roman ou pièce de théâtre sur le bonheur ?

Bonjour à tous,
évidemment, le titre du post peut interroger: quelle oeuvre littéraire n'interroge pas le bonheur, au moins en partie ?
Aussi vais-je préciser: en 1ère, j'ai retenu (avec originalité...) ce thème pour l'argumentation. Je cherche ensuite une lecture cursive mettant en avant le bonheur, comme thème, comme recherche, et si possible avec une perspective dynamique, enthousiaste (et non une conclusion du style "le bonheur n'est qu'une illusion"). l'idée est de faire passer ce message: à nous de choisir d'être heureux.
Quelqu'un aurait-il en tête des titres précis, aussi bien en roman qu'en théâtre ?

Pour info, le GT serait (le conditionnel à son importance): Alain; Camus (Sisyphe); Mme du Châtelet; un apologue.

Merci d'avance ! 

Dans le Fleur d'encre 3ème, il y a une séquence sur l'argumentation avec comme thème le bonheur. Peut-être y trouveras-tu des idées et des documents à reprendre.

Zola, La Joie de vivre.
Non, j'déconne .

Je ne sais pas si c'est vraiment enthousiaste, mais Oh les beaux jours de Beckett me semble intéressant (et très en rapport avec le Sisyphe de Camus).

SInon, je pensais aussi aux Oiseaux d'Aristophane.

Celeborn
J'allais proposer, comme une évidence, Oh les beaux jours, et sans la moindre ironie.

Merci pour ces propositions. 
Pourquoi pas Beckett, en effet. Nous avons déjà prévu en OI de travailler La Cantatrice chauve et La Peste, on serait donc bien cohérent. Bon, ça fait beaucoup de XX°s.
Je vais continuer à creuser et reprendre la pièce de Beckett pour voir.

Encore du XXe siècle et une traduction et en plus de la science -fiction...mais pile dans le sujet, je l'avais proposé en LC il y a quelques années: Un bonheur insoutenable d'Ira Levin. Très intéressants prolongements sur utopie / contre-utopie.
Oh les beaux jours très intéressant évidemment mais difficile à la lecture à cause des didascalies surabondantes.
Pour les textes il y a aussi Fontenelle (Du bonheur)

oui, j'avais donné Ira Levin il y a quelques années, en raison de tout ce que tu en dis. Mais bien peu l'avait lu jusqu'au bout (près de 400 pages). Mais je retiens l'idée, ainsi que Fontenelle. Merci !