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- cathemisNiveau 10
J'ai fait de la pub pour le latin en sixième. Certains bons élèves sont motivés, mais les parents leur interdisent de faire du latin, parce qu'ils risquent avec du travail en plus et surtout 2h d'étude en moins de ne pas avoir 18 de moyenne, mais seulement 17,5 ! Que faire ?
Quant aux plus mauvais qui sont aussi motivés, le collège va leur interdire d'en faire.
Quant aux plus mauvais qui sont aussi motivés, le collège va leur interdire d'en faire.
- philannDoyen
une lettre à ton inspecteur...pour le collège qui veut interdire l'option à certains élèves!!
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2014-2015: poste fixe dans les Hauts de Seine
2013-2014: certifiée stagiaire dans les Hauts de Seine
2011-2013: prof. contractuelle dans l'Essonne
- ProvenceEnchanteur
Essayer de convaincre les parents, mais c'est le plus souvent peine perdue... L'argument le plus convaincant est sans doute celui de la bonne classe...cathemis a écrit:J'ai fait de la pub pour le latin en sixième. Certains bons élèves sont motivés, mais les parents leur interdisent de faire du latin, parce qu'ils risquent avec du travail en plus et surtout 2h d'étude en moins de ne pas avoir 18 de moyenne, mais seulement 17,5 ! Que faire ?
Une motivation superficielle donne rarement de grands résultats.Quant aux plus mauvais qui sont aussi motivés, le collège va leur interdire d'en faire.
- marjoDoyen
Mais quand est-ce que les gens comprendront que c'est une chance (surtout dans les temps qui courent) de pouvoir faire (encore) du latin ? Les parents ont une réaction idiote (ce n'est pas la réaction en elle-même qui est idiote, mais plutôt les arguments avancés).
- DwarfVénérable
Pour les parents, pas grand chose, malheureusement... Moi j'ai droit à "mes parents en ont fait et cela ne leur a servi à rien"... Pitiful... mais bon, cela dépend de leur expérience. Raison pour laquelle j'explique que là, le prof est différent. Mais bon...
Pour le coup des élèves faibles, ce n'est pas forcément une mauvaise chose car effectivement ils peuvent se retrouver en difficulté à cause de la charge horaire et des devoirs en plus. Mais en général, je préfère faire un pari de Pascal et l'établissement me suit et nous faisons un point à l'issue du premier trimestre. Mais ma direction est conciliante.
Pour le coup des élèves faibles, ce n'est pas forcément une mauvaise chose car effectivement ils peuvent se retrouver en difficulté à cause de la charge horaire et des devoirs en plus. Mais en général, je préfère faire un pari de Pascal et l'établissement me suit et nous faisons un point à l'issue du premier trimestre. Mais ma direction est conciliante.
- doubledeckerSage
Provence a écrit:Essayer de convaincre les parents, mais c'est le plus souvent peine perdue... L'argument le plus convaincant est sans doute celui de la bonne classe...cathemis a écrit:J'ai fait de la pub pour le latin en sixième. Certains bons élèves sont motivés, mais les parents leur interdisent de faire du latin, parce qu'ils risquent avec du travail en plus et surtout 2h d'étude en moins de ne pas avoir 18 de moyenne, mais seulement 17,5 ! Que faire ?
Une motivation superficielle donne rarement de grands résultats.Quant aux plus mauvais qui sont aussi motivés, le collège va leur interdire d'en faire.
des résultats scolaires moyens voire mauvais ne sont pas systématiquement synonyme de motivation superficielle. J'ai eu des élèves qui suivaient l'option anglais euro, qui avaient une motivation sans faille malgré des résultats fort peu flatteurs. Après on peut aussi préférer n'avoir que de bons élèves.
Là où je serais plus circonspect c'est comme l'a fait remarquer Philann sur le fait d'interdire cette option aux élèves avec des résultats faibles. Au cas par cas on peut se poser la question du surcroît de travail mais une interdiction à priori me laisse sans voix.
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If you're not failing every now and again it's a sign you're not doing anything very innovative (Woody Allen)
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- TazonNiveau 9
cathemis a écrit:
Quant aux plus mauvais qui sont aussi motivés, le collège va leur interdire d'en faire.
C'est quelque chose qui m'a toujours choquée, qu'on refuse à des élèves une activité qui les fera réfléchir, et peut-être même progresser, en tout cas augmentera leur ouverture d'esprit (mes réserves ne portent pas sur le latin en lui-même, bien sûr, mais sur l'apport à certains élèves pas forcément à même de tirer tous les bénéfices possibles de cet enseignement). J'ai l'habitude de dire que si ce sont les futures mauvaises notes qui gênent, ils devraient arrêter les maths aussi. Et quelle image on leur renvoie, "non, tu es trop mauvais!, T'as pas encore commencé que tu es trop mauvais, on le sait d'avance", magnifique pour l'estime de soi à 12 ans.
Ceci dit, je suis toujours isolée lorsque je tiens ce genre de discours en conseil de classe.
( Au passage, si encore c'était pour maintenir un haut niveau d'exigence dans cet enseignement, on pourrait comprendre, mais à vous lire, cela n'a pas l'air d'être le cas)
- yranohHabitué du forum
Tu devrais contacter les parents.
Une petite anecdote. J'avais fait un remplacement en collège quand j'étais encore étudiant. J'avais contacté les professeurs de grec des lycées du coin, pour leur demander s'ils acceptaient des élèves débutants. Réponse positive. J'en avais du coup parlé à mes troisièmes en français, et, face à l'un d'entre eux qui était venu me voir pour me dire qu'il aimerait bien commencer mais qu'il ne savait pas si le grec lui serait utile pour être pompier, j'ai été décontenancé! J'ai raconté ça à mon professeur de XVIIème. Quand je lui ai dit ma réponse (inutile pour être pompier), elle m'a dit : "mais il fallait lui répondre que ça lui serait utile, parce que ça rend intelligent!" A mon avis, on ne peut pas dire mieux.
Une petite anecdote. J'avais fait un remplacement en collège quand j'étais encore étudiant. J'avais contacté les professeurs de grec des lycées du coin, pour leur demander s'ils acceptaient des élèves débutants. Réponse positive. J'en avais du coup parlé à mes troisièmes en français, et, face à l'un d'entre eux qui était venu me voir pour me dire qu'il aimerait bien commencer mais qu'il ne savait pas si le grec lui serait utile pour être pompier, j'ai été décontenancé! J'ai raconté ça à mon professeur de XVIIème. Quand je lui ai dit ma réponse (inutile pour être pompier), elle m'a dit : "mais il fallait lui répondre que ça lui serait utile, parce que ça rend intelligent!" A mon avis, on ne peut pas dire mieux.
- ProvenceEnchanteur
doubledecker a écrit:
des résultats scolaires moyens voire mauvais ne sont pas systématiquement synonyme de motivation superficielle. J'ai eu des élèves qui suivaient l'option anglais euro, qui avaient une motivation sans faille malgré des résultats fort peu flatteurs. Après on peut aussi préférer n'avoir que de bons élèves.
Disons que j'ai mon expérience pour moi et que j'ai souvent vu des élèves très très très motivés par le latin qui ne suivaient pas, faute de travail... Ils étaient déjà en difficulté en 6e...
- Reine MargotDemi-dieu
oui et puis il y a les "très motivés" qui veulent rapidement arrêter une fois qu'ils voient que ça demande du travail...
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- marjoDoyen
Reine Margot a écrit:oui et puis il y a les "très motivés" qui veulent rapidement arrêter une fois qu'ils voient que ça demande du travail...
Exactement. Et puis il y aussi ceux qui se payent des caisses toute l'année mais ne voudraient arrêter pour rien au monde.
- DwarfVénérable
marjolie.june a écrit:Raison pour laquelle je les préviens bien en 6ème : le latin, c'est du travail et s'ils aiment glander, pas la peine de venir me voir.Reine Margot a écrit:oui et puis il y a les "très motivés" qui veulent rapidement arrêter une fois qu'ils voient que ça demande du travail...
Exactement. Et puis il y aussi ceux qui se payent des caisses toute l'année mais ne voudraient arrêter pour rien au monde.
Ceux-là ne me dérangent pas : tant qu'ils ont quelque chose à retirer du cours, ma foi... Après tout, on peut vouloir faire du latin seulement pour se cultiver.
- AmaliahEmpereur
J'ai eu une fois le cas d'une élève dont les parents refusaient qu'elle fasse latin. J'ai vu les parents et dépoussiéré l'image du latin, l'élève en question a pu faire latin. Ses parents avaient l'image d'une matière ennuyeuse qu'ils avaient subie au collège. L'élève actuellement en première a continué le latin au lycée!
Chez nous aussi, le latin est refusé aux élèves qui ont des difficultés, cela ne me choque pas en fait.
Chez nous aussi, le latin est refusé aux élèves qui ont des difficultés, cela ne me choque pas en fait.
- DwarfVénérable
Amaliah a écrit:J'ai eu une fois le cas d'une élève dont les parents refusaient qu'elle fasse latin. J'ai vu les parents et dépoussiéré l'image du latin, l'élève en question a pu faire latin. Ses parents avaient l'image d'une matière ennuyeuse qu'ils avaient subie au collège. L'élève actuellement en première a continué le latin au lycée! Oui, je me suis déjà dit que je devrais procéder ainsi mais la fn de l'année est toujours tellement chargée : il faudra que je m'oblige à le faire cette année (parce que des élèves dans ce cas-là, j'en ai tous les ans!).
Chez nous aussi, le latin est refusé aux élèves qui ont des difficultés, cela ne me choque pas en fait. Oui, quand ils ont de réelles difficultés, c'est normal.
- User5899Demi-dieu
Un exemple supplémentaire qui illustre la maltraitance des enfants par leurs parents. Un argument supplémentaire pour sécher les réunions avec ces gens? J'ai décidé de franchir le pas.marjolie.june a écrit:Mais quand est-ce que les gens comprendront que c'est une chance (surtout dans les temps qui courent) de pouvoir faire (encore) du latin ? Les parents ont une réaction idiote (ce n'est pas la réaction en elle-même qui est idiote, mais plutôt les arguments avancés).
- Reine MargotDemi-dieu
Amaliah a écrit:J'ai eu une fois le cas d'une élève dont les parents refusaient qu'elle fasse latin. J'ai vu les parents et dépoussiéré l'image du latin, l'élève en question a pu faire latin. Ses parents avaient l'image d'une matière ennuyeuse qu'ils avaient subie au collège. L'élève actuellement en première a continué le latin au lycée!
Chez nous aussi, le latin est refusé aux élèves qui ont des difficultés, cela ne me choque pas en fait.
Tout le monde n'a pas la possibilité d'accueillir les parents vêtu en hoplite :lol:
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La famille Bélier
- DwarfVénérable
Reine Margot a écrit:Amaliah a écrit:J'ai eu une fois le cas d'une élève dont les parents refusaient qu'elle fasse latin. J'ai vu les parents et dépoussiéré l'image du latin, l'élève en question a pu faire latin. Ses parents avaient l'image d'une matière ennuyeuse qu'ils avaient subie au collège. L'élève actuellement en première a continué le latin au lycée!
Chez nous aussi, le latin est refusé aux élèves qui ont des difficultés, cela ne me choque pas en fait.
Tout le monde n'a pas la possibilité d'accueillir les parents vêtu en hoplite :lol:
Chiche!
- AmaliahEmpereur
Dwarf a écrit:Amaliah a écrit:J'ai eu une fois le cas d'une élève dont les parents refusaient qu'elle fasse latin. J'ai vu les parents et dépoussiéré l'image du latin, l'élève en question a pu faire latin. Ses parents avaient l'image d'une matière ennuyeuse qu'ils avaient subie au collège. L'élève actuellement en première a continué le latin au lycée! Oui, je me suis déjà dit que je devrais procéder ainsi mais la fn de l'année est toujours tellement chargée : il faudra que je m'oblige à le faire cette année (parce que des élèves dans ce cas-là, j'en ai tous les ans!).
Chez nous aussi, le latin est refusé aux élèves qui ont des difficultés, cela ne me choque pas en fait. Oui, quand ils ont de réelles difficultés, c'est normal.
En fait, chez nous on anticipe et on en parle lors de la réunion parents professeurs du deuxième trimestre pour ne pas faire venir des parents juste pour ça en fin d'année.
- DwarfVénérable
Je vois! Chez nous, information aux élèves (je passe voir les sixièmes) avant les conseils du 3ème trimestre et avis favorable ou pas du conseil de classe en fonction des élèves.Amaliah a écrit:
En fait, chez nous on anticipe et on en parle lors de la réunion parents professeurs du deuxième trimestre pour ne pas faire venir des parents juste pour ça en fin d'année.
- CowabungaHabitué du forum
Si je devais refuser l'entrée aux élèves en difficulté, je pourrais immédiatement fermer l'option.
Quand je suis arrivée dans ce collège, la principale faisait du tri, en refusant tous ceux qui n'avaient pas la moyenne ; ajoutez les horaires pourris que nous connaissons tous, et vous comprendrez pourquoi je n'avais que deux élèves en cinquième...
J'ai lutté pour qu'on prenne tout le monde, sans même un regard pour les bulletins. J'ai beau être d'accord avec l'affirmation de Provence "une motivation superficielle donne rarement de grands résultats", je constate que, chez ces élèves en grande difficulté qui ont l'habitude d'être mis de côté par leurs profs, le bonheur d'être accepté quelque part comme on est peut entraîner une motivation durable. Pas de grands résultats, certes, mais des résultats quand même, et parfois, c'est déjà ça.
Je finis par une petite anecdote : cette année, pour la première fois, j'ai un élève dyslexique en latin. Au cours de sa sixième, quatre personnes différentes sont venues me voir pour me dissuader d'accepter cet élève dans l'option. L'élève lui-même, au premier cours, m'a dit : "Vous savez, Madame, je ne sais pas si je pourrais continuer le latin, ce sera sans doute trop dur pour moi".
Mais le latin s'écrit comme il se prononce et son apprentissage est méthodique... C'est le seul élève à avoir compris le rapport cas / fonction, il connaît ses déclinaisons par coeur, il s'arrache comme un fou pour réussir à lire le latin correctement. Il a eu 20/20 de moyenne au premier trimestre ; devinez ce qu'il m'a dit au début du deuxième ? "Vous savez, Madame, je ne sais pas si je pourrais continuer le latin, ce sera sans doute trop dur pour moi..." !
@cathemis : Pour les parents qui redoutent la baisse de moyenne, fais valoir les points au brevet.
Quand je suis arrivée dans ce collège, la principale faisait du tri, en refusant tous ceux qui n'avaient pas la moyenne ; ajoutez les horaires pourris que nous connaissons tous, et vous comprendrez pourquoi je n'avais que deux élèves en cinquième...
J'ai lutté pour qu'on prenne tout le monde, sans même un regard pour les bulletins. J'ai beau être d'accord avec l'affirmation de Provence "une motivation superficielle donne rarement de grands résultats", je constate que, chez ces élèves en grande difficulté qui ont l'habitude d'être mis de côté par leurs profs, le bonheur d'être accepté quelque part comme on est peut entraîner une motivation durable. Pas de grands résultats, certes, mais des résultats quand même, et parfois, c'est déjà ça.
Je finis par une petite anecdote : cette année, pour la première fois, j'ai un élève dyslexique en latin. Au cours de sa sixième, quatre personnes différentes sont venues me voir pour me dissuader d'accepter cet élève dans l'option. L'élève lui-même, au premier cours, m'a dit : "Vous savez, Madame, je ne sais pas si je pourrais continuer le latin, ce sera sans doute trop dur pour moi".
Mais le latin s'écrit comme il se prononce et son apprentissage est méthodique... C'est le seul élève à avoir compris le rapport cas / fonction, il connaît ses déclinaisons par coeur, il s'arrache comme un fou pour réussir à lire le latin correctement. Il a eu 20/20 de moyenne au premier trimestre ; devinez ce qu'il m'a dit au début du deuxième ? "Vous savez, Madame, je ne sais pas si je pourrais continuer le latin, ce sera sans doute trop dur pour moi..." !
@cathemis : Pour les parents qui redoutent la baisse de moyenne, fais valoir les points au brevet.
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"La parole est mon domaine, la parole est mon royaume" Paul Ricoeur
- SergeMédiateur
@cathemis : Pour les parents qui redoutent la baisse de moyenne, fais valoir les points au brevet.
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Ce n'est pas rien ! A défaut de les toucher par l'argument de l'amour des textes et de la culture ...
- ProvenceEnchanteur
Ça peut fonctionner. Moi-même, je ne refuse personne (sauf quand on a top de volontaires). Mais j'ai connu des groupes plombés par le trop grand nombre d'élèves en difficulté. On n’avançait plus.Cowabunga a écrit:
J'ai lutté pour qu'on prenne tout le monde, sans même un regard pour les bulletins. J'ai beau être d'accord avec l'affirmation de Provence "une motivation superficielle donne rarement de grands résultats", je constate que, chez ces élèves en grande difficulté qui ont l'habitude d'être mis de côté par leurs profs, le bonheur d'être accepté quelque part comme on est peut entraîner une motivation durable. Pas de grands résultats, certes, mais des résultats quand même, et parfois, c'est déjà ça.
Le cas de la dyslexie est particulier.Je finis par une petite anecdote : cette année, pour la première fois, j'ai un élève dyslexique en latin. Au cours de sa sixième, quatre personnes différentes sont venues me voir pour me dissuader d'accepter cet élève dans l'option. L'élève lui-même, au premier cours, m'a dit : "Vous savez, Madame, je ne sais pas si je pourrais continuer le latin, ce sera sans doute trop dur pour moi".
Mais le latin s'écrit comme il se prononce et son apprentissage est méthodique... C'est le seul élève à avoir compris le rapport cas / fonction, il connaît ses déclinaisons par coeur, il s'arrache comme un fou pour réussir à lire le latin correctement. Il a eu 20/20 de moyenne au premier trimestre ; devinez ce qu'il m'a dit au début du deuxième ? "Vous savez, Madame, je ne sais pas si je pourrais continuer le latin, ce sera sans doute trop dur pour moi..." !
- User5899Demi-dieu
Les vrais dyslexiques ne sont pas aidés par le rapport oral/écrit du latin ?
- ProvenceEnchanteur
Cripure a écrit:Les vrais dyslexiques ne sont pas aidés par le rapport oral/écrit du latin ?
Si, je pense.
- DwarfVénérable
Et pour cause sur le plan orthographiques. Mais cela ne gomme pas forcément les éventuelles autres difficultés d'apprentissage liées à leur spécificité. Mais si on les connaît, on s'adapte et hop!Provence a écrit:Cripure a écrit:Les vrais dyslexiques ne sont pas aidés par le rapport oral/écrit du latin ?
Si, je pense.
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