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- JacqGuide spirituel
https://www.neoprofs.org/t69733-projet-pfmp-et-ccf-petition-cgt-snalc-sud-snetaa-fidl-snuep-en-ligne
A priori ce serait une modification des épreuves en cours d'année pour les matières qui en ont (donc pas les L.H.G) et la suppression du ponctuel pour les L.H.G.
A priori ce serait une modification des épreuves en cours d'année pour les matières qui en ont (donc pas les L.H.G) et la suppression du ponctuel pour les L.H.G.
- pitchounetteExpert
c'est un peu logique....pauvres choupinets de mon coeur..c'est trop trop dur d'apprendre et de venir sur place alors que l'examen en pro est passé depuis belle lurette
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Le bonheur est dans le pré après 7 ans de région parisienne
- JacqGuide spirituel
En même temps c'est un gros avantage, puisqu'ils travaillent dans l'optique de la fin d'année.
Si l'examen se déroulait en cours d'année, il est évident qu'ils ne ficheraient plus rien ensuite jusqu'à la fin de l'année. Mais ça c'est sans doute trop difficile à comprendre pour nos penseurs à la tête de l'EN.
Eux qui nous bassinent avec leur pseudo reconquête du mois de juin devraient voir comment se termine l'année en CAP une fois les CCF passés... plus aucun travail.
Mais là encore, réfléchir à des faits aussi basiques et concrets c'est sans doute trop complexe pour eux (pas nos élèves, les hommes politiques et les grands pédagogues de l'EN).
Nos élèves, eux, l'ont bien compris. Ils sont plus malins nos élèves de CAP , ils ont de bons prof eux :lol:
La fin d'année sera tranquille, nous n'aurons plus d'élèves !
Si l'examen se déroulait en cours d'année, il est évident qu'ils ne ficheraient plus rien ensuite jusqu'à la fin de l'année. Mais ça c'est sans doute trop difficile à comprendre pour nos penseurs à la tête de l'EN.
Eux qui nous bassinent avec leur pseudo reconquête du mois de juin devraient voir comment se termine l'année en CAP une fois les CCF passés... plus aucun travail.
Mais là encore, réfléchir à des faits aussi basiques et concrets c'est sans doute trop complexe pour eux (pas nos élèves, les hommes politiques et les grands pédagogues de l'EN).
Nos élèves, eux, l'ont bien compris. Ils sont plus malins nos élèves de CAP , ils ont de bons prof eux :lol:
La fin d'année sera tranquille, nous n'aurons plus d'élèves !
- ReinemèreNiveau 5
J'ai envoyé un mail à mon inspecteur mais je n'ai pas, pour l'instant (l'espoir fait vivre), reçu de nouvelles de sa part...
Et vous, avez-vous réagi, avez-vous obtenu des réponses ?
Et vous, avez-vous réagi, avez-vous obtenu des réponses ?
- CathEnchanteur
Je n'ai pas fait remonter de réaction : pourquoi faire ? Quand la nouvelle nous parvient, c'est trop tard...
- ReinemèreNiveau 5
Au moins pour manifester notre profond désaccord, non ?cath a écrit:pourquoi faire ?
- zeprofGrand sage
mes inspecteurs ne m'ont toujours pas envoyés l'info... par contre j'ai eu deux fois le mail annonçant les allègements de programme pour les classes de 1ere et de terminale en HG
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"La peur est le chemin vers le côté obscur: la peur mène à la colère, la colère mène à la haine, la haine… mène à la souffrance."
- DerMaxHabitué du forum
J'en ai entendu parlé en formation mais aucune épreuve 0 dispo nulle part que ça soit sur eduscol, les sites académiques...Perso j'ai continué à travailler sur l'ancien système en me disant que s'ils maitrisaient la réponse longue à 9 points le reste passerait forcément.
- JacqGuide spirituel
DerMax a écrit:J'en ai entendu parlé en formation mais aucune épreuve 0 dispo nulle part que ça soit sur eduscol, les sites académiques...Perso j'ai continué à travailler sur l'ancien système en me disant que s'ils maitrisaient la réponse longue à 9 points le reste passerait forcément.
"On" (inspecteurs) nous indique de continuer à travailler dessus, sous prétexte que cela prépare au BTS, mais que la "question sèche" serait maintenant découpée en plusieurs questions sur un même thème.
- SeptimusNiveau 8
friou a écrit:Bonjour,
Nous sommes le 1er mai et je n'ai toujours eu aucune info officielle par rapport à la reformulation de la 1ère question pour l'épreuve d'histoire-géo au bac pro - je n'ai rien trouvé dans les BOEN..... et vous............... ????? Merci de votre réponse car mine de rien la fin de l'année approche .
D'après les sujets tombés à Pondichery c'est bien le cas, pas de question sèche en première partie mais plusieurs questions... d'une simplicité enfantine d'ailleurs... Une question sèche demande tout de même un minimum de réflexion, alors que là... vive le nivellement par le bas!
- DerMaxHabitué du forum
http://histoire-geographie-cfa.e-monsite.com/medias/files/lt-d-info-lettres-histoire.pdf ça m'avait fait rire, deux ans de préparation (première-terminale) pour arriver à ça: http://www.youscribe.com/Product/Download/2442070?embed=true&key=e136fcd04d07fb53804e48340eed49bfe10c95ea&format=1
Par contre ce que je constate c'est que la formulation des sujets se fait en lien avec les connaissances/compétences/capacités du BO.
Par contre ce que je constate c'est que la formulation des sujets se fait en lien avec les connaissances/compétences/capacités du BO.
- JacqGuide spirituel
DerMax a écrit:http://histoire-geographie-cfa.e-monsite.com/medias/files/lt-d-info-lettres-histoire.pdf ça m'avait fait rire, deux ans de préparation (première-terminale) pour arriver à ça: http://www.youscribe.com/Product/Download/2442070?embed=true&key=e136fcd04d07fb53804e48340eed49bfe10c95ea&format=1
Par contre ce que je constate c'est que la formulation des sujets se fait en lien avec les connaissances/compétences/capacités du BO.
Il y a quelques années un inspecteur nous avait dit en mode "confidentiel" : "il faut que l'histoire géographie rapporte des points sinon l'épreuve sera supprimée".
Nous voyons là clairement les exigences du BEP et du Bac : les "beaux" principes qui ont mené à l'élaboration des modalités d'évalution du BEP et du Bac sont peu à peu sacrifiés (comme pour les anciens modèles avaient été vidés de leur contenu) au profit de la "rentabilité" en points pour les élèves et pour s'adapter à l'effondrement de leur niveau réel.
L'institution ne veut pas voir le niveau, elle veut voir des notes et veut que ses notes permettent d'obtenir le bac pour démontrer que le niveau monte (le % des reçus donc). Le sujet est donc fait pour cela, et nos critères de correction seront faits pour cela aussi.
L'objectif n'est pas que les élèves démontrent un certain niveau de connaissances et de compétences mais qu'ils obtiennent des points.
Le sujet de Pondichery montre très bien la réalité : le bac est tombé en dessous du niveau de l'ancien BEP.
J'espère que dans les EPSE ils étudient l'évolution des sujets, histoire de se marrer.
Il n'y a vraiment que les inspecteurs et les politiques pour nous dire que le niveau monte.
- pitchounetteExpert
ah tiens la phrase à la mode quelque soit la matièreJacq a écrit:DerMax a écrit:J'en ai entendu parlé en formation mais aucune épreuve 0 dispo nulle part que ça soit sur eduscol, les sites académiques...Perso j'ai continué à travailler sur l'ancien système en me disant que s'ils maitrisaient la réponse longue à 9 points le reste passerait forcément.
"On" (inspecteurs) nous indique de continuer à travailler dessus, sous prétexte que cela prépare au BTS, mais que la "question sèche" serait maintenant découpée en plusieurs questions sur un même thème.
- JacqGuide spirituel
pitchounette a écrit:ah tiens la phrase à la mode quelque soit la matièreJacq a écrit:DerMax a écrit:J'en ai entendu parlé en formation mais aucune épreuve 0 dispo nulle part que ça soit sur eduscol, les sites académiques...Perso j'ai continué à travailler sur l'ancien système en me disant que s'ils maitrisaient la réponse longue à 9 points le reste passerait forcément.
"On" (inspecteurs) nous indique de continuer à travailler dessus, sous prétexte que cela prépare au BTS, mais que la "question sèche" serait maintenant découpée en plusieurs questions sur un même thème.
Ben oui.
Donc en gros :
- c'est supprimé au bac, parce qu'ils sont incapables de le faire : donc nous changeons l'épreuve. C'est la seule et unique raison. Les principes de l'épreuve en HG étaient clairement établis lors de la réforme du BEP/Bac Pro, mais devant la baisse du niveau, nos beaux [?] penseurs baissent le niveau pour "obtenir des points" et justifier leur épreuve. Nous en sommes là. Le niveau baissse, l'administration nationale ne peut pas l'avouer, donc il faut réduire le niveau des diplômes pour le masquer. Ces gens sont aveugles ou s'aveuglent, dans tous les cas ils masquent la réalité. Sauf que leur mensonges ne tiennent pas, qu'on le veuille ou non, après il y a le marché de l'emploi et du travail, et là, c'est radical. On embauche des bac +3+5 pour faire un boulot niveau BEP ou bac, tout simplement parce que ces niveaux là (BEP et Bac) ne riment plus à rien.
- mais il faut continuer à le faire (la question longue) car cela va servir pour "leur" BTS (car ils vont avoir le bac, qu'ils le méritent ou non, avec le niveau ou non). Sur mes 60 élèves de bac pro, seulement 10 ont la capacité d'aller en BTS, et 5 la capacité de travail. Mais : 50% !!!! Oui mes amis des ministères, continuez à vous as....... sur vos chiffres et vos pourcentages..... Continuez.
Cherchons la logique : il faut supprimer un type de questions d'HG au bac pour qu'ils obtiennent des "points", mais ils vont en avoir besoin en BTS alors qu'on le supprimer au bac parce qu'ils sont incapables de la faire.
Mais en BTS, c'est certain, ils seront capables.
Ben oui !
Moi je propose que tous les examens se déroulent durant la Pentecôte ! Au moins nous pourrons espérer quelque chose.
Et après, on dit que sur Néo nous sommes des vieux réac....
Nous sommes réac ou simplement nous constatons la stupidité dans laquelle nous nous enfonçons (pardon : on nous enfonce) ?
EDIT : j'ai oublié la solution idéale pour résoudre le problème : changer les prof !
Si les prof n'ont plus aucune exigence, les élèves pourront avoir le bac pro puis le BTS !
- DerMaxHabitué du forum
J'en avais discuté avec mes "vieux" collègues qui me disaient qu'en correction l'épreuve à 9 points était une catastrophe. Pour en avoir fait toute l'année le souci c'est que ceux qui n'apprennent pas ont tous zéro donc au final ils partent avec une note sur 11 donc pas facile de valider l'épreuve...
Perso je ne leur ai pas dit que ça changerait sinon ils travailleront encore moins.
Perso je ne leur ai pas dit que ça changerait sinon ils travailleront encore moins.
- JacqGuide spirituel
DerMax a écrit:J'en avais discuté avec mes "vieux" collègues qui me disaient qu'en correction l'épreuve à 9 points était une catastrophe. Pour en avoir fait toute l'année le souci c'est que ceux qui n'apprennent pas ont tous zéro donc au final ils partent avec une note sur 11 donc pas facile de valider l'épreuve...
Perso je ne leur ai pas dit que ça changerait sinon ils travailleront encore moins.
Ce que tu dis est totalement vrai. Si un élève n'a pas appris il a 0/9.
Par contre, là où je ne suis pas d'accord, c'est que ceux qui écoutent et apprennent ont une bonne note. Je suis désolé, je suis en train de "dresser" mes élèves pour leur montrer que lorsque nous apprenons nous avons de bonnes notes, et c'est payant (bon, pour l'instant, nous n'arrivons pas à la moyenne.....). Et ils sont en train de le comprendre et de le constater.
Mais !
Comme il faut que l'épreuve rapporte des points, nous (pardon, les grands penseurs de l'EN) prenons en compte la "masse" qui n'apprend pas et donc ils changent l'épreuve.
Mais si nous regardons le sujet de Pondichéry nous constatons quoi ? Qu'il faut des savoirs ! Donc celui qui n'a pas appris n'aura aucun point ! Il aura toujours 0 !
Revenons sur les anciennes modalités d'évaluation au BEP ou au bac :
- document, avec questions sur le document, puis une "écriture", "synthèse".
Un bon principe à l'origine qui permettait à l'élève pas trop bête de répondre aux questions sur le document (-les documents) [évaluation des compétences, oui, mais ce n'était pas affirmé] puis à partir de ses réponses et de ses connaissances de faire une synthèse [là encore, compétence]. Le problème était que peu à peu, en raison de la baisse non pas du niveau mais du travail des élèves, la partie "connaissance" disparaissait dans les modalités d'évaluation de la copie. Ce qui fait que l'élève qui avait des connaissances était "vaguement évalué", et que celui qui était un peu malin et se débrouillait dans les questions puis dans la synthèse sortait avec une bonne note. C'est comme cela que les fainéants qui ne travaillaient jamais arrivaiente à avoir une bonne note, et les élèves laborieux et en difficulté ne s'en sortaient pas.
Donc, nos têtes pensantes ont donné des consignes de correction qui imposaient de noter sans sanctionner le non appel aux "connaissances". Et finalement la synthèse n'était plus qu'un vague rappel du contenu des réponses de la première partie.
CONCLUSION : même nos élèves, sortant du BEP ou du bac disaient ; "monsieur il n'y avait même pas besoin d'apprendre". Le pire étant que les branleurs un peu malins s'en sortaient très bien, et que les travailleurs en difficulté ne s'en sortaient pas.
Revenons sur les nouvelles modalités d'évaluation actuelles au BEP puis Bac pro :
- il fallait retourner à l'évaluation des savoirs. Donc, des questions sèches parfois. L'apprentissage est donc nécessaire pour réussir la nouvelle épreuve. Nos inspecteurs, que je ne critique pas du tout à ce sujet, nous ont bien indiqué cela : apprentissage, savoir. Je ne critique pas nos inspecteurs à ce sujet car il faut mesurer ce qui se passe dans d'autres disciplines (arts appliqués, eco-droit, PSE, math....). Je pense que nos inspecteurs ont réellement défendu notre matière à ce sujet, avec beaucoup plus d'efficacité que dans les autres matières.
- une évaluation qui porte sur l'ensemble du programme (histoire + géo + ECJS) avec en arrière plan le fait que l'on voulait éviter qu'un élève puisse se débrouiller seul avec les documents, sans avoir travaillé durant l'année ou en ayant travaillé un seul sujet qui tomberait pas hasard le jour de l'épreuve. Nos élèves sont au courant, au BEP, vous tombez sur deux sujets d'histoire, sur quatre au total, idem en Géo, et un sujet d'ECJS. Donc là nous voyons que le BEP BAC PRO a été pensé pour "récompenser" celui qui a bossé durant toute l'année.
Tout cela, on ne peut pas le reprocher. Savoir, ensemble du programme....
Mais la réalité heurte les bons principes !
Une fois ces nouvelles modalités d'évaluation mise en place, arrive la réalité :
- les élèves n'apprennent pas !
- les élèves sortent du collège avec un niveau de plus en plus faible.
Donc : basta les bons principes d'évaluation, nous devons faire du chiffre, donc obtenir de bonnes notes au BEP et au BAC. L'objectif n'est pas l'évaluation mais tout simplement la rentabilité de la notation et de l'évaluation. Le pire, c'est que nous n'allons pas avoir de meilleurs résultats, car passer d'une question sèche à plusieurs questions ne va rien résoudre : ceux qui n'apprennent pas n'auront pas une meilleure note. En plus, la question sèche permettait à ceux qui apprenaient (des élèves méritants, oui, cela existe) d'avoir de très bonnes notes.
Nous allons revenir aux mêmes dérives que l'ancien BEP ou BAC, des documents qui permettent de s'en sortir lorsqu'on est un peu malin. C'est la prochaine étape de l'évolution de nos modalités d'évaluation : nous allons revenir, peu à peu, à l'ancien BEP et à l'ancien bac. Tout sera dans les documents, plus d'appel aux connaissances.
C'est dommage, car nous avons des élèves qui travaillent et apprennent, mais peu à peu, pour des questions de pourcentage, de reçus, nous allons encore brader le savoir.
EDIT : avec un changement : le BEP au niveau Brevet des collèges, et le bac au niveau BEP... Nous avons bien gagné dans l'affaire !
- JacqGuide spirituel
DerMax a écrit:J'en avais discuté avec mes "vieux" collègues qui me disaient qu'en correction l'épreuve à 9 points était une catastrophe. Pour en avoir fait toute l'année le souci c'est que ceux qui n'apprennent pas ont tous zéro donc au final ils partent avec une note sur 11 donc pas facile de valider l'épreuve...
Perso je ne leur ai pas dit que ça changerait sinon ils travailleront encore moins.
Je cite à nouveau. Ta remarque est excellente.
Et je retourne cela, dans la logique des modalités d'évaluation : il faut que ceux qui n'apprennent pas obtiennent une note correcte !
Et ta deuxième remarque est très bonne : nous sommes obligés de masquer à nos élèves le fait que l'"épreuve ne va pas sanctionner leur "non travail".
Mais, retournons la chose, cela veut dire aussi, que l'épreuve ne va pas récompenser correctement celui qui a bien travaillé.
Il faut faire du chiffre, et mentir, de la base (l'évaluation de l'élève) au plus haut de la hiérarchie. Le pire étant que nous voyons clairement que la hiérarchie, en changeant les modalités d'évaluation, masque ses propres mensonges.
Et à la fin, nous, les prof, seront les seuls coupables de cet effrondrement du niveau.
- DerMaxHabitué du forum
Disons que pour avoir eu des bac technologique, bac S/ES/L et cette année des bac pro j'avais trouvé ça étrange cette année que l'épreuve du bac professionnelle soit plus complexe que celle du bac technologique dans la mesure où on est sur à peu près les mêmes horaires d'enseignement (2h en bac techno - pour ceux qui passent en terminale et pas en anticipé en 1ère) et 2h voire 1h30 car ça varie selon les établissements en bac pro).
Au final le nouveau bac pro va davantage se rapprocher du bac technologique (sauf qu'il aura en plus de l'éducation civique).
Après je n'ai pas connu les anciens BEP/bac mais je sais que mes élèves de premières l'an passé (que j'ai en terminale cette annnée - pour ceux non virés entre deux et non doublants) m'avais dit "m'sieur par rapport à vos DS le BEP c'était izi".
Perso en cours en 2nde/1ère je fais presque toujours des DS avec points sur documents /8 rédaction /6 et questions de cours sur /6 alors qu'en terminale je faisais /9 question sèche (ou en 3 parties) /4 question de cours /7 documents. J'ai pu constaté un bel écart de moyenne... sauf dans ma section Tal GA (enfin encore compta et secrétariat) dans laquelle j'ai des filles qui veulent leur bac et qui apprennent. Par contre dans mes classes indus et tertiaire les élèves savent (ou pensent savoir) qu'ils auront le bac sans ma matière.
Au final le nouveau bac pro va davantage se rapprocher du bac technologique (sauf qu'il aura en plus de l'éducation civique).
Après je n'ai pas connu les anciens BEP/bac mais je sais que mes élèves de premières l'an passé (que j'ai en terminale cette annnée - pour ceux non virés entre deux et non doublants) m'avais dit "m'sieur par rapport à vos DS le BEP c'était izi".
Perso en cours en 2nde/1ère je fais presque toujours des DS avec points sur documents /8 rédaction /6 et questions de cours sur /6 alors qu'en terminale je faisais /9 question sèche (ou en 3 parties) /4 question de cours /7 documents. J'ai pu constaté un bel écart de moyenne... sauf dans ma section Tal GA (enfin encore compta et secrétariat) dans laquelle j'ai des filles qui veulent leur bac et qui apprennent. Par contre dans mes classes indus et tertiaire les élèves savent (ou pensent savoir) qu'ils auront le bac sans ma matière.
- pitchounetteExpert
J'ouvre une parenthèse. Merci Jacq! je me sens "moins seule" dans ce constat bien tristeJacq a écrit:
Nous sommes réac ou simplement nous constatons la stupidité dans laquelle nous nous enfonçons (pardon : on nous enfonce) ?
Je referme la parenthèse pour la laisser à l'épreuve Histoire Géo
Ma question : concrètement ils ont quoi au BEP?
- DerMaxHabitué du forum
histoire - géographie - éducation civique (1 heure 30)
L’épreuve consiste en un questionnaire à réponse courte (cinq à dix lignes) ou à choix multiples qui porte sur des sujets d’étude et sur des situations définis dans le programme de première professionnelle. Deux questions sont posées en histoire, deux en géographie et une en éducation civique. Les questions peuvent comporter un support documentaire (texte, image, carte…).
En histoire, une question est posée sur un des cinq sujets d’étude obligatoires et une autre sur une situation relevant de l’un des quatre autres sujets d’étude. Cette seconde question est choisie par le candidat parmi trois questions correspondant chacune à une situation de ce sujet d’étude.
En géographie, une question est posée sur un des quatre sujets d’étude obligatoires et une autre sur une situation relevant de l’un des trois autres sujets d’étude. Cette seconde question est choisie par le candidat parmi trois questions correspondant chacune à une situation de ce sujet d’étude.
En éducation civique, une question est posée sur le thème obligatoire du programme.
Les questions d’histoire sont notées sur 4 points, les questions de géographie sur 4 points, la question d’éducation civique sur 2 points.
L’épreuve consiste en un questionnaire à réponse courte (cinq à dix lignes) ou à choix multiples qui porte sur des sujets d’étude et sur des situations définis dans le programme de première professionnelle. Deux questions sont posées en histoire, deux en géographie et une en éducation civique. Les questions peuvent comporter un support documentaire (texte, image, carte…).
En histoire, une question est posée sur un des cinq sujets d’étude obligatoires et une autre sur une situation relevant de l’un des quatre autres sujets d’étude. Cette seconde question est choisie par le candidat parmi trois questions correspondant chacune à une situation de ce sujet d’étude.
En géographie, une question est posée sur un des quatre sujets d’étude obligatoires et une autre sur une situation relevant de l’un des trois autres sujets d’étude. Cette seconde question est choisie par le candidat parmi trois questions correspondant chacune à une situation de ce sujet d’étude.
En éducation civique, une question est posée sur le thème obligatoire du programme.
Les questions d’histoire sont notées sur 4 points, les questions de géographie sur 4 points, la question d’éducation civique sur 2 points.
- pitchounetteExpert
merci beaucoup!
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- "La réforme du collège est le résultat d'une partie de Kamoulox qui a dégénéré rue de Grenelle"
- non à la réforme du lycée en première
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