Fondation espérance Banlieues : Le privé hors contrat vous appelle aux dons.

Chers amis,

Septembre 2012, c’était l’ouverture du Cours Alexandre-Dumas, avec une poignée d’enfants, dans quelques bungalows sans eau et sans électricité, sur une dalle de goudron à Montfermeil.

Tout nous manquait sauf l’Espérance.

Depuis lors, quel chemin parcouru ! L’école compte aujourd’hui 85 élèves du CP à la troisième, une équipe de 7 professeurs emmenés par Albéric de Serrant, leur directeur. Les locaux demeurent spartiates mais néanmoins bien conçus et propices au travail. Et comme le dit une mère d’élève, « ce qui compte, ce ne sont pas les locaux, c’est l’esprit ! ».

Et l’esprit y est. Pourtant, cette rentrée n’a pas été une mince affaire, avec ses 50 nouveaux collégiens débordant d’énergie, mais la dynamique est désormais installée et les élèves sont bien décidés à progresser.

« Cette école nous rend l’espoir, disent les parents. Le directeur et les professeurs travaillent main dans la main avec nous, en toute confiance, et ça change notre vie de famille ! »

Les parents de Montfermeil et de Clichy sont fiers de faire des sacrifices financiers pour l’école de leurs enfants et d’avoir osé sortir des sentiers battus. Ils veulent que leurs enfants héritent de la « grande culture ». Ils refusent de se laisser enfermer dans cette image de banlieue ignare vouée à la violence, au chômage et à l’assistanat, dans laquelle les médias et les hommes politiques se plaisent trop souvent à les emprisonner. C’est par l’école que leurs enfants intégreront la société par la grande porte.

Plus que nous ne le pensions encore, notre petite école Alexandre-Dumas, dans sa faiblesse, représente une grande espérance en Seine-Saint-Denis. Elle est un symbole de résistance à la fatalité qui rend aux familles toute leur place. Cette école est aussi saluée par les habitants de Montfermeil comme un facteur de lien social entre différents mondes qui jusque-là s’ignoraient.

Alors aidez-nous à ne pas décevoir leurs attentes ! Nous avons vraiment besoin de vous.

Avec le succès médiatique et l’intérêt politique suscités par cette école, nous avons bon espoir d’obtenir d’ici à deux ans des financements institutionnels importants, mais pour l’heure, il faut tenir. Les enfants comptent sur nous.

Faites un don !

Bien cordialement,

Éric Mestrallet, président de la Fondation Espérance banlieues

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