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- AliceinwonderlandNeoprof expérimenté
ycombe a écrit:Aliceinwonderland a écrit:
Quand je suis devenue prof stagiaire, à l'IUFM, un des formateurs nous avait demandé combien parmi nous avaient choisi ce métier par amour pour notre matière. Devant le nombre de doigts levés, il s'était écrié "Comme vous allez souffrir"... Ce qui était assez bien observé.
Il aurait eu raison si ceux qui n'ont pas choisi ce métier par amour pour leur matière ne souffraient pas. Et franchement, ça m'étonnerait.
Le sous-entendu de la réponse est que dans ce métier, il est inutile voire nuisible d'être un spécialiste. C'est un discours récurrent qui participe des attaques contre les recrutements et les statuts. La polyvalence n'est pas loin derrière. Un autre sous-entendu est qu'un prof souffre par sa propre faute, à cause de son positionnement trop disciplinaire. S'il acceptait d'avoir moins d'exigences vis à vis de sa discipline, ça irait mieux. C'est une manière de renvoyer la responsabilité des difficultés à enseigner sur les enseignants.
Oui bien sûr que c'est un discours très critiquable. Mais quand autour de vous tout le monde tient le même type de propos, que les élèves ne se comportent plus en élèves, qu'on vous culpabilise on finit par y croire. Ce qui m'a véritablement poussée à le remettre en cause c'est quand mes enfants ont grandi. Je sais que je veux qu'ils aient en face d'eux des professeurs pour lesquels la transmission de la matière soit primordiale, et que c'est tout simplement une question de respect de l'élève (sinon c'est accepter le fait que l'école est devenue une garderie, ce qui est le cas dans un certain nombre d'établissements), dans l'absolu en effet ce serait l'idéal si tous les parents avaient les mêmes attentes que moi.
Al a écrit:Presse-purée a écrit:Je reviens sur le discours de ton formateur: c'est tout de même dingue de présenter le métier d'emblée sous un mode déceptif, de dire qu'il ne sera qu'échec des ambitions et par là souffrance.
C'est aussi sous entendre que toutes les connaissances accumulées précédemment ne servent à rien...
Tout cela parce qu'on est attaché à sa discipline d'enseignement...
Je trouve ça aussi très facile et un peu nul. La vraie question c'est comment faire pour aimer quand même ce métier alors que la transmission des connaissances est devenue disons... risquée. La vérité c'est que j'ai déjà constaté que plus le public est difficile, plus il attend le prof au tournant sur les connaissances disciplinaires justement. C'est un test car ils manquent de confiance en l'adulte, et pour certains c'est un jeu/sport. Je suis agrégée et pourtant j'ai eu du mal à "impressionner" ceux de cette année, je n'ose imaginer si j'avais fait des fautes au tableau, ou si je n'avais pas su répondre à une question... au moins j'ai eu ce respect là ("elle connait son truc"). Les élèves nous jugent très sévèrement, peu importe leur niveau à eux.
J'ai pu aussi observer que les élèves apprécient d'avoir quelqu'un de relativement cultivé ou maîtrisant la matière face à eux, certains testent en effet les connaissances ; pour autant j'ai connu des profs incultes et parfaitement respectés, simplement parce qu'ils avaient un don pour dresser les fauves (et actuellement quand on crée des classes hétérogènes difficilement gérables en bannissant tout redoublement et toute orientation, j'avoue qu'on a besoin de gens comme ça). Et cela c'est aussi une réalité.
- Presse-puréeGrand sage
ycombe a écrit:
Le sous-entendu de la réponse est que dans ce métier, il est inutile voire nuisible d'être un spécialiste. C'est un discours récurrent qui participe des attaques contre les recrutements et les statuts. La polyvalence n'est pas loin derrière. Un autre sous-entendu est qu'un prof souffre par sa propre faute, à cause de son positionnement trop disciplinaire. S'il acceptait d'avoir moins d'exigences vis à vis de sa discipline, ça irait mieux. C'est une manière de renvoyer la responsabilité des difficultés à enseigner sur les enseignants.
Voilà, c'est ce discours, en creux, qui m'énerve, même quand je suis en "vacances".
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Homines, dum docent, discunt.Sénèque, Epistulae Morales ad Lucilium VII, 8
"La culture est aussi une question de fierté, de rapport de soi à soi, d’esthétique, si l’on veut, en un mot de constitution du sujet humain." (Paul Veyne, La société romaine)
"Soyez résolus de ne servir plus, et vous voilà libres". La Boétie
"Confondre la culture et son appropriation inégalitaire du fait des conditions sociales : quelle erreur !" H. Pena-Ruiz
"Il vaut mieux qu'un élève sache tenir un balai plutôt qu'il ait été initié à la philosophie: c'est ça le socle commun" un IPR
- AliceinwonderlandNeoprof expérimenté
abricotedapi a écrit:Oui mais "on verra bien" dans le sens "si je ne suis pas prise, tant pis, si je suis prise je serai contente" ce n'est pas la même chose que "je veux être journaliste alors je passe un concours de l'enseignement"
On nous dit aussi qu'elle a voulu rassurer ses parents en le passant.
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Comme chaque année à la même époque je fais preuve d'un optimisme aveugle en me disant que l'année à venir ne peut pas être pire que celle qui vient de s'écouler. En oubliant que l'année passée a été pire que la précédente... (je cite de mémoire Emmanuel Brouillard)
- palomitaNeoprof expérimenté
Peut-être que les parents n'ont tout simplement plus les moyens de financer les études de leur fille.
Cela les rassure donc de savoir qu'elle va pouvoir s'assumer seule financièrement l'an prochain .
Cela les rassure donc de savoir qu'elle va pouvoir s'assumer seule financièrement l'an prochain .
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"La sagesse, c'est d'avoir des rêves suffisamment grands pour ne pas les perdre de vue lorsqu'on les poursuit"
Oscar wilde.
- LefterisEsprit sacré
Il est difficile de comprendre le lien entre l’agrégation et le journalisme. L’agrégation ne mène qu’à l’enseignement, c’est un grade administratif .A mon sens, il y a seulement deux cas de figure :LaraDeL'est a écrit:Je me permets de soumettre le cas d'une jeune femme (22 ans) de mon entourage: étudiante en lettres classiques après 3 années de prépa (elle a soutenu son mémoire de M1) elle vient d'être reçue au CAPES de LC auquel elle s'est présentée à tout hasard.
La voilà affectée à plus de deux heures de route en transports communs de chez elle et elle n'a pas le permis, pour 8 heures de cours. Elle n'a pas réellement envie de devenir prof, ce qui la tente c'est le salaire.
Elle voudrait surtout passer l'agrégation et si possible entrer dans le journalisme.
Ses parents veulent la convaincre d'accepter ce poster de "seulement 8 h", pour devenir titulaire et demander l'année suivante une disponibilité, afin de préparer l'agrégation.
A-t-elle une chance d'obtenir cette disponibilité après son année de stage ?
Que peut-on lui conseiller ?
Pour ma part, je crains que ces "seulement 8 heures" avec 4 heures de transport par jour ne la bousillent totalement, avec incapacité de faire autre chose et donc de préparer l'agrégation.
Merci d'avance. (Une vieille prof d'allemand de l'est).
- soit elle veut démissionner pour faire autre chose, et il faut le faire vite, avant d’être piégé par les aléas de la vie, les contraintes familiales entre autres. Et là, il faut bifurquer et compléter son cursus , ou passer des concours de la fonction publique plus valorisants (je connais justement une jeune fille dans c e cas).
- soit elle veut enseigner, mais pas au dessus de l’agrégation, ce qui se conçoit vu le déclassement du métier (étant devenu certifié –seule porte qui s’offrait à moi dan s une reconversion brutale- après avoir été fonctionnaire de catégorie A, et je sais ce que veut dire le mot « déclassement »).
Ceci dit, même si elle n’obtenait pas le report, il est tout à fait possible de passer l’agrégation en travaillant (je l’ai fait, à temps complet, et suis loin d’être le seul), surtout pour une jeune fraîchement émoulue et l’esprit encore agile. Je conseille seulement de ne pas trop le crier sur les toits pendant la formation, il est mal vu dans l’hypocrisie générale de montrer qu’on pense à autre chose qu’à une sorte de « mission » , dont se sont d’ailleurs échappés bon nombre de formateurs des IUFM, aujourd’hui ESPE.
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- Angie 3531Niveau 1
J'ai moi-même été journaliste pendant une dizaine d'années et je suis professeure des écoles depuis 8 ans (je prépare le CAPES de lettres modernes...). Le journalisme n'est pas du tout une activité littéraire. L'écriture et le concept n'ont pas de rapport. Je ne vois pas du tout en quoi l'agrégation en lettres classiques puisse être profitable, au niveau des compétences. Mieux vaut, à mon avis, se ré-orienter vers le journalisme. (Il est vrai cependant que le métier est très, très précaire avec beaucoup de pigistes (payés à l'article). Alors, à moins que l'objectif recherché soit de passer l'agrégation afin d'avoir moins d'heures de cours mais un travail assuré (sécurité de l'emploi), et disposer ainsi de temps pour être journaliste? Honnêtement, n'étant pas encore enseignante de lettres, pas plus qu'agrégée, j'ignore si cela est possible.
- RuthvenGuide spirituel
Lefteris a écrit:
Il est difficile de comprendre le lien entre l’agrégation et le journalisme. L’agrégation ne mène qu’à l’enseignement, c’est un grade administratif .
Elle peut faire son stage, démissionner, devenir N. Polony et intervenir comme experte de l'éducation dans les médias ...
- LefterisEsprit sacré
Effectivement, mais dans ce cas autant passer par le journalisme directement, pas la peine des'user à préparer le concours... Polony avait déjà peut-être des réseaux pour sa porte de sortie éventuelle avant de le passer...Ruthven a écrit:Lefteris a écrit:
Il est difficile de comprendre le lien entre l’agrégation et le journalisme. L’agrégation ne mène qu’à l’enseignement, c’est un grade administratif .
Elle peut faire son stage, démissionner, devenir N. Polony et intervenir comme experte de l'éducation dans les médias ...
N.B. : Plus haut il fallait lire bien entendu " pas au-dessous de..."
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- RuthvenGuide spirituel
C'était une boutade !
PS. Bon il y a quand même quelques agrégés dans les médias, Demorand (), Badou, Finkielkrault, Field ... Heureusement il y a quand même Ferney ! Mais je doute que cela soit l'agrég. qui leur ait ouvert les portes du journalisme.
PS. Bon il y a quand même quelques agrégés dans les médias, Demorand (), Badou, Finkielkrault, Field ... Heureusement il y a quand même Ferney ! Mais je doute que cela soit l'agrég. qui leur ait ouvert les portes du journalisme.
- DuducheNiveau 5
A mon avis, le mieux est qu'elle se laisse une chance cette année mais qu'elle se réoriente rapidement si elle se rend compte que ce métier n'est pas pour elle. Elle a un an devant elle, qu'elle en profite, entre les 8 heures de cours et la formation ESPE, elle aura l'occasion de se faire une idée précise de ce qu'elle veut. Je sais que ce n'est pas toujours évident, mais pitié, à cet âge, qu'elle commence à prendre ses propres décisions !
- JacqGuide spirituel
Ruthven a écrit:Lefteris a écrit:
Il est difficile de comprendre le lien entre l’agrégation et le journalisme. L’agrégation ne mène qu’à l’enseignement, c’est un grade administratif .
Elle peut faire son stage, démissionner, devenir N. Polony et intervenir comme experte de l'éducation dans les médias ...
Bravo bravo bravo Rutheven.
J'adore, et c'est tellement vrai !
- InviteeFVénérable
Que conseiller ?
- JacqGuide spirituel
Je n'ai pas lu l'ensemble des contrib. Que conseiller ? Ben simplement d'essayer, de tenter, pendant ce temps de récupérer un salaire (c'est mieux que le RSA) et d'envisager sérieusement, si cela ne lui plait pas, de trouver un autre boulot.
Voilà ami dragon.
Voilà ami dragon.
- InviteeFVénérable
Blague du message précédent à part: qu'elle essaie, sans pression, sans rien promettre à ses parents, et avise en jugeant "sur pièces".
- JacqGuide spirituel
LaraDeL'est a écrit:Je me permets de soumettre le cas d'une jeune femme (22 ans) de mon entourage: étudiante en lettres classiques après 3 années de prépa (elle a soutenu son mémoire de M1) elle vient d'être reçue au CAPES de LC auquel elle s'est présentée à tout hasard.
La voilà affectée à plus de deux heures de route en transports communs de chez elle et elle n'a pas le permis, pour 8 heures de cours. Elle n'a pas réellement envie de devenir prof, ce qui la tente c'est le salaire.
Elle voudrait surtout passer l'agrégation et si possible entrer dans le journalisme.
Ses parents veulent la convaincre d'accepter ce poster de "seulement 8 h", pour devenir titulaire et demander l'année suivante une disponibilité, afin de préparer l'agrégation.
A-t-elle une chance d'obtenir cette disponibilité après son année de stage ?
Que peut-on lui conseiller ?
Pour ma part, je crains que ces "seulement 8 heures" avec 4 heures de transport par jour ne la bousillent totalement, avec incapacité de faire autre chose et donc de préparer l'agrégation.
Merci d'avance. (Une vieille prof d'allemand de l'est).
Je viens de lire le post d'origine.
L'agreg ne lui sert à rien pour être journaliste.
Maintenant deux heures de route, c'est lourd, mais, à 8 h par semaine, cela se fait.... cela ne risque pas de la "bousiller".
Elle prend le boulot pour le salaire, elle voit, si elle aime ou pas... on ne sait jamais. IL y a des personnes qui sont persuadées d'aimer le boulot et pour qui c'est une catastrophe, peut-etre que elle ce sera l'inverse ?
Je ne vois pas le rapport par contre entre ne pas aimer le boulot de prof et passer l'agreg.... l'agreg, en majorité, c'est pour être prof il me semble.
- AscagneGrand sage
Elle voudrait surtout passer l'agrégation et si possible entrer dans le journalisme.
Il faut être bien motivé pour être admis à l'agrégation, d'autant plus que la préparation peut prendre au moins deux ans.
Dans mon cas, ce qui m'a motivé, c'est la nécessité d'être agrégé pour espérer devenir maître de conférences une fois docteur.
Cette personne aura-t-elle assez de motivation, puisque son véritable objectif n'a pas de lien avec l'agrégation ? Pour le journalisme, elle sera en concurrence avec des personnes qui seront passées par les écoles et les filières adéquates ; je doute que la mention "agrégée" dans le CV lui soit utile dans ce contexte.
- Cel06Niveau 5
Devenir prof pour le salaire? Ai-je bien compris?????
- Pierre-HenriHabitué du forum
Natacha Polony doit sa carrière à son passage à Sciences po, où elle a forgé ses réseaux. L'agrégation ne sert à rien d'autre qu'à l'enseignement. Il ne faut pas croire qu'elle ouvre des portes. Certains évoquent leur agreg pour faire chic, mais en réalité ils ne lui doivent rien.
Pour la personne en question, voilà ce que je ferais à sa place : renoncer au bénéfice du concours, et enseigner comme contractuelle pour s'assurer un petit revenu. En lettres classiques, elle est sûre de trouver des contrats n'importe où, n'importe quand, dans le public et le privé. Cela lui offrira une souplesse qui lui permettra de suivre d'autres pistes.
Parallèlement, préparer d'autres concours : écoles de commerce, sciences po ou (pourquoi pas, selon les capacités) l'ENA. Sinon, les concours culturels de la fonction publique territoriale sont aussi intéressants, parce qu'ils mettent au contact des pouvoirs politiques et médiatiques locaux.
Inutile de dire que ces parcours sont tous très sélectifs. Elle a intérêt à garder un pied dans l'enseignement pour éviter de se retrouver sans rien en cas d'échec -- même si, les choses étant ce qu'elles sont, la crise des recrutements garantit un emploi de secours dans l'enseignement à presque tout le monde.
Pour la personne en question, voilà ce que je ferais à sa place : renoncer au bénéfice du concours, et enseigner comme contractuelle pour s'assurer un petit revenu. En lettres classiques, elle est sûre de trouver des contrats n'importe où, n'importe quand, dans le public et le privé. Cela lui offrira une souplesse qui lui permettra de suivre d'autres pistes.
Parallèlement, préparer d'autres concours : écoles de commerce, sciences po ou (pourquoi pas, selon les capacités) l'ENA. Sinon, les concours culturels de la fonction publique territoriale sont aussi intéressants, parce qu'ils mettent au contact des pouvoirs politiques et médiatiques locaux.
Inutile de dire que ces parcours sont tous très sélectifs. Elle a intérêt à garder un pied dans l'enseignement pour éviter de se retrouver sans rien en cas d'échec -- même si, les choses étant ce qu'elles sont, la crise des recrutements garantit un emploi de secours dans l'enseignement à presque tout le monde.
- RabelaisVénérable
Cel06 a écrit:Devenir prof pour le salaire? Ai-je bien compris?????
Si elle ne veut pas être prof au plus profond d'elle même , avant d'en être dégoûtée par le système, qu'elle PARTE en courant.
Pour le même salaire, il y a d'autres administrations, d'autres postes et même de l'emploi dans le privé, eh oui, alors la sécurité de l'emploi et la retraite ne doivent pas peser dans la balance.
- Cel06Niveau 5
Effectivement. Le ministère de la justice (protection judiciaire de la jeunesse) paye bien plus et avec largement moins de diplômes.
Et puis si dès le départ, elle n'accroche pas, ça ne viendra pas ensuite.
Il faut aller voir ailleurs aussitôt.
Et puis si dès le départ, elle n'accroche pas, ça ne viendra pas ensuite.
Il faut aller voir ailleurs aussitôt.
- JacqGuide spirituel
Cel06 a écrit:Effectivement. Le ministère de la justice (protection judiciaire de la jeunesse) paye bien plus et avec largement moins de diplômes.
Et puis si dès le départ, elle n'accroche pas, ça ne viendra pas ensuite.
Il faut aller voir ailleurs aussitôt.
Les finances, les primes sont très très conséquentes.
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- RAEP capes lettres modernes, enseignante en CE2
- Etudiante en IEP et master "Organisations internationales" : j'aimerais passer le capes de lettres l'année prochaine.
- Venue de NVB à Creil (60) le samedi 30 mai - délégation reçue par un conseiller en communication
- Le Capes de lettres classiques devient une simple option dans le nouveau Capes de Lettres.
- J'ai envie de hurler et personne ne veut réellement m'entendre?
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