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- Sophie5718Niveau 1
Personnellement je n'ai pas été réellement CAD2 puisque j'ai refusé le contrat à 6h / semaine (j'avais déjà le M2) donc j'ai décidé d'être contractuelle "normale"...
J'ai donc passé le concours en ayant un contrat à 18h / semaine (et à un moment à 21h / semaine) et je dois dire que c'était assez éprouvant de mener les deux. Je n'ose donc même pas imaginer en ayant le M2 à valider. De fait ce système est à mon avis mauvais. On ne peut pas s'investir à 100 % dans tout.
J'ai donc passé le concours en ayant un contrat à 18h / semaine (et à un moment à 21h / semaine) et je dois dire que c'était assez éprouvant de mener les deux. Je n'ose donc même pas imaginer en ayant le M2 à valider. De fait ce système est à mon avis mauvais. On ne peut pas s'investir à 100 % dans tout.
- tomdu29Niveau 1
Pour faire le bilan de l'année, je dirai que le contrat m'a permis de m'assurer que ce métier était celui que je voulais faire. Certes, cela n'a pas été facile toute l'année dans mes classes, mais j'ai réussi à nouer le contact avec la plupart des élèves (quand j'ai apporté mon arrêt de travail au collège pour une fracture au pied, mes 6e étaient désolé et déçu de ne pas avoir cours).
Après, pour tout le reste, je donnerai un bilan plus que négatif. La formation ESPE ne s'est pas du tout adaptée à la nouvelle situation : cours de didactique qui arrivaient trop tard (gestion de classe et de l'autorité en avril !!!) ou qui donnaient des conseils dangereux en classe (car il n'y a pas UN modèle qui fonctionne dans une classe, chaque élève, chaque classe est différente). Le mémoire de stage m'a fait perdre plus d'un mois et demi de travail, tout cela pour rien le jour de la soutenance car ils n'ont posé que des questions de didactique pendant 30 min et j'ai jamais eu d'avis sur le mémoire ni le détail de la note à ce jour.
Les formateurs, même si ils essayaient de faire de leur mieux (en tout cas pour deux d'entre eux dans mon ESPE), ne nous formaient pas assez bien aux réalités du travail d'enseignant (j'ai tout appris sur le terrain, et seul car je n'étais pas en bons termes avec ma tutrice suite à un conseil qu'elle m'avait donnée pour ma classe de 4e, qui a eu pour conséquence de faire monter la pression ma classe, que j'ai eu du mal à récupérer dans l'année, et finit en bagarre en fin de cours pour trois élèves).
En fait, le seul point positif que je voudrais apporter, c'est la formation pour le CAPES, mais seulement pour les questions concours, pas pour l'épreuve ESD, car c'était l'UBO (donc l'université et non l'ESPE) qui gérait ce côté. Cela se voit avec mes notes d'oral (16 à la leçon, 9 à l'ESD), et j'ai eu une bonne place au CAPES quand même, signe que l'université à Brest en tout cas à fait plus que correctement son boulot.
Au niveau de l'établissement où j'étais, très bon accueil de mes collèges, mais mon chef d'établissement à dit dans son rapport écrit que je n'étais pas assez investi dans le travail. Il n'a pas compris que je préparai le M2 (que je n'ai pas eu) et le CAPES, et surtout, avec le nombre d'heures supplémentaires que j'ai réalisé (accompagnement scolaire dans mes deux classes à l'heure du midi + jury HIDA + surveillance DNB blanc + surveillance DNB + présence à la préparation de rentrée toute la semaine alors que je ne serais pas dans cet établissement en 2014-2015), heures qui ne seront pas payées car je n'avais pas de master, je pense avoir fait le maximum, dans la mesure du possible en tout cas, dans mon établissement.
Après, on m'a reproché de faire de mauvais cours (reproche venant d'une visite ESPE en mars), mais avec le mémoire + le master + le capes + les obligations professionnelles du collège, il est difficile de faire des cours excellents, et surtout c'était la première année d'enseignement pour moi, donc je ne vais pas réaliser du premier coup des cours digne d'un collègue qui a 20 ans d'expérience. ça aussi, il faudrait que les formateurs ESPE le comprennent aussi, leur formation n'est pas magique et nous transforme pas en SUPERPROFS ! C'est un métier qui s'apprend pas à pas.
Pour conclure, je dirai que le contrat de CAD2 m'a permis de voir ce qu'était un professeur pendant une année, mais au niveau de la formation, il faudrait revoir TRES SERIEUSEMENT le côté ESPE, car c'est là qu'il y a un problème, pas ailleurs.
Après, pour tout le reste, je donnerai un bilan plus que négatif. La formation ESPE ne s'est pas du tout adaptée à la nouvelle situation : cours de didactique qui arrivaient trop tard (gestion de classe et de l'autorité en avril !!!) ou qui donnaient des conseils dangereux en classe (car il n'y a pas UN modèle qui fonctionne dans une classe, chaque élève, chaque classe est différente). Le mémoire de stage m'a fait perdre plus d'un mois et demi de travail, tout cela pour rien le jour de la soutenance car ils n'ont posé que des questions de didactique pendant 30 min et j'ai jamais eu d'avis sur le mémoire ni le détail de la note à ce jour.
Les formateurs, même si ils essayaient de faire de leur mieux (en tout cas pour deux d'entre eux dans mon ESPE), ne nous formaient pas assez bien aux réalités du travail d'enseignant (j'ai tout appris sur le terrain, et seul car je n'étais pas en bons termes avec ma tutrice suite à un conseil qu'elle m'avait donnée pour ma classe de 4e, qui a eu pour conséquence de faire monter la pression ma classe, que j'ai eu du mal à récupérer dans l'année, et finit en bagarre en fin de cours pour trois élèves).
En fait, le seul point positif que je voudrais apporter, c'est la formation pour le CAPES, mais seulement pour les questions concours, pas pour l'épreuve ESD, car c'était l'UBO (donc l'université et non l'ESPE) qui gérait ce côté. Cela se voit avec mes notes d'oral (16 à la leçon, 9 à l'ESD), et j'ai eu une bonne place au CAPES quand même, signe que l'université à Brest en tout cas à fait plus que correctement son boulot.
Au niveau de l'établissement où j'étais, très bon accueil de mes collèges, mais mon chef d'établissement à dit dans son rapport écrit que je n'étais pas assez investi dans le travail. Il n'a pas compris que je préparai le M2 (que je n'ai pas eu) et le CAPES, et surtout, avec le nombre d'heures supplémentaires que j'ai réalisé (accompagnement scolaire dans mes deux classes à l'heure du midi + jury HIDA + surveillance DNB blanc + surveillance DNB + présence à la préparation de rentrée toute la semaine alors que je ne serais pas dans cet établissement en 2014-2015), heures qui ne seront pas payées car je n'avais pas de master, je pense avoir fait le maximum, dans la mesure du possible en tout cas, dans mon établissement.
Après, on m'a reproché de faire de mauvais cours (reproche venant d'une visite ESPE en mars), mais avec le mémoire + le master + le capes + les obligations professionnelles du collège, il est difficile de faire des cours excellents, et surtout c'était la première année d'enseignement pour moi, donc je ne vais pas réaliser du premier coup des cours digne d'un collègue qui a 20 ans d'expérience. ça aussi, il faudrait que les formateurs ESPE le comprennent aussi, leur formation n'est pas magique et nous transforme pas en SUPERPROFS ! C'est un métier qui s'apprend pas à pas.
Pour conclure, je dirai que le contrat de CAD2 m'a permis de voir ce qu'était un professeur pendant une année, mais au niveau de la formation, il faudrait revoir TRES SERIEUSEMENT le côté ESPE, car c'est là qu'il y a un problème, pas ailleurs.
- SevSPCNiveau 3
Cette année de CAD2 fut pour moi aussi l'occasion d'être convaincu par le fait que ce métier est taillé pour moi (heureusement dira-t-on, je voulais faire prof depuis la 3ème).
J'ai trouvé que la préparation au CAPES a été ce qui a fait défaut cette année (matériel, connaissance du concours, accompagnement insuffisant).
J'ai beaucoup apprécié le parallèle Formation ESPE (disciplinaire)/ Enseignement qui m'a permis d'expérimenter ce qui nous avait été proposé en formation péda: en SPC, j'ai pu tester toutes ces activités qui permettent de prendre en compte les élèves (démarche d'investigation, tâche complexe) . J'ai aussi pu mieux comprendre comment travailler par compétences ("choses" dont j'ignorais l'existence étant élève). Certes, les formateurs ne nous disaient pas "comment faire" mais leur mérite a été de nous inciter à s'approprier chacun des dispositifs qu'ils nous présentaient. J'ai vu simplement que cette formation ESPE avait été utile en discutant avec des collègues de l'établissement qui étaient perdus face aux activités ou aux compétences.
Après, certains jours, je me suis vraiment demandé pourquoi j'étais là et où étaient le sens de valider des UE pour ce fameux master 2 (mais quel sens ont les notes qu'ils m'ont attribué en M2???: toute l'année, je me considérais comme très moyen à cause d'elles et au concours, j'ai très bien réussi).
J'ai trouvé que la préparation au CAPES a été ce qui a fait défaut cette année (matériel, connaissance du concours, accompagnement insuffisant).
J'ai beaucoup apprécié le parallèle Formation ESPE (disciplinaire)/ Enseignement qui m'a permis d'expérimenter ce qui nous avait été proposé en formation péda: en SPC, j'ai pu tester toutes ces activités qui permettent de prendre en compte les élèves (démarche d'investigation, tâche complexe) . J'ai aussi pu mieux comprendre comment travailler par compétences ("choses" dont j'ignorais l'existence étant élève). Certes, les formateurs ne nous disaient pas "comment faire" mais leur mérite a été de nous inciter à s'approprier chacun des dispositifs qu'ils nous présentaient. J'ai vu simplement que cette formation ESPE avait été utile en discutant avec des collègues de l'établissement qui étaient perdus face aux activités ou aux compétences.
Après, certains jours, je me suis vraiment demandé pourquoi j'étais là et où étaient le sens de valider des UE pour ce fameux master 2 (mais quel sens ont les notes qu'ils m'ont attribué en M2???: toute l'année, je me considérais comme très moyen à cause d'elles et au concours, j'ai très bien réussi).
- libelia2Niveau 5
Eh bien je crois que c'est la première fois que j'entends du bien de l'ESPE. C'est peut-être aussi une question de discipline alors... Peut-être qu'en SVT les approches didactiques sont plus faciles à transmettre...
- GillesVHNiveau 3
Merci. Des moments difficiles, des moments agréables, la vie quoi....Sémélé a écrit:GillesVH : franchement j'admire ! Tu as bien mené ton année avec du courage !
_________________
A fond ! Et quand t'en peux plus... t'accélères ! :aah:
- CebraNiveau 2
Bonjour,
Si c'était à refaire, je le referais... mais après une année sabbatique .
Ce fut une période très intense, trop par moments. Bien trop pour la perfectionniste que je suis. J'ai été affectée à presque deux heures de route de chez moi... ce fut éreintant et cher puisque je devais utiliser ma voiture et que je ne touchais aucune indemnisation. Mon salaire me permettait de vivre avec le minimum (voiture, essence, loyer en colocation, internet, charges, nourriture, livres et quelques weekends salvateurs en Suisse ou en Allemagne...) Mais je ne me suis jamais considérée comme "mal payée". Certes, la situation était difficile difficile (distance, fatigue, doutes...) mais je ne pense pas avoir été exploitée.
Niveau fatigue, cela a été très difficile et je ne remercierai jamais assez mon psy, ma colocataire et certains amis de m'avoir aidé à tenir durant cette période. Niveau organisation, cette année fut catastrophique et cela m'a causé bien des maux ( arrêt maladie d'une semaine, gros craquage en janvier avec arrêt maladie de deux semaines)
- Cours à l'ESPE "bricolés", deux CAPES blancs à tout casser. Il m'arrivait de sécher pour pouvoir dormir un peu et avancer sur mon mémoire, chose que je n'aurais jamais fait auparavant.
- Mémoire écrit et soutenu juste avant le délai, absence de suivi du directeur de recherche... grosse panique en somme: rédiger 80 pages dans le flou le plus total ( j'envoyais les parties mais je n'avais aucun retour...) AVANT les oraux. Autant vous dire que les mois d'avril, mai, juin furent particulièrement horribles.
- Révisions plus que superficielles pour le CAPES. ( Je ne sais pas comment j'ai fait pour le réussir avec si peu de préparation...)
- Abandon du C2i2e pour cette année.
Ne soyons pas pessimistes pour autant, j'ai eu la chance:
- d'avoir des collègues en or, sur qui je pouvais compter quand j'avais des questions, des doutes sur ma pratique ou tout simplement besoin de parler.
- une direction qui m'a soutenue lorsque j'ai eu des problèmes avec un élève.
- Une tutrice qui, malgré son éloignement, a répondu à toutes mes questions et apaisé tous mes doutes.
- L'envie de continuer, malgré les obstacles et la fatigue.
Autant vous dire que je n'étais pas au top de ma forme, mais je suis très contente d'avoir réussi ce challenge.
Là je vais beaucoup mieux: je pars en report de stage l'an prochain, mon travail a été récompensé d'une mention TB et je rentre d'un petit mois de vacances en Espagne et en Allemagne. J'ai aussi pu reprendre le sport, mon rythme de croisière étant de 4-6h par semaine.
Si c'était à refaire, je le referais... mais après une année sabbatique .
Ce fut une période très intense, trop par moments. Bien trop pour la perfectionniste que je suis. J'ai été affectée à presque deux heures de route de chez moi... ce fut éreintant et cher puisque je devais utiliser ma voiture et que je ne touchais aucune indemnisation. Mon salaire me permettait de vivre avec le minimum (voiture, essence, loyer en colocation, internet, charges, nourriture, livres et quelques weekends salvateurs en Suisse ou en Allemagne...) Mais je ne me suis jamais considérée comme "mal payée". Certes, la situation était difficile difficile (distance, fatigue, doutes...) mais je ne pense pas avoir été exploitée.
Niveau fatigue, cela a été très difficile et je ne remercierai jamais assez mon psy, ma colocataire et certains amis de m'avoir aidé à tenir durant cette période. Niveau organisation, cette année fut catastrophique et cela m'a causé bien des maux ( arrêt maladie d'une semaine, gros craquage en janvier avec arrêt maladie de deux semaines)
- Cours à l'ESPE "bricolés", deux CAPES blancs à tout casser. Il m'arrivait de sécher pour pouvoir dormir un peu et avancer sur mon mémoire, chose que je n'aurais jamais fait auparavant.
- Mémoire écrit et soutenu juste avant le délai, absence de suivi du directeur de recherche... grosse panique en somme: rédiger 80 pages dans le flou le plus total ( j'envoyais les parties mais je n'avais aucun retour...) AVANT les oraux. Autant vous dire que les mois d'avril, mai, juin furent particulièrement horribles.
- Révisions plus que superficielles pour le CAPES. ( Je ne sais pas comment j'ai fait pour le réussir avec si peu de préparation...)
- Abandon du C2i2e pour cette année.
Ne soyons pas pessimistes pour autant, j'ai eu la chance:
- d'avoir des collègues en or, sur qui je pouvais compter quand j'avais des questions, des doutes sur ma pratique ou tout simplement besoin de parler.
- une direction qui m'a soutenue lorsque j'ai eu des problèmes avec un élève.
- Une tutrice qui, malgré son éloignement, a répondu à toutes mes questions et apaisé tous mes doutes.
- L'envie de continuer, malgré les obstacles et la fatigue.
Autant vous dire que je n'étais pas au top de ma forme, mais je suis très contente d'avoir réussi ce challenge.
Là je vais beaucoup mieux: je pars en report de stage l'an prochain, mon travail a été récompensé d'une mention TB et je rentre d'un petit mois de vacances en Espagne et en Allemagne. J'ai aussi pu reprendre le sport, mon rythme de croisière étant de 4-6h par semaine.
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"Wir sind nie entfernter von unsern Wünschen, als wenn wir uns einbilden, das Gewünschte zu besitzen." -
Goethe, Die Wahlverwandtschaften.
- SevSPCNiveau 3
libou a écrit:Après, je sais qu'il y a pas mal de contractuels admissibles qui ont démissionné au cours de l'année et qui n'ont pas désiré passer l'oral du capes ensuite (face au difficulté qu'ils ont rencontré). Rien qu'en insérant la requête "contractuel admissible" dans le moteur de recherche google, la suggestion qui apparaît est "contractuel admissible démission". Après, il n'y aura sûrement aucune statistique pour montrer ce qu'il en est.
C'est pour cela que je trouve que cette année de CAD2 n'a pas été tant une arnaque que cela: imaginez qu'un néophyte ait eu son concours et découvre que finalement le métier n'est pas taillé pour lui! Je trouve que cette année découverte n'est pas un mauvais format avant de passer le concours à condition bien entendu d'alléger et de repenser le volet ESPE de la formation et de supprimer le mémoire qui est absolument INUTILE et CHRONOPHAGE!
- kamillaNiveau 5
Mon bilan de cette année :
les +
- une année intense
- une approche du métier en douceur (6h de cours par semaine, c'est largement gérable)
- un tutorat du coup plus efficace et ciblé
- des oraux blancs pour le CAPES
les -
- les cours de l'ESPE pas assez précis et orientés concours, et pas assez pratiques et concrets non plus (de la gestion de classe, des élèves, de l'appréhension du métier, des cours de terrain quoi)
- beaucoup de choses à intégrer en même temps : un rythme assez prenant (préps de cours, révisions CAPES...)
Mais je ne regrette rien (non, rien de rien) malgré le désespoir du premier mois je trouve même que pour ma part la situation était idéale pour entamer ma carrière de jeune prof.
les +
- une année intense
- une approche du métier en douceur (6h de cours par semaine, c'est largement gérable)
- un tutorat du coup plus efficace et ciblé
- des oraux blancs pour le CAPES
les -
- les cours de l'ESPE pas assez précis et orientés concours, et pas assez pratiques et concrets non plus (de la gestion de classe, des élèves, de l'appréhension du métier, des cours de terrain quoi)
- beaucoup de choses à intégrer en même temps : un rythme assez prenant (préps de cours, révisions CAPES...)
Mais je ne regrette rien (non, rien de rien) malgré le désespoir du premier mois je trouve même que pour ma part la situation était idéale pour entamer ma carrière de jeune prof.
- camomilllesNiveau 3
En ce qui me concerne, je pense que je ne le referai pas si cela était à refaire.
Certes, cela a été très encourageant d'un point de vue professionnel et cette année m'a confortée dans ma volonté de devenir enseignante.
Mais très sincèrement, entre le mémoire de recherche, les cours à la faculté, la préparation du CAPES (préparé dans des conditions assez précaires) et les obligations professionnelles, j'ai l'impression d'avoir perdu pied. J'ai tout fait et en même temps rien n'a été fait de manière précise et minutieuse. Quant à la qualité des cours de l'ESPE...je préfère m'abstenir.
Certes, j'ai réussi à obtenir mon CAPES avec un bon classement mais les conditions de préparation n'étaient pas satisfaisantes. J'ai surtout eu l'impression d'avoir été sacrifié pour combler des postes non pourvus.
Certes, cela a été très encourageant d'un point de vue professionnel et cette année m'a confortée dans ma volonté de devenir enseignante.
Mais très sincèrement, entre le mémoire de recherche, les cours à la faculté, la préparation du CAPES (préparé dans des conditions assez précaires) et les obligations professionnelles, j'ai l'impression d'avoir perdu pied. J'ai tout fait et en même temps rien n'a été fait de manière précise et minutieuse. Quant à la qualité des cours de l'ESPE...je préfère m'abstenir.
Certes, j'ai réussi à obtenir mon CAPES avec un bon classement mais les conditions de préparation n'étaient pas satisfaisantes. J'ai surtout eu l'impression d'avoir été sacrifié pour combler des postes non pourvus.
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