Dernières nouvelles de la réforme des rythmes scolaires

Rythmes scolaires : la maire en grève de la faim hospitalisée

"Nous avons pris la décision d'appeler les pompiers, car elle est en danger. A la suite de la célébration d'un mariage à laquelle elle assistait, mais qu'elle n'était pas en état de célébrer, Evelyne Flacher a fait un malaise et perdu connaissance quelques secondes", a déclaré Karim Hebbaz, un de ses adjoints en fin d'après-midi.

Les pompiers de la Loire indiquent avoir reçu de la préfecture la "consigne de ne pas communiquer sur ce sujet".

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Rythmes scolaires à Tourcoing: ce n’est pas encore la fin de la récré

Les élèves des écoles publiques de la ville auront donc trois quarts d’heure de temps périscolaire gratuit, consacré à « lire, écrire, compter ».

Un coordinateur répartira les enfants dans les différents ateliers en fonction de leurs besoins. Il assurera le lien entre les enseignants et le personnel municipal. Les dispositifs « Coup de pouce » et Diapason, mis en place la précédente municipalité, seront transférés sur le temps péri-scolaire, « comme nous l’ont demandé l’État et l’Inspection académique ». Le dispositif va nécessiter l’embauche de trente postes. Le coût est estimé à 5 millions sur six ans.

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l'Expres.fr

Selon un sondage publié ce dimanche par Le Parisien, les Français ne sont pas convaincus par les récentes annonces du ministre de l'Education nationale.

Sur la réforme des rythmes scolaires, longtemps contestée mais maintenue et élargie à toutes les communes dès la rentrée prochaine, seuls 32% des sondés estiment qu'elle a eu un "impact positif sur le bien-être des élèves". Un résultat en baisse de 3 points depuis novembre.

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Loire. La maire de Saint-Médard-en-Forez doit se refaire une santé après sa grève de la faim

Après son transport à l’hôpital, samedi, Evelyne Flacher a pu rentrer chez elle pour se reposer. La maire de Saint-Médard-en-Forez avait entamé une grève de la faim, lundi, pour lutter contre la réforme des rythmes scolaires. Un mouvement qu’elle se voit dans l’obligation de stopper pour raisons médicales.

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Elle songe à démissionner à cause des rythmes scolaires

La situation semble donc bloquée même malgré les efforts de son employeur : « Il a cherché à m’aider et voulait bien faire preuve de souplesse sur mon jour de repos » confie-t-elle. Mais disposer du mercredi n’est pas suffisant.

Le couple, embarrassé, s’est donc tourné vers un autre établissement à Brieulles-sur-Bar. Celui-ci accueille les enfants de 7 h 30 le matin jusqu’à 19 heures. Pour obtenir une réponse favorable, Séverine et son compagnon devront d’abord bénéficier d’une autorisation préalable de leur mairie.

Si toutefois leur dossier n’était pas accepté, la seule issue sera la démission, à contrecœur, de Séverine de son actuel emploi.

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The Goon a écrit:Loire. La maire de Saint-Médard-en-Forez doit se refaire une santé après sa grève de la faim

Après son transport à l’hôpital, samedi, Evelyne Flacher a pu rentrer chez elle pour se reposer. La maire de Saint-Médard-en-Forez avait entamé une grève de la faim, lundi, pour lutter contre la réforme des rythmes scolaires. Un mouvement qu’elle se voit dans l’obligation de stopper pour raisons médicales.

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C'est mieux ainsi...

Rythmes scolaires à Sceaux-d'Anjou. Une facture contestée

"Quatre heures d'activités par semaine, cela revient à 300 € par enfant par an", calcule Céline Moreau, mère de deux élèves.

Avec d'autres parents d'élèves, la mère de famille a décidé de monter au créneau. "À l'origine, le texte était fait pour que tout le monde ait accès à la culture. Mais comment faire, avec un prix prohibitif ? interroge Olivier, père de deux écoliers. Au final, cela accentue les inégalités déjà existantes."

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@Républicain et @The Goon : ce matin, j'ai essayé de me connecter au site des Dindons, en vain. Avez-vous le même problème ?

Pour ma part, j'ai envoyé à mon IEN ma "déclaration d'intention de faire grève" pour le Mercredi 3 Septembre, utilisant en cela le préavis généraliste de SUD éduc.
Ce la n'impose pas d'être gréviste, mais je pourrai l'être si je le désire!

Cela est arrangé, du moins pour le moment.

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"Ce changement à venir permettra sans doute aux collectivités de faire des économies substantielles. Mais il est à craindre que cette décision de généralisation d’un encadrement « desserré » signifie la mort de l’accueil de loisirs du mercredi dans sa forme actuelle, avec la qualité éducative qui lui est reconnue unanimement.
De plus, le projet de décret relie « définitivement » l’accueil de loisirs périscolaire à l’école : « En accueil de loisirs périscolaire, ces activités sont complémentaires du projet d’école. » Y compris donc, si le texte est adopté, pour le mercredi après-midi."

Rythmes scolaires à Caen. Le point sur la rentrée 2014

"Seules 10 % des communes appliqueront le décret Hamon, assouplissant la réforme et permettant de concentrer les activités périscolaires sur une demi-journée", explique le recteur de l'académie de Caen, Christophe Prochasson.

Il rappelle également le but pédagogique de la réforme des rythmes scolaires qui est de privilégier la "continuité" dans l'apprentissage. Il rappelle aussi qu'elle fait partie d'un "dispositif plus large" visant à repenser l'école.

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repenser l'école ...

Rythmes scolaires à Antibes: Leonetti recalé à l'oral

Ce plan prévoyait des journées de classe inchangées les lundi, mardi et jeudi, des cours le mercredi matin et des activités périscolaires le vendredi après-midi.

S'appuyant sur le fait qu'un projet "strictement identique a été validé, par le même rectorat, pour les villes de Saint-Raphaël, Brignoles et Six-Fours", Jean Leonetti a interpellé le ministre de l'Éducation… qui l'a renvoyé vers la rectrice.

Une entrevue a été organisée samedi matin. Le premier magistrat a défendu son point de vue. Selon lui, Claire Lovisi s'est engagée à se prononcer "très vite". Et, en l'espèce, elle a tenu parole : son avis - négatif - a été communiqué, hier, à la première heure.

Ce porte-parole rejette également toute comparaison avec les autres villes : "C'est techniquement impossible, il n'y a pas deux communes identiques et les critères d'évaluation sont nombreux. Nous avons étudié tous les projets avec bienveillance. Dans les Alpes-Maritimes, sur les vingt-cinq dossiers qui nous ont été soumis, nous n'en avons retoqué que quatre."

Impossible de savoir précisément pourquoi le plan antibois a été refusé : "Nous ne souhaitons pas justifier nos choix ville par ville."

C'est pourtant cela qu'exige, désormais, Jean Leonetti.

Convaincu que la cité des remparts fait l'objet d'une mesure arbitraire, il a écrit hier à Benoît Hamon pour solliciter son arbitrage. Si le ministre ne désavoue pas la rectrice, la Ville portera l'affaire devant les tribunaux.

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Nouveaux rythmes scolaires. Le coup de gueule des parents d'élèves FCPE (Le Mans)

La préparation de la rentrée scolaire se déroule en ce moment à la préfecture du Mans. La fédération de parents d'élèves déplore le manque de considération du préfet.

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Il m'a l'air très sympathique ce préfet.

encore des victime du manque de considération, à Lyon cette fois :

Si Michel Havard et ses troupes ont décidé de partir, c'est "pour dire non au mépris" du maire socialiste. Ce dernier a effectivement refusé de polémiquer sur ce sujet brûlant, souffrant de zones d'ombres comme ces votes des conseils d'écoles, comptés et recomptés. Anne Brugnera, l'adjointe à l'Education, a préféré expliquer que "l'histoire de ce vote est derrière nous" avant de finalement soumettre aux voix la délibération concernant l'attribution de subventions publiques aux structures qui prendront en charge les temps périscolaires à la rentrée prochaine (environ 3 millions d'euros pour 33 MJC, associations, centres sociaux...).

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COMMUNIQUE DU SNUDI-FO du GARD

TD
LES NOUVELLES VICTIMES
DE LA REFORME DES RYTHMES SCOLAIRES
ET DE LA MASTERISATION

Pour "asseoir" les 91 PE stagiaires sur des postes à mi-temps, l'Administration Gardoise décide, contre l'avis du SNUDI FO et dans le déni des règles préétablies, de casser arbitrairement des dizaines de couplages de TD et de récupérer leurs postes.

C'est là la conséquence directe de la masterisation que FO n'a eu de cesse de dénoncer et de combattre : pour mal former les uns, on spolie les autres !

Cette année, un nouveau cap a été franchi, celui du mépris : les TD, concernés par ces préemptions de 1/2 postes, viennent d'apprendre, à la veille des vacances, que leur couplage est disloqué, que leur priorité est perdue et qu'ils devront faire des vœux, à la rentrée, sur les couplages restants (s'il en reste !) sans bénéficier  d'aucune bonification, d'aucune compensation.

Quelle entreprise privée oserait traiter ainsi ses salariés ?

L 'Education Nationale semble n'avoir aucun état d'âme vis à vis de ces dizaines de collègues qui avaient une affectation depuis des années qui leur permettait de pouvoir se fixer géographiquement, de s'investir dans une école...

Et peut-on accepter que le sort de ces collègues soit ainsi joué sans qu'ils en aient été avertis suffisamment à l'avance de manière à pouvoir trouver une alternative : « vous auriez dû sentir le vent tourner » leur à même été répondu par notre Administration !

La colère est immense chez les TD mais aussi chez les directeurs et les collègues à temps partiel qui avaient noué des liens professionnels de confiance avec leur TD et qui deviennent, malgré eux, des formateurs au rabais.

Et les problèmes de nos collègues TD ne s'arrêtent pas là : avec la mise en place, massivement rejetée, des nouveaux rythmes scolaires, l'Administration n'a pas été en mesure d'élaborer les couplages avant l'été sous le contrôle des organisations syndicales.

Ils seront faits, nous dit-on, pour le 20 août, mais en dehors du temps et de l'espace puisque, l'Administration, dépassée par les conséquences de la réforme, entend coupler les temps partiels « au hasard » et laisser ensuite les écoles et les collègues se débrouiller avec la gestion des différents horaires scolaires.

La désorganisation des écoles
organisée par le ministère
annonce
une rentrée explosive !

FO a l'intention de déposer un préavis de grève dès le premier jour de septembre afin de couvrir les collègues qui souhaitent manifester leur colère et d'anticiper toute initiative, tout problème concret qui rendrait la reprise du travail impossible.

En attendant, le SNUDI-FO invite tous les collègues concernés par ces problèmes d'affectation, de couplages, de perte de priorités...(TD, directeurs, collègues à temps partiel) à adresser une lettre  au DASEN (avec copie au SNUDI-FO) afin d'exprimer leur profond mécontentement, leur désaccord avec ces méthodes et de réclamer le respect des règles départementales et réparation du préjudice subi.

@ Républicain : Nous avons connu la même situation dans notre école l'année dernière : le collègue qui était sur le poste de décharge de directeur, qui avait de l'expérience et qui était bien intégré à l'école depuis quelques années, s'est vu signifier l'obligation de laisser son poste au profit d'un M2. Je te laisse imaginer sa tête lorsqu'il a reçu la nouvelle en fin d'année. Connaissez-vous cette situation seulement depuis cette année dans le Gard ?

évolutions a écrit:@ Républicain : Nous avons connu la même situation dans notre école l'année dernière : le collègue qui était sur le poste de décharge de directeur, qui avait de l'expérience et qui était bien intégré à l'école depuis quelques années, s'est vu signifier l'obligation de laisser son poste au profit d'un M2. Je te laisse imaginer sa tête lorsqu'il a reçu la nouvelle en fin d'année. Connaissez-vous cette situation seulement depuis cette année dans le Gard ?

C'est nouveau avec, semble-t-il, l'arrivée des PES à mi-temps.
Quel b..., mais quel b....!!! 

Chez nous, dans la Drôme, c'est nouveau aussi semble-t-il puisque, comme dans le Gard, le mouvement a été reporté et que de nombreux collègues sont partis en vacances en n'ayant aucune idée de l'endroit et du niveau où ils atterriront le 1er septembre.

C'est bien entendu le cas de tous les ex-PES qui, après une année sur un poste bloqué, c'est-à-dire retiré au libre choix de l'ensemble des collègues, sont maintenant lancés dans la jungle du "mouvement nouvelle manière", avec ses postes bloqués, à profil, réservés, etc.

Je ne peux pas m'empêcher de penser qu'en bientôt 40 années de carrière, les gains obtenus sont bien moins importants que les pertes sèches subies... Vivement la quille !

The Goon a écrit:Rythmes scolaires à Antibes: Leonetti recalé à l'oral

Ce plan prévoyait des journées de classe inchangées les lundi, mardi et jeudi, des cours le mercredi matin et des activités périscolaires le vendredi après-midi.

S'appuyant sur le fait qu'un projet "strictement identique a été validé, par le même rectorat, pour les villes de Saint-Raphaël, Brignoles et Six-Fours", Jean Leonetti a interpellé le ministre de l'Éducation… qui l'a renvoyé vers la rectrice.

Une entrevue a été organisée samedi matin. Le premier magistrat a défendu son point de vue. Selon lui, Claire Lovisi s'est engagée à se prononcer "très vite". Et, en l'espèce, elle a tenu parole : son avis - négatif - a été communiqué, hier, à la première heure.

Ce porte-parole rejette également toute comparaison avec les autres villes : "C'est techniquement impossible, il n'y a pas deux communes identiques et les critères d'évaluation sont nombreux. Nous avons étudié tous les projets avec bienveillance. Dans les Alpes-Maritimes, sur les vingt-cinq dossiers qui nous ont été soumis, nous n'en avons retoqué que quatre."

Impossible de savoir précisément pourquoi le plan antibois a été refusé : "Nous ne souhaitons pas justifier nos choix ville par ville."

C'est pourtant cela qu'exige, désormais, Jean Leonetti.

Convaincu que la cité des remparts fait l'objet d'une mesure arbitraire, il a écrit hier à Benoît Hamon pour solliciter son arbitrage. Si le ministre ne désavoue pas la rectrice, la Ville portera l'affaire devant les tribunaux.

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Et v'là la bienveillance !

et oui  

Saint-Martin-des-Noyers La mise en place des nouveaux rythmes scolaires expliquée

« Concrètement, cette réforme que personne n'avait demandée, apporte beaucoup de contraintes mais la communauté de communes du Pays des Essarts travaille depuis plus d'un an et elle a fait des choix qui vont de pair avec le bien-être de l'enfant », explique Jean-Paul Croué.

Les inquiétudes sont nombreuses et l'incertitude demeure. « Nous ferons rapidement des bilans mais on ne pourra pas régler tous les problèmes », prévient Jean-Paul Croué.

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Rythmes scolaires : le SNUIpp-FSU ariégeois relativise "fortement" le bilan local

Pour le SNUipp-FSU09, l’entrée dans la réforme par l’emploi du temps telle que l’a menée Mme Costantini demeure un non-sens. Il aurait été souhaitable que tous les partenaires prennent le temps de la réflexion afin de mener un travail qualitatif et concerté au service des élèves et respectueux des conditions de travail de tous, enseignants et animateurs. L’absence de rédaction de PEDT à ce jour en Ariège est un signe fort que le département n’était peut-être pas si prêt que Mme l’Inspectrice veut bien le dire.

Pour le SNUipp-FSU, cette réforme mal pensée, mal préparée et mal financée est actuellement illisible. Trop souvent imposée, largement contestée, elle ne doit pas être généralisée et mérite une réécriture. Il est donc temps de clarifier la situation et d’obtenir de réelles mesures pour améliorer les conditions d’apprentissage des élèves et de travail des enseignants.

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Rythmes scolaires : Havard interpelle Benoît Hamon (Lyon)

Michel Havard, le chef de l'opposition UMP à la ville de Lyon, a décidé de monter au créneau concernant le choix du vendredi après-midi. Il insiste sur le fait que cette réforme "arrangeait seulement le maire de Lyon". "Tous les spécialistes le disent : il ne faut pas rallonger la pause du week-end et écourter la journée de 6 heures; Gérard Collomb fait l'inverse"

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Franchise : FAMILY SPHERE s’adapte à la réforme des rythmes scolaires

La réforme des rythmes scolaires est au cœur des préoccupations des familles. Véritable bouleversement dans leur vie quotidienne, elles doivent adopter une nouvelle organisation pour assurer le bien-être de leurs enfants. Family Sphere, réseau spécialisé dans la garde à domicile d’enfants de 0 à 12 ans, se mobilise pour répondre à l’incertitude des parents.

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c'est le moment de prendre des actions   

Rythmes scolaires : «On va faire de la garderie améliorée» (Castres)

«Injuste», «Inique», «Incompréhensible». Pascal Bugis, le maire divers droite de Castres, ne décolère pas quant à la décision de la rectrice de ne pas valider le choix de la ville au sujet des rythmes scolaires. D'autant plus après avoir appris que le village de Valdurenque pourra, lui, regrouper ses activités périscolaires le vendredi après-midi comme Castres l'envisageait. Et que l'on ne lui parle pas des 12 conseils d'école sur 21 qui se sont prononcés contre cette expérimentation et qui auraient donc poussé la rectrice à imposer que la réforme soit appliquée plutôt avec une réduction du temps scolaire quotidien puisque Sorèze et Burlats se sont vus aussi refuser cette organisation malgré l'accord des conseils d'écoles.

«Je ne veux pas mettre la charge de cette organisation sur la tête des parents, indique Pascal Bugis. Donc pour pouvoir organiser cette réforme à coût constant, on ne va donc pas créer de nouvelles activités comme c'était prévu sur le vendredi après-midi mais garder ce qui existait déjà jusqu'à présent dans les créneaux de garderie que l'on va distiller sur la semaine. Cela sera de la garderie améliorée.»

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