit:C'était Descoings le concepteur de la réforme du lycée, pas Blanquer qui est arrivé à la Dgesco après Darcos.
- IphigénieProphète
mais c'est honteux de parler comme cela!Le rôle prépondérant octroyé aux syndicats sur la carrière des professeurs est nocif. Au cours des commissions paritaires où l'on passe des heures et des heures, leurs représentants sont obnubilés par la promotion de leurs propres adhérents. Ils rechignent, de surcroît, à prendre en considération d'autres critères que l'ancienneté. Une attitude archaïque. Leur présence dans ces commissions est d'ailleurs devenue leur premier argument pour recruter de nouveaux membres. Il n'est pas normal et il est même antirépublicain qu'un professeur puisse se sentir en situation défavorisée dans sa carrière parce qu'il n'a pas adhéré à tel ou tel syndicat.
Le rôle des syndicats dans les commissions paritaires est justement d'être le contre-pouvoir qui contrôle l'arbitraire!
Son rêve c'est l'Urss en fait! seul le parti décide!
C'est inconcevable de tricher ainsi avec les réalités!
- JohnMédiateur
Attention : il ne parle pas des mutations mais des avancements de carrière.
Je pense que ça change un peu la donne.
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- CathEnchanteur
Et donc, que deviendraient les profs choisis par le cde, quand celui mute au bout de 3/3/9/ans ? Ils partiraient aussi, comme un seul homme ? Seraient virés ?
- JohnMédiateur
Non : ils seraient maintenus dans cette fonction-là, sauf s'ils ne le souhaitent plus.
Comme tu es en lycée pro, il pourrait y avoir par exemple un responsable des matières générales et un responsable des matières professionnelles, aux côtés du chef des travaux qui n'est pas toujours disponible.
C'est dans l'esprit du référent culturel, du référent TICE, etc.
Autre exemple : un enseignant du lycée se chargerait des relations internationales : jumelages, échanges, projets Comenius, Leonardo ou Erasmus. Ca permettrait que les informations soient disponibles directement auprès de quelqu'un.
Comme tu es en lycée pro, il pourrait y avoir par exemple un responsable des matières générales et un responsable des matières professionnelles, aux côtés du chef des travaux qui n'est pas toujours disponible.
C'est dans l'esprit du référent culturel, du référent TICE, etc.
Autre exemple : un enseignant du lycée se chargerait des relations internationales : jumelages, échanges, projets Comenius, Leonardo ou Erasmus. Ca permettrait que les informations soient disponibles directement auprès de quelqu'un.
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- LaotziSage
Ca ne me plait pas du tout. C'est vouloir introduire des hiérarchies intermédiaires (comme on essaie de le faire déjà avec le conseil pédagogique), dans une logique managériale (comme l'est l'idée d'autonomie des établissements). Les chefs d'établissements sont nos supérieurs administratifs mais pas réellement pédagogiques. Vouloir instituer ces "super profs" (choisis selon quels critères ? la soumission à la hiérarchie ?), c'est mettre en place des autorités pédagogiques au sein de l'établissement. C'est le contraire de la liberté pédagogique (Blanquer met en avance la liberté plutôt que l'égalité, mais visiblement, pas pour tout le monde).
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- InvitéInvité
J'ai un peu de mal sur l'histoire des promotions. Les syndicats se battent à la fois pour celle de leurs membres et en même temps pour l'ancienneté ?!!! A la limite pour les questions de mutations il y a une marge qui permet de... Mais l'administration n'est non plus en retard pour essayer de pousser quelqu'un (même si c'est marginal). Par contre pour les promotions je ne vois pas, à moins qu'il s'agisse des listes d'aptitudes. Mais là aussi ceux qui ont demandé des barèmes c'est les syndicats.
Ou alors je vis totalement en dehors du monde réel, ce qui est possible...
Bien cordialement T.
Ou alors je vis totalement en dehors du monde réel, ce qui est possible...
Bien cordialement T.
- JohnMédiateur
Pour les promotions, il s'agit à mon avis, par exemple, du passage à la hors-classe (où les syndicats privilégient effectivement le passage par ancienneté).
J'ai donné aussi l'exemple des avancements de carrière des chefs d'établissement, où là par contre c'est plutôt l'autre accusation lancée par JMB qu'on entend régulièrement.
J'ai donné aussi l'exemple des avancements de carrière des chefs d'établissement, où là par contre c'est plutôt l'autre accusation lancée par JMB qu'on entend régulièrement.
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- InvitéInvité
Effectivement chez les chefs c'est assez opaque...
- IphigénieProphète
Oui mais pourquoi?John a écrit:Pour les promotions, il s'agit à mon avis, par exemple, du passage à la hors-classe (où les syndicats privilégient effectivement le passage par ancienneté).
J'ai donné aussi l'exemple des avancements de carrière des chefs d'établissement, où là par contre c'est plutôt l'autre accusation lancée par JMB qu'on entend régulièrement.
parce que si on fait passer à la hors-classe des collègues plus jeunes qui ne sont pas encore au 11e échelon ils n'en retirent aucun bénéfice financier pendant très longtemps et ce faisant ils bloquent des postes qui peuvent profiter aux plus anciens: ce n'est pas du favoritisme, c'est de l'intérêt général bien pensé.
- cliohistHabitué du forum
J-M Blanquer et J. Théophile ont mis en musique avec zèle la politique voulue par Chatel, l'homme du marketing (par ex la suppression de la formation initiale en alternance, les suppressions de postes, les primes royales aux Recteurs...)C'était Descoings le concepteur de la réforme du lycée, pas Blanquer qui est arrivé à la Dgesco après Darcos
Il faut replonger dans le forum et dans la presse de cette époque pour voir l'ambiance détestable que leurs décisions avaient fait naître.
Un exemple : Un balbuzard entre au rectorat (d'Orléans) titrait la Nouvelle République en 2011 :
http://clioweb.canalblog.com/tag/balbuzard
Qui parle de révolution culturelle, d'excellence... ?On finit par épuiser les mots à force d'emphase
.
- OlympiasProphète
Avec de moins en moins de connaissances, ça va marcher, mais c'est bien sûr...
- LefterisEsprit sacré
Mais ces gens te répondraient que l'intérêt général bien pensé, c'est de faire passer des jeunes pour bloquer les postes, justement (un nommé quadragénaire au 8ème échelon bloque N... postes, sur la durée), pour empêcher beaucoup monde de finir aux échelons terminaux, et ainsi baisser le coût global des pensions. Ca se pratique dans certaines administrations, et c'est d'ailleurs un des axes de la LOLF déclinée en RGPP, même si ce n'est pas crié tous les jours sur les toitsIphigénie a écrit:Oui mais pourquoi?John a écrit:Pour les promotions, il s'agit à mon avis, par exemple, du passage à la hors-classe (où les syndicats privilégient effectivement le passage par ancienneté).
J'ai donné aussi l'exemple des avancements de carrière des chefs d'établissement, où là par contre c'est plutôt l'autre accusation lancée par JMB qu'on entend régulièrement.
parce que si on fait passer à la hors-classe des collègues plus jeunes qui ne sont pas encore au 11e échelon ils n'en retirent aucun bénéfice financier pendant très longtemps et ce faisant ils bloquent des postes qui peuvent profiter aux plus anciens: ce n'est pas du favoritisme, c'est de l'intérêt général bien pensé.
C'est la principe de la carrière dite en "y" , mise en place dans les années 90. Une progression commune, puis une branche du Y rapide, une autre lente, tout ça devant s'équilibrer en masse salariale globale.
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- Reine MargotDemi-dieu
Ah, les méchants syndicats qui défendent un statut commun contre l'abitraire des chefs et refusent l'individualisation des carrières...
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- InvitéInvité
- d'un côté effectivement un statut commun qui protège contre l'arbitraire, permet d'affronter un chef d'établissement tyrannique, crée une solidarité de corps plus importante, assure des rapports apaisés en salle des profs
- de l'autre, des injustices de fait (l'escroc qui passera quand même à la hors-classe...) et une motivation des acteurs qui ne repose que sur la volonté de bien faire et la croyance en leur mission (ce qui fait d'ailleurs que le système fonctionne quand même)
Dans les faits c'est un peu plus compliqué. On peut remarquer quand même qu'avec les trois vitesses d'avancement et les avis de passage à la hors-classe CE et inspecteurs ne sont pas sans moyen d'influer sur les carrières.
- de l'autre, des injustices de fait (l'escroc qui passera quand même à la hors-classe...) et une motivation des acteurs qui ne repose que sur la volonté de bien faire et la croyance en leur mission (ce qui fait d'ailleurs que le système fonctionne quand même)
Dans les faits c'est un peu plus compliqué. On peut remarquer quand même qu'avec les trois vitesses d'avancement et les avis de passage à la hors-classe CE et inspecteurs ne sont pas sans moyen d'influer sur les carrières.
- IphigénieProphète
(l'escroc qui passera quand même à la hors-classe...)
- InvitéInvité
Je connais au moins deux scandales professionnels ambulants (pas de DS parfois du trimestre, cours supprimés à la sauvage sans référer à l’administration) qui terminent dernier échelon à la HC...
- IphigénieProphète
et ça t'enlève quelque chose personnellement?
- LefterisEsprit sacré
Ils influent sur les carrières, mais parfois dans le mauvais sens et sans justice : collègues saqués pour des raisons idéologiques, d'incompatibilité d'humeur, ou traînant parce que pas la note n'est pas assez relevée suite à des années sans inspection, etc. Ce qui montre que déjà cvette dose d'arbitraire est insupportable pour beaucoup. Et traîner démotive beaucoup, par le sentiment d'injustice qui en découle.Tamerlan a écrit:
Dans les faits c'est un peu plus compliqué. On peut remarquer quand même qu'avec les trois vitesses d'avancement et les avis de passage à la hors-classe CE et inspecteurs ne sont pas sans moyen d'influer sur les carrières.
J'ai connu dans une autre administration l'implantation à forte dose du "mérite" (primes, avancements quais discrétionnaires, postes au "profil") , et les méritants sont plutôt les gens aptes à plaire, ayant l'échine souple, sachant prendre le sens du vent, que les gens efficaces. C'est la carotte et le bâton tout le temps, et je ne parle pas de l'ambiance que ça instaure.
La meilleure solution serait l'avancement sur deux rythmes, l'un automatique, l'autre un peu plus lent en raison d'éléments dûment constatés et contradictoires. Ou alors, un examen technique (anonyme) à un certain stade de la carrière, pour l'accès au second grade, avec inscription au tableau dans l'ordre.
En tout cas pas le système d'arbitraire total, où tout le monde part au plus bas et dans lequel seuls certains sont jugés "méritants", encore bien pire que notre système actuel.
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- LefterisEsprit sacré
Toute la question est là ... Je préfère être à l'échelon sommital , même si un "mauvais" (et sur quels critères ?) passe aussi, que de ne voir quasiment personne passer (ce qui est le but, ne l'oublions pas, il s'agit de réduire la masse salariale) , hormis quelques happy fews jugés méritants selon des critères opaques et variables.Iphigénie a écrit:et ça t'enlève quelque chose personnellement?
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- IphigénieProphète
ou alors débarrasser les profs de cette infantilisation des notes (M'sieur, M'sieur, j'suis meilleur que lui, c'est pas juste) et faire un seul avancement pour tous, tout simplement?
- Spoiler:
- les méritants, ils ont toujours la gloire du bénévolat ou à la rigueur de plein d'heures sup s'ils veulent :diable:
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