- JacqGuide spirituel
Mélu a écrit:Pas de lézard, Jacq. La méprise est réglée . Mais juste pour info, si "tagline pitch" signifie effectivement slogan (donc boniment) publicitaire, en revanche "one line pitch" désigne bien le résumé lapidaire en une phrase de l'intrigue. J'ai donc effectivement commis un crime d'anglicisme aigu, mais pas encore d'impropriété. La prochaine fois, je parlerai de ligne directrice ou de synopsis, mais tout de suite, ça fait plus sérieux.
Sinon, moi, j'aime bien les uchronies et les dystopies en général. Faut vraiment que je me mette à King.
Je suis un tyran, mais je tente de me soigner...
- CathEnchanteur
Cripure a écrit:Je préfère William Desmond comme traducteur. Je pensais que "mon pote" aurait été mieux venu.cath5660 a écrit:Oui, tout à fait Matthew...Pour Stephen King, on ne peut pas vraiment parler de fossé de génération!
Sinon, j'ai commencé son dernier hier soir. J'avais prévu de le garder pour les vacances, mais avec ce topic, c'était dur de résister!
Il y a un truc qui me gêne dans la traduction (oui, suis une béotienne, je le lis en français): ce quinquagénaire qui appelle le personnage principal "copain", je trouve ça bizarre.
Un de nos distingués anglicistes sait-il quel est le mot utilisé dans le texte et si la traduction est correcte ?
C'est sûr. Ça me rappelle une ancienne traduction de L'attrape-coeur dans laquelle le traducteur faisait dire au narrateur (un ado américain des années 50, rappelons-le): "Elle était diablement belle".
J'aimerai bien savoir quel est le terme d'origine, quand même. Personne ne l'a lu en anglais ?
- CathEnchanteur
Jacq a écrit:Cripure a écrit:Je viens de le finir. Je ne suis pas fan des voyages dans le temps, parce que je ne peux pas admettre qu'on sa balade tranquillement alors qu'on n'est pas né. En fait, c'est un roman sur l'effet papillon. Ca ne fait pas peur et l'histoire est terriblement frustrante.Mais comme d'hab, dans ses longs romans, on se perd dans les digressions et perso, j'aime ça. On retrouve Derry, Bev et Richie de Ca, on joue à la politique fiction (vous aussi, imaginez ce que la France serait aujourd'hui si, par exemple, Chirac n'avait pas démissionné en juillet 76, ou n'avait pas dissout l'assemblée en 97). Je n'en dis pas plus. J'ai aimé le lire mais je ne suis pas sûr que ce soit un excellent bouquin. Un peu comme Dôme. Ou Duma Key. Moi, l'intrigue principale, très souvent, je m'en fiche.JPhMM a écrit:Quelqu'un a lu 22/11/63 ?
Je suis en train de lire la trilogie Underworld USA de Ellroy (autant le dire, ce ne sont pas mes romans favoris de Ellroy). Je ne sais pas si tu as lu.
J'ai un peu peur de me retrouver dans la même chose et en même temps je suis curieux de voir la façon dont les deux auteurs abordent la même période. C'est la seule raison qui me pousserait à lire le dernier King.
Ça j'ai essayé plusieurs fois... Le livre m'est tombé des mains à chaque fois.
- JacqGuide spirituel
J'avais commencé American Tabloïd et j'avais une pause au milieu : grosse erreur ! C'était mon premier Ellroy. Finalement j'ai repris et dévoré American T et j'en suis au second, mais je commence à trouver le temps un peu long.... Je ne sais pas si je poursuis tout de suite sur le troisième ou si je fais une petite pause.
"22/11/63, c'est une uchronie, puisque S. King part du principe que J.F.K n'a pas été assassiné à Dallas en 63"
Ah oui ? La publicité quotidienne annonce plutôt que le héros doit éviter l'assassinat. Je vais suggérer à notre documentaliste un petit achat du CDI pour peut être faire une tentative. Je ne suis pas passionné par les uchronies.
"22/11/63, c'est une uchronie, puisque S. King part du principe que J.F.K n'a pas été assassiné à Dallas en 63"
Ah oui ? La publicité quotidienne annonce plutôt que le héros doit éviter l'assassinat. Je vais suggérer à notre documentaliste un petit achat du CDI pour peut être faire une tentative. Je ne suis pas passionné par les uchronies.
- ParatgeNeoprof expérimenté
Un livre de King que j'ai trouvé très intéressant c'est Écriture : Mémoires d'un métier.
À la fois essai et autobiographie de Stephen King, publié en 2000. La première et la troisième partie du livre sont autobiographiques, l'auteur y traitant de ses premières tentatives d'écriture, ses succès et les problèmes personnels qu'il a connus. La deuxième partie est quant à elle remplie de conseils pratiques sur l'art d'écrire et de construire une histoire. Ce livre a obtenu le prix Locus et le prix Bram Stoker dans la catégorie des livres non-fictifs.
À la fois essai et autobiographie de Stephen King, publié en 2000. La première et la troisième partie du livre sont autobiographiques, l'auteur y traitant de ses premières tentatives d'écriture, ses succès et les problèmes personnels qu'il a connus. La deuxième partie est quant à elle remplie de conseils pratiques sur l'art d'écrire et de construire une histoire. Ce livre a obtenu le prix Locus et le prix Bram Stoker dans la catégorie des livres non-fictifs.
- ParatgeNeoprof expérimenté
Que pensez-vous de Peter Straub (The Throat: Blue Rose Trilogy) ?
- User5899Demi-dieu
Pas exactement. Ce n'est pas le postulat de départ.Bobby-Cowen a écrit:22/11/63, c'est une uchronie, puisque S. King part du principe que J.F.K n'a pas été assassiné à Dallas en 63.
- CathEnchanteur
Paratge a écrit:Que pensez-vous de Peter Straub (The Throat: Blue Rose Trilogy) ?
Je suis sûre d'avoir lu Le talisman, et sûrement d'autres dont je n'ai pas gardé le souvenir, ce qui n'est pas très bon signe...
- CathEnchanteur
Cripure a écrit:Pas exactement. Ce n'est pas le postulat de départ.Bobby-Cowen a écrit:22/11/63, c'est une uchronie, puisque S. King part du principe que J.F.K n'a pas été assassiné à Dallas en 63.
Je confirme.
- Bobby-CowenFidèle du forum
D'accord, ce n'est pas le postulat de départ, mais il y a un point de divergence dans 22/11/63, c'est de là que part l'uchronie...
Donc oui, tout le roman n'est pas uchronie.
Donc oui, tout le roman n'est pas uchronie.
- ParatgeNeoprof expérimenté
Pour ceux qui sont intéressés par l'uchronie, le site de référence où le nouveau King est d'ailleurs mentionné :
http://www.uchronia.net/intro.html
http://www.uchronia.net/intro.html
- KapellmeisterHabitué du forum
"Nuit noire, étoiles mortes". Recueil de nouvelles sorti en 2012.
- KapellmeisterHabitué du forum
Paratge a écrit:Que pensez-vous de Peter Straub (The Throat: Blue Rose Trilogy) ?
Plus "littéraire" que King. Il a souvent plus de style. Mais ses intrigues sont parfois bancales (remarquez, ça arrive souvent chez King, aussi, qui merde assez régulièrement ses fins de romans). Le meilleur bouquin que j'aie lu de lui demeure "Ghost Story". J'aime aussi beaucoup l'un de ses recueils de nouvelles : "Sans portes ni fenêtres". "Koko" : beaucoup de très bons passages, mais tendance à partir en vrille (en particulier, les cinquante dernières pages). "La Gorge" : même constat. Bouquin sans doute plus bordélique que "Koko", néanmoins.
- JPhMMDemi-dieu
Pour moi, le maitre des uchronies reste pour l'heure Silverberg.Bobby-Cowen a écrit:Cripure a écrit:Je viens de le finir. Je ne suis pas fan des voyages dans le temps, parce que je ne peux pas admettre qu'on sa balade tranquillement alors qu'on n'est pas né. En fait, c'est un roman sur l'effet papillon. Ca ne fait pas peur et l'histoire est terriblement frustrante.Mais comme d'hab, dans ses longs romans, on se perd dans les digressions et perso, j'aime ça. On retrouve Derry, Bev et Richie de Ca, on joue à la politique fiction (vous aussi, imaginez ce que la France serait aujourd'hui si, par exemple, Chirac n'avait pas démissionné en juillet 76, ou n'avait pas dissout l'assemblée en 97). Je n'en dis pas plus. J'ai aimé le lire mais je ne suis pas sûr que ce soit un excellent bouquin. Un peu comme Dôme. Ou Duma Key. Moi, l'intrigue principale, très souvent, je m'en fiche.JPhMM a écrit:Quelqu'un a lu 22/11/63 ?
Je ramène ma science, vous allez me dire, mais tant pis
la "politique fiction" porte un nom rigolo, "l'uchronie" (j'ai travaillé dessus pour mon mémoire), si je me rappelle bien S. King l'utilise pour certains de ses romans. Beaucoup d'autres auteurs très intéressants, comme Philip K. Dick, E. E. Schmitt, Philip Roth... Si on part d'un point de divergence comme postulat uchronique ("et si... Roosevelt avait été assassiné à Miami en 1933 ?), on peut réécrire tout un pan de l'histoire. Le cinéma en raffole (Déja Vu, Inglorious Basterds, Back to the Future, Jean-Philippe...).
22/11/63, c'est une uchronie, puisque S. King part du principe que J.F.K n'a pas été assassiné à Dallas en 63.
_________________
Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- Matthew76Grand sage
thrasybule a écrit:Non, je veux parler d'un trait d'ecriture de King qu me semble suggérer le monde où il évolue
j'en parlerai demain
Demain, dans six jours ? :lol:
Kapellmeister a écrit:"Nuit noire, étoiles mortes". Recueil de nouvelles sorti en 2012.
Celui-là me faisait de l'oeil à un moment, mais je ne sais pas trop ce que ça vaut au niveau des histoires. Je me souviens avoir dévoré l'avant-propos au Furet (en fait, j'ai lu tous ceux que je n'avais pas encore lus ce jour-là), et c'était passionnant comme d'habitude. Il faudrait qu'il regroupe un de ces quatre tous ses textes et qu'il les sorte dans un ouvrage, ça serait trop cool.
- KapellmeisterHabitué du forum
Matthew76 a écrit:Kapellmeister a écrit:"Nuit noire, étoiles mortes". Recueil de nouvelles sorti en 2012.
Celui-là me faisait de l'oeil à un moment, mais je ne sais pas trop ce que ça vaut au niveau des histoires. Je me souviens avoir dévoré l'avant-propos au Furet (en fait, j'ai lu tous ceux que je n'avais pas encore lus ce jour-là), et c'était passionnant comme d'habitude. Il faudrait qu'il regroupe un de ces quatre tous ses textes et qu'il les sorte dans un ouvrage, ça serait trop cool.
Le livre a bénéficié de "trailers" à sa sortie :
Deux des nouvelles (presque des novellas) sont excellentes : "A good marriage" (récit inspiré à King par l'histoire du BTK killer) et "1922". Excellentes et abominables.
- thrasybuleDevin
Vous noterez la révoltante exploitation du Thrasy par le Matt, personne ne pipe mot, je n'en retire que peu de gloire pour l'espèce humaine.Matthew76 a écrit:thrasybule a écrit:Non, je veux parler d'un trait d'ecriture de King qu me semble suggérer le monde où il évolue
j'en parlerai demain
Demain, dans six jours ? :lol:
Ce que je veux dire, c'est que souvent, chez King, on assiste à une dissociation des voix narratives chez un même personne, clivage entre la voix sociale et la voix pulsionnelle: je ne vais pas m'emmerder à trouver sources , références, mais c'est un stylème de King. Exemple caricatural inventé: " Mais bien sûr , je vous paie le loyer demain", et, en italiques, " fils de p..., va niquer ta reum sur l'étal d'un charcutier". Bref, une fermeture entre deux espaces et soudain un événement qui permet à la voix de la folie de prendre le pouvoir. La dissociation est soit mise en scène dans un seul personnage( Shining, La part des Ténèbres avec le motif obsessionnel et intégré dans la forme( le dédoublement de la voix) des jumeaux antagonistes), ou dans une confrontation duelle( Misery, bazaar, le fleau avec la personnification du mal)
- User5899Demi-dieu
Parfois, aussi, les italiques font entendre la voix de la puissance à l'oeuvre sans qu'elle soit nommée. 1re occurrence dans Ca : le petit frère de Bill descend terrorisé l'escalier de la cave en pensant àla boîte de paraffine et il pense au dessin de la (tortue) petite bestiole marrante. Or on connaît le rôle de la tortue dans l'histoire (et pas que de la tortue, d'ailleurs).thrasybule a écrit:Vous noterez la révoltante exploitation du Thrasy par le Matt, personne ne pipe mot, je n'en retire que peu de gloire pour l'espèce humaine.Matthew76 a écrit:thrasybule a écrit:Non, je veux parler d'un trait d'ecriture de King qu me semble suggérer le monde où il évolue
j'en parlerai demain
Demain, dans six jours ? :lol:
Ce que je veux dire, c'est que souvent, chez King, on assiste à une dissociation des voix narratives chez un même personne, clivage entre la voix sociale et la voix pulsionnelle: je ne vais pas m'emmerder à trouver sources , références, mais c'est un stylème de King. Exemple caricatural inventé: " Mais bien sûr , je vous paie le loyer demain", et, en italiques, " fils de p..., va niquer ta reum sur l'étal d'un charcutier". Bref, une fermeture entre deux espaces et soudain un événement qui permet à la voix de la folie de prendre le pouvoir. La dissociation est soit mise en scène dans un seul personnage( Shining, La part des Ténèbres avec le motif obsessionnel et intégré dans la forme( le dédoublement de la voix) des jumeaux antagonistes), ou dans une confrontation duelle( Misery, bazaar, le fleau avec la personnification du mal)
Bon,c'est bien mon petit Thrasy, un bon travail sur le détail du texte : vous serez mon "merci"
Pis Mat est trop méchant :lol!:
- Matthew76Grand sage
Kapellmeister a écrit:Matthew76 a écrit:Kapellmeister a écrit:"Nuit noire, étoiles mortes". Recueil de nouvelles sorti en 2012.
Celui-là me faisait de l'oeil à un moment, mais je ne sais pas trop ce que ça vaut au niveau des histoires. Je me souviens avoir dévoré l'avant-propos au Furet (en fait, j'ai lu tous ceux que je n'avais pas encore lus ce jour-là), et c'était passionnant comme d'habitude. Il faudrait qu'il regroupe un de ces quatre tous ses textes et qu'il les sorte dans un ouvrage, ça serait trop cool.
Le livre a bénéficié de "trailers" à sa sortie :
Deux des nouvelles (presque des novellas) sont excellentes : "A good marriage" (récit inspiré à King par l'histoire du BTK killer) et "1922". Excellentes et abominables.
Merci pour les trailers, Kapell, et aussi pour ton avis;)! Si j'ai l'occasion, je me pencherai dessus, mais bon, vu la pile d'ouvrages que j'ai encore à lire et vu comment j'avance dans mes lectures (limite si je ne recule pas), on va dire que c'est pas pour maintenant (et là, j'euphémise à mort :ace: ).
Au passage, je trouve vraiment le titre de ce recueil classe.
- Matthew76Grand sage
Cripure a écrit:Parfois, aussi, les italiques font entendre la voix de la puissance à l'oeuvre sans qu'elle soit nommée. 1re occurrence dans Ca : le petit frère de Bill descend terrorisé l'escalier de la cave en pensant àla boîte de paraffine et il pense au dessin de la (tortue) petite bestiole marrante. Or on connaît le rôle de la tortue dans l'histoire (et pas que de la tortue, d'ailleurs).thrasybule a écrit:Vous noterez la révoltante exploitation du Thrasy par le Matt, personne ne pipe mot, je n'en retire que peu de gloire pour l'espèce humaine.Matthew76 a écrit:thrasybule a écrit:Non, je veux parler d'un trait d'ecriture de King qu me semble suggérer le monde où il évolue
j'en parlerai demain
Demain, dans six jours ? :lol:
Ce que je veux dire, c'est que souvent, chez King, on assiste à une dissociation des voix narratives chez un même personne, clivage entre la voix sociale et la voix pulsionnelle: je ne vais pas m'emmerder à trouver sources , références, mais c'est un stylème de King. Exemple caricatural inventé: " Mais bien sûr , je vous paie le loyer demain", et, en italiques, " fils de p..., va niquer ta reum sur l'étal d'un charcutier". Bref, une fermeture entre deux espaces et soudain un événement qui permet à la voix de la folie de prendre le pouvoir. La dissociation est soit mise en scène dans un seul personnage( Shining, La part des Ténèbres avec le motif obsessionnel et intégré dans la forme( le dédoublement de la voix) des jumeaux antagonistes), ou dans une confrontation duelle( Misery, bazaar, le fleau avec la personnification du mal)
Bon,c'est bien mon petit Thrasy, un bon travail sur le détail du texte : vous serez mon "merci"
Pis Mat est trop méchant :lol!:
Ah merci, thrasy! C'est l'esprit et le coeur légers que je vais pouvoir partir au travail!
En tout cas, c'est intéressant vos explications à tous les deux. Ce processus est d'ailleurs toujours assez sympa à lire, ça donne plus de vie et de contenance aux personnages. On les sent plus authentiques, plus réels. C'est en grande partie pour ça que King est aussi bon pour dépeindre la nature humaine, qu'elle soit bonne ou mauvaise, voire carrément très mauvaise (c'est d'ailleurs là qu'il excelle, je trouve).
Et pis, Matt, il est pas trop méchant d'abord, il est juste méchant comme il faut (et là, t'as la voix pulsionnelle de thrasy qui dit "Non, en fait, Matt est le pire e nfoiré que la Terre ait jamais porté!" :lol: ).
- thrasybuleDevin
J'entame Juste avant le Crépuscule en me faisant des crêpes.
Double
Double
- Matthew76Grand sage
thrasybule a écrit:J'entame Juste avant le Crépuscule en me faisant des crêpes.
Double
Tu feras un topo sur l'ouvrage ?
Matt le demandeur de topos ...
- ClarinetteGrand Maître
Oh ! Un sujet sur Stephen King !
En tout, j'ai dû lire une bonne vingtaine de ses romans les plus connus et pas mal de nouvelles.
Sinon, quelques remarques : je partage le goût de Douglas Colvin pour les romans plus psychologiques de King, comme Roadwork (Chantier). L'horreur pure ne m'intéresse pas plus que cela.
De ses romans les plus récents, j'ai lu Cellular, dont la fin m'a également déçue, et Under the Dome, que j'ai trouvé très efficace et avalé en quelques heures. Mais je me reconnais aussi dans ceux qui évoquent une certaine lassitude à la longue.
Dernière remarque : je me souviens avoir dévoré avec gloutonnerie il y a une vingtaine d'années The eyes of the dragon pendant une tempête sur un voilier ; les autres équipiers étaient tous dans le cockpit à moitié malades, et moi, j'étais en bas, bien calée dans une couchette (je changeais de côté à chaque virement de bord ), sans parvenir à lâcher le bouquin. J'ai beaucoup apprécié l'incursion de King dans le roman chevaleresque.
- Spoiler:
- Au fait, pour les non-anglicistes, on dit "[Stiven]".
En tout, j'ai dû lire une bonne vingtaine de ses romans les plus connus et pas mal de nouvelles.
Sinon, quelques remarques : je partage le goût de Douglas Colvin pour les romans plus psychologiques de King, comme Roadwork (Chantier). L'horreur pure ne m'intéresse pas plus que cela.
De ses romans les plus récents, j'ai lu Cellular, dont la fin m'a également déçue, et Under the Dome, que j'ai trouvé très efficace et avalé en quelques heures. Mais je me reconnais aussi dans ceux qui évoquent une certaine lassitude à la longue.
Dernière remarque : je me souviens avoir dévoré avec gloutonnerie il y a une vingtaine d'années The eyes of the dragon pendant une tempête sur un voilier ; les autres équipiers étaient tous dans le cockpit à moitié malades, et moi, j'étais en bas, bien calée dans une couchette (je changeais de côté à chaque virement de bord ), sans parvenir à lâcher le bouquin. J'ai beaucoup apprécié l'incursion de King dans le roman chevaleresque.
- User5899Demi-dieu
Il en existe au moins deux.Le film de Kubrick, bien sûr, très libre par rapport au livre, et un téléfilm en deux volets, pas si raté que ça.Clarinette a écrit:Oh ! Un sujet sur Stephen King !J'ai découvert King vers 12-13 ans avec Shining, l'enfant-Lumière, que j'ai a-do-ré et lu plusieurs fois pendant mon adolescence (relu aussi il y a quelques années, mais je n'aurais pas dû, un peu déçue par rapport à mes souvenirs d'ado. Et tant qu'on est sur Shining, je n'ai pas trop aimé l'adaptation cinématographique parce que le personnage de Danny y est négligé par rapport au livre.).
- Spoiler:
Au fait, pour les non-anglicistes, on dit "[Stiven]".
- Une passanteEsprit éclairé
si je ne me trompe d'ailleurs pas, le téléfilm avait supervisé par King, qui n'avait pas apprécié la version de Kubrick.
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum