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- CasparProphète
Penser au cerveau droit et au cerveau gauche.
- pseudo-alisonNiveau 10
Cela dépend du niveau pour ma part c'est entre 5 à 10 lignes pour la trace écrite des 6e on augmente au fur et à mesure de l'année, de 10 à 15 en cinquième, 15 lignes minimum en quatrième et de 15 à 20 lignes en troisième. Ca correspond aussi à ce que je leur demande au DS (dans les compétences de rédaction d'un texte) et c'est souvent eux qui construisent la TE.
- Aelius LamprideNiveau 1
La longueur de la TE devrait pouvoir être évolutive en fonction du niveau des élèves (et/ou de leur motivation pour faire du mauvais esprit).
Que la TE soit recopiée (ce que l'on devrait éviter) par les élèves ou réalisée en autonomie (partielle ou complète), les disparités entre élèves (qui vont aisément du simple au triple en termes de rapidité/lenteur) invitent à prévoir quelque chose pour nourrir (c'est le côté pédagogique) et/ou occuper (c'est humain...) les plus rapides : exercices en plus (pourquoi pas sous forme ludique sous forme de mots croisés, d'énigmes liés au travail en cours), pistes pour aller plus loin (au fil de la TE ou en conclusion de celle-ci avec la perspective d'une bonne note sur la question longue de l'évaluation en guise de motivation ?).
Quant à la longueur de la TE, elle dépend trop de la mise en activité de chaque enseignant pour prétendre fixer des normes :
- si la TE est précédée d'un gros travail de préparation (fiches d'activité, pré-rédaction de la synthèse, organisation des informations collectées), celle-ci ne peut évidemment pas être trop étendue (sauf à ne réaliser qu'une portion congrue des programmes...)
- elle est plus étoffée, si la collecte d'informations (travail sur docs, brain-storming, cours dialogué...) se fait sous forme de brouillon non rédigé (individuellement ou collectivement), si elle est déjà ordonnée par le prof...
Qu'importe le flacon, si les objectifs (compétences et connaissances) sont atteints pour les élèves....
Que la TE soit recopiée (ce que l'on devrait éviter) par les élèves ou réalisée en autonomie (partielle ou complète), les disparités entre élèves (qui vont aisément du simple au triple en termes de rapidité/lenteur) invitent à prévoir quelque chose pour nourrir (c'est le côté pédagogique) et/ou occuper (c'est humain...) les plus rapides : exercices en plus (pourquoi pas sous forme ludique sous forme de mots croisés, d'énigmes liés au travail en cours), pistes pour aller plus loin (au fil de la TE ou en conclusion de celle-ci avec la perspective d'une bonne note sur la question longue de l'évaluation en guise de motivation ?).
Quant à la longueur de la TE, elle dépend trop de la mise en activité de chaque enseignant pour prétendre fixer des normes :
- si la TE est précédée d'un gros travail de préparation (fiches d'activité, pré-rédaction de la synthèse, organisation des informations collectées), celle-ci ne peut évidemment pas être trop étendue (sauf à ne réaliser qu'une portion congrue des programmes...)
- elle est plus étoffée, si la collecte d'informations (travail sur docs, brain-storming, cours dialogué...) se fait sous forme de brouillon non rédigé (individuellement ou collectivement), si elle est déjà ordonnée par le prof...
Qu'importe le flacon, si les objectifs (compétences et connaissances) sont atteints pour les élèves....
- CasparProphète
Pourquoi éviter de recopier? cela ne leur fait pas de mal d'écrire un peu à la main.
- ElyasEsprit sacré
Sans doute, en paraphrasant Marc Bloch, pour éviter le perroquettage. L'HG a l'ambition d'amener à la réflexion les élèves sur les objets étudiés. Or, l'écriture produite en autonomie est idéale pour cela. L'élève réfléchit à ce qu'il écrit en pensée puis il retranscrit sa pensée à l'écrit et en écrivant il nourrit sa pensée par un processus cognitif que toute personne qui écrit connaît.Caspar Goodwood a écrit:Pourquoi éviter de recopier? cela ne leur fait pas de mal d'écrire un peu à la main.
On fait toujours recopier des choses à noes élèves mais on a d'autres ambitions (raconter, argumenter, conceptualiser...). Nous ne sommes pas qu'une discipline de gavage.
- CasparProphète
Je suis professeur d'anglais et pas d'histoire donc je prêche pour ma paroisse. Les élèves ne doivent pas passer leur temps à recopier bien sûr mais quatre ou cinq lignes à la fin du cours, ça ne leur fait pas de mal. Pour moi c'est un "temps calme", surtout après une intense activité orale en cours de langue.
- ElyasEsprit sacré
On est d'accord. Je te rassure, quand nos élèves grattent leurs récits, on est parti pour 20 mn de calme Je ne te raconte pas quand il s'agit de faire leur légende de croquis !
- ParatgeNeoprof expérimenté
Trace écrite !
J'adore la novlangue de l'Éduknat' ! Manque plus que l'instrument scripteur...
En collège en HG, jusqu'en 4e, en 1 heure une "leçon" : page de droite le résumé, page de gauche exos, schémas, carte, etc.
J'adore la novlangue de l'Éduknat' ! Manque plus que l'instrument scripteur...
En collège en HG, jusqu'en 4e, en 1 heure une "leçon" : page de droite le résumé, page de gauche exos, schémas, carte, etc.
- Invité NHabitué du forum
Je n'en suis pas encore à rédiger la trace écrite avec les élèves. Ensemble, nous mettons en avant les éléments qui seront repris dans la trace écrite mais quand j'arrive en cours elle est déjà rédigée, sinon je ne m'en sortirais plus... Est-ce grave, docteur ?Aelius Lampride a écrit:La longueur de la TE devrait pouvoir être évolutive en fonction du niveau des élèves (et/ou de leur motivation pour faire du mauvais esprit).
Que la TE soit recopiée (ce que l'on devrait éviter) par les élèves ou réalisée en autonomie (partielle ou complète), les disparités entre élèves (qui vont aisément du simple au triple en termes de rapidité/lenteur) invitent à prévoir quelque chose pour nourrir (c'est le côté pédagogique) et/ou occuper (c'est humain...) les plus rapides : exercices en plus (pourquoi pas sous forme ludique sous forme de mots croisés, d'énigmes liés au travail en cours), pistes pour aller plus loin (au fil de la TE ou en conclusion de celle-ci avec la perspective d'une bonne note sur la question longue de l'évaluation en guise de motivation ?).
Quant à la longueur de la TE, elle dépend trop de la mise en activité de chaque enseignant pour prétendre fixer des normes :
- si la TE est précédée d'un gros travail de préparation (fiches d'activité, pré-rédaction de la synthèse, organisation des informations collectées), celle-ci ne peut évidemment pas être trop étendue (sauf à ne réaliser qu'une portion congrue des programmes...)
- elle est plus étoffée, si la collecte d'informations (travail sur docs, brain-storming, cours dialogué...) se fait sous forme de brouillon non rédigé (individuellement ou collectivement), si elle est déjà ordonnée par le prof...
Qu'importe le flacon, si les objectifs (compétences et connaissances) sont atteints pour les élèves....
- LaprofhgecNiveau 9
J'ai aussi une trace écrite rédigée mais elle ne me sert jamais.
- soit je pars de ce que l'on a dit avec les élèves, de ce que l'on a prélevé dans les docs. Je demande à un élève de me dicter ce qu'il faut retenir (avec le concours des autres). Et finalement, la trace écrite est différente et plus courte que celle que j'avais faite.
- soit les élèves rédigent eux même
- soit je pars de ce que l'on a dit avec les élèves, de ce que l'on a prélevé dans les docs. Je demande à un élève de me dicter ce qu'il faut retenir (avec le concours des autres). Et finalement, la trace écrite est différente et plus courte que celle que j'avais faite.
- soit les élèves rédigent eux même
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