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- RobinFidèle du forum
J'ai besoin de vos lumières !
" Pour moi, cette toile cirée était le décor principal de ma vie. C'était une toile cirée des plus ordinaires, assez épaisse, d'un brillant un peu huileux et dégageant une odeur de soufre et de caoutchouc mêlée aux parfums de la cuisine." (J.-M. Le Clézio, Ourania, Editions Gallimard, 2006)
On demande de relever les adjectifs qualificatifs et de préciser lesquels sont employés au superlatif et de dire de quel superlatif il s'agit.
J'ai relevé : "assez épaisse" "un peu huileux" et "des plus ordinaires"
Mais j'hésite sur le degré de ces adjectifs.
Autre question :
"Je ne savais pas ce que c'était que la Grèce." On demande le type du pronom "ce que" dans cette phrase. Je dirais qu'il s'agit d'un pronom interrogatif, mais je n'en suis pas sûr.
" Pour moi, cette toile cirée était le décor principal de ma vie. C'était une toile cirée des plus ordinaires, assez épaisse, d'un brillant un peu huileux et dégageant une odeur de soufre et de caoutchouc mêlée aux parfums de la cuisine." (J.-M. Le Clézio, Ourania, Editions Gallimard, 2006)
On demande de relever les adjectifs qualificatifs et de préciser lesquels sont employés au superlatif et de dire de quel superlatif il s'agit.
J'ai relevé : "assez épaisse" "un peu huileux" et "des plus ordinaires"
Mais j'hésite sur le degré de ces adjectifs.
Autre question :
"Je ne savais pas ce que c'était que la Grèce." On demande le type du pronom "ce que" dans cette phrase. Je dirais qu'il s'agit d'un pronom interrogatif, mais je n'en suis pas sûr.
- barègesÉrudit
Je ne retiendrais que le troisième de ceux que tu cites. Pour moi, pour qu'il y ait superlatif, il faut qu'il y ait comparaison.
Les autres sont des adjectifs avec un adverbe d'intensité.
Pour la deuxième question, elle renvoie à la douloureuse problématique de l'interrogative indirecte, que l'on peut parfois difficilement distinguer d'une relative substantive COD. Personnellement je dissocie : ce (pronom neutre)/que (pronom relatif, antécédent "ce"). D'ailleurs je n'ai jamais entendu parler du pronom "ce que", mais c'est peut-être une lacune.
Les autres sont des adjectifs avec un adverbe d'intensité.
Pour la deuxième question, elle renvoie à la douloureuse problématique de l'interrogative indirecte, que l'on peut parfois difficilement distinguer d'une relative substantive COD. Personnellement je dissocie : ce (pronom neutre)/que (pronom relatif, antécédent "ce"). D'ailleurs je n'ai jamais entendu parler du pronom "ce que", mais c'est peut-être une lacune.
- RobinFidèle du forum
Moi non plus, mais dans le manuel, il parlent bien du pronom "ce que". Je trouve ça bizarre.barèges a écrit:Je ne retiendrais que le troisième de ceux que tu cites. Pour moi, pour qu'il y ait superlatif, il faut qu'il y ait comparaison.
Les autres sont des adjectifs avec un adverbe d'intensité.
Pour la deuxième question, elle renvoie à la douloureuse problématique de l'interrogative indirecte, que l'on peut parfois difficilement distinguer d'une relative substantive COD. Personnellement je dissocie : ce (pronom neutre)/que (pronom relatif, antécédent "ce"). D'ailleurs je n'ai jamais entendu parler du pronom "ce que", mais c'est peut-être une lacune.
- grandesvacancesNeoprof expérimenté
Pour moi les deux premiers sont des superlatifs absolus, le dernier un superlatif relatif. Mais bon.
- barègesÉrudit
Je suis d'accord en pensant au latin (et, de manière plus pragmatique, à l'exercice qui a plus de raisons d'être s'il n'y a pas qu'un exemple...), mais on a dû avoir un changement de terminologie, la GMF (je viens de vérifier) donne "un peu", "assez" dans les adverbes d'intensité et dissocie le tout des comparatifs et superlatifs. Et puis, "assez" en superlatif...
- CelebornEsprit sacré
Si si, le pronom « ce que » est reconnu par la plupart des grammaires comme un pronom interrogatif servant dans des interrogations indirectes. Il équivaut à "que" dans les interrogatives directes ( Que fais-tu ? -> Je me demande ce que tu fais.)barèges a écrit:Je ne retiendrais que le troisième de ceux que tu cites. Pour moi, pour qu'il y ait superlatif, il faut qu'il y ait comparaison.
Les autres sont des adjectifs avec un adverbe d'intensité.
Pour la deuxième question, elle renvoie à la douloureuse problématique de l'interrogative indirecte, que l'on peut parfois difficilement distinguer d'une relative substantive COD. Personnellement je dissocie : ce (pronom neutre)/que (pronom relatif, antécédent "ce"). D'ailleurs je n'ai jamais entendu parler du pronom "ce que", mais c'est peut-être une lacune.
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"On va bien lentement dans ton pays ! Ici, vois-tu, on est obligé de courir tant qu'on peut pour rester au même endroit. Si on veut aller ailleurs, il faut courir au moins deux fois plus vite que ça !" (Lewis Carroll)
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- RobinFidèle du forum
" Pour moi, cette toile cirée était le décor principal de ma vie. C'était une toile cirée des plus ordinaires, assez épaisse, d'un brillant un peu huileux et dégageant une odeur de soufre et de caoutchouc mêlée aux parfums de la cuisine." (J.-M. Le Clézio, Ourania, Editions Gallimard, 2006)
On demande de relever les adjectifs qualificatifs et de préciser lesquels sont employés au superlatif et de dire de quel superlatif il s'agit.
J'ai relevé : "assez épaisse" "un peu huileux" et "des plus ordinaires"
Mais j'hésite sur le degré de ces adjectifs.
Donc, vous diriez plutôt que "assez épaisse", "un peu huileuse" et "des plus ordinaires" ne sont ni des superlatifs relatifs, ni des superlatifs absolus, mais des adjectifs précédés d'un adverbe d'intensité ? J'aurais tendance à acquiescer, mais le problème, c'est la consigne (et la consigne, c'est la consigne ! : "relever les adjectifs qualificatifs et préciser lesquels sont employés au superlatif et dire de quel superlatif il s'agit." qui oblige à répondre que ce sont des superlatifs (puisque le manuel le dit), la question portant sur leur degré. mais rien n'empêche de penser que les auteurs du manuel se sont plantés.
On demande de relever les adjectifs qualificatifs et de préciser lesquels sont employés au superlatif et de dire de quel superlatif il s'agit.
J'ai relevé : "assez épaisse" "un peu huileux" et "des plus ordinaires"
Mais j'hésite sur le degré de ces adjectifs.
Donc, vous diriez plutôt que "assez épaisse", "un peu huileuse" et "des plus ordinaires" ne sont ni des superlatifs relatifs, ni des superlatifs absolus, mais des adjectifs précédés d'un adverbe d'intensité ? J'aurais tendance à acquiescer, mais le problème, c'est la consigne (et la consigne, c'est la consigne ! : "relever les adjectifs qualificatifs et préciser lesquels sont employés au superlatif et dire de quel superlatif il s'agit." qui oblige à répondre que ce sont des superlatifs (puisque le manuel le dit), la question portant sur leur degré. mais rien n'empêche de penser que les auteurs du manuel se sont plantés.
- SamadhiNiveau 7
"assez épaisse" : superlatif relatif - intensité moyenne
"un peu huileuse" : superlatif relatif - intensité faible
"des plus ordinaires" : superlatif absolu de supériorité
"un peu huileuse" : superlatif relatif - intensité faible
"des plus ordinaires" : superlatif absolu de supériorité
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"They were threatened by my intelligence and too stupid to know that's why they hated me" (S.C.)
- barègesÉrudit
Je donne le classement de la GMF :
-degrés d'intensité : intensité faible, forte, moyenne, etc (un peu, assez...)
-degrés de comparaison : comparatif et superlatif. Le superlatif relatif est la séquence "le plus [adj] de", "le moins [adj] de"...
Il y a une certaine logique. Mais du coup, j'ai beau fouiller dans le sommaire, le "superlatif absolu" brille par sa discrétion : on se contente dans l'index d'un renvoi à "comparatif", section où il n'y a rien sur ce superlatif absolu.
En latin, le superlatif, c'était avec des formes synthétiques (grandissimus...), et on traduit selon le contexte par "très grand", "extrêmement grand" ou "le plus grand"... Donc parfois en termes d'intensité, parfois en termes de comparaison.
J'aurais tendance aussi à distinguer en français. Mais le manuel de l'exercice, non. Je ne sais pas qui a raison...
Bon, du coup, j'ai aussi vérifié, pas de "ce que" dans les pronoms selon la GMF. Ils scindent ("ce" support, "que" pronom).
-degrés d'intensité : intensité faible, forte, moyenne, etc (un peu, assez...)
-degrés de comparaison : comparatif et superlatif. Le superlatif relatif est la séquence "le plus [adj] de", "le moins [adj] de"...
Il y a une certaine logique. Mais du coup, j'ai beau fouiller dans le sommaire, le "superlatif absolu" brille par sa discrétion : on se contente dans l'index d'un renvoi à "comparatif", section où il n'y a rien sur ce superlatif absolu.
En latin, le superlatif, c'était avec des formes synthétiques (grandissimus...), et on traduit selon le contexte par "très grand", "extrêmement grand" ou "le plus grand"... Donc parfois en termes d'intensité, parfois en termes de comparaison.
J'aurais tendance aussi à distinguer en français. Mais le manuel de l'exercice, non. Je ne sais pas qui a raison...
Bon, du coup, j'ai aussi vérifié, pas de "ce que" dans les pronoms selon la GMF. Ils scindent ("ce" support, "que" pronom).
- LilypimsGrand sage
Ce n'est pas contradictoire, ça ?Samadhi a écrit:"assez épaisse" : superlatif relatif - intensité moyenne
"un peu huileuse" : superlatif relatif - intensité faible
"des plus ordinaires" : superlatif absolu de supériorité
- barègesÉrudit
Je crois vraiment que ça fait partie de certaines terminologies.
Et j'aurais, en admettant le terme "superlatif", dit que les deux premiers étaient des superlatifs absolus. Comme quoi...
Et j'aurais, en admettant le terme "superlatif", dit que les deux premiers étaient des superlatifs absolus. Comme quoi...
- CelebornEsprit sacré
Ce qui à mon avis n'est pas la solution de simplicité. Bref, les joyeux débats de la grammaire universitaire !barèges a écrit:Bon, du coup, j'ai aussi vérifié, pas de "ce que" dans les pronoms selon la GMF. Ils scindent ("ce" support, "que" pronom).
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- LilypimsGrand sage
Mais le superlatif exprime le plus haut degré, non ?
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...il faut continuer, je ne peux pas continuer, il faut continuer, je vais donc continuer...
- SamadhiNiveau 7
La fatigue du jeudi soir. Je corrige :
"assez épaisse" : superlatif absolu - intensité moyenne
"un peu huileuse" : superlatif absolu - intensité faible
"des plus ordinaires" : superlatif relatif de supériorité
Non, ce n'est pas contradictoire.
"assez épaisse" : superlatif absolu - intensité moyenne
"un peu huileuse" : superlatif absolu - intensité faible
"des plus ordinaires" : superlatif relatif de supériorité
Non, ce n'est pas contradictoire.
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"They were threatened by my intelligence and too stupid to know that's why they hated me" (S.C.)
- LilypimsGrand sage
Tu pourrais expliquer ?Samadhi a écrit: La fatigue du jeudi soir. Je corrige :
"assez épaisse" : superlatif absolu - intensité moyenne
"un peu huileuse" : superlatif absolu - intensité faible
"des plus ordinaires" : superlatif relatif de supériorité
Non, ce n'est pas contradictoire.
- barègesÉrudit
Personnellement, je trouve ça plus simple. Les goûts et les couleurs !Celeborn a écrit:Ce qui à mon avis n'est pas la solution de simplicité. Bref, les joyeux débats de la grammaire universitaire !barèges a écrit:Bon, du coup, j'ai aussi vérifié, pas de "ce que" dans les pronoms selon la GMF. Ils scindent ("ce" support, "que" pronom).
- CelebornEsprit sacré
C'est vrai que l'idée d'un « superlatif d'intensité moyenne » est en soi cocasse.
Ma bonne vieille grammaire scolaire des années 70 avait le bon goût de parler de degré absolu, et non de superlatif absolu, ce qui n'était peut-être pas + mal. Quoi qu'il en soit, l'analyse de Samadhi est la bonne.
Ma bonne vieille grammaire scolaire des années 70 avait le bon goût de parler de degré absolu, et non de superlatif absolu, ce qui n'était peut-être pas + mal. Quoi qu'il en soit, l'analyse de Samadhi est la bonne.
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- LilypimsGrand sage
Mais alors ce mot n'a plus de sens.
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...il faut continuer, je ne peux pas continuer, il faut continuer, je vais donc continuer...
- dandelionVénérable
Euh, ça m'étonnerait quand même que Sheldon trouve ça scientifiqueSamadhi a écrit: La fatigue du jeudi soir. Je corrige :
"assez épaisse" : superlatif absolu - intensité moyenne
"un peu huileuse" : superlatif absolu - intensité faible
"des plus ordinaires" : superlatif relatif de supériorité
Non, ce n'est pas contradictoire.
- CelebornEsprit sacré
Va expliquer ensuite que ta proposition subordonnée interrogative indirecte est en fait une relative mais pas relative à un pronom démonstratif support…barèges a écrit:Personnellement, je trouve ça plus simple. Les goûts et les couleurs !Celeborn a écrit:Ce qui à mon avis n'est pas la solution de simplicité. Bref, les joyeux débats de la grammaire universitaire !barèges a écrit:Bon, du coup, j'ai aussi vérifié, pas de "ce que" dans les pronoms selon la GMF. Ils scindent ("ce" support, "que" pronom).
Qui vient ?/Je me demande qui vient. -> paf, une subordonnée interrogative indirecte introduite par un pronom interrogatif.
Que fais-tu ?/ Je me demande ce que tu fais -> Là, une subordonnée interrogative indirecte utilisant un démonstratif suivi d'un interrogatif mais qui fonctionne comme un relatif… Non, non, c'est vraiment pas simple !
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- barègesÉrudit
Non, mais, j'ai du mal avec ce type d'interrogative indirecte. On en avait longuement discuté ailleurs.
Là : https://www.neoprofs.org/t60584p100-question-de-grammaire (page 6)
On peut l'analyser comme relative substantive COD. Dans "Je demande ce que tu fais", passe encore, mais avec "savoir" ? "Je sais ce que je fais", interrogative indirecte ?
Là : https://www.neoprofs.org/t60584p100-question-de-grammaire (page 6)
On peut l'analyser comme relative substantive COD. Dans "Je demande ce que tu fais", passe encore, mais avec "savoir" ? "Je sais ce que je fais", interrogative indirecte ?
- dandelionVénérable
Je me posais la question pour 'je dis ce que...", du coup qu'est-cebarèges a écrit:Non, mais, j'ai du mal avec ce type d'interrogative indirecte. On en avait longuement discuté ailleurs.
Là : https://www.neoprofs.org/t60584p100-question-de-grammaire (page 6)
On peut l'analyser comme relative substantive COD. Dans "Je demande ce que tu fais", passe encore, mais avec "savoir" ? "Je sais ce que je fais", interrogative indirecte ?
- barègesÉrudit
Le classement des subordonnées selon la nature du mot subordonnant bute là-dessus : il y a les conjonctives (conjonctions, et cette catégorie comprendrait l'interrogation indirecte totale en "si"), les relatives (pronom relatif) et les interrogatives indirectes partielles (mot interrogatif). Beaucoup de mots relatifs ressemblent fort à des mots interrogatifs. Pour les relatives, il y a le critère de la fonction dans la subordonnée.
Je dis ce que je pense : je pense + COD, "ce", pour moi c'est une relative.
Il suffit cependant de créer le "pronom interrogatif" ce que, et hop, une interrogative indirecte !
Sinon "ce que" est tantôt pronom + relatif, tantôt un ensemble "pronom interrogatif", selon les besoins...
"Je me demande ce que tu fais" : j'assume mes errements et considère "que" comme un pronom relatif. Pas comme un interrogatif dévoyé.
Je dis ce que je pense : je pense + COD, "ce", pour moi c'est une relative.
Il suffit cependant de créer le "pronom interrogatif" ce que, et hop, une interrogative indirecte !
Sinon "ce que" est tantôt pronom + relatif, tantôt un ensemble "pronom interrogatif", selon les besoins...
"Je me demande ce que tu fais" : j'assume mes errements et considère "que" comme un pronom relatif. Pas comme un interrogatif dévoyé.
- retraitéeDoyen
Oui, il correspond au pronom interrogatif non animé.Celeborn a écrit:Si si, le pronom « ce que » est reconnu par la plupart des grammaires comme un pronom interrogatif servant dans des interrogations indirectes. Il équivaut à "que" dans les interrogatives directes ( Que fais-tu ? -> Je me demande ce que tu fais.)barèges a écrit:Je ne retiendrais que le troisième de ceux que tu cites. Pour moi, pour qu'il y ait superlatif, il faut qu'il y ait comparaison.
Les autres sont des adjectifs avec un adverbe d'intensité.
Pour la deuxième question, elle renvoie à la douloureuse problématique de l'interrogative indirecte, que l'on peut parfois difficilement distinguer d'une relative substantive COD. Personnellement je dissocie : ce (pronom neutre)/que (pronom relatif, antécédent "ce"). D'ailleurs je n'ai jamais entendu parler du pronom "ce que", mais c'est peut-être une lacune.
Qui est tombé? (animé, sujet, un enfant)
J'aimerais savoir qui est tombé.
Qu'est-ce qui est tombé? (non animé,sujet, un objet)
J'aimerais savoir ce qui est tombé.
Qui invites-tu? (animé, COD, des amis)
J'aimerais savoir qui tu invites.
Que manges-tu? (non animé, COD, chose)
J'aimerais savoir ce que tu manges.
En revanche, dans "Tu mangeras ce qui reste dans le frigo.", je considère ce qui etc comme une relative substantivée. Mais la distinction est souvent difficile.
- InvitéMAFidèle du forum
Bonjour!
Quelle est la formule la plus correcte?
1/ Je n'ai pas d'animal de compagnie.
2/ Je n'ai pas d'animaux de compagnie.
En gros, peut-on mettre le pluriel après "pas de"...???
Quelle est la formule la plus correcte?
1/ Je n'ai pas d'animal de compagnie.
2/ Je n'ai pas d'animaux de compagnie.
En gros, peut-on mettre le pluriel après "pas de"...???
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