- CarnyxNeoprof expérimenté
Le nouveau King est sorti en anglais : Finders Keepers. Il va faire partie d'une trilogie tournant autour du détective à la retraite Bill Hodges. Le troisième volet sera The Suicide Prince.
King dit que la trilogie devrait donner lieu à une série télé.
King dit que la trilogie devrait donner lieu à une série télé.
- Spoiler:
- « Réveille-toi, génie. » Ainsi commence l’histoire instantanément passionnante à propos d’un lecteur assoiffé de vengeance. Le génie est John Rothstein, un auteur emblématique qui a créé un personnage célèbre, Jimmy Gold, mais qui n'a pas publié de livre depuis des décennies. Morris Bellamy est furieux, non seulement parce que Rothstein a cessé de sortir des livres, mais parce que le non-conformiste Jimmy Gold s’est vendu pour une carrière dans la publicité. Morris tue Rothstein et vide son coffre-fort de l’argent, mais le véritable trésor est constitué de carnets contenant au moins un autre roman de Gold…
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Of all tyrannies, a tyranny sincerely exercised for the good of its victims may be the most oppressive. It would be better to live under robber barons than under omnipotent moral busybodies. The robber baron’s cruelty may sometimes sleep, his cupidity may at some point be satiated; but those who torment us for our own good will torment us without end for they do so with the approval of their own conscience.
- CarnyxNeoprof expérimenté
http://www.avclub.com/article/mr-mercedes-series-now-development-stephen-king-cu-213780
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Of all tyrannies, a tyranny sincerely exercised for the good of its victims may be the most oppressive. It would be better to live under robber barons than under omnipotent moral busybodies. The robber baron’s cruelty may sometimes sleep, his cupidity may at some point be satiated; but those who torment us for our own good will torment us without end for they do so with the approval of their own conscience.
- User5899Demi-dieu
Une variation sur le thème de Misery.Carnyx a écrit:Le nouveau King est sorti en anglais : Finders Keepers. Il va faire partie d'une trilogie tournant autour du détective à la retraite Bill Hodges. Le troisième volet sera The Suicide Prince.
King dit que la trilogie devrait donner lieu à une série télé.
- Spoiler:
« Réveille-toi, génie. » Ainsi commence l’histoire instantanément passionnante à propos d’un lecteur assoiffé de vengeance. Le génie est John Rothstein, un auteur emblématique qui a créé un personnage célèbre, Jimmy Gold, mais qui n'a pas publié de livre depuis des décennies. Morris Bellamy est furieux, non seulement parce que Rothstein a cessé de sortir des livres, mais parce que le non-conformiste Jimmy Gold s’est vendu pour une carrière dans la publicité. Morris tue Rothstein et vide son coffre-fort de l’argent, mais le véritable trésor est constitué d’ordinateurs portables contenant au moins un autre roman de Gold…
Et sur celui des bouquins écrits à l'avance, cf. Sac d'os.
- CathEnchanteur
Lu Mile 81, dans une traduction à l'arrache mais quand même... Bien décevant.
Intrigue minimaliste, fin bâclée, personnages peu crédibles (une gamine de 6 ans qui réagit comme si elle en avait 12)...
Intrigue minimaliste, fin bâclée, personnages peu crédibles (une gamine de 6 ans qui réagit comme si elle en avait 12)...
- CarnyxNeoprof expérimenté
Article de King dans le New York Times :
« Un romancier peut-il être trop productif ? »
http://www.nytimes.com/2015/08/31/opinion/stephen-king-can-a-novelist-be-too-productive.html?ref=books&_r=0
Il existe de nombreux postulats tacites dans la critique littéraire, l’une étant que plus on écrit, moins son travail a tendance à être remarquable. Joyce Carol Oates, auteur de plus de 50 romans (sans compter les 11 écrits sous les pseudonymes de Rosamond Smith et Lauren Kelly), comprend parfaitement combien peu d’intérêt ont les critiques pour les écrivains prolifiques. Dans l’un de ses journaux, elle écrit qu’elle semblait créer « plus, certainement, que le monde littéraire ne le permet à un écrivain “sérieux”. »…
Ce n’est pas une façon détournée de justifier ma propre prolificité. Oui, j’ai publié plus de 55 romans. Oui, j’ai utilisé un pseudonyme (Richard Bachman). Oui, j’ai une fois publié quatre livres en un an (ombres de James Patterson ... sauf que les miens étaient plus longs et écrits sans l’aide d’un collaborateur). Et oui, j’ai une fois écrit un roman (Running Man) en une seule semaine. Mais je peux dire, en toute honnêteté, que je n’ai jamais eu le choix.…
Quand j’étais un jeune homme, ma tête était comme une salle de cinéma bondée où quelqu’un vient de crier « Au feu ! » et où tout le monde se précipite tout de suite vers les sorties. J’avais mille idées mais seulement 10 doigts et une machine à écrire. Il y avait des jours – je ne plaisante pas ni n’exagère – où je pensais que toutes ces voix qui réclamaient dans mon esprit me rendraient fou.
« Un romancier peut-il être trop productif ? »
http://www.nytimes.com/2015/08/31/opinion/stephen-king-can-a-novelist-be-too-productive.html?ref=books&_r=0
Il existe de nombreux postulats tacites dans la critique littéraire, l’une étant que plus on écrit, moins son travail a tendance à être remarquable. Joyce Carol Oates, auteur de plus de 50 romans (sans compter les 11 écrits sous les pseudonymes de Rosamond Smith et Lauren Kelly), comprend parfaitement combien peu d’intérêt ont les critiques pour les écrivains prolifiques. Dans l’un de ses journaux, elle écrit qu’elle semblait créer « plus, certainement, que le monde littéraire ne le permet à un écrivain “sérieux”. »…
Ce n’est pas une façon détournée de justifier ma propre prolificité. Oui, j’ai publié plus de 55 romans. Oui, j’ai utilisé un pseudonyme (Richard Bachman). Oui, j’ai une fois publié quatre livres en un an (ombres de James Patterson ... sauf que les miens étaient plus longs et écrits sans l’aide d’un collaborateur). Et oui, j’ai une fois écrit un roman (Running Man) en une seule semaine. Mais je peux dire, en toute honnêteté, que je n’ai jamais eu le choix.…
Quand j’étais un jeune homme, ma tête était comme une salle de cinéma bondée où quelqu’un vient de crier « Au feu ! » et où tout le monde se précipite tout de suite vers les sorties. J’avais mille idées mais seulement 10 doigts et une machine à écrire. Il y avait des jours – je ne plaisante pas ni n’exagère – où je pensais que toutes ces voix qui réclamaient dans mon esprit me rendraient fou.
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Of all tyrannies, a tyranny sincerely exercised for the good of its victims may be the most oppressive. It would be better to live under robber barons than under omnipotent moral busybodies. The robber baron’s cruelty may sometimes sleep, his cupidity may at some point be satiated; but those who torment us for our own good will torment us without end for they do so with the approval of their own conscience.
- CallmeLuciferNiveau 5
Carnyx a écrit:Le nouveau King est sorti en anglais : Finders Keepers. Il va faire partie d'une trilogie tournant autour du détective à la retraite Bill Hodges. Le troisième volet sera The Suicide Prince.
King dit que la trilogie devrait donner lieu à une série télé.
- Spoiler:
« Réveille-toi, génie. » Ainsi commence l’histoire instantanément passionnante à propos d’un lecteur assoiffé de vengeance. Le génie est John Rothstein, un auteur emblématique qui a créé un personnage célèbre, Jimmy Gold, mais qui n'a pas publié de livre depuis des décennies. Morris Bellamy est furieux, non seulement parce que Rothstein a cessé de sortir des livres, mais parce que le non-conformiste Jimmy Gold s’est vendu pour une carrière dans la publicité. Morris tue Rothstein et vide son coffre-fort de l’argent, mais le véritable trésor est constitué d’ordinateurs portables contenant au moins un autre roman de Gold…
Il s'agit de carnets Moleskine... J'ai beaucoup aimé le sujet mais j'ai été un peu déçue par la fin. Il y a un lien assez vague avec Mr Mercedes qu'on n'est pas obligé d'avoir lu pour comprendre l'histoire...
Parfois inégal, mais quel auteur! Je l'aime vraiment...
- CathEnchanteur
Je viens de le commencer.Hope a écrit:Je viens de terminer Revival, le tout dernier, et je ne peux qu'être d'accord avec vous : ça n'a plus rien à voir avec le "grand" King de Ça ou de Shining... Même chose pour Mr Mercedes, lu juste avant.
J'en viens à me demander si je lirai les suivants
Pour l'instant, il me plait : on retrouve les descriptions de l'enfance, de la vie de famille que SK sait si bien rendre avec cette petite touche de nostalgie et de tendresse qui me fait regretter cette époque que je n'ai pas connue. Les personnages sont attachants également.
- User5899Demi-dieu
Tiens, j'avais raté ça. J'ai adoré ce roman aux multiples lectures possibles (à tous les sens du mot "lecture") et je plussoie le conseil et l'enthousiasmeWabiSabi a écrit:je tenais quand même à signaler aux amoureux de romans "gothiques" et/ou anxiogènes que vient de sortir en poche un PUR CHEF D'OEUVRE (et je pèse mes mots avec une balance de cuisine haute précision) intitulé La Maison des Feuilles de Mark Danielewski, dans la trèèèèès bonne collection Signatures des éditions Points. Ce roman déjanté est sorti il y 14 ans maintenant en grand format et représentait une vraie gageure à porter en poche, pour des raisons formelles. L'auteur est, entre autres, un grand amateur de King (qui apparaît d'ailleurs dans le roman), mais aussi de Poe, Borges, Burroughs, Apollinaire et j'en passe... Ca fait aussi assez furieusement penser aux (bons) films de David Lynch. Ce livre est vraiment unique en son genre, et je dois dire que c'est un des seuls romans que j'ai lus qui m'aient donné des cauchemars. C'est d'ailleurs la première phrase de l'incipit : "Je fais encore des cauchemars."
Bref, cette sortie poche est un vrai miracle et ce serait tellement bien qu'il se vende comme des petits pains! (les 3 rééditions grand format chez Denoël ces 10 dernières années avaient été épuisées dans le mois...). Si vous aimez les labyrinthes, foncez, vous ne le regretterez pas! [fin de l'aparté Hors-King]
- CathEnchanteur
Au fait, terminé.Cath a écrit:Je viens de le commencer.Hope a écrit:Je viens de terminer Revival, le tout dernier, et je ne peux qu'être d'accord avec vous : ça n'a plus rien à voir avec le "grand" King de Ça ou de Shining... Même chose pour Mr Mercedes, lu juste avant.
J'en viens à me demander si je lirai les suivants
Pour l'instant, il me plait : on retrouve les descriptions de l'enfance, de la vie de famille que SK sait si bien rendre avec cette petite touche de nostalgie et de tendresse qui me fait regretter cette époque que je n'ai pas connue. Les personnages sont attachants également.
Pas mal, finalement, plus dans la veine de Duma Key que de Cimetierre, mais j'ai eu bien plus de plaisir à le lire que M.Mercedes ou Sale gosse...
- User5899Demi-dieu
Duma Key était très hypnotique, j'avais beaucoup paimé.
- CathEnchanteur
Oui.
Je voulais dire par là "moins d'horreur pure "(encore que le gars de Duma Key se fait arracher un bras si je me souviens bien).
Je voulais dire par là "moins d'horreur pure "(encore que le gars de Duma Key se fait arracher un bras si je me souviens bien).
- KapellmeisterHabitué du forum
Ouep, ben j'ai récemment fini Dr Sleep et je dois dire que j'ai moyennement été convaincue.
- CathEnchanteur
Oui, pareil, Dr Sleep est vraiment très très décevant, d'où la bonne surprise que constitue Revival (dont le titre m'inquiétait un peu, pour tout dire).
- VanGogh59Expert spécialisé
Oui Dr Sleep et Mr Mercedes étaient décevants. Le dernier grand roman de King est 22/11/63
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"Nous sommes tous dans le caniveau, mais certains d'entre nous regardent les étoiles" Oscar Wilde
- fracfloNiveau 8
Mais vous n'en avez pas bientôt fini avec ce King ?
À l'instar d'une Nothomb ou d'un Bellemare, ce monsieur semble prendre plaisir à encombrer de sa prose indigeste les rayons "Culture et Loisirs" de nos supérettes de province, donnant par là même aux ménagères surbookées l'illusion d'un accès facile à ce qu'elles osent appeler "la Littérature".
On en voit tous les jours corner de leurs mains graisseuses ce type d'"ouvrages" ; et parfois même elles en font l'acquisition ! Le malheureux finira alors quelque part entre le four à micro-ondes et la table à repasser. Du reste, c'est sa place. Un homme de bonne éducation ne saurait ouvrir sa bibliothèque aux pitreries de ce drôle.
À l'instar d'une Nothomb ou d'un Bellemare, ce monsieur semble prendre plaisir à encombrer de sa prose indigeste les rayons "Culture et Loisirs" de nos supérettes de province, donnant par là même aux ménagères surbookées l'illusion d'un accès facile à ce qu'elles osent appeler "la Littérature".
On en voit tous les jours corner de leurs mains graisseuses ce type d'"ouvrages" ; et parfois même elles en font l'acquisition ! Le malheureux finira alors quelque part entre le four à micro-ondes et la table à repasser. Du reste, c'est sa place. Un homme de bonne éducation ne saurait ouvrir sa bibliothèque aux pitreries de ce drôle.
- Fesseur ProGuide spirituel
Content de te relire.
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Pourvu que ça dure...
- Asha KrakenNeoprof expérimenté
Et il est en forme en plus ! "Corner de leurs mains graisseuses...", on le vit, on le voit, bravo !
- CathEnchanteur
Je viens cette finir la nouvelle Dans les hautes herbes.
Aucun intérêt.
Aucun intérêt.
- CathEnchanteur
Avec de curieuses incohérences dans la concordance des temps.
Et on ne retrouve pas du tout la proximité avec les personnages que King sait si bien créer...
Edit : Ah, je comprends, ce n'est pas une traduction officielle : http://club-stephenking.fr/4758-actualite
Et c'est une collaboration avec son fils, faut qu'il arrête de vouloir faire plaisir à sa femme et à son fils, le talent ne se transmet ni par les gènes ni par heu osmose !
Et on ne retrouve pas du tout la proximité avec les personnages que King sait si bien créer...
Edit : Ah, je comprends, ce n'est pas une traduction officielle : http://club-stephenking.fr/4758-actualite
Et c'est une collaboration avec son fils, faut qu'il arrête de vouloir faire plaisir à sa femme et à son fils, le talent ne se transmet ni par les gènes ni par heu osmose !
- thrasybuleDevin
Oui, j'avais lu un article sur son fils. Ah les "fils de..."
- Jon SnowNiveau 5
Je suis un immense fan de Stephen King. Je viens de finir la lecture de Joyland, j'ai beaucoup l’atmosphère mélancolique qui s'en dégage.
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"Enseigner l'histoire, ce n'est pas fournir une connaissance tout prête. C'est apprendre à questionner le passé." Annette Wieviorka
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