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- GrypheMédiateur
Mais la fondation de Massalia ça tient en 15-20 mn d'un cours de 6ème. Comment faire tout ça ? (Même si parmi les points que tu proposes, certains sont vus dans d'autres chapitres.)
- doctor whoDoyen
Ca doit pouvoir se faire en une heure en CM1. Si tu élimines le recours aux documents, ça va vite.
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- GrypheMédiateur
OK. Alors ça suppose des maîtres bien formés (ils ne sont pas tous historiens !) et surtout, la mise à disposition de manuels scolaires clairs et complets qui expliquent tout ça. Je suppose que vous travaillez dessus.doctor who a écrit:Ca doit pouvoir se faire en une heure en CM1. Si tu élimines le recours aux documents, ça va vite.
- LefterisEsprit sacré
Je pourrais t'aider, mais je me ferais bannir ...iphigénie a écrit:curriculum, c'est le bon mot (la course) :
avant on ambitionnait un "cursus" scolaire (parcours)...
Et en plus une course transversale: c'est un concept à coup sûr innovant! et prometteur!
EN français: les jeux du cirque vont commencer. A vos lices.... les crabes....
je manque d'épithètes...Les programmes doivent mettre en avant les principaux attributs de l’acte d’apprendre,
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- VolubilysGrand sage
Gryphe a écrit:OK. Alors ça suppose des maîtres bien formés (ils ne sont pas tous historiens !) et surtout, la mise à disposition de manuels scolaires clairs et complets qui expliquent tout ça. Je suppose que vous travaillez dessus.doctor who a écrit:Ca doit pouvoir se faire en une heure en CM1. Si tu élimines le recours aux documents, ça va vite.
Comme si ça existait ça.
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Je vous prie de m'excuser si mes messages contiennent des coquilles, je remercie les personnes qui me les signaleront par mp pour que je puisse les corriger.
- GrypheMédiateur
J'ai de l'espoir en les éditions du GRIP.Volubilys a écrit:Comme si ça existait ça.
- ElyasEsprit sacré
Gryphe a écrit:Mais la fondation de Massalia ça tient en 15-20 mn d'un cours de 6ème. Comment faire tout ça ? (Même si parmi les points que tu proposes, certains sont vus dans d'autres chapitres.)
On peut y passer une heure sans problème.
- ElyasEsprit sacré
doctor who a écrit:
Quant à ce que propose Elyas, c'est très souhaitable, mais, amha, de manière très informelle et pointilliste au collège, et plus directe au lycée, avec des élèves qui ont déjà un background de connaissances bien fourni.
On est tout à fait d'accord. Hélas, comme pour faire écrire, on est souvent obligés de faire avec ce que les élèves savent. Donc, on brode comme on peut.
- GrypheMédiateur
Sorry, ça fait 4 ans que j'ai arrêté les cours, je ne suis pas très au fait des nouveaux programmes.Elyas a écrit:On peut y passer une heure sans problème.
- dandelionVénérable
Curriculum: de l'anglais curriculum = programme (c'est un peu plus fourre-tout que ça chez les Anglo-Saxons, mais quand même...).Celeborn a écrit:Aevin a écrit:Est-ce que on est d'accord sur le sens du mot curriculum dans le cadre de l'enseignement ?
Personne n'ayant pour le moment été capable de me fournir un exemple concret de ce à quoi ressemblerait un curriculum, je pense que le mot n'a actuellement aucun sens. Ce qui est bien pratique car ça permet de l'employer généreusement dans la conversation.
Je me faisais la réflexion ce matin que quand on écrit un cv en anglais on distingue les 'soft skills' qu'on pourrait qualifier de 'compétences comportementales ou transversales' des 'hard skills' qui sont beaucoup plus techniques, et, quoi qu'on en dise, nettement plus proches du terme 'connaissances'. Est-ce que l'un de ces révolutionnaires de la pédagogie va finir par comprendre que l'un ne va pas sans l'autre? Une compétence, ce n'est jamais que l'utilisation de connaissances, parfois bien longtemps après que la connaissance a été acquise.
Pour ce qui est du temps, je me demande tout de même si l'approche actuelle n'est pas tout simplement trop éloignée des capacités des jeunes enfants à intégrer la notion de temps. Parler des poilus à des enfants de CE1 qui pensent l'histoire en termes de maintenant vs les dinosaures, c'est quand même un peu surprenant.
- philannDoyen
Gryphe a écrit:Je devrais m'en inspirer pour les Conseils péda, c'est grandiose.Les programmes doivent mettre en avant les principaux attributs de l’acte d’apprendre, de manière à ce qu’ils deviennent aussi importants dans l’acte d’enseigner que les contenus à transmettre et compétences à développer. Citons notamment la confiance en soi et le sentiment de compétence, le processus d’expression-création, la compréhension et le sens, la mémorisation et la répétition des acquis pour éviter leur oubli, l’organisation coopérative.
Bon allez, je file lire le topic en entier.
Oui bah avant de t'en inspirer n'hésite pas une seconde à me le traduire en français... (ou pas)
Je citerai pour ma part ce grand philosophe, Félix Houphouët-Boigny:
"Nous étions au bord d'un gouffre, nous avons fait un grand pas en avant!"
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2014-2015: poste fixe dans les Hauts de Seine
2013-2014: certifiée stagiaire dans les Hauts de Seine
2011-2013: prof. contractuelle dans l'Essonne
- dandelionVénérable
Plusieurs personnes m'ont raconté comment ils adoooraient travailler avec les Américains, pour qui tout va bien, pas de problème, ce sera fait (confiance en soi, positiver!) et puis tout va mal, il y a plein de problèmes, et rien n'est fait. Je ne dis pas que ça n'a aucun avantage, seulement qu'il y a aussi des inconvénients (par exemple voir que l'on va dans le gouffre après y être tombé ).
- Luigi_BGrand Maître
Nouvelle tribune du "CRAP-Cahiers pédagogiques" pour la réécriture des programmes : "Programmes scolaires : pour une vraie refondation et une confiance faite aux équipes". Dans une tribune précédente, les "Cahiers" réclamaient la suppression du Brevet.
A lire très attentivement pour s'apercevoir que les "Cahiers", contrairement au titre de leur tribune, ont si peu "confiance" dans les "équipes" qu'ils suggèrent au président du Conseil supérieur des programmes - non sans un certain machiavélisme - d'imposer les nouvelles pédagogies (par exemple le renoncement à l'enseignement purement disciplinaire ou le travail obligatoire en équipes) par des moyens plus contraignants, en imposant par exemple des programmes en partie non-disciplinaires ou des épreuves d'examen non disciplinaires.
Pour résumer, l'idéal des "Cahiers" : qu'on ne sache plus qui enseigne quoi (les enseignants se partageant et se répartissant au gré de multiples réunions les enseignements transdiciplinaires en adaptant à leur public des programmes devenus indicatifs, et non plus normatifs) ni qui est évalué (les élèves travaillant collaborativement) ni sur quels critère (en prenant en compte les nouveaux "attributs de l'acte d'apprendre" quelque peu flous : "confiance en soi", "sentiment de compétence", "processus d’expression-création", "organisation coopérative" et en valorisant l'expression orale plutôt que l'écrit, bien entendu).
- Spoiler:
- Programmes scolaires : pour une vraie refondation et une confiance faite aux équipes
Nous apportons notre soutien au projet du Conseil supérieur des Programmes (CSP) de repenser les programmes scolaires en termes de curriculum, c’est-à-dire en prenant en compte l’ensemble de l’expérience scolaire de chaque élève et non la seule liste des contenus étudiés dans chaque discipline.
Toutefois, pour que la mise en œuvre de ce principe ait des chances sérieuses d’introduire dans les pratiques et les apprentissages les changements que les difficultés actuelles de notre école appellent, nous proposons un certain nombre de principes qui doivent être, selon nous, au cœur de la « charte des programmes » qui est prévue par le CSP.
• Les programmes ne doivent pas exclusivement être rédigés discipline par discipline, mais être guidés par un référentiel fournissant des objectifs transversaux et pour ce qui est de la scolarité obligatoire articulés au socle commun de connaissances, de compétences et de culture.
• Les programmes ne doivent pas déterminer de manière trop précise par exemple comment aborder la capacité « Savoir distinguer un argument rationnel d’un argument d’autorité » ou la connaissance « Influence de l’homme sur l’écosystème », mais laisser aux équipes pédagogiques une large autonomie pour ce qui concerne la manière de traiter ces compétences, à travers plusieurs disciplines et en tenant compte des besoins constatés et du contexte de l’établissement. De même, l’étude des « grandes périodes de l’histoire de l’humanité » n’a pas forcément à être effectuée dans l’ordre chronologique : compte tenu du patrimoine local ou des événements de l’année, les enseignants d’une école peuvent parfaitement bouleverser cet ordre, à partir du moment où cette initiative s’accompagne d’une véritable réflexion sur les moyens de faire acquérir par ailleurs aux élèves la notion de chronologie.
• Les programmes doivent mettre en avant les principaux attributs de l’acte d’apprendre, de manière à ce qu’ils deviennent aussi importants dans l’acte d’enseigner que les contenus à transmettre et compétences à développer. Citons notamment la confiance en soi et le sentiment de compétence, le processus d’expression-création, la compréhension et le sens, la mémorisation et la répétition des acquis pour éviter leur oubli, l’organisation coopérative.
• Rompant avec une tradition qui multiplie les précisions et les conseils qui, sur le terrain, sont souvent interprétés comme des injonctions, les programmes refondés doivent être brefs, le référentiel de chaque cycle pluriannuel ne devant à notre sens pas dépasser quinze pages. C’est en effet la condition indispensable à la prise d’initiative des enseignants, qu’on considère trop souvent comme de simples exécutants. Ils doivent être consultés lors de l’élaboration des programmes, sous des formes les plus diverses. Et ils doivent être encouragés à faire preuve d’autonomie sur ce point, dans le cadre des équipes dans lesquelles ils sont intégrés. Les documents d’accompagnement doivent bien être présentés comme des suggestions et des outils pour aider à la mise en oeuvre, mettant l’accent moins sur des conseils institutionnels que sur la présentation d’expériences réelles, variées, où un accent est mis sur les situations complexes et sur la nécessaire différenciation pédagogique. Et ceci afin de préserver aussi la part indispensable d’inventivité, de créativité et de responsabilité personnelles que l’acte pédagogique suppose à tous les niveaux de l’Education. Une des conséquences sera de redéfinir les rôles des inspecteurs : ils devront s’engager pour que les enseignants se sentent autorisés et même encouragés, ils mettront à disposition des ressources abondantes, en particulier par la mutualisation des expériences menées par des collègues.
• Tout cela implique une forte revalorisation de la formation continue , indispensable pour outiller et favoriser la prise d’initiative des équipes , en particulier pour développer l’interdisciplinarité.
• Enfin, une refondation des programmes n’aura de chances d’influencer véritablement l’enseignement au quotidien que si elle est intimement liée à la redéfinition des modalités de passage des examens, qui orientent véritablement la pédagogie en amont. L’interdisciplinarité sera un vain mot tant que la quasi-totalité des épreuves du baccalauréat et du brevet demeureront disciplinaires. La responsabilité pédagogique de l’enseignant et l’adaptation de la pédagogie aux caractéristiques du public resteront virtuelles aussi longtemps qu’une grande partie des épreuves consisteront essentiellement en des exercices de restitution. Pour que des programmes ouverts confèrent une véritable responsabilité aux équipes pédagogiques, il faut développer les épreuves basées sur la présentation par les élèves de travaux individuels ou collectifs (sur le modèle par exemple des TPE ou de l’histoire des arts, insuffisamment valorisés) et sur des exercices interdisciplinaires, totalement absents des épreuves ponctuelles dans le système français malgré leur grand intérêt pédagogique.
Notre école a l’étonnant pouvoir d’absorber les réformes en les adaptant à un système qui, dans les faits, ne change guère. Pour que la refondation des programmes ne soit pas, une fois de plus, un coup d’épée dans l’eau, pour qu’elle s’inscrive dans le cadre d’une école qui permette les progrès et la réussite de tous, il est essentiel :
• de responsabiliser davantage les équipes enseignantes en leur laissant une marge d’autonomie et en substituant à un contrôle tâtillon un pilotage de l’institution autour de grands objectifs à atteindre
• de concevoir les programmes comme des cadres souples, des ressources , l’essentiel étant la construction des compéténces des élèves, l’important étant toujours ce que les élèves apprennent et non ce que l’enseignant enseigne.
Le CRAP-Cahiers pédagogiques, 9 février 2014
A lire très attentivement pour s'apercevoir que les "Cahiers", contrairement au titre de leur tribune, ont si peu "confiance" dans les "équipes" qu'ils suggèrent au président du Conseil supérieur des programmes - non sans un certain machiavélisme - d'imposer les nouvelles pédagogies (par exemple le renoncement à l'enseignement purement disciplinaire ou le travail obligatoire en équipes) par des moyens plus contraignants, en imposant par exemple des programmes en partie non-disciplinaires ou des épreuves d'examen non disciplinaires.
Pour résumer, l'idéal des "Cahiers" : qu'on ne sache plus qui enseigne quoi (les enseignants se partageant et se répartissant au gré de multiples réunions les enseignements transdiciplinaires en adaptant à leur public des programmes devenus indicatifs, et non plus normatifs) ni qui est évalué (les élèves travaillant collaborativement) ni sur quels critère (en prenant en compte les nouveaux "attributs de l'acte d'apprendre" quelque peu flous : "confiance en soi", "sentiment de compétence", "processus d’expression-création", "organisation coopérative" et en valorisant l'expression orale plutôt que l'écrit, bien entendu).
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LVM Dernier billet : "Une École si distante"
- CeladonDemi-dieu
OMG !!! C'est de pire en pire. On pourra dire qu'ils portent une sacrée responsabilité dans la destruction de la transmission, eux, alors !
- IphigénieProphète
ça se confirme
- dandelionVénérable
Les TPE et l'histoire des arts c'est leur modèle de ce qui est bien? Le truc que si c'est tes parents qui l'ont fait c'est vachement mieux et tu as une bonne note?
- Luigi_BGrand Maître
C'est du travail collaboratif, inter-générationnel et permettant une co-éducation : que des vertus !
Autre avantage des TPE : ils sont la seule épreuve d'examen obligatoire qui ne fait pas perdre de points.
Autre avantage des TPE : ils sont la seule épreuve d'examen obligatoire qui ne fait pas perdre de points.
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LVM Dernier billet : "Une École si distante"
- ElyasEsprit sacré
Il y a déjà un sujet ouvert à ce propos depuis dimanche.
- DinosauraHabitué du forum
N'est-ce pas déjà un peu le cas, avec la mise en place du socle et l'invasion des "compétences" dans les programmes ? (je pense aux "capacités" dans les programmes d'HG, ce que je connais, mais peut-être est-ce généralisable ?). On est passé d'une logique d'acquisition de connaissances à une logique de validation de compétences...et il faudrait évaluer tout le temps.
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"Le plus esclave est celui qui ignore ses chaînes."
- Luigi_BGrand Maître
Bien sûr : le socle devait d'abord être tiré des programmes et leur être en quelque sorte superposé. Il doit maintenant servir à rédiger les programmes, voire - idéalement - s'y substituer.
Il faut dire que l'écart entre les deux est voyant. Comme le disent les "'Cahiers" :
Il faut dire que l'écart entre les deux est voyant. Comme le disent les "'Cahiers" :
Le Diplôme National du Brevet et le Certificat de Formation Générale doivent être supprimés sous leur forme actuelle. Il ne peut pas y avoir discordance entre validation du socle et examens terminaux.
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LVM Dernier billet : "Une École si distante"
- DinosauraHabitué du forum
Je n'avais pas perçu l'inversion des rôles entre socle et programmes, et le fait que le premier devienne prééminent sur le second (et sa logique ringarde "restitutive"...).
Toutefois, à l'IUFM, on nous avait déjà "formés" à lire les programmes d'HG dans un sens circulaire dans l'ordre suivant : capacités / connaissances / démarches.
Toutefois, à l'IUFM, on nous avait déjà "formés" à lire les programmes d'HG dans un sens circulaire dans l'ordre suivant : capacités / connaissances / démarches.
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"Le plus esclave est celui qui ignore ses chaînes."
- Luigi_BGrand Maître
Ajoutons que le président du Conseil supérieur des programmes, Alain Boissinot, est acquis aux idées des "Cahiers" puisqu'elle sont mentionnées quasiment telles quelles dans la lettre de mission ministérielle :
Source : http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2013/12/06122013Article635219127288024680.aspx
Le ministre demande que les nouveaux programmes soient "plus favorables à la réussite de tous les élèves". [...] L'articulation avec le socle devient une obligation alors que jusque là le socle était très secondaire. Il appartient au CSP de définir le socle. Autre changement structurel, les programmes devront être conçus par cycles et faciliter l'interdisciplinaire.
L'évaluation va devenir une entrée essentielle des programmes. C'est qui pilotera le travail des enseignants. [...]
V Peillon souhaite encourager l'interdisciplinarité dans les programmes. La nomination de RF Gauthier au CSP devrait amener le CSP à réfléchir d'abord à l'écart entre programme et curriculum. "Le curriculum renverse la logique des programmes habituelle", nous avait dit A Boissinot. "C'est une vision plus haute qui décline les disciplines en partant du parcours d'apprentissage des élèves". Les programmes à la française sont fragmentés, annuels, ils ne se justifient pas par rapport à un projet éducatif. Ils sont très limités, sans référence au x modes d’évaluation, aux outils pédagogiques à employer. Le curriculum c’est une prescription qui a un caractère systémique et qui inclut la formation des enseignants, la gestion de la classe etc. Avec le curriculum, la mise en œuvre du programme sort de l’implicite et devient le fruit d’un travail collectif dans l’établissement", nous disait Roger-François Gauthier , directeur d'un excellent numéro de la Revue de Sèvres sur le sujet.
Source : http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2013/12/06122013Article635219127288024680.aspx
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LVM Dernier billet : "Une École si distante"
- DinosauraHabitué du forum
Et j'ajouterais : les corps d'inspection, non ?
En fait, toute la superstructure de l'EN n'est-elle pas acquise à ces idées ? (tant que leurs mômes ne fréquentent pas ces établissements de culture a minima...)
En fait, toute la superstructure de l'EN n'est-elle pas acquise à ces idées ? (tant que leurs mômes ne fréquentent pas ces établissements de culture a minima...)
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"Le plus esclave est celui qui ignore ses chaînes."
- auléricNeoprof expérimenté
l'avantage c'est que comme certains CDE ont la main et valident de toute façon le socle pour tout le monde on pourra enfin dire qu'on a vaincu l'échec scolaire ! 100% des sortants seront diplomés!
- Luigi_BGrand Maître
Ça tombe bien :
Le ministre demande que les nouveaux programmes soient "plus favorables à la réussite de tous les élèves"
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LVM Dernier billet : "Une École si distante"
- User5899Demi-dieu
Vous pouvez les lire dans le sens que vous voulez : en 1re, ils confondent Napoléon Ier et Napoléon III, donc ils sont nuls épicétou.Dinosaura a écrit:Je n'avais pas perçu l'inversion des rôles entre socle et programmes, et le fait que le premier devienne prééminent sur le second (et sa logique ringarde "restitutive"...).
Toutefois, à l'IUFM, on nous avait déjà "formés" à lire les programmes d'HG dans un sens circulaire dans l'ordre suivant : capacités / connaissances / démarches.
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- Projet de loi sur l'école : Audition à l'Assemblée des Cahiers pédagogiques et d'Education et Devenir.
- Revendication des Cahiers pédagogiques dans l'Humanité : "une obligation de formation pour les enseignants [...] proposée par les mouvements pédagogiques ou les associations [...] dans des universités d’été".
- La revue de presse des Cahiers Pédagogiques
- Les Cahiers pédagogiques proposent leurs idées d'EPI.
- Défense du socle commun par les Cahiers pédagogiques
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