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- ludie87Je viens de m'inscrire !
Bonjour à tous et à toutes,
Enseignante en lycée agricole pour des Bac Pro Services, depuis Septembre dernier, je suis à la recherche d'aide pour améliorer le contenu de mes séances.
N'ayant jamais été formée (je sors d'un DE CESF où on ne se destine pas à l'enseignement), je peine un peu, j'ai eu une inspection qui ne s'est pas très bien dérouler.
Voila ce que me reproche l'inspectrice: "Il est indispensable de mettre en œuvre une pédagogie inductive reposant sur des éléments concrets..."
Je souhaite donc prendre en compte cette remarque mais j'ai beaucoup de mal à mettre en place dans mes séances.
Je vous remercie d'avance pour votre aide !
Bonne journée
Enseignante en lycée agricole pour des Bac Pro Services, depuis Septembre dernier, je suis à la recherche d'aide pour améliorer le contenu de mes séances.
N'ayant jamais été formée (je sors d'un DE CESF où on ne se destine pas à l'enseignement), je peine un peu, j'ai eu une inspection qui ne s'est pas très bien dérouler.
Voila ce que me reproche l'inspectrice: "Il est indispensable de mettre en œuvre une pédagogie inductive reposant sur des éléments concrets..."
Je souhaite donc prendre en compte cette remarque mais j'ai beaucoup de mal à mettre en place dans mes séances.
Je vous remercie d'avance pour votre aide !
Bonne journée
- Ibn KhaldounNiveau 8
Bonjour,
La méthode inductive consiste à partir du concret, d'étude de cas pour réaliser ensuite une mise en perspective. En histoire par exemple, sur la question des décolonisations en 3ème, on part d'une étude concrète sur la décolonisation de l'Inde, de l'Algérie, ou du Congo belge. Ensuite il s'agit de réaliser une mise en perspective pour constater que le phénomène de décolonisation, à cette période, s'observe à l'échelle mondiale.
La méthode inductive est l'inverse de la méthode hypothéco-déductive.
La méthode inductive consiste à partir du concret, d'étude de cas pour réaliser ensuite une mise en perspective. En histoire par exemple, sur la question des décolonisations en 3ème, on part d'une étude concrète sur la décolonisation de l'Inde, de l'Algérie, ou du Congo belge. Ensuite il s'agit de réaliser une mise en perspective pour constater que le phénomène de décolonisation, à cette période, s'observe à l'échelle mondiale.
La méthode inductive est l'inverse de la méthode hypothéco-déductive.
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Qui pourrait, en France, parler de « race » ? Notre Midi a sa pinte de sang sarrasin, espagnol, andalou. [...] Tant d'« immigrés », depuis si longtemps, depuis notre Préhistoire jusqu'à l'histoire très récente, ont réussi à faire naufrage sans trop de bruit dans la masse française que l'on pourrait dire, en s'amusant, que tous les Français, si le regard se reporte aux siècles et aux millénaires qui ont précédé notre temps, sont fils d'immigrés. Très diverse, la France ne peut-elle courir le risque de le devenir, biologiquement, davantage encore ?
L'identité de la France - Fernand Braudel
- pedro771Niveau 7
Ibn Khaldoun a écrit:Bonjour,
La méthode inductive est l'inverse de la méthode hypothéco-déductive.
... qui elle part d'éléments théoriques qui permettent de mieux comprendre et étudier les exemples concrets?
ca m'intéresse tout ça.
- InvitéInvité
Oui, c'est cela pedro.
Sinon, bienvenue, ludie. Le principal problème dans la remarque faite par ton IPR, c'est que sans élément précis (exemple) pour te guider, elle ne coûte pas cher et ne veut rien dire. En décodant un peu, j'imagine qu'elle te reproche trop de cours magistral. Il faudrait donc prévoir des activités qui rendent tes élèves plus actifs, mais ne connaissant pas ta matière, je ne peux guère être plus précise.
Sinon, bienvenue, ludie. Le principal problème dans la remarque faite par ton IPR, c'est que sans élément précis (exemple) pour te guider, elle ne coûte pas cher et ne veut rien dire. En décodant un peu, j'imagine qu'elle te reproche trop de cours magistral. Il faudrait donc prévoir des activités qui rendent tes élèves plus actifs, mais ne connaissant pas ta matière, je ne peux guère être plus précise.
- pedro771Niveau 7
les méthodes préférées des inspecteurs sont-elles écrites quelque part? Le ministère préconise t-il une méthode plus qu'une autre?
- Ibn KhaldounNiveau 8
Salut Pédro,
dans le secondaire la méthode inductive est clairement privilégié. D'ailleurs tu retrouves cela dans la réalisation des manuels. Partir du concret pour élargir ensuite, une démarche idiographique.
dans le secondaire la méthode inductive est clairement privilégié. D'ailleurs tu retrouves cela dans la réalisation des manuels. Partir du concret pour élargir ensuite, une démarche idiographique.
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Qui pourrait, en France, parler de « race » ? Notre Midi a sa pinte de sang sarrasin, espagnol, andalou. [...] Tant d'« immigrés », depuis si longtemps, depuis notre Préhistoire jusqu'à l'histoire très récente, ont réussi à faire naufrage sans trop de bruit dans la masse française que l'on pourrait dire, en s'amusant, que tous les Français, si le regard se reporte aux siècles et aux millénaires qui ont précédé notre temps, sont fils d'immigrés. Très diverse, la France ne peut-elle courir le risque de le devenir, biologiquement, davantage encore ?
L'identité de la France - Fernand Braudel
- InvitéInvité
Attention, n'allez pas vous mettre en tête, amis stagiaires, qu'il y a une recette toute faite pour plaire à vos IPR. La tendance générale est à favoriser la pédagogie active, celle qui rend les élèves acteurs, mais ce n'est pas pour cela qu'il ne faut faire que cela ou l'appliquer de façon mécanique.
De toute façon, vous verrez, la meilleure manière d'enseigner c'est d'être en accord avec soi même.
De toute façon, vous verrez, la meilleure manière d'enseigner c'est d'être en accord avec soi même.
- pedro771Niveau 7
En somme en a "encore" de l'autonomie pédagogique à partir du moment ou l'on respecte un certain nombre de pré-requis. J'avais l'impression qu'on tentait au contraire de formater de plus en plus l'enseignement.
- InvitéInvité
Attends de voir.
Les IPR sont humains, et peuvent avoir des points de vue différents les uns des autres, il est donc urgent d'attendre et d'essayer de cerner les tiens, pour comprendre les attentes. Mais sinon, oui, à partir du moment où ce que tu fais est cohérent, avec un minimum de souplesse, ça passe.
Les IPR sont humains, et peuvent avoir des points de vue différents les uns des autres, il est donc urgent d'attendre et d'essayer de cerner les tiens, pour comprendre les attentes. Mais sinon, oui, à partir du moment où ce que tu fais est cohérent, avec un minimum de souplesse, ça passe.
- ArtysiaVénérable
holderfar a écrit:Attention, n'allez pas vous mettre en tête, amis stagiaires, qu'il y a une recette toute faite pour plaire à vos IPR. La tendance générale est à favoriser la pédagogie active, celle qui rend les élèves acteurs, mais ce n'est pas pour cela qu'il ne faut faire que cela ou l'appliquer de façon mécanique.
De toute façon, vous verrez, la meilleure manière d'enseigner c'est d'être en accord avec soi même.
En effet il n'y a pas de recette toute faite, mais en histoire géo, il est clairement dit qu'on DOIT faire de l'inductif (il y a une fiche eduscol il me semble d'ailleurs). C'est perturbant quand on sort du concours car c'est l'inverse de la méthode universitaire ou on énonce les idées principales avant de les éclairer par des exemples et de les nuancer.
Après pour éclairer le sujet principal, il faudrait nous donner un exemple en effet pour guider plus efficacement.
- JPhMMDemi-dieu
Enseigner la constitution de l'atome ou les principes de la relativité restreinte par induction à partir du concret, ça doit pas être de la tarte.
:shock:
:shock:
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- InvitéInvité
C'est la tendance générale qui se dégage, en effet. Mais pour donner un exemple précis qui montre que ce n'est pas complètement rigide et uniforme: je sais que certains IPR de LV tolèrent assez mal qu'on parle un peu français en cours. Ben moi je l'ai fait le jour de mon inspection (petit point méthode) et ça ne m'a pas été reproché. Si un collègue d'une autre langue avait tenté le coup, ça aurait pu être moins bien perçu.
- Ibn KhaldounNiveau 8
Attention, n'allez pas vous mettre en tête, amis stagiaires, qu'il y a une recette toute faite pour plaire à vos IPR. La tendance générale est à favoriser la pédagogie active, celle qui rend les élèves acteurs, mais ce n'est pas pour cela qu'il ne faut faire que cela ou l'appliquer de façon mécanique.
De toute façon, vous verrez, la meilleure manière d'enseigner c'est d'être en accord avec soi même.
Merci pour les conseils, je dis ça car j'ai eu pas mal de stages durant mes deux années de master. Et j'ai été visité mais pas par un IPR. Après mes propos portaient sur ma matière, et comme le signale JpH ce n'est pas évident pour toutes les disciplines.
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Qui pourrait, en France, parler de « race » ? Notre Midi a sa pinte de sang sarrasin, espagnol, andalou. [...] Tant d'« immigrés », depuis si longtemps, depuis notre Préhistoire jusqu'à l'histoire très récente, ont réussi à faire naufrage sans trop de bruit dans la masse française que l'on pourrait dire, en s'amusant, que tous les Français, si le regard se reporte aux siècles et aux millénaires qui ont précédé notre temps, sont fils d'immigrés. Très diverse, la France ne peut-elle courir le risque de le devenir, biologiquement, davantage encore ?
L'identité de la France - Fernand Braudel
- ArtysiaVénérable
C'est sûr qu'il y a une relative souplesse, ça dépend beaucoup des IPR.
- ArtysiaVénérable
Ibn Khaldoun a écrit:Attention, n'allez pas vous mettre en tête, amis stagiaires, qu'il y a une recette toute faite pour plaire à vos IPR. La tendance générale est à favoriser la pédagogie active, celle qui rend les élèves acteurs, mais ce n'est pas pour cela qu'il ne faut faire que cela ou l'appliquer de façon mécanique.
De toute façon, vous verrez, la meilleure manière d'enseigner c'est d'être en accord avec soi même.
Merci pour les conseils, je dis ça car j'ai eu pas mal de stages durant mes deux années de master. Et j'ai été visité mais pas par un IPR. Après mes propos portaient sur ma matière, et comme le signale JpH ce n'est pas évident pour toutes les disciplines.
L'induction m'a posé beaucoup de problèmes cette année en histoire. Mais les élèves eux semblent s'y retrouver.
- JPhMMDemi-dieu
Cela s'appelle l'inférence inductive.
Je me souviendrai toujours de celui qui me conseilla d'acheter L'apprentissage de l'abstraction et de le lire.
Misère...
Je me souviendrai toujours de celui qui me conseilla d'acheter L'apprentissage de l'abstraction et de le lire.
Misère...
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- InvitéInvité
Non, mais sur la tendance générale tu as raison, mais je précise cela pour d'autres raisons:Ibn Khaldoun a écrit:Attention, n'allez pas vous mettre en tête, amis stagiaires, qu'il y a une recette toute faite pour plaire à vos IPR. La tendance générale est à favoriser la pédagogie active, celle qui rend les élèves acteurs, mais ce n'est pas pour cela qu'il ne faut faire que cela ou l'appliquer de façon mécanique.
De toute façon, vous verrez, la meilleure manière d'enseigner c'est d'être en accord avec soi même.
Merci pour les conseils, je dis ça car j'ai eu pas mal de stages durant mes deux années de master. Et j'ai été visité mais pas par un IPR. Après mes propos portaient sur ma matière, et comme le signale JpH ce n'est pas évident pour toutes les disciplines.
1/ ne pas se dire qu'il y a UNE recette miracle pour réussir son cours. Ca, il vaut mieux en faire son deuil avant de débuter pour de bon.
2/ ne pas se dire que ladite méthode va forcément enchanter l'IPR le jour J.
3/ il faut essayer de ne pas avoir que sa visite de titularisation en ligne de mire, même si c'est difficile: la question la plus importante c'est: comment m'y prendre pour être efficace et faire progresser mes élèves le plus possible?
Si j'avais été moins crispée là-dessus, j'aurais sans doute passé une bien meilleure année de stage, alors autant vous en faire part maintenant!
- philannDoyen
holderfar a écrit:C'est la tendance générale qui se dégage, en effet. Mais pour donner un exemple précis qui montre que ce n'est pas complètement rigide et uniforme : je sais que certains IPR de LV tolèrent assez mal qu'on parle un peu français en cours . Ben moi je l'ai fait le jour de mon inspection (petit point méthode) et ça ne m'a pas été reproché. Si un collègue d'une autre langue avait tenté le coup, ça aurait pu être moins bien perçu.
...ou un collègue d'une même LV avec un autre IPR
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2014-2015: poste fixe dans les Hauts de Seine
2013-2014: certifiée stagiaire dans les Hauts de Seine
2011-2013: prof. contractuelle dans l'Essonne
- Isis39Enchanteur
Artysia a écrit:Ibn Khaldoun a écrit:Attention, n'allez pas vous mettre en tête, amis stagiaires, qu'il y a une recette toute faite pour plaire à vos IPR. La tendance générale est à favoriser la pédagogie active, celle qui rend les élèves acteurs, mais ce n'est pas pour cela qu'il ne faut faire que cela ou l'appliquer de façon mécanique.
De toute façon, vous verrez, la meilleure manière d'enseigner c'est d'être en accord avec soi même.
Merci pour les conseils, je dis ça car j'ai eu pas mal de stages durant mes deux années de master. Et j'ai été visité mais pas par un IPR. Après mes propos portaient sur ma matière, et comme le signale JpH ce n'est pas évident pour toutes les disciplines.
L'induction m'a posé beaucoup de problèmes cette année en histoire. Mais les élèves eux semblent s'y retrouver.
Pour certains chapitre, la démarche n'est pas très heureuse.
Un IPR nous avait dit qu'en histoire parfois il était possible de faire l'EDC après le "cours"
- pedro771Niveau 7
En gros tant qu'il y a des EDC et du théorique c'est bon, après à nous de le faire à notre sauce.
Mince j'espère que cette année de C2 sera utile aux admissibles qui n'ont aucune experience de l'enseignement.
Mince j'espère que cette année de C2 sera utile aux admissibles qui n'ont aucune experience de l'enseignement.
- Ibn KhaldounNiveau 8
Non, mais sur la tendance générale tu as raison, mais je précise cela pour d'autres raisons:
1/ ne pas se dire qu'il y a UNE recette miracle pour réussir son cours. Ca, il vaut mieux en faire son deuil avant de débuter pour de bon.
2/ ne pas se dire que ladite méthode va forcément enchanter l'IPR le jour J.
3/ il faut essayer de ne pas avoir que sa visite de titularisation en ligne de mire, même si c'est difficile: la question la plus importante c'est: comment m'y prendre pour être efficace et faire progresser mes élèves le plus possible?
Si j'avais été moins crispée là-dessus, j'aurais sans doute passé une bien meilleure année de stage, alors autant vous en faire part maintenant!
Tout ce qui est bon je le prends ! Merci pour tes conseils. Tu veux dire qu'il faut véritablement faire son cours pour les élèves et ne pas être obnubilé par la visite de l'IPR pour la titularisation ?
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Qui pourrait, en France, parler de « race » ? Notre Midi a sa pinte de sang sarrasin, espagnol, andalou. [...] Tant d'« immigrés », depuis si longtemps, depuis notre Préhistoire jusqu'à l'histoire très récente, ont réussi à faire naufrage sans trop de bruit dans la masse française que l'on pourrait dire, en s'amusant, que tous les Français, si le regard se reporte aux siècles et aux millénaires qui ont précédé notre temps, sont fils d'immigrés. Très diverse, la France ne peut-elle courir le risque de le devenir, biologiquement, davantage encore ?
L'identité de la France - Fernand Braudel
- ArtysiaVénérable
pedro771 a écrit:En gros tant qu'il y a des EDC et du théorique c'est bon, après à nous de le faire à notre sauce.
Mince j'espère que cette année de C2 sera utile aux admissibles qui n'ont aucune experience de l'enseignement.
Les stagiaires n'ont pas d'expérience sauf s'ils ont été contractuels auparavant. On apprend, ça fait peur au départ mais on s'en sort Tu vas pouvoir observer un professeur en exercice, c'est très intéressant.
Ibn Khaldoun a écrit:Non, mais sur la tendance générale tu as raison, mais je précise cela pour d'autres raisons:
1/ ne pas se dire qu'il y a UNE recette miracle pour réussir son cours. Ca, il vaut mieux en faire son deuil avant de débuter pour de bon.
2/ ne pas se dire que ladite méthode va forcément enchanter l'IPR le jour J.
3/ il faut essayer de ne pas avoir que sa visite de titularisation en ligne de mire, même si c'est difficile: la question la plus importante c'est: comment m'y prendre pour être efficace et faire progresser mes élèves le plus possible?
Si j'avais été moins crispée là-dessus, j'aurais sans doute passé une bien meilleure année de stage, alors autant vous en faire part maintenant!
Tout ce qui est bon je le prends ! Merci pour tes conseils. Tu veux dire qu'il faut véritablement faire son cours pour les élèves et ne pas être obnubilé par la visite de l'IPR pour la titularisation ?
Tu trouveras de nombreux conseils sur ce forum Les topics histoire géo sont actifs et les membres ne sont pas avares en conseils.
Ton travail en tant que professeur est de faire progresser ses élèves et non de faire plaisir à un IPR non ? Alors c'est sûr que c'est très stressant de savoir qu'on va être inspecté mais ce n'est pas l'essentiel de ton année! Il y a énormément de choses à découvrir, c'est une année très stimulante !
- InvitéInvité
Absolument. L'obsession que j'en ai fait ne m'a vraiment valu que des embêtements, donc bon...Ibn Khaldoun a écrit:Non, mais sur la tendance générale tu as raison, mais je précise cela pour d'autres raisons:
1/ ne pas se dire qu'il y a UNE recette miracle pour réussir son cours. Ca, il vaut mieux en faire son deuil avant de débuter pour de bon.
2/ ne pas se dire que ladite méthode va forcément enchanter l'IPR le jour J.
3/ il faut essayer de ne pas avoir que sa visite de titularisation en ligne de mire, même si c'est difficile: la question la plus importante c'est: comment m'y prendre pour être efficace et faire progresser mes élèves le plus possible?
Si j'avais été moins crispée là-dessus, j'aurais sans doute passé une bien meilleure année de stage, alors autant vous en faire part maintenant!
Tout ce qui est bon je le prends ! Merci pour tes conseils. Tu veux dire qu'il faut véritablement faire son cours pour les élèves et ne pas être obnubilé par la visite de l'IPR pour la titularisation ?
- Ibn KhaldounNiveau 8
Artysia a écrit:Tu trouveras de nombreux conseils sur ce forum Wink Les topics histoire géo sont actifs et les membres ne sont pas avares en conseils.
Ton travail en tant que professeur est de faire progresser ses élèves et non de faire plaisir à un IPR non ? Alors c'est sûr que c'est très stressant de savoir qu'on va être inspecté mais ce n'est pas l'essentiel de ton année! Il y a énormément de choses à découvrir, c'est une année très stimulante !
Merci, c'est d'ailleurs pour ça que j'y suis, l'entraide est remarquable. J'espère que ça se passera bien en tout cas.
holderfar a écrit:Absolument. L'obsession que j'en ai fait ne m'a vraiment valu que des embêtements, donc bon...
Je continuerai de faire ce que j'ai toujours réalisé jusque là alors, à la différence d'avoir beaucoup plus de boulot.
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Qui pourrait, en France, parler de « race » ? Notre Midi a sa pinte de sang sarrasin, espagnol, andalou. [...] Tant d'« immigrés », depuis si longtemps, depuis notre Préhistoire jusqu'à l'histoire très récente, ont réussi à faire naufrage sans trop de bruit dans la masse française que l'on pourrait dire, en s'amusant, que tous les Français, si le regard se reporte aux siècles et aux millénaires qui ont précédé notre temps, sont fils d'immigrés. Très diverse, la France ne peut-elle courir le risque de le devenir, biologiquement, davantage encore ?
L'identité de la France - Fernand Braudel
- Mike92Niveau 10
Au-delà de toutes les théories et modes pédagogiques, un inspecteur voit si le cours de LV : 1) est fait dans une bonne langue (une très bonne prononciation, par exemple, met le prof à l'abri de bien des désagréments) ; 2) si la progression et l'apprentissage de nouvelles structures sont bien menés, dans un cadre aussi naturel que possible ; 3) si la participation des élèves est correcte, ce qui implique qu'on leur donne les moyens linguistiques de s'exprimer (une aide écrite sur le sujet, par des mots et expressions bilingues donnée en début de cours peut être une bonne solution) ..et de ne pas les prendre pour des demeurés en posant des questions trop simples ou sans aucun intérêt...Absolument. L'obsession que j'en ai fait ne m'a vraiment valu que des embêtements, donc bon..
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Fais bon accueil aux étrangers, car toi aussi, tu seras un étranger. (Roger Ikor)
site : http://allemand-postbac.npage.de
manuels publiés : http://www.decitre.fr/auteur/141431/Michel+Luciani/
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