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Association des professeurs de philosophie de l'enseignement public
http://www.appep.net/wp-content/uploads/2013/12/Motion-Statut-des-professeurs-APPEP-AG-7-12-2013.pdf
Motion de l’AG du 7 décembre 2013 concernant les propositions ministérielles d’un changement des « missions » et « activités » des professeurs
Adoptée à l'unanimité.
L’APPEP alerte tous les professeurs de philosophie sur les dispositions que le ministère s’apprête à prendre concernant les missions de l’ensemble des professeurs (fiches ministérielles 1 et 2, consultables sur plusieurs sites syndicaux et associatifs).
Ce que le ministère a décidé signifierait une redéfinition des missions inscrites actuellement dans les décrets de 1950 et des textes qui les ont améliorées. En effet la mission d’enseignement ne serait plus qu’une des trois missions exigées des professeurs.
S’ajouteraient aux « missions d’enseignement » :
« les activités liées à l’enseignement »
« les activités complémentaires, liées à leurs responsabilités dans et hors de
l’enseignement »
Cette redéfinition des missions est assortie de l’introduction d’une référence à l’horaire annuel inscrit dans la « réglementation applicable à l’ensemble de la Fonction publique » (qui prévoit 1607 heures annuelles de travail).
Cette référence risque d’entrer en contradiction avec le statut dérogatoire accordé aux professeurs par le statut général de fonctionnaire de 1946 (annexe sur le statut libéral au sein de la fonction publique).
Le Ministère a aussi décidé de supprimer toute une série de décharges de service statutaires, inscrites dans les décrets de 1950, et les textes qui les ont améliorés, notamment :
• l’heure de 1re chaire et donc le statut de “ professeur de 1re chaire ” attribué actuellement aux professeurs de philosophie.
• Y est substitué un quotient de 1,1 affecté à chaque heure d’enseignement effectuée en 1re et terminale, « dans la limite d’une heure » (précision apportée par la fiche ministérielle car les professeurs de philosophie exerçant à temps complet auraient pu bénéficier de plus d’une heure de décharge).
• l’heure de décharge pour effectif pléthorique (supérieur à 35 élèves).
• Se substituerait à cette décharge statutaire une « indemnité spécifique », dont les critères d’attribution ne sont pas clairement définis.
L’ensemble de ces dispositions, que le Ministère veut mettre en oeuvre très rapidement, risque de dégrader les conditions d’enseignement de toutes les disciplines.
L’enseignement de la philosophie, déjà atteint par la suppression des dédoublements réglementaires dans les classes technologiques et de la 4e heure en terminale scientifique, serait gravement affecté par ces mesures.
L’APPEP dénonce les discours opposant les professeurs les uns aux autres. Elle renouvelle son soutien à la coordination des professeurs de CPGE et s’associe à la demande de retrait de tous ces projets.
Elle réaffirme sa demande de rétablissement du dédoublement réglementaire des classes technologiques et de la 4e heure d’enseignement en terminale scientifique.
http://www.appep.net/wp-content/uploads/2013/12/Motion-Statut-des-professeurs-APPEP-AG-7-12-2013.pdf
Motion de l’AG du 7 décembre 2013 concernant les propositions ministérielles d’un changement des « missions » et « activités » des professeurs
Adoptée à l'unanimité.
L’APPEP alerte tous les professeurs de philosophie sur les dispositions que le ministère s’apprête à prendre concernant les missions de l’ensemble des professeurs (fiches ministérielles 1 et 2, consultables sur plusieurs sites syndicaux et associatifs).
Ce que le ministère a décidé signifierait une redéfinition des missions inscrites actuellement dans les décrets de 1950 et des textes qui les ont améliorées. En effet la mission d’enseignement ne serait plus qu’une des trois missions exigées des professeurs.
S’ajouteraient aux « missions d’enseignement » :
« les activités liées à l’enseignement »
« les activités complémentaires, liées à leurs responsabilités dans et hors de
l’enseignement »
Cette redéfinition des missions est assortie de l’introduction d’une référence à l’horaire annuel inscrit dans la « réglementation applicable à l’ensemble de la Fonction publique » (qui prévoit 1607 heures annuelles de travail).
Cette référence risque d’entrer en contradiction avec le statut dérogatoire accordé aux professeurs par le statut général de fonctionnaire de 1946 (annexe sur le statut libéral au sein de la fonction publique).
Le Ministère a aussi décidé de supprimer toute une série de décharges de service statutaires, inscrites dans les décrets de 1950, et les textes qui les ont améliorés, notamment :
• l’heure de 1re chaire et donc le statut de “ professeur de 1re chaire ” attribué actuellement aux professeurs de philosophie.
• Y est substitué un quotient de 1,1 affecté à chaque heure d’enseignement effectuée en 1re et terminale, « dans la limite d’une heure » (précision apportée par la fiche ministérielle car les professeurs de philosophie exerçant à temps complet auraient pu bénéficier de plus d’une heure de décharge).
• l’heure de décharge pour effectif pléthorique (supérieur à 35 élèves).
• Se substituerait à cette décharge statutaire une « indemnité spécifique », dont les critères d’attribution ne sont pas clairement définis.
L’ensemble de ces dispositions, que le Ministère veut mettre en oeuvre très rapidement, risque de dégrader les conditions d’enseignement de toutes les disciplines.
L’enseignement de la philosophie, déjà atteint par la suppression des dédoublements réglementaires dans les classes technologiques et de la 4e heure en terminale scientifique, serait gravement affecté par ces mesures.
L’APPEP dénonce les discours opposant les professeurs les uns aux autres. Elle renouvelle son soutien à la coordination des professeurs de CPGE et s’associe à la demande de retrait de tous ces projets.
Elle réaffirme sa demande de rétablissement du dédoublement réglementaire des classes technologiques et de la 4e heure d’enseignement en terminale scientifique.
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Human... https://www.youtube.com/watch?v=RIZdjT1472Y
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http://www.udppc.asso.fr/national/attachments/Actualits/Communique_de_presse_ORS.pdf
Communiqué de presse de l’Union des professeurs de physique et de chimie (UdPPC) au sujet de la réforme du décret du 25 mai 1950.
Le ministre de l’Éducation nationale a décidé de réformer le décret du 25 mai 1950, organisant les services des enseignants.
Les conséquences des nouvelles dispositions proposées par le Ministre sont un alourdissement quasi général des charges dues par les enseignants de physique-chimie de toutes catégories.
Dans le cadre de cette réforme des obligations réglementaires de service (ORS) des enseignants, l’UdPPC ne peut accepter la disparition ou la transformation de :
- l’ « heure de laboratoire » : la gestion d’un laboratoire de sciences physiques est une tâche lourde pour le professeur qui la prend en charge, car il s’agit de gérer les commandes et la maintenance du matériel et des produits mais aussi d’encadrer les personnels techniques de laboratoire.
- l’ « heure de préparation » : cette heure, plus connue sous le nom d’ « heure de vaisselle » est attribuée aux collègues dans les établissements sans personnel technique. C’est la situation actuelle dans la quasi-totalité des collèges où les postes d’agents de laboratoire ont tous été supprimés. Elle serait remplacée par une indemnité d’un montant variable et décidée localement par le Conseil d’administration de l’établissement.
- l’ « heure de première chaire » : cette heure serait remplacée par une pondération des heures en première et terminale ne pouvant excéder une heure. L’UdPPC est favorable à la disparition des effets de seuil dans l’attribution des décharges horaires, mais ne peut accepter une évolution dans laquelle il y aurait plus de perdants que de gagnants.
- l’ « heure pour effectif pléthorique » : la disparition de cette heure, outre la perte salariale, est la porte ouverte à la généralisation d’effectifs au-delà de 35 élèves par classe dans les lycées, soit, pour les élèves et les collègues, de moins bonnes conditions de travail.
Enfin, concernant le pan de ces réformes qui touche plus spécifiquement les professeurs de Classes préparatoires aux grandes écoles, l’UdPPC ne peut accepter la tentative du Ministre de les opposer à leurs collègues enseignant en Zones d’éducation prioritaire (ZEP) et dénonce la baisse unilatérale de salaire qui leur est imposée.
Loin de tenir compte du travail « invisible » des enseignants ou, selon les mots du ministre de l’Éducation nationale (17 novembre 2013), de « reconnaître l’ensemble des missions » des enseignants et « pas seulement le face à face » avec les élèves, ces mesures se traduisent toutes par un
alourdissement des charges de nos collègues et par une grave remise en cause du caractère expérimental de notre enseignement.
L’association reste disponible pour étudier toute proposition du ministère.
le 11 décembre 2013
Communiqué de presse de l’Union des professeurs de physique et de chimie (UdPPC) au sujet de la réforme du décret du 25 mai 1950.
Le ministre de l’Éducation nationale a décidé de réformer le décret du 25 mai 1950, organisant les services des enseignants.
Les conséquences des nouvelles dispositions proposées par le Ministre sont un alourdissement quasi général des charges dues par les enseignants de physique-chimie de toutes catégories.
Dans le cadre de cette réforme des obligations réglementaires de service (ORS) des enseignants, l’UdPPC ne peut accepter la disparition ou la transformation de :
- l’ « heure de laboratoire » : la gestion d’un laboratoire de sciences physiques est une tâche lourde pour le professeur qui la prend en charge, car il s’agit de gérer les commandes et la maintenance du matériel et des produits mais aussi d’encadrer les personnels techniques de laboratoire.
- l’ « heure de préparation » : cette heure, plus connue sous le nom d’ « heure de vaisselle » est attribuée aux collègues dans les établissements sans personnel technique. C’est la situation actuelle dans la quasi-totalité des collèges où les postes d’agents de laboratoire ont tous été supprimés. Elle serait remplacée par une indemnité d’un montant variable et décidée localement par le Conseil d’administration de l’établissement.
- l’ « heure de première chaire » : cette heure serait remplacée par une pondération des heures en première et terminale ne pouvant excéder une heure. L’UdPPC est favorable à la disparition des effets de seuil dans l’attribution des décharges horaires, mais ne peut accepter une évolution dans laquelle il y aurait plus de perdants que de gagnants.
- l’ « heure pour effectif pléthorique » : la disparition de cette heure, outre la perte salariale, est la porte ouverte à la généralisation d’effectifs au-delà de 35 élèves par classe dans les lycées, soit, pour les élèves et les collègues, de moins bonnes conditions de travail.
Enfin, concernant le pan de ces réformes qui touche plus spécifiquement les professeurs de Classes préparatoires aux grandes écoles, l’UdPPC ne peut accepter la tentative du Ministre de les opposer à leurs collègues enseignant en Zones d’éducation prioritaire (ZEP) et dénonce la baisse unilatérale de salaire qui leur est imposée.
Loin de tenir compte du travail « invisible » des enseignants ou, selon les mots du ministre de l’Éducation nationale (17 novembre 2013), de « reconnaître l’ensemble des missions » des enseignants et « pas seulement le face à face » avec les élèves, ces mesures se traduisent toutes par un
alourdissement des charges de nos collègues et par une grave remise en cause du caractère expérimental de notre enseignement.
L’association reste disponible pour étudier toute proposition du ministère.
le 11 décembre 2013
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Et je rappelle la motion de l'APHG (association des professeurs d'histoire-géographie) :
http://www.aphg.fr/actualites-pdf/131201-classes-prepa.pdf
http://www.aphg.fr/actualites-pdf/131201-classes-prepa.pdf
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Human... https://www.youtube.com/watch?v=RIZdjT1472Y
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Association des Professeurs de Biologie et Géologie
14 décembre 2013
Suite à la remise en discussion des propositions du groupe de travail GT6 (les enseignants du second degré), le Bureau national a réagi le 14 décembre en précisant les positions de l’APBG.
Ce texte a été envoyé au Ministre, à M. Leroy, conseiller, au doyen de l’Inspection Générale, au Directeur de la DGESCO et aux syndicats avec, chaque fois, une demande d’audience.
Position APBG : http://www.apbg.org/wp-content/uploads/2013/09/position-APBG-GT6.pdf
POSITIONS DE L’APBG SUR LES PROPOSITIONS DU GROUPE DE TRAVAIL GT6 : LES ENSEIGNANTS DU SECOND DEGRÉ (DISCUSSIONS SUR LES METIERS ET LES PARCOURS PROFESSIONNELS DES PERSONNELS DE L’ÉDUCATION NATIONALE)
L'APBG prend acte de la disparition de la référence à un horaire global annuel et du maintien des horaires actuels de référence pour les différents corps d’enseignants. En effet, pour l’association, il est fondamental et obligatoire de se référer à un cadre horaire hebdomadaire permettant d’effectuer de manière équilibrée les trois types de missions d’un enseignant du second degré.
Suppression de la majoration horaire pour faible effectif
L'APBG se félicite que le ministre reconnaisse que les travaux pratiques en groupe à effectif réduit sont une véritable structure pédagogique et ne doivent plus faire l'objet d'une éventuelle majoration de service. Cette structure pédagogique qui existait de manière institutionnelle apparaissait dans un cadre horaire spécifique.
La distinction entre cours et TP avait été supprimée et remplacée par un horaire globalisé dans la réforme de 2010.
L'APBG réaffirme que pour l’acquisition par les élèves des différentes compétences, et en particulier des compétences expérimentales, le cadre des TP est incontournable. C’est pourquoi l’APBG demande de nouveau, l’obligation pour l’enseignement des sciences expérimentales, et en particulier pour les SVT, que la part horaire affectée aux TP soit précisée par décret et appliquée nationalement. Cette information, supprimée par la réforme de 2010, doit être rétablie à tous les niveaux d’enseignement du collège comme du lycée.
Précision du plafond à partir duquel on considère qu’une classe a un effectif pléthorique
Pour l'APBG il est nécessaire que soit précisé le nombre maximum d’élèves d’une classe. 24 en collège et 34 en lycée, semblent des nombres raisonnables au-delà desquels il devient très difficile de faire une réelle pédagogie active et individualisée.
Demande de maintien de l’heure de décharge pour la gestion du laboratoire de SVT
Pour l'APBG, compte tenu des impératifs en particulier de préparation, commandes de matériels, exploitations de ressources spécifiques, préparation de l’ECE, coordination entre les enseignants de SVT et gestion du personnel de laboratoire, il est nécessaire que l'heure de laboratoire corresponde effectivement à une des missions de l’enseignant chargé de cette tâche. C’est pourquoi l’APBG demande le maintien en l’état de la disposition prévue par le décret de 1950.
Demande de maintien de l’heure de décharge pour absence de PTL (personnel technique de laboratoire)
L’enseignement des SVT passe obligatoirement par un temps important de pratique expérimentale. D’autant plus que l’évaluation du livret personnel de compétences fait une référence directe à l’acquisition de ces pratiques. En l’absence de personnel technique de laboratoire, le travail de préparation des TP est une lourde tâche dévolue à l’enseignant de SVT. L’APBG, demande que cette phase de préparation, indispensable à la construction par l’élève d’une maîtrise expérimentale, fasse partie intégrante des missions d’enseignement.
En conséquence, l’APBG demande que la décharge actuelle d’une heure accordée aux professeurs de SVT sans PTL, soit maintenue.
Le Bureau National de l’Association des Professeurs de Biologie Géologie (APBG)
Paris, le 14 décembre 2013
14 décembre 2013
Suite à la remise en discussion des propositions du groupe de travail GT6 (les enseignants du second degré), le Bureau national a réagi le 14 décembre en précisant les positions de l’APBG.
Ce texte a été envoyé au Ministre, à M. Leroy, conseiller, au doyen de l’Inspection Générale, au Directeur de la DGESCO et aux syndicats avec, chaque fois, une demande d’audience.
Position APBG : http://www.apbg.org/wp-content/uploads/2013/09/position-APBG-GT6.pdf
POSITIONS DE L’APBG SUR LES PROPOSITIONS DU GROUPE DE TRAVAIL GT6 : LES ENSEIGNANTS DU SECOND DEGRÉ (DISCUSSIONS SUR LES METIERS ET LES PARCOURS PROFESSIONNELS DES PERSONNELS DE L’ÉDUCATION NATIONALE)
L'APBG prend acte de la disparition de la référence à un horaire global annuel et du maintien des horaires actuels de référence pour les différents corps d’enseignants. En effet, pour l’association, il est fondamental et obligatoire de se référer à un cadre horaire hebdomadaire permettant d’effectuer de manière équilibrée les trois types de missions d’un enseignant du second degré.
Suppression de la majoration horaire pour faible effectif
L'APBG se félicite que le ministre reconnaisse que les travaux pratiques en groupe à effectif réduit sont une véritable structure pédagogique et ne doivent plus faire l'objet d'une éventuelle majoration de service. Cette structure pédagogique qui existait de manière institutionnelle apparaissait dans un cadre horaire spécifique.
La distinction entre cours et TP avait été supprimée et remplacée par un horaire globalisé dans la réforme de 2010.
L'APBG réaffirme que pour l’acquisition par les élèves des différentes compétences, et en particulier des compétences expérimentales, le cadre des TP est incontournable. C’est pourquoi l’APBG demande de nouveau, l’obligation pour l’enseignement des sciences expérimentales, et en particulier pour les SVT, que la part horaire affectée aux TP soit précisée par décret et appliquée nationalement. Cette information, supprimée par la réforme de 2010, doit être rétablie à tous les niveaux d’enseignement du collège comme du lycée.
Précision du plafond à partir duquel on considère qu’une classe a un effectif pléthorique
Pour l'APBG il est nécessaire que soit précisé le nombre maximum d’élèves d’une classe. 24 en collège et 34 en lycée, semblent des nombres raisonnables au-delà desquels il devient très difficile de faire une réelle pédagogie active et individualisée.
Demande de maintien de l’heure de décharge pour la gestion du laboratoire de SVT
Pour l'APBG, compte tenu des impératifs en particulier de préparation, commandes de matériels, exploitations de ressources spécifiques, préparation de l’ECE, coordination entre les enseignants de SVT et gestion du personnel de laboratoire, il est nécessaire que l'heure de laboratoire corresponde effectivement à une des missions de l’enseignant chargé de cette tâche. C’est pourquoi l’APBG demande le maintien en l’état de la disposition prévue par le décret de 1950.
Demande de maintien de l’heure de décharge pour absence de PTL (personnel technique de laboratoire)
L’enseignement des SVT passe obligatoirement par un temps important de pratique expérimentale. D’autant plus que l’évaluation du livret personnel de compétences fait une référence directe à l’acquisition de ces pratiques. En l’absence de personnel technique de laboratoire, le travail de préparation des TP est une lourde tâche dévolue à l’enseignant de SVT. L’APBG, demande que cette phase de préparation, indispensable à la construction par l’élève d’une maîtrise expérimentale, fasse partie intégrante des missions d’enseignement.
En conséquence, l’APBG demande que la décharge actuelle d’une heure accordée aux professeurs de SVT sans PTL, soit maintenue.
Le Bureau National de l’Association des Professeurs de Biologie Géologie (APBG)
Paris, le 14 décembre 2013
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Human... https://www.youtube.com/watch?v=RIZdjT1472Y
- OlympiasProphète
neo a écrit:Et je rappelle la motion de l'APHG (association des professeurs d'histoire-géographie) :
http://www.aphg.fr/actualites-pdf/131201-classes-prepa.pdf
Merci !!!
Tu me devances, j'hésitais à ouvrir un fil exprès !
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