Fondation Espérance Banlieues : 66% de déductions d'impôts pour financer des écoles privées hors contrat.

Soutenez l'instruction des enfants de banlieue !

Ils étaient 6 en 2012, 79 en 2013, ils sont plus de 140 à vouloir étudier au Cours Alexandre-Dumas l'année prochaine.

+ 2 200 % en 2 ans !

Mais cette croissance fulgurante cache une réalité bien moins glorieuse :

la faillite pure et simple du système scolaire en banlieue.

L’échec scolaire y atteint des proportions insoutenables.

Conscients de ce drame, les parents se pressent dans les écoles indépendantes ouvertes par la Fondation Espérance banlieues parce qu'elles garantissent une instruction de qualité à leurs enfants.

Pour accueillir ces élèves à la rentrée 2014, nous devons ajouter trois classes. Nous avons impérativement besoin de vos dons pour y parvenir.

Nous ne pouvons pas les décevoir !

Bien cordialement,

Éric Mestrallet, président de la Fondation Espérance banlieues

N.B. : Vous recevrez un reçu fiscal dans les 72 heures, vous permettant de déduire votre don de vos impôts (impôt sur le revenu, impôt sur les sociétés ou ISF). Un don de 1 000 euros ne vous coûtera en réalité que 334 euros après déduction de l'impôt sur le revenu.

intro a écrit:Personne en France, à la différence de l'Angleterre, n'imagine que l'Etat ne finance plus l'éducation nationale. Et pourtant, en France, les sources de financement privé aident de plus en plus à financer l’école publique.

Spinoza1670 a écrit:Un article de Louise Tourret (émission Rue des écoles, France Culture) de 2013 :
http://www.slate.fr/story/77312/privatiser-ecole-france-pas-tout-fait-une-fiction

intro a écrit:Personne en France, à la différence de l'Angleterre, n'imagine que l'Etat ne finance plus l'éducation nationale. Et pourtant, en France, les sources de financement privé aident de plus en plus à financer l’école publique.

Dans ce projet politique, l’éducation n’est pas (plus !) considérée comme un bien public. Pour Nicolas Sizaret, ce type d’annonce se fait sans complexe et dans une relative indifférence, à partir du moment où les citoyens fatalistes perdent confiance dans les capacités de leurs services publics à répondre à leurs besoins mieux que ne le ferait le secteur marchand.

Audrey a écrit:un de ceux qu'on voit le plus dans le reportage vidéo, le prof de français, latin, histoire, eps,

John a écrit:Pourquoi "leur" ? Audrey fait une remarque sur un enseignant ici. Ce n'est pas une bête remarque de grammaire, mais une vraie interrogation sur le sens de ta question.
Mais personnellement, j'aurais surtout axé la remarque sur le fait que cet enseignant est censé dispenser une "instruction de qualité" en français, histoire, latin et EPS : ça me semble beaucoup pour un seul homme.

the educator a écrit:le libéral que je suis trouve parfois gênant, s'il veut choisir la scolarité de ses enfants, de devoir payer pour ça, et dans le même temps de devoir payer le système scolaire classique, et une éducation nationale qui du coup ne me concerne pas (et ne semble pas concernée par mes attentes). Bon comme on m'en reverse une partie chaque moi, je tolère. Mais je préfèrerais qu'on me reverse le cout reel d'une scolarité publique, pas plus, pas moins, a partir du moment ou mes enfants satisfont les exigences nationales en matière d'éducation et d'instruction.

the educator a écrit:Si tu veux, je ne suis pas forcément pour payer au coup par coup, mais j'aimerais que l'état se donne aussi les moyens, a minima à cout égal, de financer des modèles alternatifs surtout si ces modèles permettent d'atteindre les résultats attendus (mais d'ailleurs pas garantis: si tu élèves ton enfant à la maison, tu es contrôlé tous les ans, et si ton enfant n'a pas les acquis de lafin de son cycle, il risque la rescolarisation, alors que dans le systeme scolaire publique, si ton enfant n'a pas les acquis a la fon de son cycle, tout le monde s'en fout) par les instances publiques.).