2eme Baromètre UNSA de nos métiers

wanax a écrit:J'ai failli remplir, mais en fin de sondage, on trouve : ''Veuillez entrer une adresse e-mail valide.''
Les rusés...

Spoiler:

wanax a écrit:J'ai failli remplir, mais en fin de sondage, on trouve : ''Veuillez entrer une adresse e-mail valide.''
Les rusés...

wanax a écrit:J'ai failli remplir, mais en fin de sondage, on trouve : ''Veuillez entrer une adresse e-mail valide.''
Les rusés...

forrester1 a écrit:"Dans la dernière année, diriez‐vous que vos conditions de travail se sont améliorées"
83% d'avis négatifs > 88% d'avis négatifs

"Diriez‐vous que vous êtes en accord avec les choix politiques faits dans votre secteur d'activité?"
74% d'avis négatifs > 81% d'avis négatifs

Quand seulement 18% des enseignants du second degré sont en accord avec la politique menée et 13% dans le premier degré, ce sont 72% des IPR qui manifestent leur accord, 51% des IEN (inspecteurs du primaire) et 45% des personnels de direction.

Luigi_B a écrit:Comme l'observe le "Café pédagogique" :

Quand seulement 18% des enseignants du second degré sont en accord avec la politique menée et 13% dans le premier degré, ce sont 72% des IPR qui manifestent leur accord, 51% des IEN (inspecteurs du primaire) et 45% des personnels de direction.

Luigi_B a écrit:
Car entre autres bizarreries de ce baromètre :
- les administratifs (23%) et les personnels de direction (8%) y sont surreprésentés. Les enseignants à proprement parler ne représentent que.. 43% des sondés.
- les administratifs et gestionnaires sont considérés comme appartenant aux "métiers de l'éducation".

Qu’ils exercent à l’Éducation nationale, dans l’Enseignement supérieur et la Recherche, à l’Agriculture, à Jeunesse et Sport ou dans le Culture, l’écrasante majorité des personnels déclare aimer leur métier (94%) et être heureux de l’exercer (83%).

Cependant, les autres réponses montrent bien un état d’esprit plutôt négatif : la préoccupation première des collègues reste bien le pouvoir d’achat (priorité absolue pour 62 % des répondants contre 59% en 2013) et seulement 21 % des personnels se disent en accord avec les choix politiques faits dans leur secteur d’activité.

Cripure a écrit:"Et c'est pour cela que nous continuerons à proposer des changements dans une direction non approuvée par la base, mais que nous savons d'ores et déjà adoptés vu que, minoritaires dans les urnes, nous sommes omniprésents dans la techno-structure que chaque ministricule trouve face à lui tel un mur atlantico-berlinois"

Cripure a écrit:"Et c'est pour cela que nous continuerons à proposer des changements dans une direction non approuvée par la base, mais que nous savons d'ores et déjà adoptés vu que, minoritaires dans les urnes, nous sommes omniprésents dans la techno-structure que chaque ministricule trouve face à lui tel un mur atlantico-berlinois"

pmuller a écrit:Malheureusement, il n'y a pas que l'UNSA - car s'il n'y avait que l'UNSA (et le Sgen) qui soutiennent les projets actuels, ce ne serait pas si facile que cela de les faire appliquer. De toute manière, ces syndicats, on sait quelles sont leurs idées, et si ça fait plaisir à leurs adhérents de travailler plus en gagnant moins, je ne vois pas où est le problème, en démocratie.   

Le problème se situe chez les syndicats dont on est en droit d'attendre une défense de nos conditions de travail et qui font tout le contraire : c'est eux le vrai danger ! Car leurs adhérents leur font confiance, et ils ont tort...  

- Snes : abstention au CTM du 27 mars sur les statuts Peillon, donc permet leur adoption
- Snalc : "nous refusons categoriquement de defiler lundi prochain contre la politique ministerielle actuelle concernant le secondaire ou plus largement contre la loi sur la Refondation de L Ecole que nous avons officiellement approuvee au CSE... la politique ministerielle que nous soutenons" (https://www.neoprofs.org/t69373-quelle-est-la-position-du-snalc-sur-les-reformes-peillon)

Celeborn a écrit:Faut-il vraiment recommencer le débat une fois de + ?

pmuller a écrit:Malheureusement, il n'y a pas que l'UNSA - car s'il n'y avait que l'UNSA (et le Sgen) qui soutiennent les projets actuels, ce ne serait pas si facile que cela de les faire appliquer. De toute manière, ces syndicats, on sait quelles sont leurs idées, et si ça fait plaisir à leurs adhérents de travailler plus en gagnant moins, je ne vois pas où est le problème, en démocratie.   

Celeborn a écrit:

pmuller a écrit:Malheureusement, il n'y a pas que l'UNSA - car s'il n'y avait que l'UNSA (et le Sgen) qui soutiennent les projets actuels, ce ne serait pas si facile que cela de les faire appliquer. De toute manière, ces syndicats, on sait quelles sont leurs idées, et si ça fait plaisir à leurs adhérents de travailler plus en gagnant moins, je ne vois pas où est le problème, en démocratie.   

Le problème se situe chez les syndicats dont on est en droit d'attendre une défense de nos conditions de travail et qui font tout le contraire : c'est eux le vrai danger ! Car leurs adhérents leur font confiance, et ils ont tort...  

- Snes : abstention au CTM du 27 mars sur les statuts Peillon, donc permet leur adoption
- Snalc : "nous refusons categoriquement de defiler lundi prochain contre la politique ministerielle actuelle concernant le secondaire ou plus largement contre la loi sur la Refondation de L Ecole que nous avons officiellement approuvee au CSE... la politique ministerielle que nous soutenons" (https://www.neoprofs.org/t69373-quelle-est-la-position-du-snalc-sur-les-reformes-peillon)

Je croisqu'on a déjà eu des dizaines de pages de discussion sur la question des "décrets Peillon". Faut-il vraiment recommencer le débat une fois de + ?