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- JohnMédiateur
Dans son blog sur le site du Monde, Mara Goyet établit six arguments qui montre selon elle qu'il est juste et judicieux d'affecter les jeunes enseignants dans les établissements les plus difficiles. En voici un extrait :
http://maragoyet.blog.lemonde.fr/2014/01/17/est-il-scandaleux-denvoyer-les-jeunes-enseignants-dans-les-colleges-difficiles/4) La jeunesse, c'est aussi être bien plus libre de son temps, de son emploi du temps. On n'est pas encore obligé de sortir de sa salle en courant pour prendre trois moyens de transports différents et aller s'occuper de ses enfants. C'est la possibilité de rester au collège plus longtemps, d'y glander, de discuter, de vivre avec ses collègues en communauté (de sortir avec eux, de hanter le bar du coin, de faire des fêtes, de se rassembler, de faire les potaches, de déconner, de déprimer, de dormir sur les canapés de la salle des profs, d'être un peu élève encore) ce qui est un soutien incomparable, un laboratoire d'inventivité, d'idées, de projets. L'enseignement y est plus qu'ailleurs innovant, vivant, excellent. Tout ce dont un collège difficile a besoin.
5) En l'attente d'une véritable formation des professeurs digne de ce nom, les établissements difficiles vous apprennent, sur la tas, souvent dans la douleur, à peu près tout du métier. En accéléré. Une fois que vous êtes passé par là, vous savez presque tout faire : surveiller un couloir, faire cours, essayer de régler le chauffage, faire cesser un conflit au dernier rang, expliquer un mot difficile, lutter contre un néon récalcitrant, être sympa, ne pas être sympa, régler mille sortes de conflits différents. C'est aussi un haut lieu d'innovation et d'imagination. Une fois que vous avez compris qu'être enseignant ce n'est pas filer son cours à la becquée, il faut trouver, dans l'urgence, tous les moyens possibles pour faire le programme de manière inventive et pertinente. On tente, on essaie, on se plante, mais on continue et l'on finit par faire des cours originaux, étranges, qui passent.
6) Commencer par ce qui est difficile c'est aussi une éducation politique (vous confrontez vos convictions à votre expérience), humaine, personnelle (c'est vachement agréable, à 25 ans, de s'entendre dire que l'on est courageux, on a l'impression d'être un héros, ce qui n'est pas le propre du fonctionnariat). On apprend beaucoup. Sur tout. On grandit, mûrit, c'est une très belle phase de la vie. Bref, c'est une expérience initiatique, comme le tour du monde, comme gravir un sommet, faire Paris-Pékin à pied : on en chie sur le moment mais on est content de l'avoir fait. On est content, aussi, d'avoir plein de points (ceux que l'on a accumulés au fil des années, avec les bonifications liées à ce type d'établissement) et d'aller voir ce qui se passe ailleurs.
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"Qui a construit Thèbes aux sept portes ? Dans les livres, on donne les noms des Rois. Les Rois ont-ils traîné les blocs de pierre ? [...] Quand la Muraille de Chine fut terminée, Où allèrent ce soir-là les maçons ?" (Brecht)
"La nostalgie, c'est plus ce que c'était" (Simone Signoret)
- yogiSage
J'ai commencé dans des établissements difficiles;je ne me plaignais pas,j'avais la passion et la foi. Maintenant,je suis toujours dans des établissements difficiles et j'en suis fatiguée.
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"Jboirai du lait le jour où les vaches mangeront du raisin!"
- NestyaEsprit sacré
Une grande partie de ce qu'elle dit est vrai. J'ai appris beaucoup de choses en ZEP mais...je suis sortie de là complètement épuisée et démotivée avec l'impression d'être si peu utile. Et surtout, je n'avais pas signé pour ça car là où j'étais, enseigner ne représentait qu'une toute petite partie du travail. Il y avait d'autres urgences. Or si j'avais voulu être assistante sociale, c'est ce que j'aurais fait. Je voulais être professeur, c'est pour ça que j'ai passé le CAPES.
J'ai l'impression de revivre depuis que je suis sortie de ZEP et surtout, je réapprends à aimer mon métier.
Enseigner en ZEP, ok, il faut bien que certains s'y colle mais il faudrait avoir la possibilité de partir quand on en a marre. J'y suis restée 5 ans, j'ai eu le feu sacré pendant 2 ans, la 3ème année a été la plus difficile et j'ai fait les 2 dernières années en pilotage automatique. Les points après 5 ans en ZEP m'ont permis d'avoir ma mut mais ce n'est malheureusement pas le cas de tout le monde. Une de mes amies en est à sa 9ème année, elle demande sa mut sans succès chaque année. Bref il faudrait songer à faciliter davantage les mutations de ceux qui veulent partir.
J'ai l'impression de revivre depuis que je suis sortie de ZEP et surtout, je réapprends à aimer mon métier.
Enseigner en ZEP, ok, il faut bien que certains s'y colle mais il faudrait avoir la possibilité de partir quand on en a marre. J'y suis restée 5 ans, j'ai eu le feu sacré pendant 2 ans, la 3ème année a été la plus difficile et j'ai fait les 2 dernières années en pilotage automatique. Les points après 5 ans en ZEP m'ont permis d'avoir ma mut mais ce n'est malheureusement pas le cas de tout le monde. Une de mes amies en est à sa 9ème année, elle demande sa mut sans succès chaque année. Bref il faudrait songer à faciliter davantage les mutations de ceux qui veulent partir.
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"Attendre et espérer."
Alexandre Dumas
- florestanGrand sage
Moi j'ai surtout l'impression d'en avoir ch..... Et d'avoir été horrifiée par les conditions de vie de pas mal d'élèves. en fait ce qui m'étonnait, ce n'était pas la violence des élèves des élèves mais le fait qu'ils ne le soient pas plus vu ce que certains avaient à subir. Mais en temps que prof , ça m'énervait le côté "on fait nos classes, on en ch... et on va se boire des bières après, on se raconte comment on a trop maté machin ou truc avec telle réplique bien sentie, on est des warriors" Je me suis tout le temps dit "m...... je sors de l'agrèg, je fais d'autres études, je veux pouvoir transmettre tranquillement mes connaissances sans avoir à régler des problèmes pendant vingt minutes avant de commencer. En fait je dois être trop fragile pour supporter la violence du milieu ( et je le répète , la violence ce sont les élèves qui la subissent bien avant nous, moi je regagnais au plus vite Paris et mon petit studio dès les cours finis).
- PseudoDemi-dieu
Elle aurait pu défendre le service militaire en son temps avec les mêmes arguments. Ou le travail à l'usine des enfants.
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"Il faut encore avoir du chaos en soi pour pouvoir enfanter une étoile qui danse" Nietzsche
- florestanGrand sage
Pseudo a écrit:Elle aurait pu défendre le service militaire en son temps avec les mêmes arguments. Ou le travail à l'usine des enfants.
C'est exactement ça. C'est gonflant .
- PseudoDemi-dieu
La vieillesse, c'est aussi être bien plus libre de son temps, de son emploi du temps. On n'est plus obligé de sortir de sa salle en courant pour prendre trois moyens de transports différents et aller s'occuper de ses enfants. C'est la possibilité de rester au collège plus longtemps, d'y glander, de discuter, de vivre avec ses collègues en communauté (de sortir avec eux, de hanter le bar du coin, de faire des fêtes, de se rassembler, de retrouver une vie d'étudiant, de déconner, de déprimer, de dormir sur les canapés de la salle des profs, d'être déjà un peu en retraite) ce qui est un soutien incomparable, un bain de jouvence. L'enseignement y est plus qu'ailleurs innovant, vivant, excellent. Tout ce dont un collège difficile a besoin.
5) En l'attente d'une véritable seconde carrière des professeurs digne de ce nom, les établissements difficiles vous font retrouver vos difficultés et douleur des débuts. En mieux. En accéléré. Une fois que vous êtes passé par là, vous êtes mûr pour le départ : surveiller un couloir, faire cours, essayer de régler le chauffage, faire cesser un conflit au dernier rang, expliquer un mot difficile, lutter contre un néon récalcitrant, être sympa, ne pas être sympa, régler mille sortes de conflits différents. C'est aussi un haut lieu d'innovation et d'imagination. Vous allez pouvoir rester jeune et vert. Une fois que vous avez compris qu'être enseignant ce n'est plus filer son cours à la becquée, il faut trouver, dans l'urgence, tous les moyens possibles pour faire le programme de manière inventive et pertinente. On tente, on essaie, on se plante, mais on continue et l'on finit par faire des cours originaux, étranges, qui passent. C'est mieux que le soduku pour garder l'esprit alerte.
6) Finir par ce qui est difficile c'est aussi une éducation politique (vous confrontez vos convictions à votre expérience), humaine, personnelle (c'est vachement agréable, à 55 ans, de s'entendre dire que l'on est courageux, on a l'impression d'être un héros, ce qui n'est pas le propre du fonctionnariat). On apprend beaucoup. Sur tout. On s'assouplit, mûrit, c'est une très belle phase de la vie. Bref, c'est une expérience initiatique, comme le tour du monde, comme gravir un sommet, faire Paris-Pékin à pied : on en chie sur le moment mais on est content de l'avoir fait. On est content, aussi, d'avoir une prime de 100 euros environs et d'aller voir ce qui se passe à la retraite.
5) En l'attente d'une véritable seconde carrière des professeurs digne de ce nom, les établissements difficiles vous font retrouver vos difficultés et douleur des débuts. En mieux. En accéléré. Une fois que vous êtes passé par là, vous êtes mûr pour le départ : surveiller un couloir, faire cours, essayer de régler le chauffage, faire cesser un conflit au dernier rang, expliquer un mot difficile, lutter contre un néon récalcitrant, être sympa, ne pas être sympa, régler mille sortes de conflits différents. C'est aussi un haut lieu d'innovation et d'imagination. Vous allez pouvoir rester jeune et vert. Une fois que vous avez compris qu'être enseignant ce n'est plus filer son cours à la becquée, il faut trouver, dans l'urgence, tous les moyens possibles pour faire le programme de manière inventive et pertinente. On tente, on essaie, on se plante, mais on continue et l'on finit par faire des cours originaux, étranges, qui passent. C'est mieux que le soduku pour garder l'esprit alerte.
6) Finir par ce qui est difficile c'est aussi une éducation politique (vous confrontez vos convictions à votre expérience), humaine, personnelle (c'est vachement agréable, à 55 ans, de s'entendre dire que l'on est courageux, on a l'impression d'être un héros, ce qui n'est pas le propre du fonctionnariat). On apprend beaucoup. Sur tout. On s'assouplit, mûrit, c'est une très belle phase de la vie. Bref, c'est une expérience initiatique, comme le tour du monde, comme gravir un sommet, faire Paris-Pékin à pied : on en chie sur le moment mais on est content de l'avoir fait. On est content, aussi, d'avoir une prime de 100 euros environs et d'aller voir ce qui se passe à la retraite.
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"Il faut encore avoir du chaos en soi pour pouvoir enfanter une étoile qui danse" Nietzsche
- florestanGrand sage
Pseudo
- RoninMonarque
Elle a un certain talent pour le retournement de veste. Bobo-attitude.
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- LefterisEsprit sacré
Bien vuPseudo a écrit:La vieillesse, c'est aussi être bien plus libre de son temps, de son emploi du temps. On n'est plus obligé de sortir de sa salle en courant pour prendre trois moyens de transports différents et aller s'occuper de ses enfants. C'est la possibilité de rester au collège plus longtemps, d'y glander, de discuter, de vivre avec ses collègues en communauté (de sortir avec eux, de hanter le bar du coin, de faire des fêtes, de se rassembler, de retrouver une vie d'étudiant, de déconner, de déprimer, de dormir sur les canapés de la salle des profs, d'être déjà un peu en retraite) ce qui est un soutien incomparable, un bain de jouvence. L'enseignement y est plus qu'ailleurs innovant, vivant, excellent. Tout ce dont un collège difficile a besoin.
5) En l'attente d'une véritable seconde carrière des professeurs digne de ce nom, les établissements difficiles vous font retrouver vos difficultés et douleur des débuts. En mieux. En accéléré. Une fois que vous êtes passé par là, vous êtes mûr pour le départ : surveiller un couloir, faire cours, essayer de régler le chauffage, faire cesser un conflit au dernier rang, expliquer un mot difficile, lutter contre un néon récalcitrant, être sympa, ne pas être sympa, régler mille sortes de conflits différents. C'est aussi un haut lieu d'innovation et d'imagination. Vous allez pouvoir rester jeune et vert. Une fois que vous avez compris qu'être enseignant ce n'est plus filer son cours à la becquée, il faut trouver, dans l'urgence, tous les moyens possibles pour faire le programme de manière inventive et pertinente. On tente, on essaie, on se plante, mais on continue et l'on finit par faire des cours originaux, étranges, qui passent. C'est mieux que le soduku pour garder l'esprit alerte.
6) Finir par ce qui est difficile c'est aussi une éducation politique (vous confrontez vos convictions à votre expérience), humaine, personnelle (c'est vachement agréable, à 55 ans, de s'entendre dire que l'on est courageux, on a l'impression d'être un héros, ce qui n'est pas le propre du fonctionnariat). On apprend beaucoup. Sur tout. On s'assouplit, mûrit, c'est une très belle phase de la vie. Bref, c'est une expérience initiatique, comme le tour du monde, comme gravir un sommet, faire Paris-Pékin à pied : on en chie sur le moment mais on est content de l'avoir fait. On est content, aussi, d'avoir une prime de 100 euros environs et d'aller voir ce qui se passe à la retraite.
Moins bien vu , comparer une institution républicaine et le travail des enfants, en revanche.
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- GrypheMédiateur
Je rêve ou ce n'est pas du tout ce qu'elle racontait il y a dix ans dans "Collèges de France" ?
- PseudoDemi-dieu
Lefteris a écrit:
Bien vu
Moins bien vu , comparer une institution républicaine et le travail des enfants, en revanche.
Je dis que ces arguments peuvent servir à tout ou presque. Peu importe que ce soit républicain oui pas. Le travail dans les mines, c'était formateur, on y apprenait la vie, la camaraderie, on se sentait un héros, patati patata
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"Il faut encore avoir du chaos en soi pour pouvoir enfanter une étoile qui danse" Nietzsche
- PseudoDemi-dieu
Gryphe a écrit:Je rêve ou ce n'est pas du tout ce qu'elle racontait il y a dix ans dans "Collèges de France" ?
Alzheimer précoce ?
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- wanaxFidèle du forum
Pourriez-vous développer ?Pseudo a écrit:(...). C'est mieux que le soduku pour garder l'esprit alerte.
(...)
- OudemiaBon génie
Elle-même était particulièrement soulagée, bien que un peu honteuse si je me souviens bien, d'entrer enfin dans un établissement "facile" (elle l'a raconté dans un livre, peut-être Tombeau pour le collège).
- PseudoDemi-dieu
wanax a écrit:Pourriez-vous développer ?Pseudo a écrit:(...). C'est mieux que le soduku pour garder l'esprit alerte.
(...)
Plait-il ?
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- OsmieSage
Si c'est si beau, si tout, qu'elle y aille.
- PseudoDemi-dieu
Janne a écrit:Si c'est si beau, si tout, qu'elle y aille.
Elle explique quand même, dans le reste de son billet que, quand même, elle se le sent moyen.
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"Il faut encore avoir du chaos en soi pour pouvoir enfanter une étoile qui danse" Nietzsche
- BabayagaGrand sage
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Je ne gère plus la rubrique en accès restreint, adressez-vous à Hermione, merci
- yogiSage
Baba a écrit:Oui. Bon. Comme d'autres, j'ai commencé en ZEP. Le problème c'est aussi et surtout que 9 ans plus tard j'y suis encore. Avec 3 enfants de plus, le temps de transport inchangé. Non seulement le public n'est pas facile, mais en plus on nous fait bosser dans un endroit pourri mal chauffé qui sent mauvais.
Oui j'ai beaucoup appris, mais maintenant je m'use et je me désinvestis.
Il y a deux ans je regardais encore les programmes de l'agreg pour booster un peu ma carrière.
Maintenant je regarde les programmes des concours pour une reconversion.
On nous pousse vers la sortie.
TOUT PAREIL MEME MEME!
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"Jboirai du lait le jour où les vaches mangeront du raisin!"
- User17706Bon génie
Le soduku est une figure de trampoline, non ?Pseudo a écrit:wanax a écrit:Pourriez-vous développer ?Pseudo a écrit:(...). C'est mieux que le soduku pour garder l'esprit alerte.
(...)
Plait-il ?
- PseudoDemi-dieu
PauvreYorick a écrit:Le soduku est une figure de trampoline, non ?Pseudo a écrit:wanax a écrit:
Pourriez-vous développer ?
Plait-il ?
ah !J'ai inversé le u et le o ! Sudoku !
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- Raoul VolfoniGrand sage
Mouais. Je n'ai fait qu'un an en ZEP, j'en ai effectivement chié sur le moment et encore après... et non, je ne suis pas contente de l'avoir fait. J'y ai été brisée, et je ne pense pas y avoir appris grand-chose.
Moi aussi, on m'avait dit qu'en ZEP, l'ambiance est super, qu'il y a beaucoup de solidarité, qu'on va boire des coups avec les collègues... Légende urbaine, oui !
Moi aussi, on m'avait dit qu'en ZEP, l'ambiance est super, qu'il y a beaucoup de solidarité, qu'on va boire des coups avec les collègues... Légende urbaine, oui !
- JohnMédiateur
Mais c'est lié, car la ZEP permet de rebondir de plus bellePauvreYorick a écrit:Le soduku est une figure de trampoline, non ?Pseudo a écrit:Plait-il ?wanax a écrit:Pourriez-vous développer ?Pseudo a écrit:(...). C'est mieux que le soduku pour garder l'esprit alerte.
(...)
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"Qui a construit Thèbes aux sept portes ? Dans les livres, on donne les noms des Rois. Les Rois ont-ils traîné les blocs de pierre ? [...] Quand la Muraille de Chine fut terminée, Où allèrent ce soir-là les maçons ?" (Brecht)
"La nostalgie, c'est plus ce que c'était" (Simone Signoret)
- LeclochardEmpereur
Pseudo a écrit:PauvreYorick a écrit:Le soduku est une figure de trampoline, non ?Pseudo a écrit:
Plait-il ?
ah !J'ai inversé le u et le o ! Sudoku !
Je préfère ton soduku qui me fait bien rire. :lol:
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Quelqu'un s'assoit à l'ombre aujourd'hui parce que quelqu'un d'autre a planté un arbre il y a longtemps. (W.B)
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- Les enseignants Mara Goyet et Iannis Roder participeront à l'université d'été du Modem dans le Morbihan (25-27 septembre 2015)
- Mara Goyet : "Un chahut ? La plupart des enseignants n'en auront jamais. [...] Pour ma part, les élèves n'entrent pas dans la classe avec les mains dans les poches".
- Mara Goyet : "Peut-on être professeur et aimable ?"
- France Culture, Rue des écoles : "Du sort fait aux jeunes enseignants"
- Un article de Mara Goyet
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