- JohnMédiateur
Article écoeurant dans le journal allemand de centre-droit Die Welt :
http://www.welt.de/debatte/kommentare/article124792188/Ich-bin-wohl-homophob-Und-das-ist-auch-gut-so.htmlWer nicht begeistert über Schwule spricht, ist gleich ein Schwulenhasser. Mittlerweile hat Homophobie dem Antisemitismus als schlimmste ideologische Sünde den Rang streitig gemacht. Von Matthias Matussek
Für einen Kirchenmann ist die Aussage des Kardinals eine Selbstverständlichkeit. Im naturrechtlichen Verständnis, das die Kirche von einer idealen Liebesbindung hat, ist die Polarität der Geschlechter vorausgesetzt, weil nur sie für den Schöpfungsauftrag sorgen kann, der in Mose 1,28 so klingt: "Und Gott segnete sie und sprach zu ihnen: "Gehet hin und mehret euch..." Nun müsste man allerdings die Bibel mal gründlich auf homophobe Tendenzen abklopfen. Ich bin nicht sicher, dass sie, zumindest in Spanien, verfassungskonform wäre.
Doch auch bei uns wackeln regelmäßig die Wände, wenn Kirchenleute, aber nicht nur sie, Präferenzen für den Normalfall von Ehe und Familie erkennen lassen.
Homophobie hat mittlerweile dem Antisemitismus als schlimmste ideologische Sünde den Rang streitig gemacht. Von allen autokratischen Fehlleistungen Putins gilt seine Kampagne gegen Homosexuelle als die allerniederträchtigste, egal, wen er sonst so ins Gefängnis steckt.
Wir haben Nachbarn, die sich die olympischen Spiele in Sotchi aus dem Grunde nicht anschauen. Eine Art privater Olympia-Boykott. Den Jubel über deutsche Medaillen im Rodeln oder auf der Piste quittieren sie kopfschüttelnd. Sie gehören zweifelsfrei zu den Guten.
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"Qui a construit Thèbes aux sept portes ? Dans les livres, on donne les noms des Rois. Les Rois ont-ils traîné les blocs de pierre ? [...] Quand la Muraille de Chine fut terminée, Où allèrent ce soir-là les maçons ?" (Brecht)
"La nostalgie, c'est plus ce que c'était" (Simone Signoret)
- InvitéInvité
Je n'ai jamais été aussi contente que le jour où j'ai appris que ce pauvre garçon quittait le Spiegel pour aller chez une antenne de Springer. Il y est bien.
Un sombre imbécile. Par contre, évidemment, il enrobe bien son propos, mieux que le titre véritablement racoleur de l'article (qui traduit bien sa pensée du malgré tout)ne le laisse présager à des non germanistes.
Pour ceux qui n'ont pas le malheur de le connaître, ce Matussek est une espèce de Zemmour sans ses fulgurances occasionnelles. Un type capable de vous pondre un dossier sur un des frères Humboldt avec pour seule idée force que c'était un vrai mec bien viril (il doit avoir des complexes à ce niveau, pas possible autrement) ou de vous expliquer dans une interview (à Die Welt justement) que Hitler n'était finalement qu'un taré autrichien et qu'il ne voyait pas bien pourquoi on embêtait tant les Allemands avec cela. Voila, ça vous pose un bonhomme.
Je retourne à mon insomnie
Un sombre imbécile. Par contre, évidemment, il enrobe bien son propos, mieux que le titre véritablement racoleur de l'article (qui traduit bien sa pensée du malgré tout)ne le laisse présager à des non germanistes.
Pour ceux qui n'ont pas le malheur de le connaître, ce Matussek est une espèce de Zemmour sans ses fulgurances occasionnelles. Un type capable de vous pondre un dossier sur un des frères Humboldt avec pour seule idée force que c'était un vrai mec bien viril (il doit avoir des complexes à ce niveau, pas possible autrement) ou de vous expliquer dans une interview (à Die Welt justement) que Hitler n'était finalement qu'un taré autrichien et qu'il ne voyait pas bien pourquoi on embêtait tant les Allemands avec cela. Voila, ça vous pose un bonhomme.
Je retourne à mon insomnie
- JohnMédiateur
Es genügte eigentlich, die jüngsten Lebensäußerungen von Matthias Matussek zu beobachten, um zu wissen, was von der derzeit tobenden Debatte um Homosexualität zu halten ist. In der Welt bestand er darauf, homosexuelle Liebe sei „eine defizitäre, weil sie ohne Kinder bleibt“, im European legte er nach, Homosexualität sei „ein Fehler der Natur“, und auf eine Kritik daran von Stefan Niggemeier reagierte er am Montag mit einem derart bizarren Verbalamoklauf („Niggi, aufgeschwemmter Mausepaul“) samt hochnotpeinlicher Selbstbeweihräucherung, dass man sich fragt, ob denn da wirklich niemand ist, der dem Mann helfen kann.
Damit könnte man es bewenden lassen, wenn er nicht plötzlich eine alte Argumentationslinie reanimierte, die hochgefährlich ist. Um das zu erkennen, muss man nicht mal die sich aufdrängenden historischen Vergleiche bemühen. „Lebewesen müssen sich fortpflanzen, um die Art zu erhalten. In diesem Sinne ist Gleichgeschlechtlichkeit [sic!] ein Fehler der Natur. So wie es Taubheit gibt. Oder Erbkrankheiten. Ich verstehe den Skandal nicht, den eine solche Äußerung verursachen könnte.“ Das verwundert nicht, denn auch sonst scheint der Mann so einiges nicht zu verstehen. Biologie zum Beispiel.
http://www.taz.de/!133695/
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