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- LombalgiaNiveau 10
Obligée* de travailler en équipe, dans le second degré, démolie à titre personnel par l'inspection qui par ailleurs encense mes "coéquipiers", le sentiment de rejet évoqué plus haut m'est familier. C'est effectivement l'enfer. Pourtant je fais ce que je peux, je travaille 50 à 60 heures par semaine, je me tape les classes les plus chargées en classe entière dont les autres ne veulent pas (normal, arrivés avant moi), mais non, je suis juste "celle qui fout rien", leur boulot est tellement plus dur et plus important. Et puis multiplication de réunions hors temps de cours, sans convocation, mais "tu es la seule à ne pas être venue", culpabilisation, contrôles croisés sur le travail, bilans d'activité, invitations à me renouveler, j'en peux vraiment plus, beeeeuuuuuuuukkkkk.
Signé : le mouton noir
*Si je ne me pliais pas à ce fonctionnement local, ce serait pire.
Signé : le mouton noir
*Si je ne me pliais pas à ce fonctionnement local, ce serait pire.
- NielNiveau 5
j'ai connu il ya de cela trrrrès longtemps!! Une directrice "toxique" qui sous des airs bonasses dominaient 4 collègues très lâches qui ne voulaient surtout pas" d'histoires" et ...s'acharnait sur la seule collègue féminine de l'école qui lui résistait: lorsque je suis arrivée je me suis sentie OBLIGEE de prendre partie pour la collègue persécutée tant les humiliations et les coups bas qu'elle subissait étaient importants ( et pourtant je n'avais pas de sympathie particulière pour elle, je ne partageais pas tous ses positionnements ) et évidemment" Mme la Directrice" jusque là toute mielleuse envers moi s'est mise à m'attaquer aussi ..heureusement pour moi elle n'était pas très finaude et ses plaintes envers moi auprès de l'inspecteur se sont retournées contre elle; mais je reconnais que le cadre confiné d'une école dans lequel les collègues sont parfois en poste depuis longtemps et ne veulent plus bouger ni plus d'histoires surtout , peut -être propice à un véritable harcélement!! Ce que je peux conseiller c'est de TOUT noter, relever toutes les atteintes , les piques les injustices, et de prendre conseil auprès d'un syndicat, de parler , de se confier à des collègues d'autres écoles, de ne surtout pas renoncer , de ne pas se laisser faire! Par contre il faut dans le m^me temps essayer de ne ps prêter le flanc aux critiques sur le travail fourni! courage! Il en faut, mais on arriver à s'en sortir!!
- NielNiveau 5
Mais c'est le bagne!!! Pourquoi dis tu que tu es OBLIGEE de travailler avec tes collègues!!Lombalgia a écrit:Obligée* de travailler en équipe, dans le second degré, démolie à titre personnel par l'inspection qui par ailleurs encense mes "coéquipiers", le sentiment de rejet évoqué plus haut m'est familier. C'est effectivement l'enfer. Pourtant je fais ce que je peux, je travaille 50 à 60 heures par semaine, je me tape les classes les plus chargées en classe entière dont les autres ne veulent pas (normal, arrivés avant moi), mais non, je suis juste "celle qui fout rien", leur boulot est tellement plus dur et plus important. Et puis multiplication de réunions hors temps de cours, sans convocation, mais "tu es la seule à ne pas être venue", culpabilisation, contrôles croisés sur le travail, bilans d'activité, invitations à me renouveler, j'en peux vraiment plus, beeeeuuuuuuuukkkkk.
Signé : le mouton noir
*Si je ne me pliais pas à ce fonctionnement local, ce serait pire.
- InvitéENiveau 4
Dans mon école, travail d'équipe = faire ce que j'ai décidé pour la plus "adorable" de mes collègues et ses délicieuses copines. Les collègues sympas? Il y en a une dans mon cycle....... de mon niveau j'ai cette chance, sinon elles sont dans les autres cycles.
Soutien morale et solidarité: à peu près 0 et quand tu as besoin de soutien, presque personne ; il ne faut pas généraliser mais c'est souvent le cas.
Pas la peine de se rendre malade à vouloir conquérir des personnes comme ça, pour moi c'est une perte de temps, la place est libre pour des gens vraiment intéressants!
Soutien morale et solidarité: à peu près 0 et quand tu as besoin de soutien, presque personne ; il ne faut pas généraliser mais c'est souvent le cas.
Pas la peine de se rendre malade à vouloir conquérir des personnes comme ça, pour moi c'est une perte de temps, la place est libre pour des gens vraiment intéressants!
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