Le monde de l'éducation en 2025 vu par Normand Lamothe, spécialiste canadien en gestion stratégique des affaires

http://www.lerecteurdestrade.ca/?p=655

Merci pour ce lien John.

Ce site cristallise exactement ce que je pense que va devenir l'enseignement (malheureusement). Même si certains arguments qu'il emploie tiennent plus de la prophétie invocatoire que du fait concret, force est de constater que ses démonstrations laissent à réfléchir.

Je vais relire Asimov, moi, tiens !

La seule chose qui me rassure, c'est qu'entre 2025 et 2030 je serai à la retraite !

Pour le coup, son tableau va peut-être un peu vite. De même pour celui de cette page : http://www.lerecteurdestrade.ca/?p=612

La trajectoire de la courbe n'est pas le problème, seulement l'échelle des valeurs.

Je pense qu'on pourrait ajouter que les grandes sources de productions éducatives et pédagogiques, à l'échelle du monde, se diviseront sans doute en quelques domaines linguistiques restreints amenés à se concurrencer : anglais, russe, chinois, espagnol, portugais, japonais, arabe, turc - et peut-être, de manière plus secondaire : français, allemand, polonais, italien.
Dans les autres langues, on essaiera de suivre le rythme, mais on ne produira pas de système de ressources aussi performant, et on essaiera, au mieux, de rattraper son retard par le biais de traductions - sauf sur des domaines où elles sont les plus appropriées (l'histoire de la Finlande, la culture grecque, etc.). C'est ce qui se passe déjà avec wikipedia.

Un homme qui a été "Vice-Président Planification et Développement chez Vidéotron" ne peut pas ne pas avoir raison sur l'éducation future.  

Le deuxième mot que je lis en ouvrant le fil, après "transformations", c'est "marché", alors je referme le fil sans lire.
En 2030 mes petits-enfants auront 20 et 23 ans... J'espère qu'ils seront presque tirés d'affaire ! Et dans le doute, je vais continuer à faire des économies pour eux de manière à ce qu'ils puissent aller faire leur marché si bon leur chante...