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- RoninMonarque
Moi je propose d'étaler la maternelle jusqu'en CM2, de faire le cycle 2 au collège et le cycle 3 au lycée. Comme ça, pas d'élèves en difficulté, on peut supprimer les rased et les classes spé et 100 % des parents sont heureux, on supprime aussi les agrégés et on fait de belles économies
- RoninMonarque
Quoâ, c'est pas une bonne idée-super-généreuse-citoyenne-repsectueuse-progressiste-qui-lutte-contre-le-déficit ?
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- RoninMonarque
- JPhMMDemi-dieu
C'est bien la peine de s'écharper sur les programmes d'histoire s'ils changent d'ici trois ans. :lol:
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- User5899Demi-dieu
Gageons qu'ils seront améliorés
- JohnMédiateur
Oui c'est vrai ça au fait !JPhMM a écrit:C'est bien la peine de s'écharper sur les programmes d'histoire s'ils changeront d'ici trois ans. :lol:
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"Qui a construit Thèbes aux sept portes ? Dans les livres, on donne les noms des Rois. Les Rois ont-ils traîné les blocs de pierre ? [...] Quand la Muraille de Chine fut terminée, Où allèrent ce soir-là les maçons ?" (Brecht)
"La nostalgie, c'est plus ce que c'était" (Simone Signoret)
- User5899Demi-dieu
JP, ce "s'ils changeront", ne me dites pas que c'est une anticipation du nouveau programme de français, hein
- JPhMMDemi-dieu
Non, simplement le symptôme d'une fatigue avancée.Cripure a écrit:JP, ce "s'ils changeront", ne me dites pas que c'est une anticipation du nouveau programme de français, hein
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- User5899Demi-dieu
Ouf !JPhMM a écrit:Non, simplement le symptôme d'une fatigue avancée.Cripure a écrit:JP, ce "s'ils changeront", ne me dites pas que c'est une anticipation du nouveau programme de français, hein
J'édite ?
- Roumégueur IerÉrudit
J'ai bien peur que cette refondation tous azimuts se fasse à l'insu du 'bon sens' et que nous aurons un collège où le brevet sera adossé au socle et les savoirs inféodés aux compétences. Bref, ce serait l'inverse de ce qui est proposé ici par Jean-Rémy Celeborn et ce serait bien dommage :
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2013/09/20/01016-20130920ARTFIG00493-girard-l-idee-suivant-laquelle-l-eleve-8220construit-son-propre-savoir8221-est-absurde.php
Tiens, si M. Peillon assiste au congrès du Snalc, voilà une bonne occasion de lui en toucher deux mots!
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2013/09/20/01016-20130920ARTFIG00493-girard-l-idee-suivant-laquelle-l-eleve-8220construit-son-propre-savoir8221-est-absurde.php
Tiens, si M. Peillon assiste au congrès du Snalc, voilà une bonne occasion de lui en toucher deux mots!
- retraitéeDoyen
Et de lui parler à nouveau du suicide de notre collègue Pierre Jacque .
- Roumégueur IerÉrudit
Sur le statut, la position de FO :
"Montreuil, le 19 septembre 2013
Alerte sur le statut sur fond d'austérité !
Le ministre va ouvrir des discussions sur les missions des enseignants. Le ministre a annoncé début juillet vouloir passer à l'acte II de la refondation en s'attaquant aux missions des personnels. 13 groupes de travail sont annoncés, dont un pour les enseignants du secondaire (concernant en même temps les professeurs certifiés, agrégés et PLP). Les premières réunions devraient se tenir rapidement.
Stopper la dégradation …
S'agit-il, alors que la rentrée que nous subissons est marquée par une nouvelle dégradation, et aussi par le fait que des horaires de cours ne sont toujours pas assurés
− d'améliorer nos conditions de travail, alors que les effectifs des classes sont encore à la hausse ?
− de revenir sur des réformes qui selon les chiffres officiels de la DEPP ont conduit le temps de travail des certifiés à augmenter de 3h02 entre 2008 et 2010 (42h53 en moyenne) ?
− de débloquer le point d'indice gelé depuis 2010 et d'en finir avec la diminution des salaires nets et d'améliorer les carrières ?
S'agit-il de revenir sur la réforme du lycée qui se traduit notamment par des emplois du temps dégradés du fait de l'AP, des enseignements d'exploration, des horaires de langues en barrette, par une diminution des décharges statutaires (1ère chaire), et par le désarroi dramatique dans lequel sont placés nos collègues de STI ? S'agit-il d'abandonner le livret de compétences en collège, la note de vie scolaire et le socle commun?
Ce sont les revendications de Force Ouvrière.
… ou mettre en cause le statut national et les décrets du 25 mai 1950 ?
Mais après le vote de la loi d'orientation dite de refondation, visiblement le ministre veut poursuivre toutes ces réformes et aller encore plus loin. Il veut aussi « mettre en cohérence les missions et les parcours professionnels avec les enjeux pédagogiques » découlant de la loi.
Cela signifierait :
− organiser des services croisés école-collège pour les professeurs certifiés,
− généraliser les projets éducatifs territoriaux qui sèment en cette rentrée la pagaille dans les écoles qui appliquent la réforme des rythmes scolaires en mêlant scolaire et périscolaire, professeurs des écoles et « adultes » envoyés par les mairies qui font elles-mêmes appel à des associations.
− mettre fin aux programmes annuels et les remplacer par des référentiels de cycles triannuels fondés sur de vagues compétences.
− donner aux départements et régions droit de regard sur l'enseignement dans le cadre des contrats d'objectifs tripartites établissement-collectivités- rectorat.
− diminuer encore les horaires de cours disciplinaires et les remplacer par de l'accompagnement qui pourrait être fait aussi bien par des enseignants que par des intervenants divers.
Cela signifierait la mise en cause directe de la définition de nos services sur une base nationale, hebdomadaire, dans notre discipline, ce serait la mise en cause les décrets du 25 mai 1950. Il n'y a là aucun progrès, ni pour les élèves, ni pour les professeurs.
La confédération Force Ouvrière au Conseil Supérieur de l'Education a voté contre la loi d'orientation parce qu'elle conduit tout droit à l'école du socle à minima, à l'école territorialisée. Force Ouvrière n'acceptera aucun recul sur les garanties statutaires nationales.
FO n’acceptera aucun recul
Des ballons d'essai sont lancés depuis quelques semaines, par la Cour des Comptes, par le Ministre mais aussi par des responsables de syndicats qui soutiennent la loi d'orientation : bivalence, annualisation des services, décompte différencié des heures selon les postes
occupés, mise en place d'un contingent d'heures annualisé -sur le modèle des 108 heures pour les professeurs des écoles- dont l'utilisation serait définie localement, sous prétexte de faire reconnaître les autres tâches que l'enseignement...
Cette dernière solution se traduirait forcément par une nouvelle diminution des horaires de cours des élèves, et ferait sauter le verrou qui nous permet encore de résister à ce qu'on nous impose n'importe quoi. Par exemple (sous prétexte de projets locaux
notamment) on ne peut nous imposer des horaires variables d'une semaine ou d'un mois sur l'autre ou de compléter nos services en école primaire.
Travailler de plus en plus, devenir polyvalents, pour gagner de moins en moins : pour Force Ouvrière c'est non.
Le 10 septembre des centaines de milliers de salariés du public et du privé ont manifesté contre la réforme Ayrault sur les retraites. De nombreux appels intersyndicaux communs ont été adoptés dans les établissements secondaires et ailleurs.
Nous ne voulons pas comme seul avenir :
− des salaires toujours plus bas
− la retraite à 69 ans (début de carrière moyen : 26 ans)
− être corvéables à merci au nom de la mise en place de l'école du socle, de l'école territorialisée
Retraites, salaires, statut : nous confirmons nos revendications.
Le SNFOLC propose aux enseignants de se réunir avec le syndicat pour s'informer,
discuter, revendiquer :
− Non à la retraite à 69 ans, aucun allongement de la durée de cotisation, retrait du plan Ayrault
− Augmentation de nos salaires et traitements
− Maintien de toutes nos garanties statutaires nationales, de la définition de nos obligations de service en maxima horaire d’enseignement : maintien des décrets du 25 mai 1950
Le SNFOLC est disponible pour l'action commune à tous les niveaux sur ces revendications.
Syndicat National FORCE OUVRIERE des Lycées et Collèges
6/8 rue Gaston Lauriau 93513 Montreuil cedex
tel 01 56 93 22 44, snfolc.national@fo-fnecfp.fr"
"Montreuil, le 19 septembre 2013
Alerte sur le statut sur fond d'austérité !
Le ministre va ouvrir des discussions sur les missions des enseignants. Le ministre a annoncé début juillet vouloir passer à l'acte II de la refondation en s'attaquant aux missions des personnels. 13 groupes de travail sont annoncés, dont un pour les enseignants du secondaire (concernant en même temps les professeurs certifiés, agrégés et PLP). Les premières réunions devraient se tenir rapidement.
Stopper la dégradation …
S'agit-il, alors que la rentrée que nous subissons est marquée par une nouvelle dégradation, et aussi par le fait que des horaires de cours ne sont toujours pas assurés
− d'améliorer nos conditions de travail, alors que les effectifs des classes sont encore à la hausse ?
− de revenir sur des réformes qui selon les chiffres officiels de la DEPP ont conduit le temps de travail des certifiés à augmenter de 3h02 entre 2008 et 2010 (42h53 en moyenne) ?
− de débloquer le point d'indice gelé depuis 2010 et d'en finir avec la diminution des salaires nets et d'améliorer les carrières ?
S'agit-il de revenir sur la réforme du lycée qui se traduit notamment par des emplois du temps dégradés du fait de l'AP, des enseignements d'exploration, des horaires de langues en barrette, par une diminution des décharges statutaires (1ère chaire), et par le désarroi dramatique dans lequel sont placés nos collègues de STI ? S'agit-il d'abandonner le livret de compétences en collège, la note de vie scolaire et le socle commun?
Ce sont les revendications de Force Ouvrière.
… ou mettre en cause le statut national et les décrets du 25 mai 1950 ?
Mais après le vote de la loi d'orientation dite de refondation, visiblement le ministre veut poursuivre toutes ces réformes et aller encore plus loin. Il veut aussi « mettre en cohérence les missions et les parcours professionnels avec les enjeux pédagogiques » découlant de la loi.
Cela signifierait :
− organiser des services croisés école-collège pour les professeurs certifiés,
− généraliser les projets éducatifs territoriaux qui sèment en cette rentrée la pagaille dans les écoles qui appliquent la réforme des rythmes scolaires en mêlant scolaire et périscolaire, professeurs des écoles et « adultes » envoyés par les mairies qui font elles-mêmes appel à des associations.
− mettre fin aux programmes annuels et les remplacer par des référentiels de cycles triannuels fondés sur de vagues compétences.
− donner aux départements et régions droit de regard sur l'enseignement dans le cadre des contrats d'objectifs tripartites établissement-collectivités- rectorat.
− diminuer encore les horaires de cours disciplinaires et les remplacer par de l'accompagnement qui pourrait être fait aussi bien par des enseignants que par des intervenants divers.
Cela signifierait la mise en cause directe de la définition de nos services sur une base nationale, hebdomadaire, dans notre discipline, ce serait la mise en cause les décrets du 25 mai 1950. Il n'y a là aucun progrès, ni pour les élèves, ni pour les professeurs.
La confédération Force Ouvrière au Conseil Supérieur de l'Education a voté contre la loi d'orientation parce qu'elle conduit tout droit à l'école du socle à minima, à l'école territorialisée. Force Ouvrière n'acceptera aucun recul sur les garanties statutaires nationales.
FO n’acceptera aucun recul
Des ballons d'essai sont lancés depuis quelques semaines, par la Cour des Comptes, par le Ministre mais aussi par des responsables de syndicats qui soutiennent la loi d'orientation : bivalence, annualisation des services, décompte différencié des heures selon les postes
occupés, mise en place d'un contingent d'heures annualisé -sur le modèle des 108 heures pour les professeurs des écoles- dont l'utilisation serait définie localement, sous prétexte de faire reconnaître les autres tâches que l'enseignement...
Cette dernière solution se traduirait forcément par une nouvelle diminution des horaires de cours des élèves, et ferait sauter le verrou qui nous permet encore de résister à ce qu'on nous impose n'importe quoi. Par exemple (sous prétexte de projets locaux
notamment) on ne peut nous imposer des horaires variables d'une semaine ou d'un mois sur l'autre ou de compléter nos services en école primaire.
Travailler de plus en plus, devenir polyvalents, pour gagner de moins en moins : pour Force Ouvrière c'est non.
Le 10 septembre des centaines de milliers de salariés du public et du privé ont manifesté contre la réforme Ayrault sur les retraites. De nombreux appels intersyndicaux communs ont été adoptés dans les établissements secondaires et ailleurs.
Nous ne voulons pas comme seul avenir :
− des salaires toujours plus bas
− la retraite à 69 ans (début de carrière moyen : 26 ans)
− être corvéables à merci au nom de la mise en place de l'école du socle, de l'école territorialisée
Retraites, salaires, statut : nous confirmons nos revendications.
Le SNFOLC propose aux enseignants de se réunir avec le syndicat pour s'informer,
discuter, revendiquer :
− Non à la retraite à 69 ans, aucun allongement de la durée de cotisation, retrait du plan Ayrault
− Augmentation de nos salaires et traitements
− Maintien de toutes nos garanties statutaires nationales, de la définition de nos obligations de service en maxima horaire d’enseignement : maintien des décrets du 25 mai 1950
Le SNFOLC est disponible pour l'action commune à tous les niveaux sur ces revendications.
Syndicat National FORCE OUVRIERE des Lycées et Collèges
6/8 rue Gaston Lauriau 93513 Montreuil cedex
tel 01 56 93 22 44, snfolc.national@fo-fnecfp.fr"
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- "Tous les métiers de l'éducation" seront réformés en deux temps : d'abord avant Noël 2013, puis en même temps que les programmes, l'éducation prioritaires et le collège.
- Rythmes scolaires : Le ministère met en ligne les horaires de toutes les écoles publiques de France.
- La nouvelle version du socle commun sera soumise aux enseignants par le Conseil Supérieur des Programmes.
- Dernières nouvelles de la réforme des rythmes scolaires
- Nouveau socle commun : "Il n'y aura pas de proposition de carnet de compétences ou de grille d'évaluation dans le socle".
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